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Automatisme cardiaque et enregistrement de l'activité mécanique du coeur.
/ BioMedia-UPMC
/ 13-04-2010
/ Unisciel
Pol Didier
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Enregistrement sur ordinateur des contractions cardiaques Mot(s) clés libre(s) : coeur, automatisme, contraction, Physiologie animale
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Activités et travaux pratiques
/ BioMedia-UPMC
/ 17-11-2008
/ Unisciel
Pol Didier, Boucher Maud, Guettet Catherine, Desvaux Nathalie, Weidner Claude
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Des séances de travaux pratiques réalisées avec l'aide de l'ordinateur à l'usage des étudiants de la formation des maîtres (Capes, Agrégation) Mot(s) clés libre(s) : génétique, biochimie, physiologie, Biologie animale
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Les animats
/ UTLS - la suite
/ 02-11-2002
/ Canal-U - OAI Archive
MEYER Jean-Arcady
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Contrairement aux ambitions affichées aux origines de la discipline, en 1956, les recherches en intelligence artificielle ont à ce jour largement échoué à reproduire l'intelligence de l'homme, même si un programme d'ordinateur a réussi à battre le champion du monde aux échecs. Quant aux robots modernes, ils ne brillent pas non plus par leur intelligence, même si certaines machines caniformes ou humanoïdes sont de véritables merveilles de technologie. De nombreux chercheurs estiment qu'il est largement prématuré d'espérer reproduire directement l'intelligence de l'homme tant qu'on n'aura pas compris comment elle s'est mise en place au cours de l'évolution. Aussi, dans le but de rechercher en quoi l'intelligence humaine s'explique à partir des processus adaptatifs les plus simples hérités des animaux - et plutôt que de viser directement à comprendre et à reproduire les performances les plus élaborées dont est capable le cerveau - ces chercheurs visent d'abord à synthétiser des animats, c'est-à-dire des animaux artificiels ou des robots réels dont les lois de fonctionnement sont aussi inspirées de la biologie que possible. L'objectif est d'attribuer à ces animats certaines des capacités d'autonomie et d'adaptation basiques qui caractérisent les animaux réels, de façon à leur permettre de "survivre" ou d'assurer leur mission dans des environnements plus ou moins imprévisibles et dangereux. Cette conférence évoquera quelques automates célèbres - du pigeon d'Archytas de Tarente au canard de Vaucanson, en passant par l'androïde de Léonard de Vinci - pour rappeler que la conception de machines inspirées du vivant a été de tout temps une préoccupation humaine. La structure générale d'un animat et son mode de fonctionnement seront ensuite décrits. Ils se caractérisent par le fait que l'animat acquiert des comportements efficaces par interaction étroite avec son environnement, grâce à son architecture de contrôle - équivalent du système nerveux d'un animal - reliant ses capteurs - équivalents des récepteurs sensoriels- à ses actionneurs - équivalents des organes moteurs. Puis divers exemples illustreront la façon dont les animats peuvent eux-mêmes améliorer ou se constituer une architecture de contrôle ou une morphologie adaptées, par des processus inspirés de la biologie comme le développement, l'apprentissage ou l'évolution des espèces. Enfin, à partir notamment de l'évocation des "biobots" - robots hybrides constitués à la fois d'éléments artificiels et d'éléments vivants - les avantages et les risques liés à ces recherches seront discutés. Mot(s) clés libre(s) : animal artificiel, apprentissage des robots, biobot, ethologie, intelligence artificielle, processus biomimétique, réseaux de neurones, robotique, sciences cognitives
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Histologie des chordés
/ BioMedia-UPMC
/ 10-05-2007
/ Unisciel
Mercier Noëlle, Ovtrach ludmila
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Une collection d'images du service de Travaux Pratiques de Biologie animale de l'université Pierre et Marie Curie-Paris VI. Mot(s) clés libre(s) : histologie, chordés, Biologie animale
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Chronique des Pygmées baka : Conte de l'Antilope et des fruits de Komba
/ 20-06-2015
/ Canal-u.fr
MAGET Laurent
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Campement du serpent (Yoli). est du Cameroun à 40 km de Lomié.
