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Titre
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/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 13-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
ATOBRAH Deborah
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Mot(s) clés libre(s) : Afrique, mortalité maternelle, planning familial, RMM Dakar 2010, séduction, sexualité
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Réduction de la mortalité maternelle - Dakar 2010 : Planification familiale.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 13-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
ARCENS-SOME Marie-Thérèse
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Réduction de la mortalité maternelle - Dakar 2010 : Pratiques d’acteurs dans le domaine de la Planification familiale. La construction sociale de la vie génésique et sa durée au Burkina Faso.Conférence enregistrée dans le cadre du Colloque International Interdisciplinaire : Droit et Santé en Afrique. Réduction de la mortalité maternelle en Afrique Sub-saharienne, mieux comprendre pour mieux agir. 1ère Session : Fécondité, sexualité et planning familial.Objectif général : identifier et analyser ce qui construit socialement la vie génésique et sa durée au Burkina Faso.Objectifs secondaires:• Identifier les éléments de construction de la vie génésique chez les individus puis dans le couple; les choix individuels et familiaux pour la création de la famille; les désirs permis ou non par le conjoint et la famille.• Montrer comment la mise en place de programmes de planification familiale peut être une stratégie qui s’inscrit en amont de la maternité et prend en compte l’aspect social et culturel de la vie génésique.Auteur : Marie-Thérèse ARCENS-SOME - Unité Mixte Internationale n° 3189 environnement, santé, sociétés.Organisé avec le partenariat de l’UMVF et le FSP mère-enfant du Ministère des Affaires Etrangères. SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Afrique, avortement, Burkina Faso, contraception, éducation sexuelle, mariage arrangé, planification familiale, RMM Dakar 2010, vie génésique
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/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 13-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
ADEWOBA Albert
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Mot(s) clés libre(s) : Afrique, mortalité maternelle, planning familial, RMM Dakar 2010
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Réduction de la mortalité maternelle - Dakar 2010 : l’Education Pour la Santé vue d’en bas.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 16-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
ABDOUA Elhadji Dagobi
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Titre : l’Education Pour la Santé vue d’en bas.Résumé : Bien que l’analyse des problèmes institutionnels soit essentielle pour comprendre la faible performance de l’EPS, l’auteur aborde surtout la question des rapports entre le dispositif technique et les populations locales. De quelle manière ces populations réagissent-elles aux messages de l’EPS et pourquoi ?Présentation d’une typologie générale des attitudes observées et examen des déterminants socio-économiques des conduites sanitaires des populations en insistant sur le cas du Niger.Conférence enregistrée dans le cadre du Colloque International Interdisciplinaire : Droit et Santé en Afrique. Réduction de la mortalité maternelle en Afrique Sub-saharienne, mieux comprendre pour mieux agir. 5ème session : vouloir et pouvoir : dimensions socio-politiques de l’action. Développement, développeurs et développés. Auteur : ABDOUA Elhadji Dagobi Organisé avec le partenariat de l’UMVF et le FSP mère-enfant du Ministère des Affaires Etrangères. SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Afrique, Education Pour la Santé, mortalité maternelle, RMM Dakar 2010, syncrétisme, tradition
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Un car rapide sénégalais au Musée de l'Homme de Paris : un chef-d'oeuvre d'art populaire, un “art parlant”
/ Canal-u.fr
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ARTISTES
El Hadj Kane & Pape Omar Pouye
ACTEURS
El Hadj Kane, Pape Omar Pouye, les peintres, Malick Seck, l'apprenti, Pape Sall (mairie SICAP Liberté 3, Dakar), Ibrahima Diop & les voisins du chantieret les sons industriels des menuisiers métalliquesAUTEURS : Alain Epelboin & Ndiabou Sega Touré
COMMENTAIRES : Ndiabou Sega Touré & Alain
Epelboin
CAMÉRA, SON, MONTAGE, RÉALISATION : Alain Epelboin
REMERCIEMENTS : El Hadj Kane, Pape Omar Pouye, Pape Sall, Ibrahima Diop et les voisins du chantier, Alioune Thiam (CETUD Sénégal), la famille du défunt El Hadj El Kaba Touré, Mireille Gruska & Annie Marx, Studio ad hoc France.
RÉSUMÉ :Dans son exposition permanente, dans la partie consacrée à la mondialisation, le nouveau Musée de l'Homme de Paris présente un « car rapide » sénégalais, nommé aussi « super », « ndiaga ndiaye : c’est-à-dire un objet industriel du nord, mis au rebut, réapproprié par les artisans, artistes et tradipraticiens des suds. Ce film suit la réalisation des peintures décoratives et protectrices d’un fourgon Saviem Renailt Super-Goélette SG2 datant des années 1970, par deux peintres, spécialistes de cet art populaire, El Hadj Kane et Pape Omar Pouye, à la demande de deux anthropologues Alain Epelboin (CNRS-MNHN Paris) et Ndiabou Sega Touré (UCAD Dakar) en collaboration avec Studio ad hoc, chargé de la réalisation du projet.
L’action a lieu dans un parking de la mairie de SICAP Liberté 3 de Dakar servant d’entrepôt de matériaux de construction et abritant des ateliers de menuiserie métallique à ciel ouvert, avec une ambiance sonore déchirée régulièrement par les sons des scies, meuleuses et autres appareils à souder.
Tout en travaillant, les artistes se racontent, expliquent ce qu’il font, évoquent leur apprentissage auprès de leurs maitres, leurs propres apports artistiques, « leur touche », leur goût à exercer ce métier, leur fierté d’être des artistes. Les deux peintres soulignent leur conscience de réaliser un chef d’oeuvre d’art populaire sénégalais, qui représente le Sénégal et l’Afrique aux yeux des visiteurs d’un grand musée de Paris, sis face à la Tour Eifel, à proximité de l’esplanade du Trocadéro, le Parvis des droits de l'homme où des colporteurs sénégalais « clandestins » sont pourchassés par la police française.
