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Une microesthétique du social : Proust en dialogue avec Tarde et Simmel
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
SIMON Anne, CARNEVALI Barbara
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Proust et les sciences sociales : allers-retours organisée par Marielle Macé et Anne SimonEHESS, 27 mars 2015, 9h-18h30Salle du Conseil, 190 avenue de France, 75013 ParisJournée organisée dans le cadre du projet « Arts, littérature et sciences sociales » célébrant les quarante ans de la création de l’EHESS Présentation, Marielle Macé (CNRS/EHESS) et Anne Simon (CNRS/EHESS) : Proust, une ressource pour les sciences sociales Barbara Carnevali (EHESS)« Une microesthétique du social : Proust en dialogue avec Tarde et Simmel» Mot(s) clés libre(s) : sociologie, esthétique, Marcel Proust (1871-1922), Tarde, Simmel
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Une approche géographique des images de l'art occidental
/ UTLS - la suite
/ 30-10-2002
/ Canal-U - OAI Archive
GRISON Laurent
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Notre travail unit un métier - celui de chercheur - et une double passion, celle de l'art et celle de la géographie. En mettant soigneusement les choses les unes à côté des autres, les unes avec les autres, comme dans la poésie mallarméenne ou sur une carte, nous choisissons de comprendre la géographie comme une dialectique du combinatoire qui a pour objet l'interprétation des lieux, des symboles et des signes, une science à la recherche de l'épissure entre l'espace réel et l'espace imaginaire. Étudier les figures géographiques dans les différentes formes d'art, c'est construire un pont entre plusieurs approches de la spatialité. La figure géographique - la représentation d'un carrefour ou d'une route, par exemple - est une forme fondamentale de l'espace. Elle détermine le sens des représentations. Nervure du réel, elle entretient des liens intimes avec l'espace géographique et correspond à des lois de l'organisation spatiale. La figure est une pièce de l'espace, qu'il soit espace réel et/ou espace imaginaire construit à partir du réel. Notre postulat de départ est que l'art est écriture créative de l'espace - même si, bien sûr, on ne peut réduire la création à cette seule caractéristique. Entre autres gestes, les artistes - écrivains, peintres, musiciens ou autres - narrent, projettent et reproduisent l'espace. Ils utilisent, façonnent et exposent des figures géographiques dans un processus de construction qui intègre des phénomènes d'imbrication et de transposition de celles-ci. Les différentes formes d'art n'entretiennent pas avec l'espace les mêmes relations mais il nous semble qu'aucune n'est plus spatiale qu'une autre par principe et que rien n'empêche de les considérer avec une même méthode rationnelle. Notre problématique centrale est la suivante : comment la création artistique use-t-elle des figures géographiques et quel sens leur donne-t-elle dans l'art occidental depuis la Renaissance ? Portant un regard à la fois géographique et sensible sur les oeuvres, nous mettons au jour quelques éléments d'une grammaire des figures dans l'art qui associe forme et sens. Le géographe est ici un déchiffreur de signes : représentations de l'espace, métaphores et symboles. Notre méthode est d'essence structuraliste : s'appuyer sur le contexte social et politique de la création d'une oeuvre, mesurer la transformation de la relation de l'art à l'espace, n'exclut pas de rechercher des éléments fondamentaux et universels. Mot(s) clés libre(s) : analyse spatiale (statistique), art et géographie, art occidental, création (esthétique), espace (art), géographie dans l'art, perception spatiale
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Tentatives de définitions du film documentaire (Penser le cinéma documentaire : leçon 2)
/ Pascal CESARO, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 01-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LIOULT Jean-Luc
