Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Portrait de recherche 1 - Anne Gotman
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Les PORTRAITS DE RECHERCHE du CERLIS (Sorbonne
Paris Cité, Université Paris Descartes, CNRS UMR 8070) sont des vidéos
qui présentent des
recherches menées par les membres du laboratoire. En décembre 2015, a
été mis en ligne sur le nouveau site du laboratoire (www.cerlis.eu), le
Portrait consacré à Anne Gotman (DR CNRS). Il a été réalisé par Valérie
Borst, d’après une idée originale de Olivier Martin (Directeur du
CERLIS) et Séverine Dessajan.
Mot(s) clés libre(s) : croyances, sociologie (recherche), Parcours de chercheur
|
Accéder à la ressource
|
|
Les croyances collectives
/ UTLS - la suite
/ 29-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
BOUDON Raymond
Voir le résumé
Voir le résumé
On prend ici le mot croyance dans le sens le plus large (le fait de croire à une proposition, à une théorie, etc.). L'analyse des croyances collectives est un des sujets essentiels de la sociologie. Elle pose une question fondamentale : par quels mécanismes des individus appartenant à un groupe (au sens le plus large de ce mot) croient-ils la même chose ? S'agissant de croyances scientifiques, on n'a guère de peine à discerner ces mécanismes. L'explication peut ne pas être immédiate et impliquer de laborieuses recherches (voir les monographies sur le langage des abeilles, la controverse Pasteur-Pouchet sur la génération spontanée, les études sur la disparition de la croyance au phlogistique, etc.) ; mais, s'agissant des croyances scientifiques, celles-ci peuvent être vues comme le résultat d'une discussion rationnelle. Qu'en est-il lorsqu'il s'agit de croyances qui paraissent infondées (comme les croyances en des relations de causalité imaginaires qui définissent la magie) ou de croyances qui, par principe, ne paraissent pas pouvoir être fondées, comme les croyances prescriptives : celles qui traitent, non de l'être, mais du devoir-être ? La coupure entre les croyances scientifiques et les autres types de croyances est peut-être moins nette qu'on ne le croit : il n'est pas plus facile d'expliquer pourquoi Descartes croyait que la nature a horreur du vide que d'expliquer les croyances magiques.Une première ligne de pensée répond à ces questions, en évoquant l'existence de forces psychologiques ou culturelles, pour parler comme le prix Nobel G. Becker, qui feraient que, dans telle culture, dans tel groupe ou tel ensemble d'individus, l'esprit humain obéirait à des règles d'inférence particulières, serait affecté par des biais, fonctionnerait dans des cadres mentaux invalides. Cette hypothèse a été mise sur le marché par Lévy-Bruhl ; elle est toujours présente dans les sciences sociales. L'autre ligne de pensée, inaugurée par Durkheim est également très présente dans les sciences sociales contemporaines. Elle paraît devoir l'emporter en raison de son efficacité scientifique. Elle consiste à admettre que les croyances ordinaires se forment selon des mécanismes fondamentalement identiques à ceux qui expliquent la cristallisation des croyances scientifiques. Des exemples démontrant son efficacité peuvent être facilement empruntés aux sciences sociales classiques et contemporaines. La même ligne de pensée apparaît comme très prometteuse s'agissant de l'explication des croyances prescriptives : des études portant sur divers sujets et notamment sur les sentiments de justice le suggèrent. Mot(s) clés libre(s) : croyance, croyances collectives, croyances populaires, Emile Durkheim, Lucien Lévy-Bruhl, rationalité
|
Accéder à la ressource
|
|
Sommes-nous responsables de nos croyances ?
