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Constructions et fonctionnalités des territoires de montagne en pays de Soule / Pascal Palu
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
PALU Pascal
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Constructions et fonctionnalités des territoires de montagne en pays de Soule. Pascal Palu (ITEM, Pau, France). In "La construction des territoires montagnards : exploitation des ressources et mobilité des pratiques / The Construction of Mountain Territories : Resource exploitation and Practice Mobility. 2ème International Workshop on archaeology of european mountain landscape, organisé par les Laboratoires TRACES et GEODE (Toulouse) et le Centre d'Archéologie Préhistorique du Rhône aux Alpes (Valence, France). Université Toulouse II-Le Mirail, 8-11 octobre 2009. [Première journée.En croisant différentes sources au sein d’une même vallée (censier du XIVe s., terriers du XVIIIe s., cadastres du XIXe s. et actuels, actes d’ archives publiques et privées …), la communication propose une analyse des processus de partage et d’occupation des milieux de montagne et d’exploitation de ses ressources. Cette analyse sur la longue durée d’une société pastorale particulière, celle du Pays de Soule, met en évidence des modèles d’occupation et d’usages résultant de processus d’adaptation à des contextes locaux du « système à maisons » gascon. Mot(s) clés libre(s) : archéologie du paysage, géographie humaine, paléoenvironnement, paléogéographie
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/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
PALET MARTINEZ Josep Maria, ORENGO ROMEU Hèctor A.
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Mot(s) clés libre(s) : Age du bronze, archéologie du paysage, économie préhistorique, Néolithique, paléoenvironnement, Pyrénées orientales
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Evolution de l'artisanat du verre en Bourgogne et Franche-Comté entre le Ve et le XIIe siècle. Inès Pactat (Université de Franche-Comté)
/ 12-02-2016
/ Canal-u.fr
PACTAT Inès
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Les recherches archéologiques menées sur les sites de hauteur jurassiens ont permis de découvrir de nombreux artefacts en verre qui témoignent du statut privilégié de ces établissements. Apprécié pour sa transparence, sa malléabilité et ses couleurs, le verre a été utilisé dans des domaines aussi variés que l’architecture, le luminaire, la vaisselle ou la parure. Hérités de l’Antiquité, les formes, les décors et les techniques de fabrication manifestent cependant des goûts et des usages propres aux populations du haut Moyen Âge. Ces découvertes ont été comparées à d’autres collections contemporaines de Franche-Comté et de Bourgogne afin d’évaluer leur importance et dessiner des faciès de consommation régionaux.
La mise au jour de mobilier lié à l’artisanat du verre sur deux sites de hauteur du Jura nous a en outre amenés à considérer la possibilité de productions locales. Les vestiges archéologiques étant insuffisants pour identifier la fonction de ces ateliers, des analyses de composition élémentaire ont donc été réalisées sur les artefacts en verre pour établir un lien entre déchets d’artisanat et produits finis. Plus largement, ces études ont permis de déterminer la nature et l’origine des matières premières utilisées pour la fabrication de vitraux, de vaisselle et de lampes en verre, datés entre le Ve et le XIIe siècle. Mot(s) clés libre(s) : verre, histoire des sciences et techniques, Antiquité tardive, artisanat, Moyen Age, Archéologie
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19/20 Quai d'Alsace à Narbonne : artisanat et commerce en bordure du Canal de la Robine
/ Muriel Richard
/ 22-05-2014
/ Canal-u.fr
OLLIVIER Julien
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En
2008, la construction de logements avec parking souterrain a motivé une
fouille archéologique préventive sur une parcelle située aux 19/20 Quai
d'Alsace à Narbonne, en partie ouest de la ville antique.
Les
plus anciennes traces d'occupation remontent à l'époque augustéenne et
concernent pour l'essentiel les premiers niveaux de voirie de deux axes
orientés nord-sud, distants de 35 m. Ils déterminent deux îlots qui ne
semblent pas être bâtis avant le milieu du Ier siècle.
À l'ouest,
une vaste construction s'étend sur plus de 40 m de long. Elle est
composée d'au moins cinq pièces accolées, aux dimensions identiques, et
s'ouvre sur l'axe de circulation oriental par l'intermédiaire d'un
portique. À l'arrière, seule une succession de bases maçonnées a pu être
identifiée. Malgré l'important arasement des vestiges, la configuration
générale des édifices invite à restituer un entrepôt flanqué de
boutiques. Cette hypothèse pourrait être renforcée par la localisation
du site, le long du parcours urbain de l'Atax, aujourd'hui matérialisé
par le Canal de la Robine. Si son tracé n'a pas été directement observé
lors de la fouille, les niveaux de débordement scellant la séquence
antique attestent sa présence à proximité.
