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Anneaux de Saturne et limite de Roche
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Gabrielle Bonnet
/ 13-07-2004
/ Unisciel
Bonnet Gabrielle
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Un satellite peut-il orbiter à n'importe quelle distance de sa
planète ? Quelle est la structure des anneaux de Saturne ? Comprendre ce qu'est la
limite de Roche permet de répondre à ces questions. Mot(s) clés libre(s) : limite de Roche, anneaux de Saturne, satellites, forces de marées, force de marée, cohésion d'un satellite
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Au cœur des matériaux cristallins
/ Ecole des Mines d'Albi-Carmaux
/ 23-01-2009
/
Lours Philippe
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Ce cours de science des matériaux a été conçu à l'Ecole des Mines d'Albi-Carmaux pour les élèves-ingénieur de 2ième année.
Il n'a pas d'autre ambition que d'introduire les principaux concepts de la science des matériaux utiles à l'ingénieur généraliste que nous formons. Il contribue par ailleurs au socle scientifique sur lequel seront construits de nombreux enseignements dédiés aux matériaux et proposés à nos élèves plus tard dans leur cursus, notamment au niveau des options de dernière année "Matériaux pour l'Aéronautique et le Spatial" et "Ingénierie des Matériaux".
Dans un premier temps, le cours traite de l'architecture et de la cohésion des solides, essentiellement cristallins, et de leur caractérisation cristallographique par diffraction des rayons X. Dans un second temps, les différents types de défauts présents dans les solides sont décrits en insistant particulièrement sur le rôle qu'ils jouent sur les propriétés d'usage. La constitution des alliages métalliques et les diagrammes de phases qui régissent les équilibres thermodynamiques sont ensuite présentés. Enfin, après avoir détaillé les bases des processus de diffusion à l'état solide, les transformations de phases, avec et sans diffusion, sont décrites.
Une grande part des micrographies, illustrations et vidéo proposées dans le document proviennent des travaux de recherche et d'expertise de l'auteur. Mot(s) clés libre(s) : génie mécanique, matériau, cohésion des solides, solides cristallins, caractérisation cristallographique, diffraction des rayons X, défauts cristallins, alliages métalliques, diagrammes de phases, transformations de phases
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CAV 2010 - Nancy : rôle du service de santé publique
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 06-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LAURE Patrick
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Thème : Pratiquer une activité physique pendant et après un cancer.Titre : CAV 2010 - Nancy : rôle du service de santé publique.Résumé : l’auteur souligne l’intérêt de l’activité physique et sportive en termes d’économie dans le cadre de la Santé Publique. La pratique régulière retarde l’apparition de certaines pathologies, améliore la condition physique au cours de traitements.Intervenant : Patrick LAURE - Médecin de Santé Publique à la Direction Régionale de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale.Modérateur : Ivan KRAKOWSKI - Professeur d'Oncologie médicale - Centre Alexis Vautrin - Centre régional de Lutte Contre le Cancer - ONCOLOR. (www.oncolor.org)SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : cancer, CAV 2010 Nancy, cohésion sociale, exercice physique, jeunesse, ONCOLOR, Santé Publique, sport
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Coller avec de l’eau
/ SEMM Lille1, UNISCIEL
/ 01-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BLONDEAU Jean-Marie, BONNEL Bernard, DESTRUN Gérard, MIKOLAJCZYK Bernard
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Deux plaques de verres entre lesquelles on a introduit une mince couche d’eau adhèrent l’une à l’autre et montrent ainsi l’existence de forces d’adhésion entre le verre et l’eau et de forces de cohésion à l’intérieur de l’eau. Mot(s) clés libre(s) : adhésion, cohésion, physique à main levée, tpe
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Fondements et enjeux d'une société inclusive, une toile de fond pour penser une école pour tous / Charles Gardou
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-02-2015
/ Canal-u.fr
GARDOU Charles
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Fondements et enjeux d'une société inclusive, une toile de fond pour penser une école pour tous / Charles Gardou, in "Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives", colloque international organisé par le laboratoire Éducation, Formation, Travail, Savoirs (EFTS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail et l'École Nationale de Formation Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 2-3 février 2015.
