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Le rôle des Médecins dans les CRCI
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 05-07-2007
/ Canal-U - OAI Archive
BACCINO Eric
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Un médecin passe en moyenne 12 journées à sièger et traite environ 16,50 dossiers. Les médecins viennent de toute origine, souvent syndicale. Ils recoivent les rapports et les lisent, posent des questions et discutent avec les autres membres du CRCI. Parfois leur évaluation est non reproductible car ils ne sont pas compétents pour juger du quotient doloris par exemple. On ne peut publier les décisions, il n'y a donc pas de jurisprudence. La France est un pays avant-gardiste en la matière avec la Nouvelle Zélande . Une formation à cette tâche serait la bienvenue. Mot(s) clés libre(s) : CRCI, dommage corporel, évaluation, expertise médicale, faute professionnelle, jurisprudence
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Bilan d'activité de l'ONIAM
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 05-07-2007
/ Canal-U - OAI Archive
GIBERT Sabine
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L'office national d'indemnisation des accidents médicaux fait son bilan cinq ans après la loi Kouchner.
Dans quel sens se prononce le juge ?
A ce jour, 60 millions ont été payés aux victimes, , auxquels s'ajoutent 30 millions d'euros de déduction de créances aux organismes sociaux.
L'ONIAM indemnise et joue le rôle du droit à réparation , mais organise aussi le dispositif de réglementation à l'amiable des accidents médicaux. Il indemnise de surcroît les victimes des maladies nosocomiales, et les transfusés hémophiles dans le cadre du VIH.11 000 dossiers sont traités chaque année, sur 100 dossiers, 25 sont jugés irrecevables. 34 % des 75 % restants sont rejetés. Depuis 2002 , 8500 expertises ont été diligentées. Les infections nosocomiales sont prises en charge quand elles représentent plus de 25 % d'IPP. Les délais sont passés de 6 mois à 9,2 mois pour traiter un dossier. Un référentiel d'indemnisation a été créé. Mot(s) clés libre(s) : accidents médicaux, expertise, faute professionnelle, indemnisation, infections nosocomiales, responsabilité médicale, victimes
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L'Ecole d'Été Méditerranéenne d'Information en Santé (EEMIS) : parasites de la décision médicale (6)
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 20-08-2005
/ Canal-U - OAI Archive
JUNOD Alain François
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Intervention de A.F. Junod. Les modulateurs et parasites de la décision clinique sont la personnalité du médecin, et son environnement, le patient. Beaucoup de facteurs concernant le médecin interviennent : l'âge, le sexe, les représentations, les biais et heuristiques, l'inertie clinique et l'attitude face aux symptômes inexpliqués. La peur de la faute professionnelle est liée au poids de la demande du patient. La décision partagée ou l'empowerment du patient peut avoir aussi une incidence sur la décision. Face à un patient difficile, le risque est d'alourdir les soins. Le médecin doit garder la responsabilité de sa décision tout en ayant conscience de ces influences.OrigineSystèmes d'information et décision en santé : Ecole d'été méditerranéenne d'information en santé (EEMIS), Corte, juillet 2005GénériqueSCD médecine Nancy Mot(s) clés libre(s) : aide à la décision, diagnostic, droits du patient, éthique, évaluation, faute professionnelle, ingénierie de la santé, norme, pratique médicale, qualité des données, raisonnement médical, rationalité, santé, SI, spécialisation, système d'information
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De la responsabilité civile contractuelle vers une responsabilité statutaire
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 05-07-2007
/ Canal-U - OAI Archive
PRONOST Hélène
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La responsabilité contractuelle existe t'elle encore? Aujourd'hui on parle d'ordre civil et contractuel. Avec la loi du 4 mars 2002, la situation est assez complexe.Le contrat touche la personne humaine. Il ne peut être conçu comme un consentement. Mot(s) clés libre(s) : assentiment, faute professionnelle, indemnisation, responsabilité contractuelle
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Evolution de la faute dans la jurisprudence
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 05-07-2007
/ Canal-U - OAI Archive
ROUGE Clotilde
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les bases de la jurisprudence ont été fixées en 1936.
Un expert est nécessaire pour estimer si un chirurgien ou un médecin est fautif.
la loi du 4 mars 2002 a instauré le régime d'indemnisation des accidents médicaux. Avant 1997 et en 2000 le juge utilisait la présomption de faute. Mais il faut distinguer le geste maladroit non fautif du geste fautif. Toute atteinte d'un organe n'est pas une maladresse fautive. Il est nécesaire cependant de maintenir le principe de responsabilité fondée sur l'erreur fautive. Mot(s) clés libre(s) : Droit médical, faute professionnelle, indemnisation, jurisprudence
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La loi sur l'indemnisation des accidenst médicaux en Belgique
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 06-07-2007
/ Canal-U - OAI Archive
TRICOT Jean-Pierre
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Depuis la loi d'avril 2007 en Belgique, la responsabilité médicale sans faute a été établie. Il existe trois types de responsabilité : la responsabilité civile, pénale et déontologique. On considère qu'il se produit 4000 sinistres par an. La faute civile est aussi une faute pénale en Belgique. L'objectif de la loi est juste d'indemniser le patient et de supprimer la faute. La demande doit être adressée dans les cinq ans. Il est difficile de dissocier la faute de la négligence. On peut rayer un médecin d'une compagnie d'assurance. Le coût actuel avec les responsabilités civiles est de 25 millions d'euros. Parfois la réparation est impossible en cas de dommage grave. Mot(s) clés libre(s) : faute professionnelle, indemnisation, responsablité médicale, XIème séminaire de Droit médical
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