Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Les stratégies de segmentation syllabique en lecture chez l’enfant : quid des sensibilités phonologiques universelles ? / Norbert Maïonchi-Pino
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 21-05-2016
/ Canal-u.fr
MAÏONCHI-PINO Norbert
Voir le résumé
Voir le résumé
Les stratégies de segmentation syllabique en lecture chez l’enfant : quid des sensibilités phonologiques universelles ? / Norbert Maïonchi-Pino, séminaire organisé par l'Unité de Recherche Interdisplinaire en neuropsycholinguistique Octogone-Lordat, Université Toulouse Jean Jaurès, 20 mai 2016.
Peut-on dépasser le constat classique du rôle « indiscutable » des « grands classiques » psycholinguistiques, notamment le rôle des propriétés statistiques des syllabes pour justifier des stratégies de
segmentation ou d’accès au lexique ? Alors même que la syllabe est une unité centrale en français, cela ne fait qu’une vingtaine d’années que, véritablement, les études développementales mettent en évidence son rôle précoce, mais progressif, pendant l’apprentissage de la lecture. Et nombreuses sont celles qui se sont attachées à démontrer, non sans certaines controverses, l’importance de la fréquence d’occurrence de la syllabe initiale dans la langue comme un facteur déterminant, associée à la fréquence lexicale ou bien encore au trou bigrammique pour expliquer la sensibilité et l’utilisation de la syllabe dans des activités de
lecture. Pourtant, son statut d’unité incontournable repose principalement sur le respect de grands principes linguistiques (e.g., principe d’attaque maximale, loi du contact syllabique optimal, principe de séquençage basé sur la sonorité) qui n’ont que très rarement été
abordés d’un point de vue développemental, en lecture. Partant du postulat que les propriétés statistiques bénéficieraient d’un « excès de confiance » et que l’implication des propriétés phonologiques universelles sont sous-estimées (e ;g., la sonorité) – tout du moins pour l’étude du français – l’objet de la présentation consistera à répondre à plusieurs questions autour de leurs rôles respectifs dans des activités de lecture auprès d’enfants, qu’ils soient normo-lecteurs ou
dyslexiques. Mot(s) clés libre(s) : lecture (apprentissage), français (étude et enseignement), perception de la parole, syllabe, conscience phonologique
|
Accéder à la ressource
|
|
Conscience et cerveau
/ UTLS - la suite
/ 18-10-2001
/ Canal-U - OAI Archive
IMBERT Michel
Voir le résumé
Voir le résumé
Conscience et cerveau font aujourd'hui bon ménage. Il n'en a pas toujours été ainsi. A une longue période d'indifférence, suivie d'un temps d'hostilité affichée, fait suite aujourd'hui une idylle grosse de promesses mais riche d'obscurité, de confusions et d'illusions. Le nombre de livres publiés par des philosophes, psychologues, neurobiologistes, physiciens ou mathématiciens (et j'en passe), le nombre de colloques ou de numéros spéciaux de revues consacrés aux relations entre cerveau et conscience est simplement confondant. Cet engouement vient, pour une grande part, des recherches sur le cerveau lui-même. Il vient surtout de la mise en évidence de dissociations spectaculaires entre ce qu'un patient, souffrant d'une lésion cérébrale circonscrite, est capable de réaliser, sans en avoir la moindre idée, grâce à des capacités de percevoir, de mémoriser, de choisir et arranger l'information pertinente pour réaliser un geste, saisir un objet, éviter un obstacle, être ému par un visage familier. Autant de comportements qu'il exécute sans savoir comment, mais dont il aurait été pleinement conscient sans sa lésion cérébrale. On peut aller jusqu'à dire que toutes les compétences cognitives, y compris les compétences sémantiques, peuvent être, jusqu'à un certain point, réalisées sans que le sujet en ait conscience. Cette forme de conscience constitue ce que certains auteurs appèlent le problème facile de la conscience, en ce sens qu'une explication en termes de fonctionnement cérébral ne pose pas de problèmes insurmontables. Il n'en va peut-être pas de même de la conscience au sens d'expérience subjective, strictement privée et toujours faite à la première personne ; cet aspect de la conscience constituerait, en revanche, un véritable défi à toute explication scientifique. Nous nous proposons de passer en revue un certain nombre d'arguments, pris notamment dans le domaine de la perception visuelle, qui établissent des corrélations fortes entre le fonctionnement de régions cérébrales localisées et la conscience que nous avons de ce que nous voyons et de ce que nous ressentons lorsque nous voyons. Mot(s) clés libre(s) : cerveau, cognition, conscience, psychophysiologie
|
Accéder à la ressource
|
|
Séminaire Image et vérité. 3. Image et mémoire. La reconstruction de la vérité par l'image : ouverture de la journée / Pascale Peyraga, Marion Gautreau