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Leçon 1 : définitionsPartie 1 : Tentatives de définition du film documentaire- définir le documentaire occasionne un débat sans fin :- est-ce simplement l’« interprétation créative de la réalité » ?- le documentaire n’est pas un genre au sens des films de genre, caractérisés par leurs sujets ou leurs effets sur les spectateurs- il a une généalogie, il évolue au cours de l’histoire- il a une finalité particulière : donner à connaître- il véhicule bien souvent des valeurs (même contestables !), il a un but sérieux- ses caractéristiques formelles ne suffisent pas à le définir- on constate empiriquement qu’il correspond à certaines pratiques sociales (de production, de diffusion par exemple)- au plan anthropologique, c’est une production symbolique d’un type particulier [voir leçon 3 : "Théorie du documentaire" ]- dont il faut interroger la fonction à l’intérieur des groupes humains.- synthèse : le documentaire a pour objet de transmettre des connaissances, ce qui pose la question de ses modalités discursives et de sa poétique ; il relève de la non-fiction [voir leçon 3: "Théorie du documentaire"] ; il propose des images adéquates du réel.Partie 2 : Pour élargir la réflexion- pourquoi distinguer fiction et non-fiction ? la pensée post-moderne s’y refuse plutôt, mais une approche pragmatique prend acte de spécificités- la critique du dispositif cinématographique a été faite, on peut aujourd’hui la dépasser- en revanche le documentaire a bien une fonction politique : il s’agit en définitive d’interroger le monde- les images du réel sont toutefois l’objet d’une certaine ambivalence : on les juge fiables ou non selon les contextes où on les reçoit. Mot(s) clés libre(s) : analyse cinématographique, cinema, définition, documentaire, esthetique, fiction, réalité, réel, représentation, théorie du cinéma
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Styles vingtième siècle : la chair de la mode
/ Mission 2000 en France
/ 10-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BENAIM Laurence
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La mode s'accompagne de soubresauts saisonniers qui marquent l'époque de façon éphémère, vivent et meurent comme des cellules, elle est aussi une forme d'ascèse, et cache derrière ses frivoles apparences, des obsessions, liées au corps, à la peau, à la "ligne", à une forme d'élévation et de dignité de soi. L'accélération des rythmes, la multiplication des collections fait aujourd'hui partie intégrante d'un système de valeurs périssables. L'été 2001, le premier du troisième millénaire s'est révélé à Paris, lors des dernières collections sous le signe de la déchirure, de la lacération et du fétichisme. Les grands créateurs du vingtième siècle ont prouvé que la mode était non pas une affaire de saison, mais de regard : de Chanel à Yves Saint Laurent, nous tenterons de montrer combien la mode, tout en s'identifiant à des décennies précises, les dépasse, dans une quête d'absolu et de vérité qui rend à la beauté sa part de tragique. Ces obsessions appartiennent-elles au monde d'hier, où peuvent elles survivre à un art de vivre qui érige l'instant en valeur sacrée, et la déchirure en signe "créatif"? Au coeur de cette question, demeure le "corps", véritable caméléon qui n'a cessé de provoquer des révolutions culturelles et technologiques, au nom de la libération, de la protection, et du confort. Mot(s) clés libre(s) : chirurgie esthétique, culte du corps, haute couture, mode
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Style et colère : juger les formes de vie / Marielle Macé
/ Samir BOUHARAOUA, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 27-11-2015
/ Canal-u.fr
LAURICHESSE Jean-Yves, MACÉ Marielle
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Style et colère : juger les formes de vie / Marielle Macé, in séminaire Poéthiques organisé par Jean-Yves Laurichesse (laboratoire Laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire, équipe Littérature et Herméneutique- PLH-ELH) et Nathalie Cochoy (laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes-CAS), Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 27 novembre 2015.
Dans cette conférence, Marielle Macé tente de comprendre "en littéraire" la revendication qui lui semble
être la plus communément la nôtre aujourd'hui : celle qui consiste à
réclamer "d'autres manières de vivre", "d'autres formes de vie". Elle propose pour cela de réfléchir aux deux dispositions qui sous-tendent
cette revendication, et qui engagent la stylistique : celle qui consiste
à regarder la vie comme un engagement de formes (des manières d'être et
de faire, des gestes, des rythmes, des modes relationnels...), et celle
qui consiste à se risquer à poser sur ces formes un regard critique, à
engager son jugement et, souvent, sa colère. De Baudelaire à Boltanski,
d'Adorno à Pasolini, voir les formes de vie, ce fut toujours
les juger et en réclamer d'autres. C'est donc à cette critique
stylistique de l'existence que Marielle Macé s'attache, pour la
comprendre, la situer, en esquisser une histoire, en dire l'actualité.