La question de l’école inclusive mérite d’être située dans le contexte large où elle prend place, qui lui donne à la fois sa signification et sa portée : celui du mouvement inclusif. Quels sont donc les fondements et les enjeux de la société inclusive à construire, dont l’école est la pierre angulaire ? Quelle est la toile de fond pour penser une école pour tous ? Pour Charles Gardou, la société inclusive consisterait en un édifice reposant sur 5 piliers : le droit d'exister et pas seulement de vivre, la réunification d'univers sociaux actuellement hiérarchisés pour forger un répertoire commun, l'équité prenant en compte la singularité en refusant toute catégorisation, la remise en cause de l'emprise de modèles normatifs excluants, le droit sans condition au partage d'un patrimoine humain et social commun. Mot(s) clés libre(s) : exclusion sociale, cohésion sociale, intégration scolaire, individualité et société, enfants handicapés (éducation)
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L'adhésion
/ UTLS - la suite
/ 09-07-2005
/ Canal-U - OAI Archive
LéGER Liliane
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Les phénomènes d'adhésion sont présents partout dans notre quotidien, depuis l'expérience du bricoleur qui dépose un joint de colle pour réparer un objet (et chacun sait que si cela semble simple, ce n'est pas toujours fiable !) jusqu'à l'élaboration d'objets techniquement très complexes (structures alvéolaires de la coiffe de la fusée Ariane par exemple), en passant par notre fonctionnement biologique lui-même, puisque l'adhésion cellulaire est un élément clé de l'organisation des êtres complexes. Mais si ils sont omniprésents, et utilisés en pratique, les phénomènes d'adhésion sont longtemps restés peu compris, quant à leurs mécanismes physiques et physico-chimiques de base, non compréhension qui a été un frein important à leur utilisation technologique. Ceci a profondément changé au cours de ces dix à quinze dernières années, et ce sont ces progrès récents que nous nous attacherons à décrire. On a longtemps pensé que l'adhésion était une question de chimie interfaciale : pour faire tenir ensemble deux solides, il paraissait évident qu'il était nécessaire de créer des liaisons chimiques solides et nombreuses entre les deux surfaces en contact. Nous montrerons que cette idée est loin d'être vraie : si des liaisons chimiques sont utiles pour permettre à un assemblage de résister à des contraintes mécaniques, elles sont très loin de suffire à rendre compte des énergies d'adhésion pratiques. Pour qu'un joint adhésif soit solide, il faut qu'il soit capable, lorsqu'on le sollicite mécaniquement, de consommer de façon irréversible de l'énergie lors de sa déformation, et plus ces dissipations prennent place dans un volume important du matériau, plus l'énergie nécessaire à rompre l'adhésion est grande. La science de l'adhésion est donc une science pluridisciplinaire, mettant en jeu de la chimie et de la physique des interfaces, et, puisque les tests d'adhésion sont des tests de rupture des assemblages, de la mécanique de la rupture. Les progrès récents dans ces différentes disciplines sont à l'origine des progrès récents en science de l'adhésion. Nous montrerons plusieurs exemples dans lesquels des expériences systématiques, conduites sur des systèmes modèles, mettant souvent en jeu des polymères (car la plupart des adhésifs sont des polymères) ont permis d'identifier de façon précise les mécanismes moléculaires mis en jeu lors de la formation puis de la rupture d'assemblages adhésifs, et donc ouvert la voie à l'utilisation de ces mécanismes de façon optimisée. Mot(s) clés libre(s) : adhésion, cohésion, collage, dissipation d'énergie, énergie de rupture, mécanique de la rupture, mouillage, pelage, physique de la matière condensée, polymère, résistance mécanique, tension interfaciale
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L'eau : un liquide ordinaire ou extraordinaire
/ UTLS - la suite
/ 15-07-2005
/ Canal-U - OAI Archive
CABANE Bernard