L'îlot est traversé
par un collecteur qui recueille les eaux de diverses canalisations,
elles-mêmes reliées à des bassins dont elles assurent l'évacuation.
Trois d'entre eux ont été identifiés dans l'îlot oriental. Ils
s'intègrent dans des constructions au plan mal déterminé mais trahissent
la vocation artisanale de la zone.
L'organisation du quartier
est totalement modifiée lors de la seconde moitié du IIe siècle. Les
édifices sont abandonnés et de nouvelles constructions apparaissent,
sans qu'il soit possible de déterminer précisément leur fonction.
Les
vestiges découverts en 2008 indiquent que le secteur du Quai d'Alsace
était au moins en partie spécialisé dans des activités professionnelles
au cours des Ier-IIe siècles. Par ailleurs, la présence de probables
entrepôts est peut-être un indice pour la localisation du port urbain de
Narbonne. Mot(s) clés libre(s) : archéologie
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Géoarchéologie des ports antiques lagunaires en Méditerranée
/ Muriel Richard
/ 23-05-2014
/ Canal-u.fr
MORHANGE Christophe
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Comme
l'ont déjà souvent écrit les géographes et les historiens depuis la
Renaissance, l'humanité exerce son action sur un espace anisotrope,
lourd d'héritages. Cet environnement « reçu » est un élément important
d'explication de la différenciation spatiale le long des littoraux
méditerranéens. Il est le produit à la fois de processus géologiques,
géomorphologiques, biologiques et météo-marins et des actions
anthropologiques d'aménagement des territoires des générations
antérieures. Nous nous proposons dans cette contribution de développer
plus précisément cette idée en l'appliquant aux environnements
lagunaires depuis 3000 ans.
Nous
présenterons plusieurs exemples de travaux (souvent) récents sur
différents types de ports lagunaires parfois encore inédits comme le
cothon de Lechaion, les ports antiques du lac Mariout en Egypte, le port
lagunaire de Cumes, le port d'Orgame du Danube ou les bassins de
Kition-Bamboula et Kathari de Chypre...).
Nous
développerons les principales questions environnementales en termes de
contraintes et de potentialités naturelles qui expliquent la
localisation des ports lagunaires qui sont :
Problème d'accessibilité et de mobilité des graus
Problème de circulation endolagunaire en relation avec le colmatage rapide de l'espace d'accommodation
Question des ressources halieutiques spécifiques
Question de la protection naturelle et des catastrophes...
Sans
tomber dans le déterminisme téléologique de l'histoire technologique,
cette mise en espace du littoral lagunaire dépend en partie des
maîtrises technologiques comme, par exemple, la découverte du ciment
hydraulique à l'époque romaine. Nous insisterons donc sur la diversité
et la mobilité des contextes physiques et la diversité des aménagements
portuaires sur la longue durée. Mot(s) clés libre(s) : archéologie
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Wilderness et sanctuarisation au regard de l'histoire de l'environnement : de la sacralisation du patrimoine naturel à la révélation du patrimoine culturel / Jean-Paul Métailié
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
MÉTAILIÉ Jean-Paul
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Wilderness et sanctuarisation au regard de l'histoire de l'environnement : de la sacralisation du patrimoine naturel à la révélation du patrimoine culturel / Jean-Paul Métailié, in Journée d'études "Espaces sanctuarisés aux États-Unis - Visions of American Sanctuaries", organisée, sous la responsabilité d'Aurélie Guillain, par le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS, axe "Poéthiques") de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 27 mars 2015.
* Illustration : "Jupiter terraces" (Mammoth Hot springs-Yellowstone), peinture de Thomas
Moran, 1893.
Cette
journée d'études se propose d'étudier les zones qui ont pu être désignées comme
des “espaces sanctuarisés” aux Etats-Unis, soit parce qu'elles ont fait l'objet
de certaines mesures de protection les soustrayant à la logique de la propriété
privée et de la libre exploitation des ressources naturelles (dans le cas des
parcs nationaux par exemple), soit parce qu'elles ont été considérées par des
écrivains nord-américains comme le lieu privilégié où peuvent s'exprimer des
valeurs religieuses ou spiritualistes. Le terme “sanctuarisé” connote ici une vision
sinon religieuse, du moins sacralisante, d'un espace où se manifeste une
hétérogénéité fondamentale : d'une part, l'espace profane, de l'autre, l'espace
sacré que des interdits spécifiques viennent protéger de l'espace profane et de
ses logiques propres.
