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Aspects de la vie intellectuelle et culturelle Chinoise
/ UTLS - la suite
/ 12-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
XIAO-QUAN CHU
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Dans l'époque dite post-idéologique, la question de la culture assume une importance toute particulière en Chine d'aujourd'hui, car, pour les Chinois, la culture constitue leur dernier repère identitaire. Un aperçu rapide de l'état actuel de la vie culturelle en Chine peut révéler l'existence déjà omniprésente de l'influence occidentale, ce qui conduit souvent à des questions ou même des inquiétudes sur l'avenir de la culture chinoise : sera-t-elle complètement submergée et altérée par une culture étrangère ? Ou bien connaîtra-t-elle un renouvellement à même de relever les défis du nouveau millénaire ? Bien des intellectuels et des artistes chinois, ceux qui sont directement impliqués dans la création, manifestent un optimisme prudent à ce propos. En effet, notre tradition culturelle, dérivée entre autres des grandes idées confucéennes, nous fournit des possibilités d'intégrer des éléments nouveaux en s'adaptant à un nouveau contexte social. Le fait qu'il n'y a jamais eu en Chine un mouvement intégriste confucéen est une preuve de son esprit large et généreux envers l'inconnu. Sans doute la culture chinoise traverse-elle actuellement une profonde crise, mais elle se trouve en même temps dans une phase extrêmement féconde de diversification : coexistent sur la même scène une culture traditionnelle et une culture occidentalisée, une culture d'élite et une culture populaire, une culture officielle et une culture indépendante, une culture du nord et une culture du sud, une culture ancienne et une culture moderne
Le risque de fragmentation est bien réel mais justement dans cette hétérogénéité vertigineuse réside la vivacité de la culture chinoise actuelle qui, par son refus de se réfugier dans un modèle figé, construira peut-être une réponse intéressante à la mondialisation galopante. Mot(s) clés libre(s) : Chine, civilisation, influence occidentale, traditions culturelles, vie culturelle
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IPM 2007. L'UMVF et la coopération avec les pays d'Asie
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 29-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
VINCENDON Guy
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Il existe des filières médicales francophones en Chine. Cette formation à Shangai a commencé en 1907, fut interrompue en 1952 et reprise en 1980. Depuis les années 1990, 140 sessions de formations ont été créées. Paris, Lyon et Strasbourg ont contribué à l'enseignement. Des enseignants chercheurs chinois ont été reçus dans les établissements divers français. Un interne français est en permanence à Shangai. celle-ci est la première université chinoise. Il faut maintenant y développer les TICE. Mot(s) clés libre(s) : Chine, formation médicale, IPM Strasbourg, recherche, Shangai, université
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La calligraphie chinoise
/ Coralie AREQUIOM, Marina BALLET, Lois WANG-FONG
/ 07-04-2015
/ Canal-u.fr
VASSEUR-DELIS Sophie, DONG Jucai, LU Nicholas, Association "Passeport pour la Chine"
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La
calligraphie est un art millénaire de la culture traditionnelle chinoise.
En chinois 书法 « shufa », elle se traduit littéralement
par « l’art du tracé ».
Dans cette vidéo, nous partons à la découverte de la calligraphie chinoise,
avec la participation de trois intervenants vivant à Paris, qui nous
relatent leur expérience et leur rapport vis-à-vis de cette pratique fascinante
et intemporelle. Mot(s) clés libre(s) : Chine, culture traditionnelle, encre, calligraphie chinoise, art, pinceau
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Droit et rites en Chine
/ UTLS - la suite
/ 10-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
VANDERMEERSCH Léon
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Comme mécanisme institutionnel assurant l'ordre social, la tradition chinoise a privilégié les rites sur le droit. Pour régler les rapports sociaux, alors que le droit formalise les actes de la vie sociale au moment où ceux ci sont pleinement effectués, les rites les formalisent par avance. Dans le cadre de liturgies et de cérémonies savamment calculées, ils opèrent par construction a priori de modèles formels de comportements dans lesquels se moulera par la suite spontanément la volonté du sujet agissant. L'acte juridique est un acte plein. L'acte rituel est un acte purement extérieur, vide, mais qui figure la norme sociale dont la volonté du sujet doit prendre le pli. Le rite, quoique purement extérieur est d'autant plus efficace que le pli qu'il opère est renforcé par le sentiment de la face, le souci de ne pas perdre la face. Fonctionnant très bien dans la Chine ancienne en milieu aristocratique hors des contraintes économiques, le mécanisme des rites n'a pu dispenser la société chinoise ni du mécanisme répressif de la loi pénale- originellement instituée pour le peuple, inaccessible à la subtilité des rites mais étendue à l'aristocratie par les légistes (IV-IIIe siècle av J.C.), ni du mécanisme synallagmatique des contrats dont le développement a été entraîné par l'essor de l'économie marchande surtout depuis les Han. Mot(s) clés libre(s) : Chine, moeurs et coutumes, rites et cérémonies
