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Conquered city, conquered self : a reading of "Their dogs came with them"/ Helena Maria Viramontes
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 11-06-2010
/ Canal-u.fr
VIRAMONTES Helena Maria
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Conquered city, conquered self : a reading of "Their dogs came with them". Helena Maria VIRAMONTES. In colloque "Identités américaines : relations et interactions - American Identities in relation and interaction" organisé par le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 10-11 juin 2010.Helena Maria Viramontes, romancière américaine chicana, lit des extraits de ses oeuvres (The Moths and Other Stories, Under the Feet of Jesus, Their Dogs Came With Them). Elle évoque les questions identitaires spécifiques à la communauté mexicaine-américaine qui vit entre deux langues et deux pays. Son travail contribue à subvenir aux besoins fondamentaux de l'Amérique, mais elle est marginalisée dans les villes et les campagnes où elle vit. A travers des extraits choisis de ses livres, Helena Viramontes dépeint les combats quotidiens de ce peuple pour affirmer sa dignité dans une Amérique qui la nie et pour trouver les moyens de lutter contre l'oppression.[La communication d'Helena Viramontes est précédée d'une présentation par Wendy Harding (univ. Toulouse-Le Mirail, France) et suivie d'un débat avec le public]. Mot(s) clés libre(s) : ethnicité (Chicanos), Helena Maria Viramontes (1954-....), littérature chicana (Etats-Unis), littérature mexicaine-américaine (Etats-Unis)
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/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 11-06-2010
/ Canal-U - OAI Archive
VIRAMONTES Helena Maria
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Mot(s) clés libre(s) : ethnicité (Chicanos), Helena Maria Viramontes (1954-....), littérature chicana (Etats-Unis), littérature mexicaine-américaine (Etats-Unis)
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Le Temps de la nation noire ? Amiri Baraka et la Convention politique nationale noire de Gary (1972) / Lisa Veroni-Paccher
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
VERONI-PACCHER Lisa
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Le Temps de la nation noire ? Amiri Baraka et la Convention politique nationale noire de Gary (1972) / Lisa Veroni-Paccher, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 4 : Récits identitaires.Le poète, activiste et leader afro-américain Amiri Baraka fut, avec Richard Hatcher et Charles Diggs, un des organisateurs de la Convention politique nationale noire de Gary, dans l'Indiana, en mars 1972. Cet événement est souvent dépeint par les historiens et les chercheurs en sciences politiques comme marquant la fin des Mouvements des Droits civiques et du Black Power ou représentant une voie sans issue dans un contexte politique américain de plus en plus conservateur. Cette communication analyse le rôle d'Amiri Baraka et sa tentative de réunir sous le même toit intégrationnistes, nationalistes et radicaux noirs, dans l'espoir que la convention aiderait à promouvoir un sentiment d'unité et de solidarité parmi les Afro-américains transcendant les clivages idéologiques. Au grand désespoir de Baraka cependant, les délégués de la convention de Gary ne purent se mettre d'accord sur ce qui permettrait de garantir l'indépendance politique noire et l'unité raciale : fallait-il œuvrer en dehors ou au sein des institutions politiques en place ? Malgré ses faiblesses et ses paradoxes apparents, la Convention de Gary, par son envergure et son entreprise de création d'un programme politique spécifiquement noir, fut une expérience stimulante qui permit un instant aux partisans des stratégies de contestation et à ceux qui préféraient les stratégies électorales, de réfléchir ensemble aux alternatives offertes aux Afro-américains pour augmenter leur pouvoir politique. L'héritage d'Amiri Baraka se retrace donc dans les tentatives d'articulation et d'affirmation d'un pouvoir politique indépendant noir dans l'Amérique des années 70 et au-delà. Mot(s) clés libre(s) : Mouvement des droits civiques (Etats-Unis), Amiri Baraka (1934-2014), noirs américains (identité collective)
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Le 10 février 1763 — Le traité de Paris : la France peut être heureuse sans Québec
/ Yves Deling, Michel Tousignant
/ 23-02-2012
/ Canal-u.fr
Vaugeois Denis
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Ce matin du 10 février, le duc de Choiseul observe le duc de Bedford
signer le fameux traité par lequel la France cède, à la Grande-Bretagne,
le Canada et diverses autres possessions à travers le monde. Il s’y
prépare depuis trois ans. Cette guerre qui a duré sept ans a coûté trop
cher à la France. Il a bien hâte de croiser Voltaire qui lui écrivait
quelques mois plus tôt : « Je suis comme le public, j’aime mieux la paix
que le Canada et je crois que la France peut être heureuse sans
Québec ». Choiseul a convaincu le Roi de préférer le sucre et le poisson
à la fourrure. Il n’a qu’un regret : celui de ne pas avoir en face de
lui William Pitt le grand vainqueur de cette guerre. Il le sait bien
embarrassé. Tous deux se posent en effet la même question : que feront
les Treize colonies sans une menace française à leurs frontières ? En
quittant la salle, il glisse à ses conseillers : « Nous les tenons ! »Et tant pis pour cent cinquante ans d’héroïsme, tant pis pour un
prolongement de la France en Amérique, tant pis pour ses alliés indiens.