* Illustration : "Your Words are my Power", peinture de William Sharpe (2015). Mot(s) clés libre(s) : littérature (esthétique), réception des oeuvres, lecture (influence), manière d'être (philosophie), style (esthétique), Pier Paolo Pasolini (1922-1975)
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Starfighter / Alain Josseau
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
JOSSEAU Alain
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Starfighter / Alain Josseau. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 2 : Les outils du visible. Les microscopes et leur imagerie : les filtres du réel et du visible, 9 décembre 2010. De la même manière que les objets nanométriques ont un rapport d’échelle avec notre monde appréhensible (1/1 000 000 000 ème de mètre), les outils de visualisation embarqués dans les opérations de combat ont un rapport de 1/10.000ème avec le mètre. L’appréhension des formes aux travers d’interfaces électroniques est sujette à caution et l’artiste prendra pour exemple l’événement surnommé "Collateral murder" survenu dans le quartier de Al Amin à Bagdad le 12 juillet 2007.> Communication suivie d'un débat avec le public. Mot(s) clés libre(s) : art contemporain (XXIe siècle), arts visuels et sciences, création (esthétique), imagerie scientifique (réception), nanosciences (influence)
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SFCO 2011 - Pourquoi reconstruire : aspects fonctionnels, aspects esthétiques
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 15-09-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LEYMARIE Nicolas
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SFCO 2011 - Pourquoi reconstruire : aspects fonctionnels, aspects esthétiquesIntervenant(s) : Nicolas LEYMARIE (Institut Gustave Roussy, Villejuif)Résumé : Aspects fonctionnels et esthétiques de la reconstruction. Principaux objectifs de la reconstruction en chirurgie oncologique.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du Cours National l’Association des Jeunes Chirurgiens Oncologues (AJCO) au Centre Régional de Lutte contre le Cancer (CLCC) de Nancy. Modérateurs : Jean-Marc CLASSE (Centre de Lutte Contre le Cancer René Gauducheau de Nantes) & Frédéric MARCHAL (Centre de Lutte Contre le Cancer Alexis Vautrin, Nancy)Réalisation, production : Canal U/3S – CERIMESMots clés : Cours National, SFCO, CRCL Nancy, chirurgiens, oncologues, qualité, esthétique, plasticien Mot(s) clés libre(s) : chirurgiens, Cours National, CRCL Nancy, esthétique, oncologues, plastic, qualité, SFCO
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Qu’est-ce-qu’une oeuvre d’art ? - Yves Michaud
/ UTLS au lycée
/ 23-02-2009
/ Canal-U - OAI Archive
MICHAUD Yves
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Une production artistique devient une œuvre d’art lorsqu'elle est acceptée comme telle par un milieu déterminé compétent. La qualification d’œuvre d’art n’est attribuée que sous certaines conditions d’acceptation du groupe social. L’œuvre d’art se définit donc différemment selon les époques et les lieux. Philosophe et spécialiste de l'art, Yves Michaud revient sur ces évolutions aux cours des siècles et des mouvements artistiques.Une conférence de l'UTLS au Lycée avec Yves Michaud (philosophe). Partenariat Région Auvergne Mot(s) clés libre(s) : art, chefs-d’œuvre, esthétique, histoire de l'art, philosophie de l'art
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Que font les artistes - Yves Michaud
/ UTLS au lycée
/ 05-02-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MICHAUD Yves
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L’activité artistique et esthétique ne se limite pas à la seule production d’une œuvre mais se prolonge au-delà dans l’impact qu’elle provoque. En effet, l’artiste produit de nombreux effets : émotionnels, moraux, cognitifs mais aussi sociaux. C’est à ce phénomène que s’intéresse ici Yves Michaud, professeur de philosophie et spécialiste d’art contemporain.Une conférence de l'UTLS au lycée avec Yves Michaud (philosophe). Lycée Emile Duclaux, Aurillac (15) Mot(s) clés libre(s) : art et morale, art et politique, art et religion, artistes, esthétique, philosophie de l'art, sociologie de l’art
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Qu'est-ce que le style
/ Mission 2000 en France
/ 30-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DARRIEUSSECQ Marie
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Style : " manière d'écrire ". C'est la définition que l'on trouve que l'on trouve dans la plupart des dictionnaires. " Style " est un mot fourre-tout qui semble désigner ce qu'on ne sait pas nommer dans l'écriture. Tenu à distance par la critique universitaire contemporaine, souvent utilisé par la critique journalistique à défaut d'un mot plus juste, " style " embarrasse plus qu'il n'éclaire. Occupons nous de son cas. Mot(s) clés libre(s) : esthétique, philosophie, style
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