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 07-04-2014
/ Canal-u.fr
GAUTREAU Marion, PEYRAGA Pascale
Voir le résumé
Voir le résumé
Séminaire Image et vérité. 3. Image et mémoire. La reconstruction de la vérité par l'image : ouverture de la journée / Pascale Peyraga, Marion Gautreau. Séminaire organisé par le laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) et le Réseau interdisciplinaire sur les vérités de l'image hispanique contemporaines (RIVIC). Université Toulouse II-Le Mirail, 7 avril 2014.Tanto la dictadura franquista como las dictaduras latinoamericanas de los años 1960 a 1980 dieron lugar a una abundante
producción fílmica y fotográfica -documental y de ficción- que vuelven sobre estos periodos traumáticos desde diferentes puntos de vista. Comienzan a realizarse pe- lículas en los años 1980, todavía bajo la Ley de amnistía española (15 de octubre de 1977) o las Leyes de impunidad argentinas (finales de los años 1980) y siguen saliendo en pantalla hasta hoy en día, en un clima totalmente distinto. En efecto, la Ley de Memoria histórica del 31 de octubre de 2007 en
España o la declaración de inconstitucionalidad por la Corte Suprema de Argentina de los « indultos de Menem » en 2010 abre vías nuevas a la representación fílmica de estos episodios de la historia reciente. La idea de este seminario es observar cómo se reconstruye la memoria
histórica de las dictaduras a través de las imá- genes y el diálogo que entretiene estas producciones artísticas con una real o supuesta « verdad histórica ». Considerando cada una de estas obras como un « lugar de memoria », a la manera de Pierre Nora, sería interesante analizar los recursos utilizados por los artistas para ofrecer su propia memoria
de los gobiernos militares. En documentales como La maleta mexicana (Trisha Ziff, 2011, México/España/EEUU) o Los caminos de los memoria (José Luis Peñafuerte, 2009, España) se insiste en la problemática de las exhumaciones y del dilema verdad/olvido, mientras que en películas como Infancia clandestina (Benjamín Ávila, 2012, Argentina) o O ano en que meus pais saíram de férias (Cao Hamburger, 2006, Brasil) se intenta dar a ver la vida cotidiana de los niños que vivieron en tiempos de dictadura. Por otra parte, no podemos sino pensar en las producciones fotográficas de los últimos años, que no se refieren tanto a la revelación del pasado histórico (en las dictaduras o en tiempos de guerra) como a la comprobación de la ausencia de imágenes o una verdad para siempre velada (La misma Imagen a través de los días Socius II, Adrián Alemán). A través del tiempo y de la variedad de temas desarrollados en estos medios icónicos se va reconstruyendo poco a poco la memoria de las dictaduras. Nuestro propósito es confrontar los puntos de vista expuestos y los recursos iconográficos utilizados para defenderlos, con el fin de delinear los contornos de estas memorias española y latinoamericanas. Mot(s) clés libre(s) : conscience historique, cinéma et histoire, Mexique (20e siècle), Basilio Martín Patiño (1930-....), cinéma espagnol, Jorge Semprún (1923-2011), Espagne (20e siècle), film documentaire, mémoire collective, franquisme
|
Accéder à la ressource
|
|
Collège de France - Processus émotionnels subliminaux et accès à la conscience
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 01-06-2007
/ Canal-U - OAI Archive
GAILLARD Raphaêl
Voir le résumé
Voir le résumé
La compréhension d'un mot est un processus cognitif impliquant plusieurs étapes corticales. Les paradigmes de seuil de conscience permettent de présenter un stimulus juste en dessous du seuil de conscience et donc rendent les mesures physiologiques ou comportementales plus sensible un éventuel effet inconscient. Cet abaissement du seuil de conscience n'est pas dû à la perception consciente préalable des stimuli.
Origine
SPI-EAO CERIMES Canal-U Santé et Sport
Générique
Auteur : Raphaël GAILLARD INSERM U562 Neuroimagerie Cognitive CEA SAC DSV DRM Neurospin Gif sur Yvette Mot(s) clés libre(s) : Collège de France, processus cognitif, psychiatrie, seuil de conscience, valence émotionnelle
|
Accéder à la ressource
|
|
Chronique des pygmées babongo 2007 : Sortie du masque mokuya
/ 28-02-2007
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Quartier Babongo de Makoula 28 février 2007 ( Ogoué Lolo, préfécture de Koulamoutou, Gabon)
Rangés devant le corps de garde du quartier babongo, les hommes appellent le masque (= l'esprit) mokuya par la danse et le chant. Les femmes et les enfants, assis sur le côté, devant les maisons, soutiennent les hommes par le chant et la frappe des mains
Le masque est précédé par son héraut, un adolescent costumé, tenant des feuillages sp. dans chaque main, qui fait le tour du corps de garde en courant, puis revient en accompagnant la danse du masque, ajustant son costume quand il se défait.