Concernant l'antilope, il s'agit du Céphalophe bleu (Philantomba monticola), petite antilope mesurant entre 55 et 90 cm de long, de 32 à 41 cm de haut, pour un poids allant de 3,5 à 9 kg. Les Baka la nomment lièvre en français.
À propos de la finalité des contes, Robert Brisson, extraordinaire transmetteur de la "Mythologie des Pygmées Baka"écrit :
"Les contes sont en fait des mythes d'origine et des contes explicatifs, rationalisant les mystères de la nature en projetant dans l'imaginaire collectif l'organisation traditionnelle de la société. Ils véhiculent les grands principes moraux qui régissent l'univers social des Baka et constituent le livre oral de la Loi que se transmettent les générations."
in : "Mythologie des Pygmées Baka" vol I, éditions Peeters 1999.
Dans le cas de ce conte Le "lièvre" et les fruits de Komba, sa morale concerne le vol et sa punition par le dieu Komba.
Pourtant "Voici donc la fin de cette histoire ou on a vu commencer le vol et maintenant c'est tout le monde et ça continue jusqu'à jusqu'à (maintenant)"
" CONTE DU "LIÈVRE" ET DES FRUITS DE KOMBA "
TRADUCTION ET TRANSCRIPTION LAURENT MAGET JUILLET 2015
Bonsoir
Maintenant je vais vous raconter l'histoire du lièvre qui est parti manger les fruits de Komba
Un lièvre partait donc vers un bel arbre fruitier en l'absence de Komba
Quand il s'en allait à la chasse, il avait souvent remarqué cet arbre là, où il y avait beaucoup de beaux fruits par terre
Donc le lièvre est parti manger ses fruits tout seul
En laissant les enfants derrière
En revenant le lièvre dit à ses enfants " il faut partir de ce petit campement,
Il faut aller habiter là où se trouve l'arbre fruitier,
Il faut aller habiter près de l'arbre
Pour que chacun puisse manger jusqu'à se bourrer le ventre"
Le lièvre a emmené toute sa famille pour s'installer au pied de l'arbre et bien manger
" Il faut amener aussi le tambour au pied de l'arbre car il ne faut pas le laisser "
Le lièvre alors prends le tambour et le mets sur son épaule
Et toute la famille le suit
Les voici arrivés au pied de l'arbre et il dit de dégager partout autour
Car il ne faut pas manger ces fruits sans avoir un Chant pour ça.
Le lièvre prend le tambour et la femme se met à chanter
Mboboloko (le lièvre) va vers l'arbre, allons ! allons !
Kru chan Kru chan Kru chan ils sautent...Kru chan iKru chan Kru chan
Et voici que le lièvre et toute sa famille tout d'un coup disparaissent et vont se cacher
Ils se sont bien cachés et Komba arrive
Qui sont ces gens qui viennent me manger tout mes fruits !
Où sont-ils je ne les vois pas !
J'entends seulement les Échos du tambour
Et les voix au lointain mais je ne les vois pas !
Les voilà je les vois ils sont là à côté !
Quel malheur cet arbre fruitier que j'ai planté et voici que d'autres viennent me voler !
Et voici que Komba pars maintenant voir Sesse, le voyant
Sesse dit alors à Komba "si tu restes comme ça sans venir voir ton arbre
Le lièvre viendra tout bouffer et tu n'auras rien
Il faut rester tout près de ton arbre fruitier "
Subitement Komba revient
Dès son arrivée le lièvre et toute sa famille fuient avec tous les enfants
Et Komba dit "Non ! Tu ne pars pas ! Tu restes ! là et si tu pars je te tranche avec la machette et le couteau !
Plutôt que fuir vient d'abord toucher mon front.
Et aujourd'hui nous allons parler du vol des fruits de mon arbre !
