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Demain quelles technologies pour quelle défense ?
/ Mission 2000 en France
/ 20-09-2000
/ Canal-U - OAI Archive
HELMER Jean-Yves
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Face aux évolutions géostratégiques, face aux risques et opportunités des nouvelles technologies, face aux nouvelles formes de conflits, notre système de défense doit être aménagé en permanence. Les forces de transformation dynamique de nos sociétés et du monde sont porteuses de progrès mais elles mettent aussi en péril de fragiles équilibres. Les menaces sont plus diverses, moins maîtrisables, et les crises plus nombreuses et plus fréquentes. Les nouvelles technologies bouleversent les organisations, accélèrent le développement économique, mais créent aussi de nouvelles vulnérabilités. L'espace et les satellites qui le peuplent, le " cyberespace " qui tisse sa toile jusque dans notre intimité, pourraient bien devenir les champs de bataille de l'avenir pour de nouveaux agresseurs. Les affrontements du futur revêtiront les formes les plus diverses, où se mêleront probablement les armes les plus rustiques et les plus futuristes. Confrontés à ces évolutions majeures et face à un futur incertain, quels équipements pour la défense de demain ? Avec quelles technologies ? Comment les préparer ? À quel prix ? Avec qui ? Comment faire les bons choix ? Mot(s) clés libre(s) : besoins de défense, contrôle de l'espace, géostratégie, politique technologique, satellite, sécurité nationale, technologies de défense
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Espaces sanctuarisés aux États-Unis : introduction / Aurélie Guillain
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
GUILLAIN Aurélie
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Espaces sanctuarisés aux États-Unis : introduction / Aurélie Guillain, in Journée d'étude organisée, sous la responsabilité d'Aurélie Guillain, par le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS, axe "Poéthiques") de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 27 mars 2015.
* Illustration : "Jupiter terraces" (Mammoth Hot springs-Yellowstone), peinture de Thomas
Moran, 1893.
Cette
journée d'études se propose d'étudier les zones qui ont pu être désignées comme
des “espaces sanctuarisés” aux Etats-Unis, soit parce qu'elles ont fait l'objet
de certaines mesures de protection les soustrayant à la logique de la propriété
privée et de la libre exploitation des ressources naturelles (dans le cas des
parcs nationaux par exemple), soit parce qu'elles ont été considérées par des
écrivains nord-américains comme le lieu privilégié où peuvent s'exprimer des
valeurs religieuses ou spiritualistes. Le terme “sanctuarisé” connote ici une vision
sinon religieuse, du moins sacralisante, d'un espace où se manifeste une
hétérogénéité fondamentale : d'une part, l'espace profane, de l'autre, l'espace
sacré que des interdits spécifiques viennent protéger de l'espace profane et de
ses logiques propres.
Dans
la deuxième moitié du dix-neuvième siècle, l'expansion territoriale des
Etats-Unis s'est accompagnée de la création de parcs nationaux qui permettaient
d'empêcher la surexploitation des ressources naturelles du continent, mais
aussi de préserver la possibilité même, pour les citoyens des Etats-Unis, d'être
exposés à un environnement naturel perçu comme un espace peu modifié par l'être
humain – et ainsi de préserver une “relation originelle” avec le monde. Pour
certaines figures fondatrices telles que John Muir, la référence consciente à
la vision émersonienne de la “Surâme” se mêle à une version personnelle du
mysticisme chrétien et de la fonction sacramentelle de la rencontre avec la Nature.
Muir s'inspire également de l'exemple de Thoreau, qui prône non seulement la
création d'espaces protégés de la convoitise privée, mais aussi une certaine
attitude éthique et scripturaire devant le lieu naturel habité. Lorsque les écrivains nord-américains
contemporains décrivent tel lieu sous les espèces d'un espace sanctuarisé, il
n'est pas rare de percevoir des échos intertextuels avec les textes de Thoreau,
et le désir d'inscrire dans le langage l'expérience du numineux.