/ Mission 2000 en France
/ 26-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
ENGEL Pascal
Voir le résumé
Voir le résumé
Les croyances ont des causes plutôt que des raisons, et beaucoup d'entres elles sont soumises à des déterminations sociales. Si la croyance n'est pas volontaire, comment pourrions-nous être responsables de nos croyances? Peut-on reprocher à quelqu'un de croire des choses stupides? Et pourtant on peut blâmer un individu pour ses croyances racistes ou pour ses opinions irrationnelles, et nombre de conceptions de la croyance religieuse en font des engagements volontaires. Depuis le fameux argument du pari de Pascal, on a également soutenu que les raisons pratiques de croire pouvaient, dans certains cas, l'emporter sur les raisons théoriques de croire. Y-a-t-il une "éthique de la croyance" au même sens qu'il y a une éthique tout court? Si nous voulons répondre à ces questions, il nous faut d'abord clarifier la psychologie de la croyance, et déterminer si elle relève de la part active ou de la part passive de notre esprit. Alors que l'action est soumise au contrôle, les croyances ne le sont pas. Il faut aussi réviser notre conception usuelle de la liberté dans la croyance. Celle-ci ne repose pas sur la liberté de la volonté ou le libre arbitre, et la raison pratique diffère de la raison théorique. Il ne s'ensuit pas qu'il n'y ait pas de liberté de croire, ni de responsabilité quant aux croyances. Nous devons à la fois renoncer à une conception purement déterministe et causaliste des croyances, du type de celles que défendent nombre d'anthropologues, de sociologues et de psychologues cognitifs, et à une conception purement volontariste. Mot(s) clés libre(s) : croyance, foi, religion
|
Accéder à la ressource
|
|
Chronique des Pygmées Babongo, avril - mai 2008
Le « temple du Shaolin » : chants d'origine initiatique des femmes avec leurs enfants, 8 avril 2008, Manamana
/ 08-04-2008
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Chronique des Pygmées Babongo, avril - mai 2008 (Gabon)Le "temple du Shaolin" pour faire court en français : chants d'origine initiatique de femmes avec leurs enfants (20 mn 44)
8 avril 2008, Manamana, Ogooué-Lolo, Gabon
Sous titrage en français
Enregistrement d'une séance de chant et musique entre femmes.
ACTEURS
La commerçante de produits vivriers et son enfant
Joseph, le politicien
Mandzola Monique, infirmière
Nina, la danseuse de bwiti et ses enfants
Henok, dit "Poupon", fils de Jean Christophe Tengui
les voisines
Lipoukou Joseph, le politicien
Jean Blaise Matzanga "Makunza"
Alain Epelboin
MONTAGE
Alain Epelboin & Annie Marx
CAMÉRA-SON : Alain Epelboin
AUTEURS-RÉALISATEURS : Alain Epelboin & Jean Blaise Matzanga "Makunza" Mot(s) clés libre(s) : musique, Afrique, ethnomusicologie, interaction mère-enfant, bercement, bwiti, Ogooué-Lolo, Manamana, esprits, politique, petite enfance, film ethnographique, Gabon, téléphone, apprentissage, femmes, enfants, croyance, religion, vidéo, chant, jeu, initiation
|
Accéder à la ressource
|
|
Chronique aka 1992, Akungu, Paris : La chasse au filet, Akungu, 27 novembre 1992
/ 27-11-1992
/ Canal-u.fr
ESTI, EPELBOIN Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Chroniques pygmées, la chasse au filet, 27 novembre 1992, Lobaye, République centrafricaineEmission “Sylva” sur Arte
Réalisatrice :Esti
Auteurs :
Alain Epelboin & Esti
Image & son :
Alain Epelboin & Esti
Avec les habitants du campement d’Akungu :
Ginza, Monbaka, Mesa, Mbolo, Koti, et Mambi
Présentation d'une chasse au filet, commentée par l'ethnologue, avec également lecture de son carnet de terrain. Mot(s) clés libre(s) : musique, serpent, Lobaye, chasse, gibier, filet, céphalophe, capture, rituel propitiatoire, appel, mime cri, appat, poudre écorce/crotte, fustigation rituelle, esprit de la forêt, aka, Akungu, Portrait, forêt, croyance, chercheur, vidéo, chant, anthropologie visuelle, ethnographie, sang, film ethnographique, République Centrafricaine, mort animal, carnet de terrain, pygmée, chien
|
Accéder à la ressource
|
|
Croyances religieuses et croyances politiques
/ Mission 2000 en France
/ 30-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
GAUCHET Marcel
Voir le résumé
Voir le résumé
