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Yves, Lucy. Les PCEM2 de Nancy parrainés par Yves Coppens
/ Canal-U Médecine
/ 14-03-2006
/ Canal-U - OAI Archive
COPPENS Yves
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Yves Coppens est actuellement l'un des plus grands spécialistes français de l'évolution humaine
. Homme de terrain il a entrepris de nombreux chantiers de fouilles souvent fructueuses comme, par exemple, la découverte de la célèbre Lucy.
Homme de réflexion, il a développé plusieurs théories sur les hominidés et les panidae.
Homme tout simplement, il a su se remettre lui-même en cause et abandonner ses idées quand les faits étaient contre lui (East Side Story). Dans cette conférence, il retrace l'histoire de sa vie scientifique et de ses découvertes à travers des anecdotes..OrigineCanal U/Médecine 2006GénériqueConférencier : Pr. Yves Coppens Réalisation : F. Kohler. SPI-EAO. Fac. de Médecine de Nancy. Université Henri Poincaré Production : Canal U/Médecine SCD médecine Mot(s) clés libre(s) : anatomie, évolution humaine, hominidés, préhistoire
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Y-a-t-il une barrière entre l'homme et l'animal ?
/ UTLS - la suite, C.E.R.I.M.E.S.
/ 15-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
PROCHIANTZ Alain, LESTEL Dominique
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Alain ProchiantzLa question n'est pas "Être OU ne pas être un animal" mais "être ET ne pas être un animal"Qu'appelle t-on la "culture chimpanzée" ?Ce sont toujours les humains qui écrivent sur les chimpanzés et pas l'inverse !L'approche des biologistes : les différences entre les gènes humains et animaux (chimpanzés).La conscience, l'angoisse, la solitude.Dominique LestelComment caractériser l'homme par rapport à l'animal ?Les écrivains (exemple de Romain Gary), les philosophes, les scientifiques ont essayé de déterminer le "propre de l'homme".Le langage et ses caractéristiques, La bipédie, les critères intellectuels (le travail, l'outil...)Les humains sont ils aptes à se comparer à l'animal ? (difficultés conceptuelles, anthropomorphisme, ethnocentrisme)Un exemple d'ethnocentrisme : "Les oiseaux font-ils de la musique ?" Mot(s) clés libre(s) : animal, biologie du développement, comportement animal, darwinisme, ethnocentrisme, éthologie, évolution, génétique, génome, homo sapiens, primate, propre de l'homme, société animale
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Volcanisme et évolution de la vie sur terre
/ UTLS - la suite
/ 12-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
COURTILLOT Vincent
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Les causes les plus fréquemment citées des extinctions en masse des espèces biologiques comprennent les impacts d'astéroides, les éruptions volcaniques massives (traps), les variations du niveau de la mer, les événements anoxiques (plus d'oxygène dans les eaux profondes des océans), et aussi des mécanismes purement biologiques liés a la dynamique des espèces. Cet exposé fera le point sur les résultats récents concernant l'âge des principaux traps continentaux et océaniques et montrera un nombre croissant de corrélations avec les extinctions et les événements anoxiques. Seule la limite Jurassique-Crétacé (145 millions d'années) ne semble pas correspondre à un trap et pourtant il en existe un, le Parana en Amérique du Sud, de quelques millions d'années plus jeune (coïncidence ou erreur de datation?). Une des prédictions récentes couronnée de succès est la coïncidence entre les traps d'Emeishan et la fin du Guadalupien (il y a 258 millions d'années), et les traps de la limite Frasnien-Famennien (360 millions d'années) viennent peut être d'être trouvés, étendant la corrélation pratiquement "sans faute" au moins jusqu'au début du Dévonien. En contraste, l'impact de la limite Crétacé-Tertiaire, dont l'existence n'est pas mise en cause, reste à ce jour le seul cas bien établi d'un impact coïncidant avec une limite. La question est alors de savoir quelle aurait été l'amplitude de l'extinction coïncidant avec l'impact si la biosphère n'avait pas ete préalablement stressée par le volcanisme qui se poursuivait alors depuis quelques centaines de milliers d'années. Les variations du niveau de la mer, qui ne peuvent evidemment être associeés aux impacts, peuvent très bien l'être aux traps. Il semble donc que ce soit des "pulsations internes" caractéristiques de la dynamique du globe qui soient responsables la plupart du temps au Phanérozoique de ces brefs épisodes où ce ne sont plus les mieux adaptés mais les plus chanceux qui survivent. Mot(s) clés libre(s) : champ magnétique terrestre, disparition des dinosaures, éruption volcanique, évolution de la vie, extinction d'espèces, géologie, géophysique, lave, magma, météorite, tectonique des plaques, trapp, volcan, volcanologie
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Vivant et information
/ UTLS - la suite