Cependant,
des débats récents ont mis en avant les diverses limites qui peuvent être
associées aux notions connexes d'“espace sanctuarisé”, de nature sauvage et de
“wilderness”. Certains auteurs ont suggéré que le terme de sanctuaire connotait
une vision européanocentrique des lieux qui tendrait à compartimenter l'espace
aussi bien que l'expérience (Hultkrantz, Hugues & Swan). Dans d'autres
débats récents, qui portent sur les stratégies de protection de la
biodiversité, la notion même d'espace sanctuarisé a pu être critiquée en faveur
d'une conception plus intégrée de la protection des espèces. Mais, avant tout,
c'est l'espace sauvage monumentalisé des parcs nationaux américains qui a pu
faire l'objet de critiques (Cronon) et même de traitements satiriques, dans la mesure
où l'image fabriquée d'une nature intacte peut revêtir une fonction rassurante
et anesthésiante dans le débat écologique et détourner l'attention des
géographies locales au profit de l'image mythifiée d'un paysage national
(Lopez).
L'objectif
de cette journée d'études est donc double : se pencher sur la manière
singulière dont l'expérience du numineux peut continuer de s'inscrire dans les
textes des écrivains nordaméricains, mais proposer également de faire le
point sur les réflexions philosophiques, historiques et géographiques qui
problématisent la notion même d'espace sauvage sacralisé. Mot(s) clés libre(s) : paysage dans la littérature, environnement (protection), protection des espaces naturels (Etats-Unis), parcs nationaux (Etats-Unis), philosophie de la nature, intégrité écologique, nature (esthétique)
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Univers, les mystères des origines
/ Journal du CNRS; N°228-229, ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 05-01-2009
/ Unisciel
Grousson Mathieu, Khalatbari Azar, Ter Minassian Vahé
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Un lien vers un dossier thématique du Journal du CNRS sur l'univers et
ses origines traité en six chapitres : les premiers instants, l'organisation du cosmos, la
naissance des galaxies, des étoiles et des planètes et l'apparition de la vie. Mot(s) clés libre(s) : univers, origine de l'univers, Big Bang, cosmologie, matière noire, rayonnement fossile, fond diffus cosmologique, espace-temps, galaxie, étoile, planète, système solaire, exoplanète
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Une approche géographique des images de l'art occidental
/ UTLS - la suite
/ 30-10-2002
/ Canal-U - OAI Archive
GRISON Laurent
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Notre travail unit un métier - celui de chercheur - et une double passion, celle de l'art et celle de la géographie. En mettant soigneusement les choses les unes à côté des autres, les unes avec les autres, comme dans la poésie mallarméenne ou sur une carte, nous choisissons de comprendre la géographie comme une dialectique du combinatoire qui a pour objet l'interprétation des lieux, des symboles et des signes, une science à la recherche de l'épissure entre l'espace réel et l'espace imaginaire. Étudier les figures géographiques dans les différentes formes d'art, c'est construire un pont entre plusieurs approches de la spatialité. La figure géographique - la représentation d'un carrefour ou d'une route, par exemple - est une forme fondamentale de l'espace. Elle détermine le sens des représentations. Nervure du réel, elle entretient des liens intimes avec l'espace géographique et correspond à des lois de l'organisation spatiale. La figure est une pièce de l'espace, qu'il soit espace réel et/ou espace imaginaire construit à partir du réel. Notre postulat de départ est que l'art est écriture créative de l'espace - même si, bien sûr, on ne peut réduire la création à cette seule caractéristique. Entre autres gestes, les artistes - écrivains, peintres, musiciens ou autres - narrent, projettent et reproduisent l'espace. Ils utilisent, façonnent et exposent des figures géographiques dans un processus de construction qui intègre des phénomènes d'imbrication et de transposition de celles-ci. Les différentes formes d'art n'entretiennent pas avec l'espace les mêmes relations mais il nous semble qu'aucune n'est plus spatiale qu'une autre par principe et que rien n'empêche de les considérer avec une même méthode rationnelle. Notre problématique centrale est la suivante : comment la création artistique use-t-elle des figures géographiques et quel sens leur donne-t-elle dans l'art occidental depuis la Renaissance ? Portant un regard à la fois géographique et sensible sur les oeuvres, nous mettons au jour quelques éléments d'une grammaire des figures dans l'art qui associe forme et sens. Le géographe est ici un déchiffreur de signes : représentations de l'espace, métaphores et symboles. Notre méthode est d'essence structuraliste : s'appuyer sur le contexte social et politique de la création d'une oeuvre, mesurer la transformation de la relation de l'art à l'espace, n'exclut pas de rechercher des éléments fondamentaux et universels. Mot(s) clés libre(s) : analyse spatiale (statistique), art et géographie, art occidental, création (esthétique), espace (art), géographie dans l'art, perception spatiale
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Espoir et théorie des catastrophes. L’intelligibilité : norme d’une science de l’acceptable ?