Dans les sociétés modernes, la croyance religieuse a, depuis un siècle, changé de figure. Cette transformation s'est opérée de manière analogue et parallèle dans la sphère politique. Si bien que les rapports du croyant à l'institution religieuse peuvent éclaircir les relations entre la société et l'État. À l'origine de ces bouleversements se trouve une attitude consumériste de l'individu. Mot(s) clés libre(s) : croyance, foi, idéologie, religion, sécularisation
|
Accéder à la ressource
|
|
La religion et ses nouvelles formes
/ Mission 2000 en France
/ 27-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
HERVIEU-LEGER Danielle
Voir le résumé
Voir le résumé
Pendant longtemps, la question des rapports entre la religion et la modernité a été pensée sur le mode de l'exclusion mutuelle. On considérait même que le refoulement de la religion dans la sphère privée constituait, toujours et partout, une condition de la modernisation. Depuis le début des années 1970, cette hypothèse de la perte religieuse des sociétés modernes a été sérieusement ébranlée. Partout, le religieux affirme sa puissance sur la scène politique des sociétés modernes, des formes traditionnelles de religiosité qu'on croyait condamnées par l'avancée de la rationalité scientifique et technique connaissent d'étonnantes reviviscences, des mouvements religieux inédits émergent et l'on découvre que la croyance prolifère au coeur même des activités sociales en principe détachées de toute référence religieuse. Ce constat n'invalide aucunement l'observation majeure selon laquelle les sociétés modernes sont bien des sociétés émancipées de la tutelle englobante des grands "codes de sens" portés par les institutions religieuses. Mais il invite à reconsidérer les processus par lesquels les individus, dans ces sociétés définitivement "sécularisées", produisent les systèmes de signification qui leur permettent de donner un sens à leur existence et - éventuellement - de revendiquer leur appartenance à une lignée croyante particulière. C'est l'identification de ces recompositions du croire qui constitue, aujourd'hui, le programme fort d'une sociologie de la modernité religieuse. Mot(s) clés libre(s) : croyance, modernité, religion, sécularisation
|
Accéder à la ressource
|
|
Philosophie de l'esprit et sciences cognitives
/ Mission 2000 en France
/ 31-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
JACOB Pierre
Voir le résumé
Voir le résumé
"Le mot ""cognition"" vient du mot latin *cognoscere* qui veut dire ""savoir"" ou ""connaître"". Sous le nom de ""sciences cognitives"", et autour d'un projet commun, se sont fédérées des disciplines aussi différentes que les neurosciences, la neuropsychologie, la primatologie, la psychologie comparée, la psychophysique, la psychologie cognitive, la psychologie du développement, la linguistique, la logique, l'intelligence artificielle, la philosophie, la psychologie sociale et l'anthropologie. Les sciences cognitives ont pour objet d'étudier les mécanismes neurophysiologiques et les processus mentaux grâce auxquels un être humain construit ses connaissances : la perception, la mémoire, l'attention, l'imagerie, le raisonnement, la communication. Elles poursuivent donc par des moyens expérimentaux le projet de ce que les philosophes appelaient naguère - d'un mot formé à partir du mot grec *épistémè* qui signifie conjointement ""savoir"" et ""science"" - l'*épistémologie*. Les sciences cognitives n'étudient pas seulement les mécanismes de formation de connaissances détachées ; elles étudient aussi l'engagement dans l'action, c'est-à-dire : la planification et l'exécution de l'action. Le progrès des sciences cognitives suggère donc que la cognition humaine résulte de mécanismes cérébraux qui donnent naissance à l'expérience consciente subjective, à des représentations véridiques de l'environnement et à des représentations motrices au service de l'action. " Mot(s) clés libre(s) : comportement, croyance, désir, intentionnalité, mémoire, perception, philosophie, psychologie, raisonnement, sciences cognitives
|
Accéder à la ressource
|
|
D'où viennent les croyances financières ?
/ 24-03-2014
/ Canal-u.fr
ORLEAN André
Voir le résumé
Voir le résumé
Intervenant : A. Orléan Mot(s) clés libre(s) : croyance, finance
|
Accéder à la ressource
|
|
La croyance religieuse
/ Mission 2000 en France
/ 29-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
RICOEUR Paul
Voir le résumé
Voir le résumé
Conférence de Paul Ricoeur : "La croyance religieuse" Mot(s) clés libre(s) : croyance, foi, religion
|
Accéder à la ressource
|
|