/ 05-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
WEISSENBACH Jean
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pas de résumé Mot(s) clés libre(s) : ADN, ARN, catalyseur, enzyme, évolution, génétique, génome, histoire des sciences de la vie, information biologique, mutation, protéine, vie, vivant
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Végétaux : diversité, hybridation
/ UTLS - la suite
/ 15-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
MUGNIER Jacques
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En 1998, le Groupe sur la Phylogénie des Angiospermes (APG) publie une étude phylogénétique des plantes à fleurs en comparant des séquences de l'ADN chloroplastique. Ces taxonomistes moléculaires ne retiennent que les groupes strictement monophylétiques (c'est-à-dire descendant tous d'un ancêtre commun). Autant que possible, ils ont tenu à conserver les noms des ordres et des familles bien connus. Des études portant sur des gènes avec des fonctions différentes, la petite sous-unité de l'ARN ribosomique, le 18S, et les espaceurs internes transcrits, les ITS, ont abouti aux mêmes conclusions. Plus important encore, la classification moléculaire est basée sur des séquences consultables sur Internet (GenBank), accessibles à tous les chercheurs. L'ancêtre vivant des plantes à fleurs (the abominable mystery' de Darwin) est un arbuste de Nouvelle-Calédonie, Amborella. Les Welwitchia et Gnetum sont proches des Conifères et pas des Angiospermes. Les Monocots ont dérivé de plantes de type Magnolia. Les Dicots vraies comprennent les plantes dont les grains de pollen comportent trois pores. Les Dicots regroupent deux vastes ensembles naturels, les rosidées et des astéridées, et à leur base on trouve les Saxifragales et les Ranunculales. Quelquefois, les phénomènes de convergence et de simplification par retour vers un caractère primitif confèrent, à des espèces apparentées, une multiplicité d'apparences, totalement déroutante. Les études moléculaires ne sont pas une fin en soi, mais la première étape pour comprendre les processus de diversification des espèces végétales. Des phénomènes d'hybridation - on parle aussi d'introgression - peuvent survenir et avoir des implications évolutives très significatives. Les études de ces dix dernières années ont montré que l'hybridation et l'introgression, plus répandues dans le monde végétal que ce que l'on imaginait, peuvent conduire à la diversification rapide des espèces. La connaissance des relations phylogénétiques entre les espèces permettra de surveiller les risques de dissémination des transgènes. Mot(s) clés libre(s) : botanique, classification phylogénétique, coévolution, diversité végétale, évolution, gène, hybridation, phylogénie, plante à fleur, taxonomie moléculaire, transgène
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Théorie de l’évolution et créationnisme - Jean Gayon
/ UTLS au lycée
/ 13-12-2007
/ Canal-U - OAI Archive
GAYON Jean
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Une conférence de l'UTLS au lycéeLycée Lurçat (75013)Avec Jean Gayon (philosophe) Mot(s) clés libre(s) : Darwin, Evolution, génétique, religion
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Théorie de l’évolution et créationnisme - Jean Gayon
/ UTLS au lycée
/ 13-12-2007
/ Canal-u.fr
GAYON Jean
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Une conférence de l'UTLS au lycéeLycée Lurçat (75013)Avec Jean Gayon (philosophe) Mot(s) clés libre(s) : évolution, génétique, Darwin, religion
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Terre et vie
/ Jacques RAYNAUD, Christian ROCHE, Palais de la Découverte
/ 01-01-1999
/ Canal-U - OAI Archive
RAYNAUD Jacques, ROCHE Christian
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Un parcours recouvrant une période de 4,5 milliards d'années est jalonné de petits spectacles qui racontent les évolutions géographiques et biologiques de notre planète. Entre les spectacles des vitrines s'illuminent présentant l'enquète des géologues et leurs méthodes pour faire parler les témoins : roches et fossiles. A partir de l'ère primaire, une echelle géologique au sol, 1 mètre pour 10 millions d'années, donne des repères temporels.GénériqueRéalisation : Jacques Raynaud et Christian Roche Production : Laboratoire audiovisuel du Palais de la Découverte Copyright Palais de la Découverte 1999 Mot(s) clés libre(s) : dérive des continents, dinosaure, évolution, extinction d'espèces, fossile, géologie, glaciation, origines de la vie, Terre, vie
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Température
/ Observatoire de Paris
/ 02-09-2008
/ Unisciel
Mosser Benoît, Gerbaldi Michèle
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Troisième chapitre du cours "Fenêtres sur l'Univers"
Ce chapitre traite de phénomènes qui peu ou prou ont à voir avec un paramètre plus intime des objets, leur température. Il aborde, entre autres questions :
- La définition de la température effective stellaire.