Dans
la deuxième moitié du dix-neuvième siècle, l'expansion territoriale des
Etats-Unis s'est accompagnée de la création de parcs nationaux qui permettaient
d'empêcher la surexploitation des ressources naturelles du continent, mais
aussi de préserver la possibilité même, pour les citoyens des Etats-Unis, d'être
exposés à un environnement naturel perçu comme un espace peu modifié par l'être
humain – et ainsi de préserver une “relation originelle” avec le monde. Pour
certaines figures fondatrices telles que John Muir, la référence consciente à
la vision émersonienne de la “Surâme” se mêle à une version personnelle du
mysticisme chrétien et de la fonction sacramentelle de la rencontre avec la Nature.
Muir s'inspire également de l'exemple de Thoreau, qui prône non seulement la
création d'espaces protégés de la convoitise privée, mais aussi une certaine
attitude éthique et scripturaire devant le lieu naturel habité. Lorsque les écrivains nord-américains
contemporains décrivent tel lieu sous les espèces d'un espace sanctuarisé, il
n'est pas rare de percevoir des échos intertextuels avec les textes de Thoreau,
et le désir d'inscrire dans le langage l'expérience du numineux.
Cependant,
des débats récents ont mis en avant les diverses limites qui peuvent être
associées aux notions connexes d'“espace sanctuarisé”, de nature sauvage et de
“wilderness”. Certains auteurs ont suggéré que le terme de sanctuaire connotait
une vision européanocentrique des lieux qui tendrait à compartimenter l'espace
aussi bien que l'expérience (Hultkrantz, Hugues & Swan). Dans d'autres
débats récents, qui portent sur les stratégies de protection de la
biodiversité, la notion même d'espace sanctuarisé a pu être critiquée en faveur
d'une conception plus intégrée de la protection des espèces. Mais, avant tout,
c'est l'espace sauvage monumentalisé des parcs nationaux américains qui a pu
faire l'objet de critiques (Cronon) et même de traitements satiriques, dans la mesure
où l'image fabriquée d'une nature intacte peut revêtir une fonction rassurante
et anesthésiante dans le débat écologique et détourner l'attention des
géographies locales au profit de l'image mythifiée d'un paysage national
(Lopez).
L'objectif
de cette journée d'études est donc double : se pencher sur la manière
singulière dont l'expérience du numineux peut continuer de s'inscrire dans les
textes des écrivains nordaméricains, mais proposer également de faire le
point sur les réflexions philosophiques, historiques et géographiques qui
problématisent la notion même d'espace sauvage sacralisé. Mot(s) clés libre(s) : paléoenvironnement, archéologie du paysage, écologie du paysage, paysages agricoles (Amérique du Sud), intégrité écologique
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Techniques de bonification d'une zone palustre au Ier s. à Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône)
/ Muriel Richard
/ 23-05-2014
/ Canal-u.fr
MARTY Frédéric
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Le site de l'Estagnon est situé à
Fos-sur-Mer, à 150 m du littoral actuel, sur le tiers nord-ouest de la
pointe de Saint-Gervais. Les recherches entreprises dans ce secteur
laissent supposer l'existence d'une agglomération portuaire très active
durant le Haut-Empire, sans doute l'un des avant-ports d'Arles. Une
fouille de sauvetage urgent, menée sur 12 jours, a permis d'explorer une
excavation de 1110 m² et de mettre en évidence une bonification antique
liée à la cité. Ainsi, vers 65/85, se met en place un programme
d'aménagement destiné à gagner du terrain sur une zone palustre et à
l'assainir pour créer des espaces de circulation et d'activité. Les
vestiges rencontrés consistent en caissons de bois constitués de poutres
calées par des pieux en sapin formant des quadrilatères d'environ 7 à 8
m de côté, séparés par des canaux d'évacuation des eaux. Le remplissage
des caissons fait intervenir plusieurs techniques complexes faisant
appel à des matériaux de récupération agencés de manière réfléchie :
amphores disposées verticalement destinées au drainage du sous-sol ;
utilisation de la sciure comme interface entre le sol naturel et les
apports artificiels ; emploi du charbon pour ses qualités drainantes ou
de posidonies sous forme de tapis destiné à retenir un épais lit de
chaux aux propriétés bactéricides. Mot(s) clés libre(s) : archéologie
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Figures divines et démoniaques : les Ôtsu-e, peintures populaires du Japon de l’époque d’Edo
/ EFEO Ecole Française d'Extrême Orient