Qu’ils aillent aux Anglais ! Quant au marquis de Montcalm ? Que Dieu
ait son âme !Texte de la conférence :http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-10-fevrier-1763-Le-traite-de.html Mot(s) clés libre(s) : Québec, Canada, Nouvelle-France, Nouvelle-Angleterre, Nouvelle-Espagne, Traité de Paris de 1763, Guerre de Sept Ans
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L'identité fluctuante de Barack Obama / Lea Stephan
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
STEPHAN Léa
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L'identité fluctuante de Barack Obama / Lea Stephan, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 2 : Identités relationnelles.Cette communication se propose d'étudier l'identité changeante
qu'endosse Barack Obama en montrant combien il choisit de représenter
des facettes spécifiques de son identité en fonction de ses besoins
politiques du moment. A l'instar de la population américaine, les
origines de Barack Obama sont mixtes et complexes. Toutefois, pour les
besoins de son rôle de président de tous les américains, Barack Obama
favorise le plus souvent une identité racialement neutre, celle du politicien noir post-mouvement des droits civiques qui privilégie
le paradigme de la classe au détriment de celui de la race. Mais
l'analyse montre que suivant le sujet abordé et l'auditoire, Obama
choisit par contre de mettre en avant d'autres facettes de son identité.
En effet, particulièrement pour des sujets sensibles ou concernant
certaines communautés en particulier, Obama puise dans son identité
complexe pour tisser des liens avec son auditoire. Lea Stephan montre
comment Obama favorise tour à tour ses oirigines noires ainsi que celles
de sa femme, afin d'asseoir sa légitimité auprès de la communauté
africaine-américaine, mais aussi comment il utilise son passé d'immigré
en Indonésie pour créer un rapport priviligié avec la communauté
hispanique. Mot(s) clés libre(s) : identité culturelle (Etats-Unis), noirs américains (identité collective), Barack Obama (1961-....)
