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HIT Paris 2009 - La téléradiologie en Midi-Pyrénées : travaux d'organisation de la référence
/ Canal-U Médecine, CERIMES
/ 27-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LARENG Louis, SAVOLDELLI Monique, JOFFRE Francis
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HIT Paris 2009 - La téléradiologie en Midi-Pyrénées : travaux d'organisation de la référence à l'heure du développement des usages.Alors que le déploiement des équipements scanners et IRM sur le plan régional génère des besoins accrus et un développement des usages, la pénurie de radiologues, notamment dans les établissements de proximité, met en péril la permanence des soins. Une réflexion est engagée pour la mise en oeuvre d'une "garde de téléradiologie" qui implique des processus organisationnels rigoureux. Une solution technique fonctionnellement adaptée et fiable avec nécessité d'assurer une astreinte technique. Les aspects afférents aux responsabilités et au financement sont pris en compte par convention entre les différentes parties impliquées.Pr Louis Lareng, Président du GIP RTR Midi-Pyrénées Dr Monique Savoldelli, Directeur du service de Télémédecine, CHU, Toulouse Pr Françis Joffre, Professeur consultant, Service de radiologie, CHU, ToulouseSCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : communication, HIT 2009, imagerie, information, PACS, réseaux, santé, technologie, téléradiologie
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Réflexions théoriques sur l'application de la notion de bien commun à l'activité scientifique / Pierre-Carl Langlais, Marc Lavastrou
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 13-10-2014
/ Canal-u.fr
LANGLAIS Pierre-Carl, LAVASTROU Marc
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Réflexions théoriques sur l'application de la notion de bien commun à l'activité scientifique / Pierre-Carl Langlais et Marc Lavastrou. In Journée d'études "Generation Open : Open Science", organisée dans le cadre de l'Open Access Week par Françoise Gouzi (Direction en Appui à la
Recherche-DAR) et Marc Lavastrou (Centre de Recherches et d'Études Germaniques-CREG), avec le soutien de Foster
(Facilitate Open Science Training for European Research) et le
consortium Couperin. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 13
octobre 2014.Tour à tour, Marc Lavastrou et Pierre Carl Langlais
retracent les notions de
bien commun et d’activité scientifique et éditoriale à travers les
époques. Au milieu du XVIIe siècle, deux
communautés scientifiques -française et anglaise- se constituent
autour de revues créées par des sociétés savantes (Royal Society notamment),
les auteurs ne sont pas rémunérés et il existe une grande liberté de
pensée, une incitation forte à publier et à partager la production
intellectuelle sans souci du droit d’auteur. La diffusion du savoir est
alors prioritaire sur les logiques propriétaires et marchandes. Nous
sommes alors clairement en dehors de toute logique de marché mais aussi
en dehors de toute logique d’évaluation de la recherche. Ce n’est qu’à
partir du XIXe siècle que les grandes maisons d’éditions telles que
Elsevier et Springer, spécialisées dans la littérature scientifique,
vont parvenir à imposer peu à peu leurs conditions à la communauté des
chercheurs en rachetant progressivement des petits éditeurs français.
Depuis les années 1970, quatre gros éditeurs commerciaux ont le monopole et les inégalités entre les pays en voie de développement s’accentuent. Marc Lavastrou définit la
notion de bien commun comme étant associé à une ressource, une
communauté et un ensemble de règles sociales (Internet est une ressource
immatérielle, les logiciels libres reposent sur des pratiques
collaboratives), puis propose un éclairage sur les travaux d’Elinor
Ostrom (première femme à recevoir le prix Nobel d’économie en 2009) et
David Bollier (auteur de La renaissance des communs et cofondateur de https://www.publicknowledge.org/),
qui réaffirment que les biens communs doivent être gérés de manière
raisonnée comme des ressources naturelles et finies (eau, forêt), mais
également immatérielles comme Internet ou la connaissance. Grâce à
l’ouvrage dirigé par Elinor Ostrom et Charlotte Hess, Understanding Knowledge as a Commons
(The MIT Press, 2011), la recherche scientifique est alors
étudiée sous l’angle d’un commun pour lequel il est nécessaire d’établir
des règles sociales afin de la société puisse se réapproprier ce bien
qui est actuellement accaparé et contrôlé par des intérêts privés. Ce
phénomène d’enclosure est néfaste tant pour la recherche que pour la
société en générale. Mot(s) clés libre(s) : archives ouvertes, libre accès à l'information scientifique et technique, biens communs informationnels, archives institutionnelles, open access, diffusion des résultats de la recherche
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Les Humains: une longue histoire, puis un retour à la nuit des temps
/ 10-10-2013
/ Canal-u.fr
LANGANEY André
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L’évolution humaine montre une accélération de plus
en plus forte de la transformation de notre espèce, au départ banale, et de son
environnement, qu’elle modifie et dégrade sans cesse. On en retracera les
principales étapes, les mécanismes généraux et particuliers, les innovations et
les spécificités. On tentera, en conclusion, d’en déduire le cadre que ses
dernières étapes créent pour l’avenir de nos descendants.Dernier volet du cycle de conférences "De l'Histoire à l'actualité des sciences".Pour voir les volets précédents : 1. De la création à l'évolution : l'invention de la biologie 2. L'évolution détournée : par le plaisir puis par les humains. Mot(s) clés libre(s) : mutation, diversité génétique, ancêtre commun, gène, ADN mitochondrial
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Phonologie et cognition
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 14-02-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LAKS Bernard