Et puis montre moi comment tu danses bien quand tu voles les fruits de mon arbre !
Montre moi ! Montre moi cette danse là !
Et toute la famille du lièvre danse danse danse danse
Komba lui dit vient toucher mon front le lièvre vient, s'approche
Komba lui tranche la main et il tombe évanoui au milieu de sa famille
Voici donc la fin de cette histoire ou on a vu commencer le vol et maintenant c'est tout le monde et ça continue jusqu'à jusqu'à
Le lièvre était un bon joueur de tambour, il n'imaginait pas manger avant de faire le tambour, il voulait d'abord faire le Chant et manger
après, en se disant que Komba n'allait pas venir le couper comme ça !
C'est histoire que me racontait mon papa Gilbert Dounde.
ACTRICES : Abele Sylvie et les femmes du campement
CAMÉRA SON MONTAGE RÉALISATION : Laurent Maget
Production : L. Maget, Laboratoire dynamique de l'évolution humaine UPR2147 CNRS Mot(s) clés libre(s) : ethnologie, céphalophe bleu, vol, Komba, eco-anthropologie, fruit, baka, arbre, littérature orale, video, conte, Cameroun, vidéo, animal, mythe, pygmées, musique, Philantomba monticola
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Companions in Restoration: Buffalo Ranching as Interspecies and Intercommunity Reconciliation, The Case of Dan O’Brien’s "Wild Idea" / Tom Lynch
/ Nathalie MICHAUD, SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 17-06-2016
/ Canal-u.fr
LYNCH Tom
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Companions in Restoration: Buffalo Ranching as Interspecies and Intercommunity Reconciliation, The Case of Dan O’Brien’s Wild Idea / Tom Lynch, Keynote in International Symposium "Companion Species in North American Cultural Productions", organisé, sous la responsabilité scientifique de Claire Cazajous et Wendy Harding, par le Département d'Études du monde anglophone, Université Toulouse Jean Jaurès, 17 juin 2016.
In
the European settlement of North America, companion species were an essential
component of the settler-colonial process. As Alfred Crosby and others have
demonstrated, Europeans brought with them a suite of animals and plants from
the old continent that they utilized both to supplant the Indigenous
populations and then to reconstruct a neo-European landscape replete with
grasses, shrubs, trees, and domestic animals that were either derived from, or closely
approximated, European varieties. This process had enormously detrimental
effects on various native bioregions, at times completely altering their
composition. One of the most notable examples of this process was the
replacement of native bison by imported European cattle varieties over nearly
the full extent of their original range, resulting in the near extinction of
the bison by the last years of the 19th century.
As is
well known, buffalo were an integral species in the lives of the Native
communities of the prairie biogregions of the Great Plains, providing
sustenance, shelter, clothing, and a variety of material goods; and the species
was central to the religious life of most prairie cultures. The animal and the
people had an intimate, one might say companionate, relationship.
In
the past century, the cattle ranching industry that replaced the bison hunting
regime of the Indigenous populations has proven to be difficult to sustain
ecologically, economically, and socially. This has resulted in renewed efforts
to restore bison to some of their historic range, a project that can perhaps be
seen as an attempt to renew a companionate relationship between humans and
buffalo on the Great Plains.
In
this talk I examine a number of works of non-fiction, in particular Dan
O'Brien's two memoirs, Buffalo for the
Broken Heart: Restoring Life to a Black Hills Ranch and Wild Idea: Buffalo and Family in a Difficult
Land, that recount efforts to supplant the settler-colonial cattle industry
with a restored economy/ecology based on bison. I pay particular attention to several
elements:
1) the efforts to prevent buffalo raised on ranches for slaughter from becoming
industrialized like the cattle industry. That is, can ranched buffalo maintain
much of their wildness and species autonomy?
2)
the ecologically positive cascading effect of replacing cattle with buffalo,
which seems to result in an increase in biological diversity and richness.
3)
the similar potentially positive effect on familial and social relations of
buffalo restoration.