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Representaciones de la población afrocaribeña en Costa-Rica, 1940-1953 / Ronald Soto-Quiros
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
SOTO QUIROS Ronald
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Representaciones de la población afrocaribeña en Costa-Rica, 1940-1953 / Ronald Soto-Quiros, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 3 : Métissages.Se trata de un análisis sobre las imágenes de la población de origen especialmente jamaicano en las dos décadas precedentes a la elección del primer diputado de origen afrocaribeño en Costa Rica. La investigación utiliza como fuente histórica particularmente la prensa nacional y local. El estudio intenta mostrar el peso politico y simbólico que tuvo la idea de una población mayoritariamente blanca en Costa Rica como uno de los componentes esenciales en la construcción de una identitad nacional en la aceptación e integración de la población de origen afroantillano -especialmente asentada en el caribe costarricense desde los años 1870- como afrocostarricense. La primera parte intenta explicar el desarrollo y consolidación de la idea de un país de "blancos" en la primera mitad del siglo XX. Una segunda parte analiza les imágenes de los afrocaribeños en el período posterior a 1934 -año de establecimiento de una medida estatal para prohibir la incorporación de afrocaribeños en los nuevos campos bananeros de la región pacífica. Una tercera sección se ocupa de evaluar la evolución y las imágenes de la población afrocaribeña durante la década de 1940 hasta la eliminación de medidas racistas contra esta población y la elección del primer diputado afrocostarricense, Alex Curling, en 1953. Mot(s) clés libre(s) : Noirs (identité collective), Afro-caribéens, Costa Rica (19e-20e siècles)
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De Cuba à Miami, la trajectoire d'un Noir cubain / Aline Rouhaud
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 08-02-2013
/ Canal-u.fr
ROUHAUD Aline
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De Cuba à Miami, la trajectoire d'un Noir cubain / Aline Rouhaud. In journée d'étude "Les Amériques noires : identités et représentations", organisée par l'Institut de Recherches Intersites Etudes Culturelles (IRIEC) et l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à Toulouse (IPEAT) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 8 février 2013.Cette communication traite des origines de la différence entre l'identité noire des noirs vivant à Cuba et celle des afro-cubains émigrés aux Etats-Unis dans la ville de Miami, essentiellement après l'exode de Mériel en 1980. Aux USA, les noirs cubains ont pu prendre conscience de la différence raciale clairement revendiquée par les leaders des mouvements pour les droits civiques dès les années 60, tandis qu'à Cuba les revendications d'une spécificité noire, incluse dans la lutte de classe, s'est diluée dans la volonté politique d'une union nationale métissée, constante depuis les guerres d'indépendance de la fin du XIXe et par delà la révolution castriste. Mot(s) clés libre(s) : lutte contre le racisme, identité nationale, Cuba (20e siècle), Mouvement des droits civiques (Etats-Unis), Révolution cubaine (1956-1959), Exode de Mariel (Cuba)
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Le 1er avril 1918 — Émeute à Québec contre la conscription : résistance politique ou culturelle ?
/ Yves Deling, Michel Tousignant
/ 31-01-2013
/ Canal-u.fr
Richard Béatrice
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Au printemps 1918, la ville de Québec s’embrase. Alors que la guerre s’enlise en Europe, le gouvernement de Robert L. Borden a décidé d’imposer le service militaire obligatoire pour combler les pertes du Corps expéditionnaire canadien. Depuis, la tension n’a cessé de grimper dans la Belle province alors que l’opinion publique se mobilise contre la conscription. Au soir du 28 mars, l’arrestation d’un présumé réfractaire à Québec met le feu aux poudres. Cinq jours durant les
émeutes se succèdent pour finalement tourner au bain de sang. Le 1er avril, la troupe tire sur la foule. Bilan : quatre morts et des dizaines de blessés. Présentée après coup comme le symbole de la résistance nationale des Québécois à l’oppression du reste du Canada, cette crise majeure s’enracine en fait dans un héritage historique plus complexe. Décryptage.Texte de la conférence :http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-1er-avril-1918-Emeute-a-Quebec.html Mot(s) clés libre(s) : Québec, Canada, Première Guerre Mondiale, Émeute de Québec de 1918, Crise de la conscription de 1917
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De l'afro-Mexique aux afro-latino-Amériques : réflexions afrodiasporiques à partir de cas pratiques / Sébastien Lefèvre, Paul Mvengou Cruzmerino