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Ethnies et « nation » en Chine
/ UTLS - la suite
/ 07-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
THORAVAL Joël
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L'affirmation au 20ème siècle d'une nation chinoise moderne, sous le gouvernement du Guomindang puis sous celui des Communistes, a nécessité la prise en compte simultanée de deux types de différences : celle qui oppose la Chine aux autres nations (c'est la question du nationalisme moderne) et celle qui met en rapport les diverses populations occupant le territoire de l'ancien Empire des Mandchous (c'est le problème des nationalités ou ethnies minoritaires). La définition de ce que signifie être Chinois dans le cadre d'un Etat-nation moderne est contemporaine de la volonté de préciser la relation existants entre « Han » et « non-Han ». L'intelligence de cette question et l'appréciation des problèmes de la situation actuelle demandent que soit clarifiés le sens et les différents usages d'un concept commun, minzu, ayant servi au cours du dernier siècle à désigner des réalités aussi diverses que la race, l'ethnie, la « nationalité » ou la nation moderne. A partir de l'exemple des « minorités nationales » officiellement instituées en Chine continentale, on essaiera de donner une idée de la complexité de ce problème en évoquant le rôle joué dans cette évolution par les différents modèles étrangers (européen, japonais, soviétique) mais en présentant aussi des interrogations plus récentes relatives à la notion d' « ethnicité ». Mot(s) clés libre(s) : chine, ethnicité, identité collective, minorités, minzu, nationalisme
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The Life and Work of Nakayama Shigeru (1928-2014)
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 06-07-2015
/ Canal-u.fr
SUN Xiaochun, MORRIS-SUZUKI Tessa, HONG Sungook, TRAWEEK Sharon, LOW Morris
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Organisers: Morris LOW & TSUKAHARA Togo
Chair: Morris LOW
YOSHIOKA Hitoshi, The Nakayama Project on the Social History of Science and Technology in Contemporary Japan
Tessa MORRIS-SUZUKI, The Vision of Service Science in Japan: Nakayama Shigeru and the Japanese Experience of Citizen Science
SUN Xiaochun, On Nakayama’s Contribution to the History of Astronomy
HONG Sungook, The Influence of Nakayama Shigeru’s “The Modern History of Science and Society” in Korea (read by YI Doogab)
Sharon TRAWEEK, Nakayama Shigeru in Los Angeles Mot(s) clés libre(s) : Chine, Japon, Corée, astronomie
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Recherche et ouverture au monde scientifique
/ UTLS - la suite
/ 11-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
SHAOQI Wang
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Depuis 1978, la Chine mène une politique de réforme et d'ouverture vers l'extérieur qui lui a permis de se développer très rapidement aussi bien sur son économie que sur sa recherche en science et technologie. Elle a déjà son propre système d'innovation et ses programmes nationaux en vue de développer la recherche fondamentale et appliquée. Depuis son ouverture, la Chine a envoyé beaucoup d'étudiants à l'étranger et établit des relations de coopération avec plus de 100 pays. La France étant le premier pays occidental à reconnaître la Chine a une très bonne coopération dans le domaine de la science et la technologie avec La Chine et elle sera renforcée dans le futur. Mot(s) clés libre(s) : Chine, coopération internationale, recherche scientifique
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Manger en Chine : de la frugalité à la gourmandise
/ Eric (CICA Vidéo Aubervilliers) Garreau
/ 18-11-2013
/ Canal-u.fr
SABBAN Françoise
