Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
7 - ARTS ET CONNAISSANCE - Arts et savoirs
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 20-06-2015
/ Canal-u.fr
SAPIRO Gisèle, JUDET DE LA COMBE Pierre, BENSA Alban
Voir le résumé
Voir le résumé
Arts, littérature et sciences socialesColloque organisé à l’occasion du 40e anniversaire de l’EHESS7 - ARTS ET CONNAISSANCE- Arts et savoirs
Modération : Gisèle Sapiro
avec :
Pierre Judet de la Combe La forme comme savoir, sur Homère et la tragédie grecque
Alban Bensa En quoi l'écrivain peut-il être aussi ethnographe ?Antoine Lilti La littérature est-elle une science sociale ? Retour sur « Les savoirs de la
littérature » (2010)
Si les sciences humaines et sociales se sont constituées en s'arrachant à la littérature, celle-ci est devenue, tout comme l'art, la musique, le théâtre et le cinéma, à la fois une source et un objet à part entière de l'histoire, de la sociologie, de l'anthropologie, de la philosophie, du droit, voire de l'économie, qui dialoguent plus ou moins avec les disciplines spécialisées dans ces domaines, à savoir les études littéraires, l'histoire de l'art, la musicologie, les études théâtrales et cinématographiques. Mais l'apport des arts et de la littérature aux sciences humaines et sociales ne se limite pas à leur usage comme source ou leur constitution comme objet. Ils contribuent à structurer notre perception, nos catégorisations cognitives et nos valeurs, donc notre connaissance du monde et nos formes de vie. A l'inverse, les arts et la littérature n'ont cessé de se nourrir des sciences humaines et sociales. L'EHESS a joué et joue encore aujourd'hui un rôle pivot dans ce dialogue interdisciplinaire. Son anniversaire est l'occasion de dresser un état des lieux des acquis de ce dialogue.
OrganisateursEsteban Buch (musicologie, EHESS-CRAL)Dinah Ribard (histoire, EHESS-GRIHL)Karine Le Bail (histoire, EHESS-Centre Georg Simmel)Gisèle Sapiro (sociologie, EHESS-CESSP)Jean-Marie Schaeffer (études littéraires, esthétique, EHESS-CRAL)
Colloque co-organisé par le CESSP, le CRAL, le GRIHL et le Centre Georg Simmel Mot(s) clés libre(s) : fiction, narration, ethnographie, poésie grecque
|
Accéder à la ressource
|
|
Cafés des Sciences Nancy 2008 - La science à l'écran : entre fiction et réalité
/ Canal-U Médecine, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 11-03-2008
/ Canal-U - OAI Archive
THOMINE Philippe, Kleiner Véronique, SCHMULEVITCH Eric, FLAMENT Stéphane
Voir le résumé
Voir le résumé
Organisés par les universités de Lorraine en collaboration avec l’INSERM, le CNRS, l’INRIA et l’INRA.Résumé : Pour annoncer le festival du Film du Chercheur, qui se tenait du 25 au 29 mars 2008 derniers, les Cafés des Sciences de Nancy posaient la question de l'image de la science. Les genres sont multiples - documentaire, fiction, docu-fiction. Entre effets spectaculaires et validité scientifique, jusqu'où peut-on se fier à ce que l'on voit ?Intervenants : - Philippe Thomine, réalisateur de documentaires - Véronique Kleiner, réalisatrice du documentaire "Au coeur de la cellule" - Eric Schmulevitch, enseignant-chercheur à l'IECA, Université Nancy 2- Stéphane Flament, enseignant-chercheur au laboratoire de Biologie Expérimentale, Université Henri Poincaré SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : biologie, Cafés des Sciences Nancy Université, documentaire, expérience, fiction, microscopie, recherche, science
|
Accéder à la ressource
|
|
Cinéma, Télévision : entre réalité et fiction
/ UTLS - la suite
/ 15-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
JOST François
Voir le résumé
Voir le résumé
Tout le monde sait à peu près ce qu'est mentir. Chacun trace la frontière entre ce qu'il vit et ce qu'il invente. Même pour la fiction, qui prête à bien des discussions depuis quelques dizaines de siècles, il est possible de s'accorder sur une définition minimale comme « création, invention de choses imaginaires, irréelles » (Larousse 1996). D'où vient alors que, dès qu'intervient l'image, nos certitudes vacillent ? Les uns affirment sans ambages que les images mentent, les autres qu'elles sont manipulées, d'autres que, dès qu'il y a récit, il y a fiction. D'où vient la fiction, s'agissant de l'image animée ? De l'image elle-même ? De ses utilisateurs ? du récit ? Pour répondre à cette question, il faut interroger aussi bien les façons dont nous regardons les images que les croyances qui s'y rattachent. Dans un premier temps, de l'examen des divers sens que l'on donne au terme fiction depuis Platon se dégagent trois figures - l'imitateur, le menteur, la faussaire -, qui révèlent aussi trois façons pour les images d'être signes. Cette classification n'est pourtant pas qu'un premier pas pour comprendre comment réalité et la fiction s'entrecroisent sur nos écrans depuis quelques années : qu'il s'agisse de la retransmission télévisée en direct du 11 septembre, de Blair Witch ou, encore, de la télé-réalité, les fluctuations de la réception ont montré que les croyances jouent un rôle bien plus déterminant que les savoirs sur l'image dans son interprétation. Comment se structurent ces croyances, que visent directement les promesses que font au public les producteurs et les diffuseurs par le biais de la publicité et de la promotion ? Pour répondre à cette question, on se propose, dans un second temps, d'explorer les mondes de l'image qui construisent le terrain commun à la conception, la structuration et la réception des documents audiovisuels. Mot(s) clés libre(s) : communication visuelle, interprétation des images, perception des images, sémiotique et audiovisuel, sémiotique et cinéma, sociologie visuelle, télévision, théorie de la fiction, vérité et mensonge
