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Titre
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Besoins et économie - Jean Gadrey
/ UTLS au lycée
/ 17-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée, GADREY Jean
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Une conférence de l'UTLS au LycéeBesoins et économie par Jean Gadrey(économiste)Lycée Diderot (62 Carvin) Mot(s) clés libre(s) : economie, entreprise, production
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Le développement durable - Natacha Gondran
/ UTLS au lycée
/ 14-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLe développement durable par Natacha GondranCFA CCI Vaucluse (84 Avignon) Mot(s) clés libre(s) : économie d'énergie, énergie renouvelable, pollution
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Le commerce équitable - Sylvain Allemand
/ UTLS au lycée
/ 09-02-2011
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLe commerce équitable par Sylvain AllemandLycée privé de Marcq (59 Marcq en Baroeul) Mot(s) clés libre(s) : économie, solidarité
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La mondialisation et l'Europe - Patrick Picouet
/ UTLS au lycée
/ 16-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLa mondialisation et l'Europe par Patrick PicouetLycée Sophie Berthelot (59 Calais) Mot(s) clés libre(s) : économie, frontière, union
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Besoins et économie
/ UTLS au lycée
/ 17-03-2011
/ Canal-u.fr
UTLS au lycée, GADREY Jean
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Une conférence de l'UTLS au Lycée
Besoins et économie par Jean Gadrey (économiste)
Lycée Diderot (62 Carvin) Mot(s) clés libre(s) : entreprise, économie, production, microéconomie
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L'économie verte : un nouveau modèle pour l'entreprise - Benoit de Guillebon
/ UTLS - la suite
/ 04-06-2009
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS - la suite
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Une conférence du cycle : "Développement durable, la croissance verte : comment ?"L'économie verte : un nouveau modèle pour l'entreprise par Benoit de Guillebon, Collège des hautes études de l'environnement et du développement durable Mot(s) clés libre(s) : développement durable, économie verte, entreprise
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Les Humanités pour quoi faire ? : ouverture du colloque
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
Université Toulouse II-Le Mirail
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Les humanités pour quoi faire ? : enjeux et propositions : ouverture du colloque. Colloque international organisé par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) en collaboration avec le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA). Université Toulouse II-Le Mirail, IUFM Midi-Pyrénées, 27-29 mai 2010. Intervenants : Nicole Belloubet (Vice-Présidente de la Région Midi-Pyrénées), Daniel Filâtre (Président de l'Université Toulouse II-Le Mirail), Marc Bru (Directeur de l'IUFM Midi-Pyrénées), Jean-Claude Carrière (professeur Université Toulouse II-Le Mirail), Marie-Hélène Garelli (professeur de latin et Vice-Présidente de l'UTM)..Les formations littéraires seraient, nous dit-on, en "perte d'attractivité". Les filières de Lettres, et tout particulièrement les filières de Lettres classiques, seraient de moins en moins adaptées aux nouvelles orientations de l'Université. Elles répondraient mal à un système d'attribution des moyens financiers désormais fondé sur l'activité et la performance. Mais, à ces constats chiffrés, d'autres chiffres et d'autres analyses peuvent être confrontés. Un article du Monde des 18/19 octobre 2009, annonçant une note du Centre d'Études et de Recherches sur les Qualifications (CEREQ) "De l'enseignement supérieur à l'emploi : voies rapides et chemins de traverse", a mis en perspective l'annonce de rénovation de la filière littéraire du lycée. En termes d'insertion professionnelle, les formations littéraires sont du côté de l'efficience : seuls 5% des littéraires sont au chômage trois ans après leur licence et leur "palette d'insertion" est large. Quant aux entreprises, elles commencent à se dire intéressées par les profils littéraires.Alors, quel regard porter sur ces formations ? Il est urgent d'engager un large débat susceptible de déboucher sur des propositions concrètes. Il est urgent de mener, au niveau national, une réflexion impliquant tous les acteurs et rassemblant Université, Lycées, Entreprises et monde du travail. Quelles sont les compétences du littéraire et comment les transférer ? Quels rôles jouent les humanités dans les rapports sociaux et interculturels ? Comment ouvrir les formations littéraires au monde de l'entreprise ? Comment réformer les filières au lycée, les parcours de formation à l'Université ?C'est à ces questions que tentent de répondre, par ces ASSISES des LETTRES, deux équipes de recherches de l'Université du Mirail, PLH et LLA, auxquelles se joignent Lettres, Philosophie, Musique, le CUFR Champollion d'Albi et l'IRPALL. L'IUFM de Toulouse participe activement à la réflexion et à l'organisation de cette manifestation. Théorie et expérience seront constamment sollicitées et confrontées. Les points de vue seront multiples : politiques, philosophiques, historiques, anthropologiques, économiques, pédagogiques. Plusieurs associations, impliquées dans une action de promotion des Lettres depuis de nombreuses années (APLAES, CNARELA, Sauver Les Lettres...) apporteront les éléments d'analyse et de propositions issus de leur riche expérience. Les entreprises seront présentes, pour parler des expériences innovantes d'insertion professionnelle des étudiants en Sciences Humaines : opération Phénix (soutenue par le Medef) qui réunit huit universités et neuf entreprises, Elsa portée par le CNAM et Sciences Po Paris, qui assure la promotion de diplômés en lettres et sciences humaines.Un Livre Blanc rassemblera analyses et propositions pour assurer la poursuite de la réflexion dans les années à venir. Mot(s) clés libre(s) : civilisation classique (étude et enseignement), économie de la connaissance, enseignement (politique publique), enseignement classique (France), enseignement des sciences humaines (débouchés), enseignement supérieur (réforme), langues anciennes (latin et