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Les traits fondamentaux de la culture alimentaire et culinaire chinoise s’inscrivent dans une civilisation agraire ancienne qui était fondée sur la céréaliculture (millet au nord, riz au sud). Aujourd’hui si le système alimentaire des Chinois est encore en partie conditionné par l’opposition classique entre féculents de base et mets d’accompagnement, carnés et végétaux, la Réforme de la fin des années 1970 a conduit à des transformations sans précédent du régime alimentaire de l’ensemble de la population chinoise, les changements étant cependant beaucoup plus marqués dans les zones urbaines. La rupture est d’autant plus profonde qu’elle a remis en cause les valeurs et les représentations dominantes qui organisaient les comportements alimentaires à l’époque maoïste. Mais alors que les nouvelles générations de jeunes Chinois, qui n’ont pas connu la pénurie alimentaire et l’austérité imposées à leurs parents et grands-parents sont ignorants du passé récent, des témoins directs ou indirects de la famine des années 1958-1961 veulent aujourd’hui porter témoignage, pour qu’on n’oublie pas les millions de victimes de cette hécatombe provoquée par les errements d’une politique aujourd’hui mise à l’index. Ce retour salutaire permet en même temps d’apprécier à sa juste valeur la joyeuse fête alimentaire qui illumine aujourd’hui les grandes villes chinoises.Toutes les Conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : Chine, alimentation
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La Danse des dieux (2002)
/ Marie-Claire QUIQUEMELLE
/ 03-01-2002
/ Canal-U - OAI Archive
QUIQUEMELLE Marie-Claire
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Résultat de trois séjours dans la région d'Anshun, à 80km de Guiyang, ce film présente le "di xi" un théâtre masqué que les troupes villageoises interprètent deux fois l'an, au moment de la Fête du Printemps, et au milieu du septième mois du calendrier lunaire, quand le riz est en fleur. Ce théâtre dont l'origine remonte au danses d'exorcisme de la Chine antique, a d'abord une fonction religieuse. Son but est de chasser les mauvais esprits, et d'honorer les dieux pour que les récoltes soient bonnes et l'année heureuse. A travers des extraits de représentations et des interviews, on aborde l'histoire de ce théâtre, son répertoire, le jeu des acteurs, , la fabrication des masques et leur symbolisme... Les représentations théâtrales sont intégrées dans un ensemble de cérémonies rituelles qui conportent notament "l'ouverture de la malle" etc... Des images inédites permettent de découvrir une région mal connu de la Chine, isolée au milieu des montagnes, véritable conservatoire de traditions qu'on croyait depuis longtemps disparues.
Générique
Auteur, réalisateur :Marie-Claire Quiquemelle Production : Top Films Post-production : Université Paris 7 - Denis Diderot Copyright Top Films 1993 Mot(s) clés libre(s) : Chine, masques, symbolisme, Théatre
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Le Sage et le peuple de Sébastien Billioud et Joël Thoraval
/ Boris SVARTZMAN, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 13-02-2015
/ Canal-u.fr
OBRINGER Frédéric, THORAVAL Joël, GODELIER Maurice, CHENG Anne, BILLIOUD Sébastien
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Conférence débat autour de l’ouvrage Le Sage et le peuple
Conférence
débat organisée par le Centre d’Études sur la Chine Moderne et
Contemporaine autour de la publication de l’ouvrage de Sébastien
Billioud, Professeur à l‘université Paris-Diderot et de Joël Thoraval, Maître de conférences EHESS, « Le Sage et le peuple. Le renouveau confucéen en Chine », Bibliothèque de l’Anthropologie, Paris, CNRS éditions 2014
Le débat est ouvert par
Anne Cheng, professeur au Collège de France. Chaire d’Histoire intellectuelle de la Chine.
Maurice Godelier, Directeur d’études à l’EHESS, Centre de Recherche et de Documentation sur l’Océanie (UMR 7308)
Billioud, Sébastien et Joël Thoraval. Le Sage et le peuple : le renouveau confucéen en Chine. Paris : CNRS éditions, 2014. 436 p. (Coll. “Bibliothèque de l’Anthropologie”). ISBN : 978-2-271-08154-4.
Que
signifie le « retour du confucianisme » dans une Chine redevenue
puissance mondiale ? Alors que les études existantes privilégient les
discours idéologiques et les débats intellectuels, ce livre prend
pour la première fois comme point de départ l’émergence, dans les années
2000, d’un « confucianisme populaire » qui se distingue des initiatives
officielles. À partir d’enquêtes de terrain menées sur près d’une
décennie, il étudie le développement de nouvelles pratiques –
réappropriation des textes classiques, culture du corps, création d’un
néoritualisme… –, dans des contextes aussi variés que les écoles et les
universités, les temples et les mouvements religieux, les entreprises et
les administrations. En les analysant dans la perspective plus vaste
d’une remise en cause en Chine des grands récits modernisateurs
ayant dominé le xxe siècle, Le Sage et le peuple jette une
lumière nouvelle sur l’articulation du politique et du religieux dans la
Chine contemporaine. À travers l’observation des cultes d’État mis en
place sur le continent et à Taïwan, c’est aussi la question du destin
contemporain de la tradition cosmologique chinoise qui se trouve posée.
Plus d’informations sur le site de CNRS éditions
Page personnelle de Joël Thoraval
Page personnelle de Sébastien Billioud Mot(s) clés libre(s) : Chine, mondialisation, confucianisme contemporain
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