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 25-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
GOOTJES Luc
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Fondée dans les années 70 par le mathématicien René Thom, la théorie des catastrophes devient rapidement, malgré l’engouement qu’elle suscite, sujet de controverse et de critique. Visant à décrire les phénomènes discontinus à l'aide de modèles mathématiques continus, elle se définit comme un langage mathématique, un outil d’intelligibilité du monde mais son manque de rigueur et sa nature qualitative laissent sceptique positivistes et mathématiciens purs. Bien que ces critiques n’aient que partiellement entamé son expansion puisque ses domaines d’application s’étendent au fil du temps de la biologie aux disciplines de sciences humaines telles que l’éthologie et la psychologie (théorie de Harry Blum), elles sont à l’origine du désintérêt des chercheurs pour ce langage mathématique apte selon Luc Gootjes à relever de nouveaux défis scientifiques.La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2005-2006 sur le thème "L'espoir". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : caractéristique d'Euler-Poincaré, espace, espace multidimensionnel, langage mathématique, modèle dynamique continu, phénomènes discontinus, René Thom, théorie des catastrophes, topologie différentielle
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Turquie : les intellectuels dans l'espace public
/ 26-01-2016
/ Canal-u.fr
GOLE Nilüfer
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Nilüfer
Göle est sociologue, directrice d'études à l'EHESS. Ses recherches
portent sur l'espace public, et plus particulièrement sur les
controverses liées à la visibilité de l'Islam dans l'espace public
européen (alimentation halal, port du voile, rapport au sacré, etc.). De
2009 à 2013, elle a conduit l'étude EUROPUBLICISLAM autour des dynamiques d'européanisation de l'Islam.
Actuellement,
elle axe ses recherches sur la démocratie de l'espace public avec
l'émergence d'une nouvelle forme de protestation comme les mouvements de
Gezi Park (Turquie) et Maïdan (Ukraine). Elle développe la notion de citoyenneté performative.
Pour en savoir plus :
Nilüfer Göle, Musulmans au Quotidien. Une enquête européenne sur les controverses autour de l’islam, La Découverte, Paris, 2015.
Nilüfer Göle, Musulmanes et modernes : voile et civilisation en Turquie, Paris, la Découverte, 2003. Mot(s) clés libre(s) : liberté d'expression, globalisation, nationalisme, médias, intellectuels (activité politique), répression politique, espace public
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Table-ronde 3 - Crise de la démocratie
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 24-06-2015
/ Canal-u.fr
GAUCHET Marcel, BEC Colette, LOVELUCK Benjamin, BLAIS Marie-Claude, SCHNAPPER Dominique
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Marcel Gauchet en discussionJournée organisée par le CESPRAet Associaton des Amis de la Mention Etudes Politiques (AMEP)À l'occasion de sa dernière année de séminaire à l'EHESS, le CESPRA et
l'AMEP organisent une journée de débat autour de l'œuvre de Marcel
Gauchet et en sa présence. Il s'agit de mettre en perspective ses
principales propositions dans le cadre de trois tables rondes
thématiques : Religion, laïcité, fondamentalismes ; Mutations
anthropologiques de l'individu contemporain ; Crise de la démocratie.
Les interventions viseront autant à éclairer la fécondité des analyses
gauchetiennes qu'à les soumettre à discussion. Marcel Gauchet prendra
ainsi la parole à l'issue de chacune des tables rondes pour répondre aux
questions qui lui auront été posées, avant de prononcer la conférence
de clôture intituléeTable-ronde 3 - Crise de la démocratie
modératrice Dominique SCHNAPPER
Dominique OTTAVI et Marie-Claude BLAIS - L'enfant, l'école et la démocratie
Benjamin LOVELUCK - Les mutations de l'espace public médiatique
Colette BEC - Crise de l'État social et démocratie
réponse de Marcel Gauchet et débat avec le publicAmphithéâtre François Furet 105 Bd Raspail Paris, France (75006) Mot(s) clés libre(s) : Education, espace public médiatique, mutations sociales, crise, Etat
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Cafés des Sciences Nancy 2009 - A quoi sert la conquête spatiale ?