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Coteaux du Quercy : naissance d'un vignoble / Jean-Christian Tulet
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-01-2001
/ Canal-U - OAI Archive
TULET Jean-Christian
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Ce film retrace les étapes de la construction d’un nouveau vignoble qui couvre plus de 400 hectares et compte 120 producteurs. L’objectif initial a été de renforcer ce que l’on pourrait appeler une "polyproduction spécialisé" afin de mieux résister aux aléas conjoncturels. Très vite, ce nouveau vin, doté de règles très strictes de production, s’est révélé de grande qualité et a conquis une notoriété régionale incontestable. Le succès a fait boule de neige en attirant de nouveaux producteurs, intéressés par une bonne rémunération et un débouché presque assuré. Une coopérative a été installée à Montpezat de Quercy (Tarn-et-Garonne) pour ceux qui n’avaient pas les moyens de vinifier leur production.Vignerons indépendants et coopérateurs sont réunis dans une association très dynamique pour la promotion de leur vin. Tous ces résultats ont permis aux « Vins des coteaux du Quercy » d’obtenir, en 2000, l’appellation VDQS (vin de qualité supérieure) "Coteaux du Quercy". L’objectif des responsables de cette nouvelle appellation est de parvenir à la consécration suprême : accéder à l’appellation AOC. Mot(s) clés libre(s) : appellations d'origine (vin), coopérative viticole, produit agricole (commercialisation), Quercy (France), terroir (viticulture), vin de pays (Quercy), viticulture (aspect économique)
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Colombie, la fédération nationale des caféiculteurs : un empire menacé / Jean-Christian Tulet
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-02-2004
/ Canal-U - OAI Archive
TULET Jean-Christian
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C'est au XXe siècle seulement que la Colombie a rejoint les grands pays producteurs de café. Cette montée en puissance provient de la mise en place d'un très important front de colonisation intérieure, principalement à partir de la région de Medellin, qui occupe progressivement les vastes et nombreux versants montagnards situés plus au sud. Fondamentalement animée par de petits producteurs, cette colonisation à créé une identité nouvelle qui perdure encore très fortement aujourd'hui, celle du "païsa", le petit caféiculteur indépendant. L'autre élément favorable au développement et à la permanence de cette puissante caféiculture tient sans nul doute à l'existence de la Fédération Nationale des Caféiculteurs Colombiens (Federación Nacional de Cafeteros de Colombia).Le fonctionnement de cet organisme privé à fonctions publiques, né en 1927, a souvent été critiqué mais son existence et ses fonctions n'ont jamais été véritablement été discutées. La Fédération conserve un rôle majeur dans l'économie colombienne. Elle contrôle toujours l'essentiel de la filière nationale et assure la promotion des régions productrices. Toutefois la grave crise actuelle [la baisse des cours du café entre 1990 et 2004] remet en cause une partie des garanties qu'elle apportait aux caféiculteurs, alors que l'importance de celles-ci lui conférait une originalité certaine dans le monde des organisations nationales de producteurs. Face à la diminution de leurs revenus tirés de la production de café, les petits producteurs ont accru et diversifié la culture vivrière (banane, manioc, haricots, guanabana, etc).[Documentaire en version française avec entretiens en espagnol sous-titrés en français.]- Visionner aussi : "La caféiculture en Amérique Latine" (entretien filmé avec Jean-Christian Tulet, diffusé sur Canal-Géo). Mot(s) clés libre(s) : caféiculteurs (Colombie), caféiculture (aspect économique), colonisation intérieure (Colombie), commercialisation (produits agricoles), politique agricole (Colombie)
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Caféicultures. Venezuela. Le café malgré le pétrole / Jean-Christian Tulet
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 01-12-1998
/ Canal-u.fr
TULET Jean-Christian
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La caféiculture du Venezuela est l'une des plus vieilles de l'Amérique du Sud. Elle a été aussi l'une des plus importantes, ce pays ayant été le deuxième producteur mondial à la fin du XIXème siècle. Depuis cette période, se sont construits une société et un paysage dont les caractéristiques se repèrent encore actuellement : terroirs caféicoles bien identifiés, haciendas aujourd'hui abandonnées, parfois transformées en musées, vieux villages caféicoles, traditions de consommation beaucoup plus élaborées qu'ailleurs. En privilégiant les activités et la consommation urbaine, le pétrole a ruiné la caféiculture comme bien d'autres activités agricoles. Dès lors, la plupart des plantations n'ont fait que végéter. Toutefois, depuis une dizaine d'années, une renaissance se manifeste avec le développement de plus en plus rapide de plantations nouvelles en variétés à haut rendement. Le Venezuela juxtapose ainsi, parfois dans un même terroir, des formes de production très anciennes et des plantations très technicisées. Il apparaît aujourd'hui à la fois comme un conservatoire et comme un champ d'expérimentation de techniques nouvelles.[Version française : commentaire en français, entretiens en espagnol sous-titrés en français]. Mot(s) clés libre(s) : caféiculture (Amérique latine), production agricole, caféiculture (aspect économique), Venezuela
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