Un art populaire, c’est-à-dire selon eux un art qui parle à tout le monde, sans distinction de classe ou d’âge, mais aussi un témoignage de l’histoire du Sénégal et de ses relations avec la France depuis le XIX ème siècle.
Il s’agit d’un de ces fourgons Super-Goélette Renault
SG2, peints en jaune et bleu, ornés de multiples motifs, couleurs, écritures, amulettes
et objets magiques. Ils assurent quotidiennement les transport en commun dans
les grandes villes du Sénégal, en concurrence avec les bus des grandes
compagnies étatiques et les taxis collectifs privés, voire les charrettes.
Des milliers de Sénégalais les empruntent chaque jour et nombreux sont ceux qui
en gardent, enfouis dans leur mémoire, des images émouvantes, des scènes, des
sons, des odeurs, des émotions datant de
leur jeunesse.
Les fourgons Super-Goélette Renault SAVIEM SG2 produits
de 1967 à 1982, succédant aux Goélettes Renault (1947-1965), ont été très
populaires, équipant massivement les entreprises, les administrations civiles
et militaires européennes. Au fur et à mesure de leurs mises en réforme, des
lots importants ont été revendus massivement dans les colonies françaises, puis
dans les pays francophones devenus indépendants, essentiellement en tant que
véhicules de transport en commun permettant de charger officiellement 25
passagers, sans compter les personnes debout et d’éventuels occupants de la
galerie ou marche-pied..
Dans chacun de ces pays, ces objets industriels du
Nord mis au rebut, ont été réinvestis par des savoir-faire autochtones,
des techniques, de mécanique, de tôlerie, de menuiserie métallique, qui ont
permis à une flotte importante de continuer à circuler jusqu’à présent, chaque
véhicule cumulant des millions de kilomètres.
Au Sénégal, ils ont été également investis de
générations en générations par un art décoratif et protecteur original, à base
de peintures multicolores, de nombreuses formules sentencieuses, morales, protectrices,
en wolof, arabe et français, mais aussi des amulettes, objets,
écritures, portraits de marabouts, « blindant » le véhicule contre
les jaloux, les malfaisants, les génies, générateurs de malchances, de pannes
et d’accidents.
Enfin, ces cars rapides sénégalais aux peintures caractéristiques
sont aussi devenus des sources d’inspiration de dessinateurs de bandes
dessinées, d'artistes, de peintres de tableaux et de peintures sous verre, suwers vendus
aux touristes.
Depuis 2005, le gouvernement sénégalais a confié au du
Conseil exécutif des transports urbains de Dakar (CETUD) un programme de
renouvellement du parc de transports en commun. Les propriétaires des cars
rapides sont incités à les remplacer par des bus de marques indiennes et
asiatiques. Et c’est dans ce cadre que le CETUD a offert un de ces véhicules au
Musée de l’homme, lors d’une campagne de récupération à Saint Louis. Mot(s) clés libre(s) : pollution, deuxième vie des objets, savoirs populaires, tôlerie, menuiserie métallique, peintures décoratives, peintres, art, urbain, Saviem Super-Goélette SG2, Saint Louis, transport en commun, Sénégal, histoire, vidéo, récupération, Dakar, mécanique, arts et traditions populaires, art populaire, Musée de l'Homme de Paris
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Ndiabou Toure : "Les discours canoniques - le Taasu : un genre en évolution"
/ Canal-u.fr
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Ndiabou Touré (Université Cheikh Anta Diop de Dakar) : "Réflexions sur la canonicité à partir de l'évolution du taasu du contexte traditionnel et aux contextes musical et publicitaire au Sénégal"
Dans le cadre de l’opération de recherche ELLAF "Discours canoniques dans leurs modalités linguistiques"
"Il s'agit d'un questionnement sur la canonicité à partir de l'étude d'un genre traditionnel wolof, le taasu,
qui relève de la poésie orale. Le taasu, à l'inverse d'autres genres, s'est remarquablement adapté à de
nouveaux contextes, et a investi un nouveau genre poétique moderne, le mbalakh (chant populaire
moderne wolof), et un champ d'application également nouveau, la publicité.
Je m'interrogerai sur la canonicité de ce genre dans une perspective évolutive, et sous un angle
énonciatif (auteur, interprète, récepteur, canal, etc.). Que se passe-t-il lorsque le taasu passe d'un
contexte traditionnel à des contextes différents, complètement modernes et qui répondent à des
modalités n'énonciation complètement différentes ? Cette question est sous-tendue par une
problématique complexe qui concerne toutes les modalités de l'énonciation : l'auteur, dont le statut
peut changer, ce qui a des incidences notamment sur le choix de l'interprète ; la communication de
masse en terme de diffusion ; le canal qui obéit à d'autres règles du point de vue de l'interaction ; le
récepteur, qui doit être abordé à plusieurs niveaux.
Ainsi, en partant de son contexte traditionnel, il est intéressant d'observer l'évolution de ce genre et son
mode de fonctionnement dans sa fusion avec d'autres genres ou dans des contextes comme la publicité". Mot(s) clés libre(s) : LLACAN, UPS2259, ELLAF, Ndiabou Touré, Discours canoniques dans leurs modalités linguistiques, Université Cheikh Anta Diop de Dakar, l'évolution du taasu du contexte traditionnel et aux contextes musical et publicitaire au Sénégal
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