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Projet Jean Rouch ? J2.1 : Introduction (version française)
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Comité du Film Ethnographique
/ 17-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BIRMAN Patricia
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LE PROJET JEAN ROUCH ? : VERS UNE CONNAISSANCE HORS TEXTE, CROISER LES REGARDS, PARTAGER LES INTERROGATIONS. 14 – 20 novembre 2009 Évènement organisé par le Comité du film ethnographique en collaboration avec la Bibliothèque nationale de France, le Centre national du cinéma - Archives françaises du film et le Centre national de la recherche scientifique.Mardi 17 novembre : Une anthropologie partagéeIntroduction (10h-10h15) : Patricia Birman (Brésil), professeur à l’Université d’État de Rio (UERJ), anthropologue. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, anthropologie audio-visuelle, anthropologie hors-texte, anthropologie partagée, anthropologie visuelle, cinéma, ethnofiction, ethnographie, films ethnographiques, Jean Rouch
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/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Comité du Film Ethnographique
/ 17-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BIRMAN Patricia
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Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, anthropologie audio-visuelle, anthropologie hors-texte, anthropologie partagée, anthropologie visuelle, cinéma, ethnofiction, ethnographie, films ethnographiques, Jean Rouch
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Assises de l'anthropologie de la santé. Penser l'humain dans sa complexité / G. Bibeau, S. Fainzang
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 18-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BIBEAU Gilles, FAINZANG Sylvie
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"Penser l'humain dans sa complexité : l'anthropologie médicale au secours de l'anthropologie". Gilles BIBEAU (université de Montréal, Québec). Assises de l'anthropologie de la santé : Champ théorique de l'anthropologie de la santé, sous la présidence de Juliette Sakoyan et Sandrine Musso. Association d'Anthropologie Médicale Appliquée au Développement Et à la Santé (AMADES) / Laboratoire Interdisciplinaire, Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST / UTM) : Université Toulouse II-Le Mirail, 18 septembre 2009.Intervention suivie d'un commentaire par Sylvie FAINZANG (CERMES, CNRS-INSERM-EHESS) et d'un débat avec la salle.De l'adéquation des théories et concepts fondamentaux de l'anthropologie de la santé aux défis actuels, et aux nouveaux terrains et objets (par exemple le développement de la génomique, le clonage, etc). Doit-on, d’une part, parler d’anthropologies de la santé, de tensions entre des paradigmes concurrents -ou antagoniques- ou d’une "commune diversité" ? D’autre part, si les années 1980 et 1990 ont permis le développement de nombreux outils conceptuels et théoriques, on peut se demander s’ils sont toujours adaptés à saisir et à analyser les nouveaux objets et les enjeux sociaux sous-jacents. L’avenir de l’anthropologie de la santé passe-t-il par des innovations théoriques ? Faut-il, dès lors, renouveler les concepts usuels dans l'enseignement et la formation de l'anthropologie de la santé ? Mot(s) clés libre(s) : anthropologie de la santé (théories et concepts)
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Dialoguer avec l'oeuvre de Claude Lévi-Strauss
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 12-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
BERTRAND Michel, ALBERT Jean-Pierre, MARIN Richard, MACARY-GARIPUY Pascale
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Journée d'études "Dialoguer avec de l'oeuvre de Claude Lévi-Strauss", organisée par les Études Doctorales (TESC, CLESCO et ALLPH@) de l'Université Toulouse II-Le Mirail. Partie 1 : Levi-Strauss en contexte : échanges et influences. Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 5 mars 2010. [note : les interventions de l'après-midi n'ont pas été enregistrées].Interventions1. Présentation de la journée d'études / Michel BERTRAND2. Ouverture de la journée d'études : Variations sur un centenaire / Jean-Pierre ALBERT3. Roman Jackobson et Claude Lévi-Strauss : linguistique et anthropologie structurales / Jean-Pierre ALBERT (co-écrit par Jacques DURAND)La rencontre entre Roman Jakobson et Claude Lévi-Strauss à New York pendant la deuxième guerre mondiale et la collaboration entre les deux hommes est connue. Elle a été un de moments fondateurs de ce qu'on a appelé le structuralisme. Quels étaient les concepts de base du structuralisme en linguistique, une science présentée par Claude Lévi-Strauss comme la discipline pilote pour les sciences humaines et sociales ? Comment ces concepts ont-ils pu contribuer à une véritable refondation de domaines de l’anthropologie aussi centraux que les études sur la parenté et le symbolisme des mythes et des rituels ? On cherchera à évaluer les acquis de l’approche structuraliste dans les deux disciplines et aussi ses limites, à la lumière de leurs évolutions ultérieures.4. Lévi-Strauss a-t-il influencé Braudel et la Nouvelle histoire ? / Richard MARINClaude Lévi-Strauss et Fernand Braudel se sont en définitive assez peu côtoyés, exception faite de leur séjour à São Paulo, au