/ 03-12-2009
/ Canal-U - OAI Archive
MARQUET Christophe
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Figures divines et démoniaques : les Ôtsu-e, peintures populaires du Japon de l’époque d’EdoLes Ôtsu-e, ou « images d’Ôtsu », sont un genre de peinture populaire qui se développa au Japon à l’époque d’Edo, à partir du xviie siècle. Vendues aux pèlerins et aux voyageurs au relais d’Ôtsu près de Kyôto, ces images anonymes au style enlevé puisèrent d’abord dans l’iconographie bouddhique, avant de devenir des peintures profanes à caractère auspicieux ou satirique. Longtemps oubliées, elles furent redécouvertes dans les années 1920 grâce au mouvement de défense des « arts populaires » (mingei) et elles ont été l’objet depuis de nouvelles interprétations. Cette conférence retracera l’histoire et interrogera le sens de cette imagerie japonaise encore mal connue en Occident, où se côtoient figures divines et démoniaques issues des croyances populaires. Mot(s) clés libre(s) : Archéologie, Indonésie
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/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LE COUEDIC Mélanie
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Mot(s) clés libre(s) : archéologie du paysage, ethnoarchéologie, paléoenvironnement, pastoralisme préhistorique, Pyrénées-Atlantiques (France)
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Ports fluviaux, ports lagunaires du Rhône et son delta à l'Antiquité : mobilité environnementale et dynamiques géomorphologiques comme contraintes à l'aménagement (Port d'Arles, Fos Saint Gervais, Ulmet)
/ Muriel Richard
/ 23-05-2014
/ Canal-u.fr
LANDURE Corinne
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Les programmes de recherche
géoarchéologiques menés en Camargue ont permis d'établir des cartes de
l'occupation du sol et géomorphologiques à l'échelle du delta du Rhône.
Ces travaux ont renouvelé la perception du territoire. Les sites qui
s'égrainent le long des bras du fleuve connaissent des histoires
différentes selon sa dynamique. Alors que les crues successives et
l'aggradation des bourrelets alluviaux ne génèrent pas un abandon
systématique des sites, les mobilités parfois réduites des chenaux
occasionnent abandon et déplacement.Les rives du Rhône dans la
traversée d'Arles connaissent une autre évolution notamment autour du
changement d'ère et durant les deux siècles suivant. L'aménagement des
berges conduit à une simplification des milieux et une réduction de la
largeur du chenal qui se traduit par une augmentation des dynamiques,
une hausse de la compétence du fleuve et très probablement des
débordements.Sur le littoral, le port de Fos, les sites d'embouchure
comme le site antiquité tardive d'Ulmet ou celui probable de
Saint-Ferréol sont soumis au double effet de la mobilité latérale du
littoral par les dynamiques sédimentaires (alluvionnement et/ou érosion)
et par la mobilité verticale du plan d'eau. Le site de Fos doit faire
face successivement à la progradation littorale à l'ouest de la pointe
Saint-Gervais durant l'Antiquité, à l'érosion à l'est, ainsi que très
probablement aux effets de l'élévation du plan d'eau. Le site de
l'Estagnon a révélé d'abord des aménagements d'assainissement recouverts
ensuite par une tourbière qui sera finalement ennoyée. Malgré cela le
port de Fos perdure.Plus labile le site d'Ulmet à l'Antiquité
tardive connaît quant à lui une durée de vie assez brève. Site de fond
de baie, proche d'une embouchure, la progradation littorale d'abord
lente à l'Antiquité s'accélère durant l'Antiquité tardive. Les effets de
l'élévation continue du plan d'eau nécessitent aussi l'aménagement
d'une esplanade qui sera finalement submergée. Enfin, le bras d'Ulmet
auquel il est connecté connaît une assez grande mobilité dans son cours
inférieur. Ces trois paramètres conduisent très probablement à une plus
brève occupation qu'à Fos-sur-Mer.Même s'il faut rester prudent
quant à l'apparente occupation continue de certains sites, très
probablement plutôt phasée ou saisonnière, les contraintes
géomorphologiques dans l'environnement du delta du Rhône par
l'alluvionnement, l'érosion et l'élévation du plan d'eau génèrent des
aménagements (remblais, drains d'amphores, enrochements et ouvrages
bâtis sur berge) sur les sites dont le maintient est économiquement et
géographiquement majeur, d'autres, plus difficilement pérennes ou
économiquement et géographiquement de moindre importance ont été
abandonnés. Mot(s) clés libre(s) : archéologie
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