Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Déplacements et transports urbains
/ Yves LACOSTE, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 19-04-2008
/ Canal-U - OAI Archive
WOLFF Jean-Pierre, LE CORRE Sébastien
Voir le résumé
Voir le résumé
Il existe différents types de déplacements, et l’évolution technique des modes de transports a des conséquences directes sur la morphologie des villes. Afin de gérer au mieux la relation entre transports et villes, différentes politiques des déplacements et des transports sont menées, ceci afin d’assurer un fonctionnement économique optimum. Mot(s) clés libre(s) : circulation urbaine, infrastructures de transport, plans de déplacements urbains, politique des transports urbains, transports urbains (aspect économique), urbanisme, ville (effets des innovations)
|
Accéder à la ressource
|
|
Transaction Cost Economics and the road to the nobel prize
/ UNS
/ 11-06-2010
/ Canal-u.fr
WILLIAMSON Olivier E.
Voir le résumé
Voir le résumé
Oliver E. Williamson de l’Université de Californie (Berkeley) a obtenu en 2009 le prix Nobel d’économie pour ses travaux sur « la gouvernance économique » c’est à dire la manière dont on organise et régule l’échange et la production. Il est considéré comme un spécialiste de la gouvernance. Diplômé du prestigieux MIT, il commence sa carrière comme ingénieur de projets pour le gouvernement américain. Il découvre la diversité des environnements institutionnels et des modes d’organisation de l’activité économique et se tourne alors vers l’économie et la gestion. Dès lors, il voit l’entreprise comme une structure complexe où s’imbriquent relations contractuelles et hiérarchie. Mot(s) clés libre(s) : prix nobel, economie, MIT, organisation, hierarchie
|
Accéder à la ressource
|
|
La diversité biologique comme objet social et objet légal
/ UTLS - la suite
/ 23-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
VIVIEN Franck-Dominique
Voir le résumé
Voir le résumé
Les années 80 ont été le témoin de la reconnaissance de la diminution de la diversité biologique en tant que problème global d'environnement. Il s'agit là d'une problématique appartenant à la classe des « univers controversés », en ce qu'il y a débat, au sein même de la communauté des chercheurs des sciences de la vie, sur la gravité du phénomène, ses causes et ses conséquences, les responsabilités à invoquer, les intérêts concernés, etc. Cet état de controverse n'a pas empêché que cette problématique soit versée dans le débat public et s'inscrive sur l'agenda politique. Une Convention internationale a ainsi été signée lors du Sommet de la Terre qui s'est tenu à Rio de Janeiro en 1992. Cette Convention sur la diversité biologique, ratifiée en 2002 par plus de 180 pays, a deux objectifs : d'une part, définir et appliquer des mesures incitatives pour la conservation et l'utilisation durable de la biodiversité et, d'autre part, mettre en place des mécanismes et des instruments permettant l'accès aux ressources génétiques et le partage « juste et équitable » des avantages qui en sont retirés. Pour ce faire, la Convention sur la diversité constitue un précédent dans le domaine du droit international de l'environnement puisqu'elle entend vouloir faire des droits de propriété des instruments de valorisation et de protection de la biodiversité. Elle fait ainsi une place toute particulière aux droits de propriété portant sur les « ressources biologiques » proprement dites, mais aussi sur les techniques, savoirs et savoir-faire permettant leur exploitation. Abandonnant le statut de patrimoine commun de l'humanité qui était conféré jusqu'à lors à la biodiversité, la Convention de Rio reconnaît prioritairement la souveraineté nationale sur les ressources biologiques (art. 3) tout en faisant une place aux droits commerciaux (art. 16.5) et aux droits des communautés autochtones et locales (art. 8j). Cette focalisation de la Convention de Rio sur les droits de propriété marque une inclinaison de plus en plus marquée des négociations internationales vers la nécessité d'organiser et de stimuler une nouvelle activité - la bioprospection - et un nouveau type de commerce international, celui des gènes. Outre qu'elle oblige à s'interroger sur l'efficacité environnementale et l'équité sociale d'une politique que certains chercheurs n'hésitent pas à assimiler à celle qui concerne le pétrole, cette évolution fait que le conflit potentiel entre la Convention sur la diversité biologique et d'autres instances - en premier lieu, l'Organisation mondiale du commerce - est devenu aujourd'hui un des enjeux majeurs de la politique internationale de la protection de la diversité biologique. Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, commerce des gènes, Convention de Rio, développement durable, diversité biologique, économie de l'environnement, éthique, propriété du vivant, ressource biologique