milieu des années 1930, mais ils ont pas mal débattu, par textes interposés. Ainsi, en 1958, "Histoire et sciences sociales : la longue durée", le célèbre article rédigé par Braudel pour les Annales, se voulait-il une réponse à l’Anthropologie structurale de Lévi-Strauss, paru la même année et qui contenait de vives critiques à l’égard de l’histoire. En 1983, dans la revue fondée par Marc Bloch et Lucien Febvre, « Histoire et ethnologie », de Lévi-Strauss, revenait sur le rapport entre les deux disciplines. Après avoir présenté à grands traits la teneur de tels échanges, la communication s’efforcera de jauger l’influence de l’anthropologie structurale sur l’auteur de la Méditerranée mais aussi sur le courant de la Nouvelle histoire dominant dans les années 1970.5. La structure et le réel : Lévi-Strauss et Lacan / Pascale MACARY-GARIPUYLa psychanalyse fut une des maîtresses du jeune Lévi-Strauss et si la découverte freudienne fut une référence du début de l’œuvre, il faut bien avouer qu’il s’en éloigna de plus en plus au fur et à mesure de l’avancée de la théorie. Lévi-Strauss dit ne pas entendre le travail de Lacan, son contemporain et son aîné dans l’effervescence de la pensée française des années 60 ; ce dernier en revanche admira profondément l’anthropologue et lui fit de nombreux emprunts. Ainsi la notion de "structure" -toujours langagière- est-elle devenue un concept majeur pour rendre compte des trois façons de soutenir l’existence humaine selon les modes névrotique, psychotique ou pervers, déjà dégagés par Freud ; sans le travail de Lévi-Strauss, Lacan aurait sans doute eu plus de difficulté à produire son fameux « l’inconscient est structuré comme un langage ». Mais la psychanalyse, en gardant toujours vif le concept de structure, a troué cette dernière par le réel, que Lévi-Strauss laissait à l’extérieur, l’abandonnant à son incommensurable ou à son impossible saisie. La communication de Pascale Macary-Garipuy explique en quoi la psychanalyse a dépassé la notion de structure langagière comme prééminente dans l’expérience humaine au profit d’un nouage reliant imaginaire (corps), symbolique (langage), réel (jouissance) et tente de dégager en quoi cela fait anthropologie. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie structurale, Claude Lévi-Strauss (1908-2009), épistémologie des sciences sociales, Fernand Braudel (1902-1985), histoire (science), Jacques Lacan (1901-1981), linguistique structurale, psychanalyse, Roman Jakobson (1896-1982)
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Suburbex. L'exploration suburbaine : errance et anonymat / Bruce Bégout
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 08-02-2016
/ Canal-u.fr
BÉGOUT Bruce
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Suburbex. L'exploration suburbaine : errance et anonymat / Bruce Bégout, in séminaire "Poéthiques":
"Lieux communs", organisé par Nathalie Cochoy et Jean-Yves Laurichesse
(CAS / PLH-ELH), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8 mars 2016.
Illustration : "Utah", photographie d'Olivier Gaudin (2009).
Le philosophe Bruce Bégout a « longtemps arpenté les villes, à la fois physiquement et intellectuellement. [Il] essaie de créer une sorte de parcours à la fois philosophique mais aussi transdisciplinaire, utilisant toutes les ressources possibles, de la littérature, de la photographie, des sciences humaines et de l'histoire et pratiquant trois genres d'écritures pour explorer les nouveaux territoires, que ce soit le genre de l'analyse théorique pure, le genre de l'essai ou le genre de la fiction. »
Dans cette communication, Bruce Bégout s'intéresse aux friches, plus particulièrement à ce qu'il appelle le « le troisième âge de la friche qui est un élément central de la "suburbia" (...). Une suburbia marquée « par un effort de rationalisation en zones commerciales, zones de travail et zones d'habitations pavillonnaires et de cités, de l'homogénéisation des fonctions mais dont on s'aperçoit qu'il est un espace extrêmement chaotique (...) puisque sont rassemblés là des gens, des pratiques, des univers assez différents qui coexistent et montrent une hétérogénéité plus grande de modes de vie que la relative homogénéité culturelle et existentielle des centres-villes. » Pour Bruce Bégout, « la première caractéristique de la "suburbia" est qu'elle est souvent disqualifiée, qualifiée négativement : manque de de mixité, de proximité, d'équipements -notamment culturels, manque d'échanges et de sociabilité, manque de beauté. (...) Mais elle n'est pas simplement un espace du manque ; cette négativité est la positivité même de cet espace. (...) Pour les philosophes, les écrivains, les chercheurs, c'est un espace où il se passe quelque chose. Dans les marges de la ville disqualifiée, il y a la possibilité de l'émergence du sens, d'un sens qui aurait fait l'épreuve de la négativité et, au prix d'une éventuelle destruction, de la création. L'expérience de la négativité est présente dans l'expérience de ces ruines contemporaines que sont les friches qui comprennent les usines désaffectées, les cars abandonnés, les lieux oubliés de la modernité, jamais totalement vides ». Mot(s) clés libre(s) : friches urbaines, espace urbain, anthropologie urbaine, ville (philosophie), sociologie de la ville
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L'anthropologie en question : altérité ou différence ?