Le masque, c'est-à-dire une présentification d'un esprit de la forêt, le seul qui danse en plein jour, une personne excellent danseur, au corps serré dans un costume sp. de feuillages et de raphia tissé, des sonnailles suspendues aux chevilles et à la ceinture. Le visage est un masque facial en bois recouvert de kaolin blanc, aux traits stylisés, surmonté de quelques grandes plumes blanches et noires.
Après une exhibition rapide, dunr remarquable performance de danse, le masque s'en retourne par le même chemin qu'à l'aller, toujours suivi par son héraut-gardien.
Au cours de cette séance, le masque sort trois fois.
Jean-Blaise Matzanga, qui est ici dans le village de sa première épouse, participe activement à l'action. Mot(s) clés libre(s) : masque, tambour, Babongo, cloche, états modifiés de conscience, nzebi, Ogooué Lolo, sonailles, trompe, Makoula, feuillage, mokuya, pygmée, ethnomusicologie, danse, musique, forêt, esprit, vidéo, chant, Gabon, rituel, film ethnographique, guérissage, Afrique, bidon
|
Accéder à la ressource
|
|
Chronique des pygmées babongo 2007 : Soirée de danse de nganga bwiti
/ 28-02-2007
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Chronique des pygmées babongo 2007 : Soirée de danse de nganga bwiti
Corps de garde du quartier Babongo de Makoula 28 février 2007 ( Ogoué Lolo, préfécture de Koulamoutou, Gabon) Mot(s) clés libre(s) : afrique, chanvre, Babongo, nganga, iboga, harpe, cloche, tambours, bwiti, états modifiés de conscience, nzebi, Ogooué Lolo, vin de canne à sucre, sonailles, trompe, pygmée, devin-guérisseur, danse, musique, feu, alcool, tabac, vidéo, chant, ethnomédecine, Gabon, rituel, film ethnographique, divination, guérissage, ethnomusicologie, Makoula
|
Accéder à la ressource
|
|
Chronique des pygmées babongo 2007 : Récital de chant & harpe bwiti par J. B. Matzanga
/ 27-10-2015
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Moughombofouala, le 27 fév 2007, (Ogoué Lolo, préfecture de Koukamoutou, Gabon)
Au cours de l'après-midi, dans le salon de Loundou Daniel, chef du regroupement babongo, Jean Blaise Matzanga, Nzebi par son père, Babongo par sa mère, assistant de l'équipe de recherche et étranger au village, improvise spontanément un récital de son répertoire de chant bwiti à la harpe. En dehors de son plaisir personnel à jouer, J.B. Matzanga est aussi en cour amoureuse auprès d'une jeune fille du village et donc de séduction de ses beaux-parents potentiels.
La qualité de l'interprétation retient l'attention des présents, très concentrés, qui participent en accompagnant tout doucement la musique, les uns par le chant, la frappe des mains, des mouvements de danse
Les pièces s'enchaînent dans le désordre, entrecoupées d'explications en français et de libations de vin de canne à sucre.
Un des fils du maître de maison enregistre le récital à l'aide d'un des radios cassette de la maison. Le village, situé au pied d'une ligne à haute tension, bénéficie de l'électricité.