|
Accéder à la ressource
|
|
2. Le développement durable vu par les économistes : durabilité faible ou durabilité forte ?
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 05-05-2015
/ Canal-u.fr
VIVIEN Franck-Dominique
Voir le résumé
Voir le résumé
Dans cette vidéo, Franck-Dominique Vivien montre que le développement durable est un sujet de controverse chez les économistes depuis les années 1970, et que ce débat se cristallise autour de 2 notions : la durabilité faible et la durabilité forte. Il les présente et en expose les limites. Mot(s) clés libre(s) : économie, développement durable, durabilité faible, durabilité forte
|
Accéder à la ressource
|
|
Exploitations du cuivre au Bronze ancien dans les Alpes / Joël Vital, Éric Thirault
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
VITAL Joël, THIRAULT Éric
Voir le résumé
Voir le résumé
Cadre chrono-culturel, économique et premières exploitations du cuivre au Bronze ancien dans les Alpes nord-occidentales. E. THIRAULT, J. VITAL. In "La construction des territoires montagnards : exploitation des ressources et mobilité des pratiques" / The Construction of Mountain Territories : Resource exploitation and Practice Mobility. 2ème International Workshop on archaeology of european mountain landscape, organisé par les Laboratoires TRACES et GEODE (Toulouse) et le Centre d'Archéologie Préhistorique du Rhône aux Alpes (Valence, France). Université Toulouse II-Le Mirail, 8-11 octobre 2009. [Première journée.]Depuis une décennie, l'étude de la mise en place des cultures de l'âge du Bronze dans le Sud-Est de la France a profité de plusieurs terrains qui sont venus alimenter différentes questions. En moyenne vallée du Rhône, ce sont les bases de la subsistance et les premières formes d'architecture agglomérante qui sont illustrées. Dans les Préalpes, l'occupation synchrone de plusieurs grottes bergeries permet d'avancer quelques hypothèses sur les réseaux économiques du Bronze ancien. A une échelle plus globale, intégrant les Alpes internes nord-occidentales, la succession chronométrique et la définition des cultures bénéficient d'une précision accrue qui permettent d'aller au-delà d'une référence le plus souvent conventionnelle à l'âge du Bronze, pour tendre vers une approche plus dynamique sur de larges espaces géographiques. Ainsi, nous pouvons tenter d'articuler les emprises culturelles méditerranéennes, nord-italiques et rhodaniennes. En conséquence, des notions classiques comme celle de la « Civilisation du Rhône » peuvent être discutées. Les prospections en cours sur le massif des Rousses, en Oisans (Isère), alimentent depuis peu cette même problématique culturelle et économique à la suite de la découverte d'un vaste district minier d'altitude (2500 m en moyenne) exploitant des ressources en cuivre. Ce nouveau champ de recherche complète le panorama des différentes modalités de circulation et d'occupation des milieux de montagne entre la fin du Néolithique et la première métallurgie du bronze. Il ouvre également des perspectives sur une approche technique de cette activité et ses conséquences paléoenvironnementales. Mot(s) clés libre(s) : Age du Bronze, Alpes (France), économie préhistorique, géographie historique, métallurgie préhistorique, Néolithique, paléoenvironnement
|
Accéder à la ressource
|
|
L'économie mondiale à l'ère des flux
/ UTLS - la suite, C.E.R.I.M.E.S.
