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New data about the human occupation, environmental history, landscape changes in Pyrenees/E. Gassiot
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
GASSIOT BALLBE Ermengol
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The Excava project : new data about the human occupation, environmental history and landscape changes in southern Pyrenees. Emengol GASSIOT BALLBE. In "La construction des territoires montagnards : exploitation des ressources et mobilité des pratiques", 2e International Workshop on archaeology of european mountain landscape, organisé par les laboratoires GEODE, FRAMESPA, GEOLAB et Chrono-Environnement. Université Toulouse 2-Le Mirail, 8-11 octobre 2009. [seconde journée]Recent multidisciplinary researches in western Catalan Pyrenees have provided abundant data on the human occupation and the environmental history that permit state some models about the landscape changes and the factors involved in. Surface archaeological surveys permitted to document hundreds of evidences of past occupation of alpine and subalpine areas since the beginning of the Holocene until the present. The extensive archaeological diggings of the "Sardo Cave" and "Estany de la Coveta Rockshelter" confirm the intensive middle and recent Neolithic occupations (5500 to 4400 calBP) showed by the absolute dating of many sites. This paper summarizes these archaeological data and confronts them with the paleoecological evidence provided by the sedimentary cores of "Estany de la Coma de Burg" and "València d’Àneu". The agreements and disagreements of the two kinds of evidences are discussed in order to understand the past models of human settlement and exploitation of high mountain Pyrenean environments and their changes trough the time. Mot(s) clés libre(s) : archéologie du paysage, paleoenvironnement, peuplement préhistorique, Pyrénées (Espagne)
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/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
GARCIA MOLSOSA Arnau
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Mot(s) clés libre(s) : archéologie du paysage, paleoenvironnement, Sierra de Montseny (Espagne)
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/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
GALOP Didier
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Mot(s) clés libre(s) : archéologie du paysage, archéologie médiévale, archéologie préhistorique, économie préhistorique, géographie historique, géographie humaine, paléobotanique, paleoenvironnement, pastoralisme préhistorique
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/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
FRANKLIN Jay
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Mot(s) clés libre(s) : Appalaches (plateau des Cumberland ; États-Unis), archéologie du paysage, économie préhistorique, habitat préhistorique
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/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
FINSINGER Walter
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Mot(s) clés libre(s) : Alpes, archéologie du paysage, écologie des feux, écologie des forêts, paléoécologie
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Réseaux et interactions entre villes celtiques
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne
/ 02-12-2015
/ Canal-u.fr
FILET Clara
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Au cours des trois derniers siècles avant J.-C., l’Europe centrale et occidentale voit l’apparition de grandes agglomérations : leurs dimensions et la diversité de leurs fonctions nous incitent aujourd’hui à les considérer comme de véritables villes. Loin d’être des agglomérations isolées et autarciques, ces sites ont puisé leur richesse dans les nombreuses interactions économiques et politiques avec leurs voisins, échangeant largement des biens de consommation et des idées, les uns et les autres s’influençant réciproquement.
Le mobilier archéologique témoigne de ces circulations à longue distance de produits d’échanges lointains, par exemple l’ambre de la mer Baltique, ou le vin d’Italie. L’ampleur et l’intensité de ces échanges peuvent être analysés et testés par ordinateur. On cherche ainsi à mesurer l’impact de ces réseaux d’interactions dans le développement des premiers habitats urbains de nos régions.
Cette vidéo est issue de la web-série "Devenir Archéologue" produite par
l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
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Restitution de la morphologie littorale et aménagements portuaires de Forum Iuli
/ Muriel Richard
/ 23-05-2014
/ Canal-u.fr
EXCOFFON Pierre, BONNET Stéphane
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Aujourd'hui totalement comblé et situé à
l'intérieur des terres, le port romain de Fréjus, exceptionnellement
préservé de toute construction récente, constitue l'un des témoignages
les plus remarquables de ce type d'aménagement en Méditerranée
occidentale. Les études archéologiques et géoarchéologiques menées
depuis dix ans à l'emplacement de l'antique port, ainsi que sur la zone
littorale à l'ouest, au débouché de l'Argens, ont abouti à une
restitution fiable de l'évolution de la configuration du littoral. On
sait, depuis 2005, que le bassin portuaire n'était pas, à l'origine,
enclavé, comme on le supposait jusqu'alors, mais largement ouvert sur la
mer. On connaissait cependant assez mal le contexte de mise en place du
port, ou même l'évolution des milieux, sur ses abords orientaux. Ainsi,
des études sont actuellement menées vers l'est, jusqu'à l'extrémité du
cours du Valescure et permettent aujourd'hui d'esquisser plusieurs
hypothèses, notamment avec la découverte d'un vivier en eau vive du Ier
siècle ap. JC, en 2009. Ce vestige, par sa configuration, atteste, non
seulement que, contrairement à ce que l'on croyait, la mer baignait
l'extrémité Est de la ville antique à cette époque, mais témoigne
également de grandes modifications du littoral au cours de l'Antiquité.
