Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
2. Le rapport Meadows (1972)
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 18-05-2015
/ Canal-u.fr
DIEMER Arnaud
Voir le résumé
Voir le résumé
Dans cette vidéo, Arnaud Diemer présente le rapport Meadows Limits to growth, son contexte, à savoir le début des années 1970, son architecture, son rôle dans l'émergence du concept de développement durable, mais aussi les réactions qu'il a suscitées chez plusieurs économistes. Mot(s) clés libre(s) : ressources, croissance, développement durable, rapport Meadows
|
Accéder à la ressource
|
|
8. Le développement durable est-il une notion dépassée ?
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 05-05-2015
/ Canal-u.fr
VIVIEN Franck-Dominique
Voir le résumé
Voir le résumé
Dans cette vidéo, Franck-Dominique Vivien discute des limites, aujourd'hui, du développement durable, souvent jugé peu opérationnel et interprété de manière très diverse. Sur ce constat, il évoque les différentes notions ayant émergé ces dernières années, comme l'économie verte ou encore la décroissance. Mot(s) clés libre(s) : développement durable, décroissance, croissance verte
|
Accéder à la ressource
|
|
Accélérations et décélérations du développement économique
/ Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 27-06-2013
/ Canal-u.fr
BOURGUIGNON François, AUDOIN-ROUZEAU Stéphane
Voir le résumé
Voir le résumé
Séminaire dispensé par François Bourguignon
Aujourd'hui,
toutes les sociétés vivent sous l'effet de l'augmentation de la vitesse
et de sa généralisation. Mais l'accélération produit aussi de la
décélération. La sphère domestique s'accommode mal de l'intrusion
permanente de la vie professionnelle, la délibération politique est
dépassée par l'instantanéisme des réseaux sociaux et des marchés. Sous
la double contrainte du risque et de l'urgence, les démocraties
représentatives sont de plus en plus confrontées aux démons de
l'improvisation. Pourtant, rien ne se bâtit sans durée dans une société.
De quoi les phénomènes d'accélération sont-ils exactement les signes? Mot(s) clés libre(s) : développement, croissance, économie mondiale
|
Accéder à la ressource
|
|
Croissance économique et recyclage des matières
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 28-02-2014
/ Canal-u.fr
GROSSE François
Voir le résumé
Voir le résumé
François Grosse analyse l'impact du recyclage sur la consommation de matières premières dans le cadre d'une économie en croissance. Il montre qu'un fort taux de recyclage, indispensable, ne pourra permettre de retarder l'épuisement des ressources que si le taux de croissance des consommations reste inférieur à 1% par an. Mot(s) clés libre(s) : croissance économique, consommation, recyclage, métaux, ressources non renouvelables
|
Accéder à la ressource
|
|
Cycles et fluctuations économiques
/ Mission 2000 en France
/ 28-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
ABRAHAM-FROIS Gilbert
Voir le résumé
Voir le résumé
Après un bref historique de l'apparition, puis de la disparition (provisoire) de l'analyse et de la théorie des cycles, cette contribution sera centrée sur les développements contemporains. L'originalité de la théorie sans doute dominante depuis un quart de siècle est que les cycles ne sont plus une manifestation de déséquilibre, mais de réactions optimales des agents optimisateurs aux chocs de nature diverse qui frappent le système économique ; si au départ l'accent a été mis, à la suite des travaux de R. Lucas (prix Nobel 1995) sur les chocs ""monétaires"", c'est aux chocs ""réels"" que s'attachent les analyses plus récentes : chocs de productivité, chocs budgétaires, éventuellement chocs sur les préférences. L'approche qui a des fondements micro-économiques puissants fait appel largement aux techniques de simulation et arrive à reproduire de façon assez étonnante une partie au moins des mouvements de l'activité. Une deuxième approche a des fondements plus traditionnels ; dans le prolongement des analyses keynésiennes, il s'agit de tenter de rendre compte des fluctuations dans des systèmes où se manifestent des déséquilibres. Des possibilités de fluctuations auto-entretenues peuvent être mises en évidence en utilisant certains outils mathématiques sophistiqués (bifurcations, dynamiques complexes...). Des fluctuations auto-entretenues pouvant apparaître à partir du moment où des non-linéarités se manifestent, l'approche a été étendue des systèmes en déséquilibre aux systèmes en équilibre. Mot(s) clés libre(s) : crise financière, croissance, économie, finance
|
Accéder à la ressource
|
|