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 14-04-2009
/ Canal-U - OAI Archive
FRIPIAT Jean-Pol, BOUDON Vincent
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Les Cafés des Sciences sont organisés par les Universités de Lorraine en collaboration avec l’INSERM, l’INRIA et le BGA. Résumé : Après la Lune, la planète Mars ? Les études pour imaginer aller visiter la planète rouge se multiplient. Mais finalement, à quoi ça sert, tout ça ? Quels sont les vrais objectifs de la conquête spatiale, et ses apports pour notre quotidien ? Intervenants : Vincent Boudon, chercheur CNRS, Institut Carnot de Bourgogne (Dijon)Jean-Pol Fripiat, Maître de conférence à Nancy-UniversitéSCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Cafés des Sciences Nancy Université, conquête spatiale, espace, méthane, Nasa, planète naine, pleurodèle, robotique, satellite, système solaire
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Exploration scientifique et pédagogique de la maquette interactive de la Rome antique / Philippe Fleury, Sophie Madeleine
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 12-11-2014
/ Canal-u.fr
FLEURY Philippe, MADELEINE Sophie
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Exploration scientifique et pédagogique de la maquette interactive de la Rome antique / Philippe Fleury, Sophie Madeleine, in "Antiquité et nouvelles technologies", première partie du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 1 : Conservation, transmission"" animée par Corinne Bonnet et organisée par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès, 12 novembre.
Le mariage entre Antiquité et
nouvelles technologies permet aujourd’hui de questionner les documents et d’en tirer des résultats inédits, qui apportent au passé un surcroît d’intelligibilité. Il pose aussi, en raison de l’état fragmentaire de la documentation antique, des questions spécifiques sur le plan
méthodologique. Philippe Fleury, Sophie Madeleine les abordent dans cette communication en s’intéressant à un cas de nouvelles technologies appliquées à l’urbanisme de Rome. Grâce aux techniques de réalité virtuelle qui permettent de s'immerger un environnement donné, ils présentent une restitution interactive de la Rome ancienne de l'époque de l'empereur Constantin (IVe siècle après J.-C.) réalisée d'après une maquette en platre de l'architecte Paul Bigot qui fut léguée à l'Université de Caen. Mot(s) clés libre(s) : Rome antique, espace urbain, recherches scientifiques et innovations technologiques, réalité virtuelle en histoire
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Ce que sanctuariser veut dire : John Muir et les défis de la préservation / Yves Figueiredo
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
FIGUEIREDO Yves
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Ce que sanctuariser veut dire : John Muir et les défis de la préservation / Yves Figueiredo, in "Espaces sanctuarisés aux États-Unis - Visions of American Sanctuaries", Journée d'études organisée, sous la responsabilité d'Aurélie Guillain (axe « Poéthiques », laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes, CAS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 27 mars 2015.
Illustration : "Jupiter terraces" (Mammoth Hot springs-Yellowstone), peinture de Thomas
Moran, 1893.
Cette
journée d'études se propose d'étudier les zones qui ont pu être désignées comme
des “espaces sanctuarisés” aux Etats-Unis, soit parce qu'elles ont fait l'objet de certaines mesures de protection les soustrayant à la logique de la propriété privée et de la libre exploitation des ressources naturelles (dans le cas des parcs nationaux par exemple), soit parce qu'elles ont été considérées par des écrivains nord-américains comme le lieu privilégié où peuvent s'exprimer des valeurs religieuses ou spiritualistes. Le terme “sanctuarisé” connote ici une vision sinon religieuse, du moins sacralisante, d'un espace où se manifeste une
hétérogénéité fondamentale : d'une part, l'espace profane, de l'autre, l'espace
sacré que des interdits spécifiques viennent protéger de l'espace profane et de
ses logiques propres.
Dans cette communication, Yves Figueiredo présente la manière dont le processus de sanctuarisation opère dans le cadre particulier du parc national et montre son articulation avec l’œuvre poétique et l’engagement politique de John Miur, icône incontournable du mouvement environnemental aux Etats-Unis où il est considéré comme le « père »
des parcs nationaux. Il expose le rôle de l’administration fédérale en charge de la préservation du patrimoine historique américain, le National Park Service, qui ne gère pas seulement des espaces naturels protégés, il définit les notions de parc national et de paysage et l'évolution de ces notions. Il apporte égalemment un éclairage sur le concept de "sanctuarisation". Mot(s) clés libre(s) : parc national, protection des espaces naturels (Etats-Unis), parcs nationaux (Etats-Unis), politique de l'environnement (19e-20e siècles), John Muir (1838-1914), nature (esthétique)
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