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L'eau est un liquide dont les propriétés sont tout à fait surprenantes, à la fois comme liquide pur et comme solvant. C'est un liquide très cohésif : ses températures de cristallisation et d'ébullition sont très élevées pour un liquide qui n'est ni ionique, ni métallique, et dont la masse molaire est faible. Cette cohésion est assurée par les liaisons hydrogène entre molécules d'eau ; l'eau fait ainsi partie d'un petit groupe de liquides qu'on appelle liquides associés. Cependant, parmi ces liquides, la cohésion de l'eau est remarquable, et elle se traduit par une chaleur spécifique énorme. Cette résistance aux variations de température a des conséquences climatiques importantes, puisque la capacité calorifique des océans leur fait jouer le rôle de régulateurs thermiques du climat. L'eau est aussi un liquide très cohésif d'un point de vue diélectrique : sa constante diélectrique est bien plus élevée que celle qu'on attendrait sur la base de la valeur du moment dipolaire de la molécule isolée. C'est aussi, dans les conditions usuelles de température et de pression, un liquide peu dense : les atomes y occupent moins de la moitié du volume total ; une grande partie du volume de l'eau liquide est donc formée de cavités. Le volume occupé par ces cavités varie de manière tout à fait anormale à basse température. D'abord, l'eau se dilate quand on la refroidit en dessous d'une température appelée température du maximum de densité. Ensuite, l'eau se dilate encore de 9 % en cristallisant, contrairement à la plupart des liquides, qui se contractent d'environ 10 % en cristallisant. Cette augmentation de volume, qui fait flotter la glace sur l'eau, a des conséquences environnementales considérables : si la glace était plus dense que l'eau liquide, toute la glace formée dans les régions arctiques coulerait au fond des océans au lieu de former une banquise qui les isole thermiquement des températures extérieures, et la production de glace continuerait jusqu'à congélation complète de ces océans Pour presque tous les liquides, l'application d'une pression réduit la fluidité et favorise le solide par rapport au liquide. Au contraire, pour l'eau à basse température, l'application d'une pression accroît la fluidité et favorise le liquide par rapport à la glace. Cet effet anormal de la pression permet à l'eau de rester fluide lorqu'elle est confinée dans des pores ou des films nanométriques, contrairement aux autres liquides qui se solidifient sous l'effet des pressions de confinement. Cette persistance de l'état fluide est capitale pour le fonctionnement des cellules biologiques : en effet, de nombreux processus requièrent le déplacement de couches d'hydratation avant le contact entre macromolécules, ou avant le passage d'un ligand vers son récepteur. De même le passage des ions à travers les canaux qui traversent les membranes des cellules n'est possible que grâce à l'état fluide de l'eau confinée dans ces canaux. Les théories anciennes attribuaient toutes ces anomalies au fait que les molécules d'eau sont liées par des liaisons H. En ce sens, l'eau devrait avoir des propriétés « en ligne » avec celles d'autres liquides associés (éthanol, glycols, amides). Pour les propriétés de cohésion, c'est une bonne hypothèse de départ bien que les propriétés de l'eau (densité d'énergie cohésive, constante diélectrique) soient supérieures à celles des liquides comparables. Pour les autres propriétés, cette hypothèse n'est pas suffisante : les autres liquides associés ne partagent pas les propriétés volumiques anormales de l'eau, ni son polymorphisme, ni son comportement comme solvant. Certains liquides ont un comportement qui ressemble à celui de l'eau pour une de ses propriétés : par exemple, on connaît quelques liquides qui se dilatent à basse température, ou en cristallisant. Nous découvrirons peut-être un jour que chacune des propriétés anormales de l'eau existe aussi dans un autre liquide. Cependant il est remarquable qu'un seul liquide rassemble autant d'anomalies. Il y a donc un besoin d'explication, auquel ne répondent pas les théories développées pour les liquides simples. Mot(s) clés libre(s) : cohésion, constante diélectrique, dissolution, eau, écoulement, fluidité, liaison hydrogène, permittivité, physique des liquides, solvant
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L'eau : un liquide ordinaire ou extraordinaire
/ UTLS - la suite
/ 15-07-2005
/ Canal-u.fr
CABANE Bernard