Cycles et fluctuations économiques
/ Mission 2000 en France
/ 28-04-2000
/ Canal-u.fr
ABRAHAM-FROIS Gilbert
Voir le résumé
Voir le résumé
Après un bref historique de l'apparition, puis de la disparition (provisoire) de l'analyse et de la théorie des cycles, cette contribution sera centrée sur les développements contemporains. L'originalité de la théorie sans doute dominante depuis un quart de siècle est que les cycles ne sont plus une manifestation de déséquilibre, mais de réactions optimales des agents optimisateurs aux chocs de nature diverse qui frappent le système économique ; si au départ l'accent a été mis, à la suite des travaux de R. Lucas (prix Nobel 1995) sur les chocs ""monétaires"", c'est aux chocs ""réels"" que s'attachent les analyses plus récentes : chocs de productivité, chocs budgétaires, éventuellement chocs sur les préférences. L'approche qui a des fondements micro-économiques puissants fait appel largement aux techniques de simulation et arrive à reproduire de façon assez étonnante une partie au moins des mouvements de l'activité. Une deuxième approche a des fondements plus traditionnels ; dans le prolongement des analyses keynésiennes, il s'agit de tenter de rendre compte des fluctuations dans des systèmes où se manifestent des déséquilibres. Des possibilités de fluctuations auto-entretenues peuvent être mises en évidence en utilisant certains outils mathématiques sophistiqués (bifurcations, dynamiques complexes...). Des fluctuations auto-entretenues pouvant apparaître à partir du moment où des non-linéarités se manifestent, l'approche a été étendue des systèmes en déséquilibre aux systèmes en équilibre. Mot(s) clés libre(s) : économie, crise financière, croissance, finance, cycles économiques, Keynes
|
Accéder à la ressource
|
|
Economie et innovation
/ Mission 2000 en France
/ 26-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LORENZI Jean-Hervé
Voir le résumé
Voir le résumé
A l'aube du XXIe siècle, il existe un consensus selon lequel, le progrès technologique est le moteur de la croissance économique, des gains de productivité et de l'élévation des niveaux de vie à long terme. Tous ces éléments conjugués nous conduisent à nous interroger sur la relation entre économie et innovation, dans une perspective à la fois historique, théorique et empirique. C'est l'étude de ces différentes relations qui fera l'objet de la présente leçon. Les relations entre le progrès technique et la croissance sont longtemps demeurées incomprises. C'est cet aspect qui fera l'objet de la deuxième partie de notre présentation. Les économistes se sont d'abord attachés à dégager les lois d'une production en régime d'équilibre stationnaire. Ils n'ont guère accordé leur attention à la croissance économique qu'à partir de la deuxième guerre mondiale, sans pour autant, dans un premier temps, évoquer le rôle du progrès technique. Ils se sont ensuite contentés d'analyser le progrès technique comme une variable exogène à la croissance. Ce n'est que très récemment que la théorie économique accorde une attention toute particulière au rôle du progrès technique dans la croissance. Dans la troisième partie de la leçon, nous présenterons les questions relatives à la relation complexe entre le progrès technique et l'emploi, à la fois en terme de chômage et de modification des structures d'emploi. Enfin, dans la quatrième partie, nous discuterons du rôle de l'Etat dans l'organisation des activités de recherche et d'innovation en prenant comme exemple la politique d'innovation européenne actuelle, et les recommandations en faveur d'un changement d'orientation des actions politiques pour préparer la troisième révolution industrielle. Mot(s) clés libre(s) : croissance économique, économie, innovation, recherche, révolution industrielle, technologie
|
Accéder à la ressource
|
|
Économie et innovation
/ Mission 2000 en France
/ 26-04-2000
/ Canal-u.fr
LORENZI Jean-Hervé
Voir le résumé
Voir le résumé