/ 03-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
VELTZ Pierre
Voir le résumé
Voir le résumé
Flux de marchandises, de capitaux, de technologies, d'images, de références culturelles : l'économie mondialisée est celle de toutes les mobilités, à l'exception notable des personnes les moins qualifiées, ou nées dans les pays les plus pauvres. Cette fluidité s'accompagne d'une fragmentation des systèmes productifs qui se déploient désormais à l'échelle du monde, en s'appuyant sur des réseaux de sites de plus en plus homogènes en termes de niveau technologique. Elle s'accompagne aussi d'une concentration croissante des activités au sein d'un archipel de grands pôles interconnectés, par delà la mosaïque des nations et des économies nationales. Mais ce n'est pas seulement la répartition géographique des activités qui se trouve ainsi bouleversée : c'est la relation entre les espaces qui se transforme en profondeur. L'articulation traditionnelle entre centres et périphéries, pôles et arrière-pays, se délite. Les périphéries et les arrières pays deviennent des charges plutôt que des ressources pour les centres les plus riches et les plus insérés dans l'économie mondiale. Dans les pays développés, comme la France, des mécanismes de redistribution puissants jouent en faveur des zones rurales ou des villes moyennes. Ailleurs, s'applique le « paradoxe de Robin des bois » : la redistribution est la plus faible là où elle serait la plus nécessaire
Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, économie mondiale, espace (économie politique), industrie (localisation), mobilité géographique, mondialisation, pôles de développement, relations économiques internationales
|
Accéder à la ressource
|
|
L'économie mondiale à l'ère des flux
/ UTLS - la suite, CERIMES
/ 03-01-2006
/ Canal-u.fr
VELTZ Pierre
Voir le résumé
Voir le résumé
Flux de marchandises, de capitaux, de technologies, d'images, de références culturelles : l'économie mondialisée est celle de toutes les mobilités, à l'exception notable des personnes les moins qualifiées, ou nées dans les pays les plus pauvres. Cette fluidité s'accompagne d'une fragmentation des systèmes productifs qui se déploient désormais à l'échelle du monde, en s'appuyant sur des réseaux de sites de plus en plus homogènes en termes de niveau technologique. Elle s'accompagne aussi d'une concentration croissante des activités au sein d'un archipel de grands pôles interconnectés, par delà la mosaïque des nations et des économies nationales.
Mais ce n'est pas seulement la répartition géographique des activités qui se trouve ainsi bouleversée : c'est la relation entre les espaces qui se transforme en profondeur. L'articulation traditionnelle entre centres et périphéries, pôles et arrière-pays, se délite. Les périphéries et les arrières pays deviennent des charges plutôt que des ressources pour les centres les plus riches et les plus insérés dans l'économie mondiale. Dans les pays développés, comme la France, des mécanismes de redistribution puissants jouent en faveur des zones rurales ou des villes moyennes. Ailleurs, s'applique le « paradoxe de Robin des bois » : la redistribution est la plus faible là où elle serait la plus nécessaire
Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, mondialisation, économie mondiale, espace (économie politique), industrie (localisation), mobilité géographique, pôles de développement, relations économiques internationales
|
Accéder à la ressource
|
|
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 14-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
VELO Giampaolo
Voir le résumé
Voir le résumé
Mot(s) clés libre(s) : antibiotiques, contamination, écologie, économie de la santé, environnement, green chemistry, médicaments (effets secondaires), médicaments (toxicologie), pharmacologie, pharmacovigilance, risques écotoxicologiques
|
Accéder à la ressource
|
|
Reflets de la construction européenne. Réflexions, références, refus du débat : tables rondes
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 24-09-2010
/ Canal-u.fr
VAYSSIÈRE Bertrand
Voir le résumé
Voir le résumé