4)
the possibility of enhanced connections between European settler-colonists and
Indigenous communities based on a mutual interest in buffalo ranching.
In
short, my paper seeks to address the question of the degree to which buffalo
ranching can be seen as an effort at reconciliation between settler-colonists
and both native species and Indigenous communities. Can the companionate
relationship between people and bison be restored on the Geat Plains, and if
so, with what rippling consequences? Mot(s) clés libre(s) : relations homme-animal, nature (dans la littérature), écocritique, bison d'Amérique, colonisation (Etats-Unis)
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C'est comme ça l'éducation, dressage d'un poulain de trait
/ 08-05-1990
/ Canal-u.fr
LIZET Bernadette
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En 1990, Jean-Claude Perraguin, éleveur, dresse une pouliche. De l’écurie à la cour de ferme et aux champs, la jeune jument apprend le travail, d’abord seule puis dans l’attelée. La parole se combine à la pratique, la démonstration d’un savoir-faire de dresseur s’enrichit d’un portrait de la race percheronne et de l’agriculture dans la grande plaine berrichonne d’avant la motorisation.acteur : Jean-Claude Perraguincaméra : Michel Burnierson : Saadi Kessousmontage : D. Cabreramixage : Bernard Oses & Erwan MoreauRéalisation Bernadette Lizet Mot(s) clés libre(s) : agriculture, Europe, France, maréchal ferrant, percheron, relation homme-animal, éleveur, poulain, cheval de trait, dressage, film ethnographique, vidéo, histoire, Berry
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Les familles animales
/ UTLS - la suite
/ 05-01-2005
/ Canal-U - OAI Archive
LESTEL Dominique
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Les discussions sur la famille se restreignent en général à des familles exclusivement humaines. Jusqu'où peut-on étendre la notion de famille sans qu'elle explose ? Une véritable phylogenèse de la famille s'est exprimée chez de multiples espèces animales dans des systèmes d'une très grande diversité. La question des familles animales doit cependant moins servir à illustrer des lieux communs qu'à les mettre en difficulté. Une colonie de fourmi, par exemple, peut-elle être considérée comme une famille monoparentale ? Dans cette perspective, les familles qui se composent d'agents d'espèces différentes attirent l'attention. Les Gardner, qui ont enseigné un langage symbolique à des chimpanzés en les intégrant à leur famille parlaient de « cross-fostering families» dans lesquelles des membres d'une espèce éduquent les petits d'une autre espèce. Plus répandues qu'on ne l'imagine chez l'animal (y compris en y incluant des humains comme on a pu le voir avec les enfants loups), les familles polyspécifiques constituent plutôt la norme que l'exception chez l'humain. Jusqu'où la famille humaine peut-elle donc ainsi s'étendre et se recomposer avec du non humain et est-elle si différente des principes fondamentaux Mot(s) clés libre(s) : ethologie, société animale
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Sacrifice d’un cheval pour la célébration de la fin du deuil
/ 14-09-2003
/ Canal-u.fr
LESCUREUX Nicolas
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Kirghizistan, village d'Atsha-Kaïyndy 2003
40 jours après l’enterrement d’un homme, une cérémonie est organisée. Elle marque la fin du deuil de la veuve. Afin de célébrer cet évènement, les gens du village sont invités et un cheval est abattu. Ce film montre la prière précédant le sacrifice, la mise à mort, le découpage et une partie de la préparation du cheval. Mot(s) clés libre(s) : Asie, kirghizistan, Atch-Kayïndé, découpage, cérrémonie, mususlman, viande, mise à mort, prière, mort animal, sacrifice, cheval, film ethnographique, rituel, sang, tradition, deuil, vidéo, boyaux
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L'homme et les singes - Gilles Le Pape
/ UTLS au lycée
/ 29-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LE PAPE Gilles
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Une conférence de l'UTLS au LycéeL'homme et les singes par Gilles Le Pape (éthologue)Lycée Alexandre Ribot (62 Saint Omer) Mot(s) clés libre(s) : comportement animal, éthologie, primate
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