Mot(s) clés libre(s) : afrique, Ogooué Lolo, nzebi, états modifiés de conscience, bwiti, harpe, iboga, Babongo, pygmée, ethnomusicologie, film ethnographique, Gabon, séduction, vidéo, musique, danse, Mokhombofouala
|
Accéder à la ressource
|
|
Chronique des pygmées babongo 2007 : pièce bwiti d’arc-en-bouche (de jour) par Makaho Maurice
/ 21-02-2007
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Midouma, le 21 février 2007, (Ogoué Lolo, préfecture de Koulamoutou, Gabon )
De jour, exécution d'une pièce bwiti d'arc-en-bouche par Makaho Maurice dans le "corps de garde" babongo, le hangar à usages collectifs, profanes et sacrés. Mot(s) clés libre(s) : afrique, nzebi, états modifiés de conscience, bwiti, arc-en-bouche, Midouma, Babongo, pygmée, film ethnographique, Gabon, vidéo, musique, Ogoué Lolo
|
Accéder à la ressource
|
|
Chronique des Pygmées Babongo 2007 : Dindamba André, danseur, chanteur, guérisseur bwiti et infirmier
/ 20-10-2007
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Chronique des Pygmées Babongo, préfecture de Koulamoutou (Gabon) février 2007
Acteurs :Dindamba André danseur, chanteur, guérisseur bwiti et infirmier, Makaho Maurice, Mapaka Pascal, Moupoumbou Moélé, Nzebi Nzenge, Tsonga Gabriel et Cie
Auteurs réalisateurs : Alain Epelboin et Annie Marx
Village de Midouma, le 20 & 21 février 2007 et dispensaire de Nzenzele, 22 février 2007 (Ogoué Lolo, préfecture de Koulamoutou, Gabon)
Au cours d'une soirée de danse dans le "corps de garde" nzebi (le hangar à usages collectifs, profanes et cérémoniels), exécution d'une pièce bwiti d'arc-en-bouche par Makaho Maurice : puis, sous la direction de Dindamba André, chef de culte bwiti et infirmier, exécution d'une danse moenge du bwiti disumba.
Le lendemain soir, devant le seuil de sa maison, on retrouve Dindamba André, infirmier et chef de culte bwiti, interprêtant la chanson "gutsan, le remords", à la harpe à 8 cordes. Cette chanson a été composée par Nzengi, Sango du Plateau.
Puis à son bureau au dispensaire Dindamba raconte les pathologies (paludisme, arthralgies, le manque de moyens, l'organisation des accouchements, la consommation persistante de chimpanzées et de gorilles et les connaissances locales sur le virus de la fièvre hémorragique Ebola. Il conclue en expliquant les avantages de l'intrication de la biomédecine et des médecines autochtones.
Chapitres :1- Danse moenge du bwiti disumba, corps de garde nzebi, Midouma, le 20 février 2007, (Ogoué Lolo, préfecture de Koulamoutou, Gabon )
2- Chanson "le remords" par Dindamba, l'infirmier22 février 2007, Midouma (Ogoué Lolo, Préfecture de Koulamoutou, Gabon )
3- entretien sur la santé publique avec l'infirmier, dispensaire de Nzenzelz, 22 février 2007, (Ogoué Lolo, Gabon ) Mot(s) clés libre(s) : danse, harpe, sonnailles, cloche, tambours, bwiti, états modifiés de conscience, nostalgie, infirmier, danse moenge, bwiti disumba, biomédecine, nzebi, sango, Ogooué Lolo, arc-en-bouche, iboga, Babongo, musique, maladie, amour, santé publique, vidéo, chant, Gabon, film ethnographique, médecine traditionnelle, guérisseur, Afrique centrale, entretien, Ebola, pygmée, chimpanzé
|
Accéder à la ressource
|
|
072 - Une histoire idéologique ? Existe-t-il une vision pied noir de l'histoire franco-algérienne ?
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
Voir le résumé
Voir le résumé
par Yann Scioldo-Zurcher (Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales)Migrations, cultures et représentations : la pérennité des liensUne histoire idéologique : session thématique (prés. Anne-Marie Granet-Abisset)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Nous savons aujourd’hui que les pieds-noirs ne forment pas une communauté, ni même un groupe homogène, et que plusieurs mémoires, parfois concurrentes, les caractérisent. Pourtant, derrière la multitude, se dégage non seulement une mémoire collective, au sens ou Maurice Halbwachs l’entend, mais aussi une « vision pied-noir de l’histoire franco-algérienne ». Faite de mythologies coloniales, de sophismes politiques, de justifications a posteriori, de rejets et de victimisation, cette vision est souvent l’unique point de rencontre des associations, voire des rapatriés...Il s’agira donc dans un premier temps de définir cette vision historique, mais au-delà d’une approche convenue, nous proposerons une définition par la négative, et tenterons d’analyser les dénis de mémoire et les refus d’histoire, qui paradoxalement forment cette vision historique particulière. Il s’agira d’historiciser cette vision à partir d’un corpus original d’archives, et de montrer combien elle existait déjà du temps de la colonisation. Plus encore, nous regarderons comment, après l’indépendance de l’Algérie, cette vision fut réintroduite en métropole et confortée par les pouvoirs publics, et notamment le ministère de l’Information, au point de redonner une vie active à des stéréotypes coloniaux qui ont survécu sans difficulté à la colonisation.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), conscience historique, historiographie, mémoire collective, pieds-noirs, stéréotypes coloniaux
|
Accéder à la ressource
|
|