Reflets de la construction européenne. Réflexions, références et refus du débat sur l'Europe : tables rondes. 1. L'adhésion populaire à l'Europe dans le Sud-Ouest, mythe ou réalité ? 2. Quelle place pour l'Union européenne dans les relations internationales ?. Tables rondes animées par Jean-François Soulet (professeur d'histoire à l'Université Toulouse II, directeur du GRHI). In colloque "Reflets de la construction européenne" organisé par Bertrand Vayssière et le Groupe de Recherche en Histoire Immédiate (GRHI) du laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 22-24 septembre 2010. [colloque co-financé par l'Union européenne].Il est un fait que les débats sur l'appartenance et l'adhésion à la construction européenne ont gagné en intensité ces dix dernières années et qu'ils remettent en question bien des certitudes sur le bien-fondé de l'entreprise. Ce tournant de siècle a ainsi été "critique" pour une Europe bousculée dans ses fondements par des événements à même d'influer sur l'image qu'en ont les Européens. Ces derniers, singulièrement absents d'une aventure dont les fondements politiques avaient été oubliés au profit de la construction économique, ont ainsi eu l'occasion de revisiter, à la lumière, crue et parfois trompeuse de la crise, les mythes politiques relatifs à la citoyenneté, à la monnaie, en un mot au « vouloir-vivre » européen. Au terme du colloque, deux tables rondes sont consacrées, respectivement, à la place de l'Union européenne au niveau régional au travers de l'expérience de trois eurodéputés de la circonscription Sud-Ouest (France) et, d'un point de vue historique, à la puissance de l'Europe au plan mondial.1ère partie : L'adhésion populaire à l'Europe dans le Sud-Ouest : mythe ou réalité ? Table ronde suivie d'un débat avec le public.Intervenants- Christine De Veyrac, députée européenne UMP, circonscription Sud-Ouest, France.- Kader Arif, député européen socialiste- Gérard Onesta, vice-président du Conseil régional en charge des questions européennes et ancien vice-président du Parlement européen.2ème partie : Quelle place pour l'Union européenne dans les relations internationales ? Table ronde suivie d'un débat avec le public.Intervenants :- Le poids économique de l'Europe dans le monde aujourd'hui / Philippe Mioche, professeur et directeur du Master Études Européennes à l’Université de Provence, France (voir sa page personnelle).- Puissance et capacité de négociation de l'Europe dans les instances mondiales (OMC, OIT, OMS, Haut Commissariat aux Droits de l'Homme, FMI...) / Antoine Fleury, professeur émérite de l'Institut européen de l'Université de Genève, Suisse (voir sa page personnelle).- Relations internationales : l'exemple des relations entre l'Europe et la Russie / Leszek Kuk, Directeur du Centre Scientifique de l’Académie Polonaise des Sciences à Rome et Professeur à l’Institut des Relations Internationales de l’Université Nicolas Copernic de Torun (Pologne).- L'Union européenne et l'OTAN / Thierry Grosbois, Université du Luxembourg (voir sa page personnelle).- La politique de défense et de sécurité de l'Europe / Gérard Bossuat, professeur d'histoire et chercheur au labo "Identités, Relations Internationales et Civilisations de l'Europe (IRICE)" à l'Université de Cergy-Pontoise, France (voir sa page personnelle). Mot(s) clés libre(s) : citoyenneté européenne, diplomatie européenne, euroscepticisme, politique européenne de sécurité et de défense, relations Union européenne-Russie, Union européenne (crédits budgétaires et dépenses), Union européenne (parlement européen), Union européenne (politique économique), Union européenne (politique extérieure)
|
Accéder à la ressource
|
|
La Suisse dans la crise actuelle : gagnante ou victime ?
/ 31-01-2013
/ Canal-u.fr
VALLET Guillaume
Voir le résumé
Voir le résumé
Depuis le déclenchement de la crise actuelle en 2007, la Suisse a
beaucoup fait parler d’elle, surtout négativement : le secret bancaire,
l’évasion fiscale, les pressions sur le taux de change franc
suisse/euro, les discriminations à l’égard des ressortissants
européens… Ces critiques sont d’autant plus virulentes qu’elles
s’inscrivent dans un contexte économique dégradé où la Suisse semble
relativement moins impactée, voire florissante dans certains domaines,
donnant l’image d’une Suisse « profiteuse ». Pourtant, il convient de
nuancer ce constat car d’une certaine manière, la Suisse pâtit aussi de
la crise. C’est pourquoi, pour ses partenaires comme pour elle, une
sortie de crise par le haut ne pourra se faire que de manière collective
et négociée, en particulier en Europe. Mot(s) clés libre(s) : Suisse, crise économique (Europe)
|
Accéder à la ressource
|
|