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 05-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BAZIN Jean
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"Un texte du genre ""ethnologique"" est toujours susceptible d'une double lecture. On peut soit y contempler à quel point les autres sont autres, y ressasser l'évidence troublante que ces gens d'ailleurs ou d'autrefois, pourtant nos semblables, ne sont pas comme nous, y éprouver notre étrange incapacité à penser et à sentir comme eux. Soit au contraire y faire l'apprentissage d'un monde différent : considérant que tout monde humain, si étrange qu'il nous paraisse, n'est jamais qu'une variante d'une série de mondes possibles qui inclut nécessairement le nôtre, on établit quelles modifications de nos manières d'agir ou des leurs il faudrait opérer pour passer d'un monde à l'autre. Depuis qu'elle s'est constituée, au Siècle des Lumières, l'anthropologie n'a pas cessé d'être traversée par cette question : s'agit-il, sur le modèle d'une zoologie, d'établir les caractéristiques et de dresser l'inventaire comparatif systématique des diverses sortes ou ""espèces"" d'hommes entre lesquelles le genre humain est divisé ? Ou bien s'agit-il de constituer le champ des variations possibles à l'intérieur duquel toute action humaine est nécessairement située ? Le travail des anthropologues est aujourd'hui surtout perçu comme une production savante de cultures : ils construisent des systèmes complexes de correspondances entre des comportements caractéristiques et des significations indigènes. C'est à ce titre qu'on a recours un peu partout à leur ""expertise"". Mais qu'est-ce qu'une culture sinon une mise en oeuvre pour soi de l'altérité des autres, ou pour les autres de sa propre identité ? On peut au contraire mettre l'accent sur le travail de réduction de l'altérité apparente des comportements humains qu'opère l'explicitation des conditions et des règles des actions dans une situation donnée. Comprendre une action, ce n'est pas déchiffrer le sens d'un comportement en imputant aux indigènes observés des croyances ou des représentations que nous n'avons pas et ne saurions avoir ; c'est l'avoir décrite d'une manière telle qu'elle nous apparaisse comme l'une des manières de faire selon d'autres règles ou dans d'autres conditions ce que nous-mêmes nous faisons." Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, ethnologie
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Pour une anthropologie des matériaux de l’architecture
/ Philippe KERGRAISSE
/ 31-05-2015
/ Canal-u.fr
Baridon Laurent, Nègre Valérie, Picon Antoine
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La table ronde se donne pour objectif de déterminer les contours d’une approche des valeurs attachées aux matériaux par les hommes qui pensent, font et utilisent les édifices. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, matière, architecture
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Projet Jean Rouch ? J1.5 : Débat (version française)
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Comité du Film Ethnographique
/ 16-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BALANDIER Georges, BLOOM Peter J., HENLEY Paul, OMORI Yasuhiro, DOZON Jean-Pierre
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LE PROJET JEAN ROUCH ? : VERS UNE CONNAISSANCE HORS TEXTE, CROISER LES REGARDS, PARTAGER LES INTERROGATIONS. 14 – 20 novembre 2009 Évènement organisé par le Comité du film ethnographique en collaboration avec la Bibliothèque nationale de France, le Centre national du cinéma - Archives françaises du film et le Centre national de la recherche scientifique.Lundi 16 novembre : Épreuve coloniale et ethnologie du contemporain Débat (17h-19h) Modérateur/discutant : Jean-Pierre Dozon (France), directeur d'études, EHESS, directeur de recherche, IRD, anthropologue Intervenants :Georges Balandier (France), professeur émérite à la Sorbonne (Université René-Descartes, Paris-V), directeur d'études, EHESS, anthropologue, sociologuePeter J. Bloom (USA), professeur associé, University of California Santa Barbara Paul Henley (Royaume-Uni), professeur, directeur du Granada Centre for Visual Anthropology, Université de Manchester, anthropologue, cinéaste Yasuhiro Omori (Japon) - professeur à l'université de Ritsumeikan, Kyoto, anthropologue, cinéaste Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, anthropologie audio-visuelle, anthropologie hors-texte, cinéma colonial, colonialisme, ethnofiction, ethnographie, films ethnographiques, Jean Rouch, Marcel Griaule
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5 - La société de l’harmonie universelle (3)
/ Laure De Scitivaux
/ 16-10-2014
/ Canal-u.fr
BAILLEUL Tatiana
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Tutorial de la base en
ligne Harmonia Universalis – prosopographie des membres de la Société. Mot(s) clés libre(s) : ethnologie, sociologie, histoire des sciences, histoire, anthropologie, Histoire Moderne et Contemporaine, Sciences de l’homme, sciences de la société
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2. Une nature ou des natures ? Introduction à l'anthropologie de l'environnement et à l'ethnoécologie
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 19-11-2014
/ Canal-u.fr
BAHUCHET Serge
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Serge Bahuchet montre que la nature fait l'objet de différents regards et perceptions. Il retrace les grands courants scientifiques qui se sont intéressés à cela (anthropologie de la nature, ethnoécologie, etc.) et présente les principaux chercheurs s'étant penchés sur ces questions : Max Sorre, Philippe Descola, ou encore Claude Lévi-Strauss. Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, anthropologie, Ethnoécologie, Nature
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