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Conférence du 14 février 2000 par Bernard Laks. La phonologie analyse l'organisation de la composante sonore du langage. La conférence illustrera l'aspect cognitif et mental de ce fonctionnement phonologique. Les représentations mentales du signe sonore sont constituées par des catégories arbitraires et abstraites, les phonèmes. Selon les langues, le nombre et les limites de ces catégories sont très variables. On en donnera des exemples. Malgré cette diversité, les langues humaines sont extrêmement semblables. La conférence illustrera l'approche "Principes et Paramètres" qui rend compte à la fois de l'universalité de la compétence linguistique de l'espèce et de la paramétrisation singulière qu'on observe langue à langue. Enfin, les représentations mentales abstraites que manipule notre compétence de locuteur ne sont pas linéaires. Leur structure interne et leur architecture cognitive expliquent un grand nombre de processus phonologiques observés. On en prendra des exemples dans diverses langues. Mot(s) clés libre(s) : communication, langage et langues, langues (diversité), linguistique cognitive, phonologie (aspect cognitif), représentations mentales, sciences cognitives, signe (linguistique)
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Mai 68 : images, écrits. Table ronde
/ La Cinémathèque française
/ 04-07-2008
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française
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Entre 1968 et 2008, quelles images et quels mots produits par le mois de Mai : photos, affiches, caricatures, caméras sauvages, chansons, slogans, autant de signes déchaînés qui n’ont plus cessé d’inspirer les pratiques artistiques et de hanter les imaginaires. Mais aussi quelles images-icônes produites par 68, jusqu’à l’idolâtrie parfois… ? De même, que penser de la profusion éditoriale à laquelle nous assistons quarante ans après les événements ? De quoi cette profusion est-elle le symptôme ?Avec Gérard Fromanger, Didier Daeninckx, Thierry Lefebvre, Sébastien Layerle, Roei Amit...Rencontre animée par Bernard Benoliel (Cinémathèque française). Mot(s) clés libre(s) : communication, influence, mai 68, médias, médias et politique
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Cerveau, chance et chaos
/ UTLS - la suite
/ 08-11-2002
/ Canal-U - OAI Archive
KORN Henri
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Les neurosciences vivent une période nouvelle et particulièrement fructueuse dans leurs rapports avec la physique et les mathématiques. En neurobiologie, ainsi que dans d'autres corpus du savoir, a dominé jusqu'ici une conception causale héritée de la mécanique de Newton selon laquelle le fonctionnement du cerveau obéirait aux seules lois du déterminisme classique. La notion de « câblage » anatomique et celle d'arc réflexe illustrent bien ce schéma traditionnel du tout ou rien qui a conduit a trop souvent exclure du champ de notre réflexion, la variabilité et le caractère imprévisible, pourtant évidents, de nombre de faits expérimentaux. Nous montrerons à l'aide de quelques exemples que cette situation se modifie rapidement et que les « interfaces » entre les différentes disciplines souvent invoquées en vain dans le passé, deviennent une réalité. Un matériel expérimental privilégié a été celui d'un neurone qui commende la réaction de fuite chez les poissons. Véritable « cerveau dans le cerveau », il permet d'étudier tous les mécanismes de la communication neuronale qui ont été identifiés chez toutes les espèces, y compris les Primates. À son niveau, la transmission de la communication entre les neurones est loin d'être garantie, elle obéit au contraire aux lois du hasard : comme si chaque synapse jouait aux dés le fait qu'elle relaie ou non un message après chaque influx. Ce caractère probabiliste confère à la communication nerveuse et par conséquent aux comportements qu'elle sous-tend, une « liberté » dont la valeur adaptative est fondamentale. Elle intervient de plus dans certains processus de mémorisation et d'apprentissage. L'étude de phénomènes électriques communs également à tous les neurones, à l'aide de la dynamique non linéaire mise au point par les physiciens, a d'autre part suggéré que l'apparence stochastique de ces processus cache en fait un ordre sous-jacent, celui du chaos déterministe. Le terme « déterministe » signifiant que la dynamique en cause obéit bien à des lois mais, que l'évolution des phénomènes concernés est imprévisible du fait de leur sensibilité à toute perturbation. Cette découverte qui remet en cause bien des idées reçues, offre des perspectives inattendues pour qui veut comprendre la nature des états internes du cerveau ou encore dans une perspective thérapeutique de certaines affections neurologiques. Mot(s) clés libre(s) : cerveau, chaos, communication neuronale, neurobiologie, neuromédiation, neuroscience, probabilité
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IPM 2004 : Canal-U/Tice Médecine & Santé : le web télévision de l'UMVF
/ 02-12-2004
/ Canal-U - OAI Archive
KOHLER François
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L'objectif est de promouvoir l'usage des Technologies de l'information et de la communication dans le domaine de la santé. On trouvera sur cette web TV : - retransmission d'événements scientifiques - productions audiovisuelles spécifiques - archives du conservatoire national du film médical
Origine
IPM 2004. 5ème Congrès international, Grenoble
Générique
Auteur: F. Kohler Réalisation: SFRS-CERIMES Indexation: SCD Médecine Nancy I Mot(s) clés libre(s) : enseignement médical, internet, IPM 2004, médecine, moyens communication et information, multimedia
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SIFEM 2006- Enquête concernant les NTIC
/ 02-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
KOHLER Chantal
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Chantal KHOLER vous présente les résultats de l'enquête concernant les Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (NTIC). Elle a été réalisée lors du colloque de la Société Internationale Francophone d'Education Médicale (SIFEM). pour la majorité des enseignants, ils utilisent power point pour la mise ligne de leurs cours. les deux freins essentiels sont les moyens humains et financiers.