A l'aube du XXIe siècle, il existe un consensus selon lequel, le progrès technologique est le moteur de la croissance économique, des gains de productivité et de l'élévation des niveaux de vie à long terme. Tous ces éléments conjugués nous conduisent à nous interroger sur la relation entre économie et innovation, dans une perspective à la fois historique, théorique et empirique. C'est l'étude de ces différentes relations qui fera l'objet de la présente leçon. Les relations entre le progrès technique et la croissance sont longtemps demeurées incomprises. C'est cet aspect qui fera l'objet de la deuxième partie de notre présentation. Les économistes se sont d'abord attachés à dégager les lois d'une production en régime d'équilibre stationnaire. Ils n'ont guère accordé leur attention à la croissance économique qu'à partir de la deuxième guerre mondiale, sans pour autant, dans un premier temps, évoquer le rôle du progrès technique. Ils se sont ensuite contentés d'analyser le progrès technique comme une variable exogène à la croissance. Ce n'est que très récemment que la théorie économique accorde une attention toute particulière au rôle du progrès technique dans la croissance. Dans la troisième partie de la leçon, nous présenterons les questions relatives à la relation complexe entre le progrès technique et l'emploi, à la fois en terme de chômage et de modification des structures d'emploi. Enfin, dans la quatrième partie, nous discuterons du rôle de l'Etat dans l'organisation des activités de recherche et d'innovation en prenant comme exemple la politique d'innovation européenne actuelle, et les recommandations en faveur d'un changement d'orientation des actions politiques pour préparer la troisième révolution industrielle. Mot(s) clés libre(s) : recherche, économie, innovation, technologie, croissance économique, révolution industrielle
|
Accéder à la ressource
|
|
Effets de l'accumulation des matières
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 28-02-2014
/ Canal-u.fr
GROSSE François
Voir le résumé
Voir le résumé
François Grosse analyse le lien entre épuisement des ressources non renouvelables, recyclage, et accumulation de matières non renouvelables dans l'économie. Il montre que pour que le recyclage ait un effet sur la réduction des prélèvements de matières premières, il est nécessaire que les sociétés n'accumulent qu'un minimum de ces matières, moins de 20%. Mot(s) clés libre(s) : croissance économique, recyclage, accumulation, ressources non renouvelables, stocks
|
Accéder à la ressource
|
|
Encéphalopathies subaiguës spongiformes transmissibles : le risque pour la santé
/ Mission 2000 en France
/ 12-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DORMONT Dominique
Voir le résumé
Voir le résumé
Les encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles (ESST) ont été décrites chez l'homme et les animaux : Kuru, maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), insomnie fatale familiale, chez l'homme ; tremblante du mouton et de la chèvre, encéphalopathie du vison, maladie du dépérissement chronique des ruminants sauvages, encéphalopathies spongiforme du chat et encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) chez l'animal. Toutes ces maladies ont des lésions histopathologiques très proches constituées d'une mort neuronale, d'une gliose et d'une spongiose, et elles sont transmissibles au sein de la même espèce, et expérimentalement d'une espèce à l'autre. Ces maladies humaines et animales sont induites par des agents transmissibles non conventionnels (ATNC), appelés "prions" ou "virinos". Ces agents restent inconnus à ce jour. S.B. Prusiner et ses collaborateurs ont décrit, à la fin des années 70, la principale caractéristique moléculaire de ces maladies : il s'agit d'une accumulation d'une protéine de l'hôte sous une forme modifiée. Les deux formes diffèrent seulement dans leurs propriétés physico-chimiques qui seraient la conséquence d'une modification de la structure secondaire ou organisation en trois dimensions. L'hypothèse la plus couramment admise en 1998 est que l'agent infectieux est composé de la protéine sous sa forme pathologique ; la propagation de la conformation pathologique s'effectuerait par l'acquisition, par la protéine normale, de la conformation anomale de la protéine infectieuse avec laquelle elle est associée. Récemment, une nouvelle forme de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (nvMCJ) est apparue en Grande Bretagne (48 cas) et, à un moindre degré, en France (2 cas) et en République d'Irlande (1 cas). Cette nouvelle variante touche des individus jeunes, sans facteurs de risques génétiques ou iatrogènes et se traduit par une clinique particulière et une neuropathologie tout à fait spécifique, inconnue dans les autres formes de MCJ. L'implication de l'agent de l'encéphalopathie bovine spongiforme dans l'émergence du nvMCJ est maintenant démontrée ; les conséquences en termes de santé publique du passage de l'agent bovin à l'homme ne sont pas encore totalement évaluées. Mot(s) clés libre(s) : cannibalisme, cerveau, encéphalopathie subaïgue spongiforme, farine animale, hérédité, hormone de croissance, Kuru, maladie de Creutzfeld-Jacob, prion, santé, système nerveux central
|
Accéder à la ressource
|
|