- Le lien entre cette température et le spectre de l'étoile, puis le lien entre ce spectre stellaire et les autres propriétés de l'étoile.
- Les propriétés des étoiles, ordonnées selon un diagramme température-luminosité.
La question de l'évolution stellaire - comment les étoiles naissent, vivent et meurent - est alors abordée. Mot(s) clés libre(s) : température, étoile, luminosité, magnitude, évolution stellaire, effet Doppler, corps noir, classification spectrale, diagramme Hertzsprung-Russell
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Sur les traces de "Little Foot" / Laurent Bruxelles
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Bruno BASTARD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 07-10-2015
/ Canal-u.fr
BRUXELLES Laurent
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Dans cette conférence, Laurent Bruxelles, géomorphologue à l’Institut de recherches archéologiques préventives (Inrap) et chercheur au laboratoire TRACES à l'Université Toulouse Jean Jaurès, présente la découverte par Ronald Clarke de l'Australopithecus prometheus surnommé "Little Foot" [Petit Pied] et ses propres travaux en vue de la datation du squelette retrouvé dans une des grottes de Sterkfontein, près de Johannesbourg en Afrique du Sud.
Cette grotte située dans une région de dolomies constituées il y a 2,5 milliards d'années, sur des fonds marins peu profonds, a été creusée par les eaux sur 400 m. de galeries labyrinthiques étagées qui, en se comblant progressivement de sédiments, ont piégé de très nombreux fossiles. À la fin du XIXe siècle, les mineurs sud-africains exploitant la calcite des stalagmites des grottes, extraient également des vestiges osseux qu'ils signalent au paléoanthropologue Raymond Dart. Celui-ci mettra au jour, en 1924, le crâne fossilisé d'un jeune hominidé d'une nouvelle espèce, l'Australopithecus africanus, inaugurant une longue série de découvertes dans cette région, notamment celles de Robert Broom ("Mrs. Ples" en 1947), de Phillip Tobias (qui identifia l'espèce Homo habilis) et de Ronald Clarke, découvreur en 1997 de "Little Foot".
Jusqu'en 2006, en fonction de la méthode de datation utilisée, les résultats des études sur l'âge de "Little Foot" ont dérouté les spécialistes et c'est à la demande des anthropologues sud-africains que Laurent Bruxelles a reconstitué
l'histoire géomorphologique de la vallée de la Blauawbankspruit et de la grotte dans laquelle furent mis au jour les ossements. En étudiant la structure karstique, les brèches sédimentaires,
les inversions stratigraphiques ainsi que les modifications des planchers
stalagmitiques, il est parvenu à rassembler les données nécessaires à la datation de "Little Foot".
"Little Foot" a plus de 3,6 millions d'années et son squelette constitue un élément important pour la connaissance, d'une part, du groupe des pré-humains se situant antérieurement aux Parenthropes (Homo robustus) et aux Homo habilis et, d'autre part, la connaissance des origines et de l'évolution de
l’espèce humaine.
Conférence présentée dans le cadre de la Fête de la Science 2015, Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 7 octobre 2015. Mot(s) clés libre(s) : paléoenvironnement, évolution humaine, hominidés fossiles, fouilles archéologiques, grottes de Sterkfontein (Afrique du sud), géomorphologie karstique, datation cosmogénique, Australopithecus prometheus
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