Origine
CERIMES Canal-U Médecine et Santé
Générique
SIFEM 1er colloque - Beyrouth SCD médecine Mot(s) clés libre(s) : enquête, nouvelles technologies de l'information et de la communication, NTIC, SIFEM
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Cinéma, Télévision : entre réalité et fiction
/ UTLS - la suite
/ 15-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
JOST François
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Tout le monde sait à peu près ce qu'est mentir. Chacun trace la frontière entre ce qu'il vit et ce qu'il invente. Même pour la fiction, qui prête à bien des discussions depuis quelques dizaines de siècles, il est possible de s'accorder sur une définition minimale comme « création, invention de choses imaginaires, irréelles » (Larousse 1996). D'où vient alors que, dès qu'intervient l'image, nos certitudes vacillent ? Les uns affirment sans ambages que les images mentent, les autres qu'elles sont manipulées, d'autres que, dès qu'il y a récit, il y a fiction. D'où vient la fiction, s'agissant de l'image animée ? De l'image elle-même ? De ses utilisateurs ? du récit ? Pour répondre à cette question, il faut interroger aussi bien les façons dont nous regardons les images que les croyances qui s'y rattachent. Dans un premier temps, de l'examen des divers sens que l'on donne au terme fiction depuis Platon se dégagent trois figures - l'imitateur, le menteur, la faussaire -, qui révèlent aussi trois façons pour les images d'être signes. Cette classification n'est pourtant pas qu'un premier pas pour comprendre comment réalité et la fiction s'entrecroisent sur nos écrans depuis quelques années : qu'il s'agisse de la retransmission télévisée en direct du 11 septembre, de Blair Witch ou, encore, de la télé-réalité, les fluctuations de la réception ont montré que les croyances jouent un rôle bien plus déterminant que les savoirs sur l'image dans son interprétation. Comment se structurent ces croyances, que visent directement les promesses que font au public les producteurs et les diffuseurs par le biais de la publicité et de la promotion ? Pour répondre à cette question, on se propose, dans un second temps, d'explorer les mondes de l'image qui construisent le terrain commun à la conception, la structuration et la réception des documents audiovisuels. Mot(s) clés libre(s) : communication visuelle, interprétation des images, perception des images, sémiotique et audiovisuel, sémiotique et cinéma, sociologie visuelle, télévision, théorie de la fiction, vérité et mensonge
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IPM 2004 : Evaluation de l'enseignement présentiel et à distance par vidéo transmission à haut débit dans la préparation au concours du P1 aux Antilles françaises
/ 02-12-2004
/ Canal-U - OAI Archive
JEAN-BAPTISTE Georges
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Un système de vidéo transmission de haute technologie a été mis en place entre la Guadeloupe et la Martinique. Chaque enseignant a assuré ses cours pour moitié en Guadeloupe et pour moitié en Martinique tandis que le cours était diffusé en vidéo transmission dans l'amphi distant. La plateforme associait une liaison par câble à haut débit et un amphithéâtre sur chaque site équipé d'un système de vidéo transmission permettant de voir simultanément l'enseignant, les documents numérisés de son cours et l'affichage d'une tablette graphique utilisée comme tableau noir.
Origine
IPM 2004. 5ème Congrès international, Grenoble
Générique
Auteurs: G. Jean-Baptiste, P. René-Corail, P. Garsaud et al. Réalisation: SFRS-CERIMES Indexation: SCD Médecine Nancy I Mot(s) clés libre(s) : apprentissage, enseignement médical, IPM 2004, moyens communication et information, multimédia, pédagogie
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