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L'eau est un liquide dont les propriétés sont tout à fait surprenantes, à la fois comme liquide pur et comme solvant. C'est un liquide très cohésif : ses températures de cristallisation et d'ébullition sont très élevées pour un liquide qui n'est ni ionique, ni métallique, et dont la masse molaire est faible. Cette cohésion est assurée par les liaisons hydrogène entre molécules d'eau ; l'eau fait ainsi partie d'un petit groupe de liquides qu'on appelle liquides associés. Cependant, parmi ces liquides, la cohésion de l'eau est remarquable, et elle se traduit par une chaleur spécifique énorme. Cette résistance aux variations de température a des conséquences climatiques importantes, puisque la capacité calorifique des océans leur fait jouer le rôle de régulateurs thermiques du climat. L'eau est aussi un liquide très cohésif d'un point de vue diélectrique : sa constante diélectrique est bien plus élevée que celle qu'on attendrait sur la base de la valeur du moment dipolaire de la molécule isolée. C'est aussi, dans les conditions usuelles de température et de pression, un liquide peu dense : les atomes y occupent moins de la moitié du volume total ; une grande partie du volume de l'eau liquide est donc formée de cavités. Le volume occupé par ces cavités varie de manière tout à fait anormale à basse température. D'abord, l'eau se dilate quand on la refroidit en dessous d'une température appelée température du maximum de densité. Ensuite, l'eau se dilate encore de 9 % en cristallisant, contrairement à la plupart des liquides, qui se contractent d'environ 10 % en cristallisant. Cette augmentation de volume, qui fait flotter la glace sur l'eau, a des conséquences environnementales considérables : si la glace était plus dense que l'eau liquide, toute la glace formée dans les régions arctiques coulerait au fond des océans au lieu de former une banquise qui les isole thermiquement des températures extérieures, et la production de glace continuerait jusqu'à congélation complète de ces océans Pour presque tous les liquides, l'application d'une pression réduit la fluidité et favorise le solide par rapport au liquide. Au contraire, pour l'eau à basse température, l'application d'une pression accroît la fluidité et favorise le liquide par rapport à la glace. Cet effet anormal de la pression permet à l'eau de rester fluide lorqu'elle est confinée dans des pores ou des films nanométriques, contrairement aux autres liquides qui se solidifient sous l'effet des pressions de confinement. Cette persistance de l'état fluide est capitale pour le fonctionnement des cellules biologiques : en effet, de nombreux processus requièrent le déplacement de couches d'hydratation avant le contact entre macromolécules, ou avant le passage d'un ligand vers son récepteur. De même le passage des ions à travers les canaux qui traversent les membranes des cellules n'est possible que grâce à l'état fluide de l'eau confinée dans ces canaux. Les théories anciennes attribuaient toutes ces anomalies au fait que les molécules d'eau sont liées par des liaisons H. En ce sens, l'eau devrait avoir des propriétés « en ligne » avec celles d'autres liquides associés (éthanol, glycols, amides). Pour les propriétés de cohésion, c'est une bonne hypothèse de départ bien que les propriétés de l'eau (densité d'énergie cohésive, constante diélectrique) soient supérieures à celles des liquides comparables. Pour les autres propriétés, cette hypothèse n'est pas suffisante : les autres liquides associés ne partagent pas les propriétés volumiques anormales de l'eau, ni son polymorphisme, ni son comportement comme solvant. Certains liquides ont un comportement qui ressemble à celui de l'eau pour une de ses propriétés : par exemple, on connaît quelques liquides qui se dilatent à basse température, ou en cristallisant. Nous découvrirons peut-être un jour que chacune des propriétés anormales de l'eau existe aussi dans un autre liquide. Cependant il est remarquable qu'un seul liquide rassemble autant d'anomalies. Il y a donc un besoin d'explication, auquel ne répondent pas les théories développées pour les liquides simples. Mot(s) clés libre(s) : écoulement, physique des liquides, permittivité, liaison hydrogène, fluidité, dissolution, constante diélectrique, cohésion, eau, solvant
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Mixité, an urban and housing issue: ouverture du colloque [VF] / P. Boelhouwer, F. Ménard et al.