En effet, la restitution des modalités du colmatage du vivier, point de
départ de notre réflexion, a clairement démontré l'existence d'un
phénomène d'avancée du rivage à partir du Ier siècle ap. J.-C.,
condamnant ainsi, progressivement, l'utilisation du vivier. Depuis,
trois carottages (Madeleine, quartier des Horts, Valescure) réalisés
dans la zone orientale ont confirmé cette hypothèse. L'implantation des
différents aménagements constituant le port, aussi bien à l'ouest qu'à
l'est, a probablement modifié le transit naturel des sédiments. La
structuration du port telle qu'elle nous apparaît aujourd'hui pourrait
alors résulter, en réalité, de plusieurs étapes distinctes, liées aussi
bien à la volonté d'augmenter sa capacité, qu'à la nécessité de
s'adapter à la transformation du littoral et de sa dynamique. Mot(s) clés libre(s) : archéologie
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L’archéologie des périodes historiques, un dialogue avec l'histoire
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne
/ 25-01-2016
/ Canal-u.fr
DUPLOUY Alain
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Parler d’une archéologie des périodes historiques, c’est poser la question des rapports entre histoire et archéologie. C’est aussi s’interroger sur la genèse d’une
discipline archéologique qui, en France, n’a fait qu’une entrée tardive à
l’Université, alors que l’histoire y est établie de longue date. En l’occurrence, l’histoire
de l’Antiquité classique s’est développée depuis le XIXe siècle
comme une discipline essentiellement littéraire, reléguant la culture
matérielle au rang de simple illustration des textes anciens.
Parallèlement, si
la philologie des vestiges archéologiques – consistant à établir la
documentation matérielle selon des normes scientifiques – constitue la base du
métier d’archéologue, elle ne saurait le résumer. En Grèce ou en
Italie, en effet, l’archéologie de terrain a fortement évolué au cours du XXe
siècle et les objets de l’enquête se sont considérablement renouvelés :
d’une archéologie de sites et monumentale, elle est passée à une archéologie
des espaces et des territoires, à une archéologie des gestes et des pratiques, et
aussi à une archéologie environnementale.
Ces nouveaux objets
d’étude doivent désormais alimenter une synthèse à finalité historique. L’archéologie
des périodes historiques vise en ce sens à une histoire totale, qui exploite
aussi bien la documentation archéologique que la documentation textuelle, sans
hiérarchie aucune entre les deux types de sources. Seule l’histoire des
hommes a un quelconque intérêt, pas celle des objets.
Cette vidéo est issue de la web-série "Devenir Archéologue" produite par
l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
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Le port fluvial d'Arles et ses avant-ports maritimes
/ Muriel Richard
/ 23-05-2014
/ Canal-u.fr
Duperron Guillaume, LONG Luc
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Les
recherches subaquatiques récentes menées par le DRASSM dans le Rhône à
Arles et au large de la Camargue face aux Saintes-Maries-de-la-Mer
apportent des informations nouvelles sur le fonctionnement du système
portuaire arlésien.
Ces données concernent tout
d'abord un vaste espace situé à l'embouchure de l'ancien Rhône de
Saint-Ferréol, où se trouvait très probablement l'un des avant-ports
maritimes principaux - avec Fos-sur-Mer - de la cité d'Arles. Dans ce
secteur aujourd'hui submergé, l'étude d'une vingtaine d'épaves romaines,
échouées principalement au Ier siècle de notre ère, a permis de
restituer le paléorivage, dont le tracé présente une forme à peu près
circulaire. L'exploration sous-marine de ce vaste lobe d'embouchure
ouvert sur la mer a livré des ancres antiques qui attestent l'existence
d'une zone de mouillage et de circulation. De plus, la découverte de
blocs de calcaire dispersés, parfois percés d'un orifice comme sur les
« navalia » de l'anse Saint-Gervais à Fos-sur-Mer, signale
vraisemblablement la présence d'édifices implantés sur des
atterrissements du Rhône. Ces différents éléments sont associés à un
très riche dépotoir portuaire constitué principalement d'amphores et de
céramiques, qui soulignent l'ampleur des échanges commerciaux dans cette
zone et montrent que ce site fonctionne sans discontinuité entre la VIe
s. av. J.-C. et le VIe siècle de notre ère.