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
MVENGOU CRUZMERINO Paul, LEFÈVRE Sébastien
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De l'afro-Mexique aux afro-latino-Amériques : réflexions afrodiasporiques à partir de cas pratiques / Sébastien Lefèvre, Paul Mvengou Cruzmerino, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 2 : Identités relationnelles.Ëtre « Noir » au Mexique c'est avant tout être invisible. Aucune reconnaissance constitutionnelle, aucune présence réelle dans les manuels scolaires. Jusqu'à il y a quelques années, cette situation n'était pas exclusive du Mexique. En effet, la reconnaissance des populations afro-latino-américaines reste récente. On peut dater un changement concernant la "visibilisation" de ces populations à partir des années 1990. Puis en 2001 s'est tenue à Duban, en Afrique du Sud, sous les auspices des Nations Unies, la conférence mondiale contre le racisme, la discrimination et la xénophobie, qui a permis à un certain nombre de leaders afros de s'y rendre. Et, récemment, l'année 2011 a été décrétée par les Nations Unies comme l'année des afrodescendants afin de promouvoir les droits et le développement des dites populations. Parallèlement à ces divers processus [afro ou autre] pour rendre visibles les populations afro-américaines, le champ scientifique afro-latino-américaniste s'est aussi développé de manière importante durant les deux dernières décennies, donnant lieu à divers programmes de recherches nationaux et transnationaux. Prenant en compte le contexte de ces deux décennies, Sébastien Lefèvre et Paul Mvengou Cruzmerino proposent de partir de leurs recherches respectives sur l'identité afro-mexicaine pour déboucher sur une réflexion plus générale quant aux afro-latino-Amériques. Plus précisément, ils interrogent les formes de résistances symboliques développées et entretenues au fil des siècles par les Afro-mexicains et les confrontent ensuite à d'autres formes de résistances afro-latino-américaines. Cette confrontation permet de voir qu'il existe certaines transversalités entre les différentes populations afrodiasporiques qui ne sont pas anodines, amenant à poser les bases de réflexions afrodiasporiques transatlantiques. Mot(s) clés libre(s) : Mexique (20e siècle), Noirs (identité collective), Noirs (Mexique)
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Peaux noires regards blancs : quelques représentations du Noir à Cuba au XIXe siècle / Sylvie Mégevand
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 08-02-2013
/ Canal-u.fr
MÉGEVAND Sylvie
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Peaux noires regards blancs : quelques représentations du Noir à Cuba au XIXe siècle / Sylvie Mégevand. In journée d'étude "Les Amériques noires : identités et représentations", organisée par l'Institut de Recherches Intersites Etudes Culturelles (IRIEC) et l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à Toulouse (IPEAT) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 8 février 2013.Cette communication étudie l'image du noir dans la peinture cubaine, pas par les noirs eux-mêmes car peu de cubains noirs peignent ou dessinent au XIXe siècle, mais essentiellement du regard blanc porté sur le noir, pour essayer de cerner quelques caractéristiques véhiculant des aspects intéressants pour l'étude de l'identité noire cubaine. Avant les années 40, le noir n'apparaît que marginalement dans la peinture à l'exception notable d'un serviteur dans le tableau d'un peintre mulatre, Vicente Escobar (1762 1834) et d'une servante dans "L'inauguration del Templete" du français Jean-Baptiste Vermay. Sylvie Mégevand présente un corpus iconographique d'images produites à Cuba, autour du thème du travail des esclaves : trois lithographies de Frédéric Mialhe (voir diapo), de Justo Cantero et Edouard Laplante (Ingenios de Cuba, 1857), de Juan Jorge Jorge Peoli (El negro guardiero, 1853). Une comparaison est faite entre le Día de Reyes de Frédéric Mialhe (1953) et le Día de Reyes et le Carnaval de Victor P. Landaluze. Les représentations sur les paquets de cigarettes (marquillas cigarreras) d'enfants noirs et métis et mulâtresse (série Vida y Muerte de la Mulata) démontrent les stéréotypes en vogue dans les années 1860-70 à Cuba. "Las cuatro generaciones", de Landaluze, fait clairement référence au métissage et à la réalisation des aspirations au "blanchiment". Au XXe siècle, le tableau de Carlos Enriquez, El rapto de las mulatas (1938) permet de mesurer que le personnage de la mulâtresse reste un invariant de l'imaginaire cubain. Mot(s) clés libre(s) : peinture cubaine (19e siècle), Víctor Patricio Landaluze (1830-1889), noirs (dans la peinture)
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