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 05-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
FILÂTRE Daniel, BOELHOUWER Peter, JAILLET Marie-Christine, MÉNARD François
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Mixité, an urban and housing issue : ouverture du colloque / Daniel Filâtre, Peter Boelhouwer, François Ménard, Marie-Christine Jaillet. In "Mixité : an urban and housing issue? Mixing people, housing and activities as urban challenge of the future", 23ème colloque international de l'European Network for Housing Research (ENHR), organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) à l'Université Toulouse II-Le Mirail, 5-8 juillet 2011. [Version avec communications en français ou en anglais, avec traduction consécutive ou simultanée].Si les chercheurs expriment bien des réserves sur une sorte d'idéal de la mixité qui serait censé porter remède aux maux qui frappent les sociétés contemporaines (ségrégation, ghettoïsation, rupture du lien social), ils s'interrogent également sur la dimension normative ou prescriptive de l'injonction à la mixité sociale qui inspire un certain nombre de dispositions des politiques publiques.Mobiliser les réflexions de chercheurs venant de plus de 50 pays différents et les mettre en débat n'est pas sans intérêt tant il existe des conceptions différenciées du vivre ensemble et du statut à donner ou reconnaître à la diversité.> La traduction des discours d'ouverture est assurée par Mme Solange Hibbs (directrice du Département Centre de Traduction, d'Interprétation et de Médiation linguistique (CETIM) de l'université Toulouse II-Le Mirail, membre de l'Association Internationale des Interprètes de Conférence-AIIC). Mot(s) clés libre(s) : cohésion sociale, collectivités durables, développement urbain durable, droit au logement, logement abordable, logement social, marché de l'immobilier, mixité sociale, pauvres en milieu urbain, politique du logement, ségrégation urbaine, socio-économie du
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Mixité, an urban and housing issue: ouverture du colloque [VO] / P. Boelhouwer, F. Ménard et al.
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 05-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
FILÂTRE Daniel, BOELHOUWER Peter, JAILLET Marie-Christine, MÉNARD François
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Mixité, an urban and housing issue : ouverture du colloque [version originale] / Daniel Filâtre, Peter Boelhouwer, François Ménard, Marie-Christine Jaillet.In "Mixité : an urban and housing issue? Mixing people, housing and activities as urban challenge of the future", 23ème colloque international de l'European Network for Housing Research (ENHR), organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) à l'Université Toulouse II-Le Mirail, 5-8 juillet 2011. [Version originale, avec traduction consécutive en anglais pour les communications en français].Si les chercheurs expriment bien des réserves sur une sorte d'idéal de la mixité qui serait censé porter remède aux maux qui frappent les sociétés contemporaines (ségrégation, ghettoïsation, rupture du lien social), ils s'interrogent également sur la dimension normative ou prescriptive de l'injonction à la mixité sociale qui inspire un certain nombre de dispositions des politiques publiques.Mobiliser les réflexions de chercheurs venant de plus de 50 pays différents et les mettre en débat n'est pas sans intérêt tant il existe des conceptions différenciées du vivre ensemble et du statut à donner ou reconnaître à la diversité.> La traduction consécutive des discours d'ouverture, du français à l'anglais, est assurée par Mme Solange Hibbs (directrice du Département Centre de Traduction, d'Interprétation et de Médiation linguistique (CETIM) de l'université Toulouse II-Le Mirail et membre de l'Association Internationale des Interprètes de Conférence-AIIC). Mot(s) clés libre(s) : cohésion sociale, collectivités durables, développement urbain durable, droit au logement, logement abordable, logement social, marché de l'immobilier, mixité sociale, pauvres en milieu urbain, politique du logement, ségrégation urbaine, socio-économie du
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