D'autre
part, l'étude des épaves en Camargue et dans le lit du Rhône à Arles
enrichit notre connaissance des navires impliqués dans l'organisation
des trafics commerciaux, au sein d'un vaste espace nautique situé à la
charnière entre la navigation maritime et la distribution fluviale des
denrées. Devant les Saintes-Maries-de-la-Mer, un groupe varié d'épaves
comprend d'abord des navires hauturiers, à fort tirant-d'eau, dont les
plus grands restaient au mouillage vraisemblablement dans le lobe
d'embouchure. Il s'agit ensuite de caboteurs maritimes dotés d'une
quille mais à fond relativement plat, qui pouvaient emprunter les étangs
et franchir la passe d'embouchure. Certains d'entre eux possèdent en
commun un système d'assemblage par ligatures de la membrure au bordé,
attesté seulement sur une dizaine d'épaves en Méditerranée,
principalement entre Narbonne et Arles. Il correspond à une tradition
très particulière, à une période où la construction navale antique
n'utilise plus depuis longtemps de ligatures végétales pour assembler
ses structures. Près d'une douzaine d'épaves antiques marquent ensuite,
sur la rive droite du Rhône à Arles, la spécificité d'une zone de
rupture de charge et de redistribution des marchandises. Elles se
déclinent en plusieurs groupes incluant d'abord des navires maritimes de
petit tonnage, dotés d'une quille, qui pouvaient cependant remonter le
fleuve. Viennent ensuite des embarcations fluviomaritimes très ouvertes
aux influences méditerranéennes, assemblées notamment par tenons et
mortaises avec un fond plat dépourvu de quille. Les traces d'organismes
marins décelées sur leur fond de carène attestent qu'elles fréquentaient
la mer, sans doute au moment d'alléger les gros bateaux de charge
stationnés dans les avant-ports maritimes. On compte enfin des chalands
typiquement fluviaux, à fond plat, de type monoxyle assemblé.
Ces
épaves sont incluses dans de grands dépotoirs de type urbain et
portuaire qui révèlent l'ampleur et la richesse des activités
commerciales qui se déroulaient à Arles sur la rive droite du Rhône.
C'est en effet là, au pied d'une très belle façade monumentale dont
témoigne la découverte dans le fleuve de nombreux éléments
architecturaux et statuaires, que prenait place le principal port
fluvial d'Arles, entre la fin de la République romaine et l'Antiquité
tardive. Les très riches ensembles de mobiliers issus des fouilles
conduites sur ces dépotoirs livrent de nombreuses informations nouvelles
sur la vie matérielle et les échanges commerciaux dans l'un des plus
grands ports de l'Empire. Mot(s) clés libre(s) : archéologie
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L'établissement littoral de Saint-Martin à Gruissan : un avant-port de Narbonne ?
/ Muriel Richard
/ 22-05-2014
/ Canal-u.fr
Duperron Guillaume
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Le
site de Saint-Martin, situé sur la commune de Gruissan à une douzaine
de km au sud-est de Narbonne, occupe une position remarquable au cœur
des étangs narbonnais. Les recherches conduites depuis 2011 sur cet
établissement dans le cadre du PCR « Les ports antiques de Narbonne »
s'inscrivent dans la continuité des travaux réalisés précédemment sur ce
site par C. Sanchez, qui avait mis en évidence son intérêt majeur pour
la connaissance de l'histoire du littoral narbonnais. Les fouilles ont
permis de mettre au jour sur près de 2000 m² un vaste complexe édifié à
l'époque augustéenne et occupé jusqu'à la fin de l'Antiquité. Il se
caractérise par la présence d'un bâtiment en grand appareil d'assez
grande dimension (14 x 7,5 m), associé à une cour centrale de 380 m²,
équipée sur trois côtés de portiques d'une largeur de 4 m. A l'est,
plusieurs petites pièces ouvertes sur la galerie pourraient correspondre
à des espaces à vocation commerciale ou administrative, tandis qu'une
vaste pièce (91 m²) comporte un niveau souterrain qui évoque un espace
de stockage. Une forge et deux installations thermales ont également été
reconnues. L'objectif de cette communication est de présenter un
nouveau bilan des connaissances sur ce site et nos hypothèses sur la
nature et les fonctions de cet établissement atypique, qui pourrait
jouer un rôle-clé au sein du système portuaire de Narbonne antique. Mot(s) clés libre(s) : archéologie
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