|
Accéder à la ressource
|
|
Débat sur la mise en scène documentaire (Penser le cinéma documentaire, leçon 4, 2/2)
/ Pascal CESARO
/ 05-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
NINEY François
Voir le résumé
Voir le résumé
Un débat organisé à partir de l'ouvrage de François Niney : "Le documentaire et ses faux-semblants" qui interroge la nature des images à la télévision et au cinéma. A quoi reconnaît-on un documentaire ? Qu'est-ce qui distingue, à l'écran, le monde réel d'un monde fictionnel ? Entre ceux qui croient aveuglément à l'objectivité des prises de vue (actualités ou archives) et ceux qui leur dénient toute vérité, n'y voyant que "mise en scène", le chemin est étroit et parfois sinueux (du fait que s'y croisent réel et imaginaire) mais c'est celui que ce livre cherche à tracer. Aucune prise de vue ne saurait à elle seule prouver un quelconque événement, mais elle montre bien quelque chose du monde à un certain moment (c'est toute la magie du cinématographe). Il convient donc de l'interroger sur son sens, sur ce qu'elle a capté, voulu montrer, sur les circonstances qui la commandent et qu'elle relatent plus ou moins, et comment elle se donne à croire au spectateur (on ne croit pas de la même façon à ce que raconte "La mort aux trousses" ou "Le chagrin et la pitié" ; le « comme si » de la fiction qu’on accepte diffère du « comme ça » du documentaire qu’on peut mettre en doute). Il s'agit donc de clarifier la distinction (et parfois le mélange, amusant ou douteux) entre documentaire et fiction, en s'appuyant sur des exemples, pour élargir la palette des traits discriminants (ou communs). Ce n'est pas seulement la nature — supposément réelle ou imaginaire en soi — de ce qui est filmé qui va déterminer le caractère documentaire ou fictionnel du film, c'est tout autant la relation du filmeur au filmé, le patage des points de vue à travers l’objectif, la tournure de la mise en scène et du montage, la façon qu'a le film de s'adresser au spectateur, de l'entraîner à voir à l'écran notre monde commun ou un monde ajouté ("inventé"), de se faire comprendre comme une énonciation sérieuse (documentaire) ou feinte (fictive)... Sans compter qu'il y a bien des usages documentaires de la fiction (commenté par le réalisateur ou le chef décorateur, à la façon de certains bonus de DVD, un film devient ipso facto un document sur son propre tournage), tout comme il y a certaines fictions qui feignent de n'en être pas et, pour des raisons propagandistes ou commerciales, voudraient bien nous faire croire que "ça s'est vraiment passé comme ça" ! Mot(s) clés libre(s) : analyse esthétique, cinema, documentaire, fiction, imaginaire, mise en scène, réalité, réel, représentation, télévision, théorie du cinéma
|
Accéder à la ressource
|
|
Galaxie et autorités militaires
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
M. Luc Klein
Quel rapport entre Star Wars et le droit ? A priori, aucun. Et pourtant, les membres de l’association MédiaDroit font le pari de prendre Luke Skywalker, Han Solo, maître Yoda et autre R2-D2 comme objets d’étude sous un prisme juridique.
Le projet a bénéficié du soutien des IdEx dans le cadre du programme d’Investissements d’avenir. Mot(s) clés libre(s) : droit, fiction
|
Accéder à la ressource
|
|
How anger makes people show their true colors (Quand la colère fait tomber les masques) (English subtitles)
/ Thomas Grosperrin, AUNEGE, Université Paris I Panthéon-Sorbonne
/ 25-01-2012
/ Canal-u.fr
PELLISSIER-TANON Arnaud, JACQUINOT Philippe
Voir le résumé
Voir le résumé
How anger makes people show their true colors is a filmed educational case. This
medium-length film comes along with an educational note, available (in french) on
the associated interactive educational space: Quand la colère fait tomber les masques. Prize of the best experiment filmed to the Festival of the educational university movie.Sonia Ricard was recruited
as product manager for a multinational company for alimentation, which
used to be a family business and has kept its paternalist culture. But
then the group estimates its profitability is too low, renews the
management team and launches a restructuration. The new marketing
executive freezes Sonia off with his “smiling mask”, but the new CEO
plays on proximity and wins her trust. However, a few months later, the
head of human resources announces to Sonia, she will be dismissed,
without the caution she would have expected. She feels betrayed by her
superiors, anger takes her, and she takes advantage of a delay to get
involved in a trade union. This move generates a misunderstanding, and
anger in return, for her managers. Then will follow three years of an
epic fight. The pedagogic case study movie, thus beholds the
experimental feedback of a person, wounded in her need for love, in the
sense of Maslow. It focuses on the moment of this wound, precisely the
denial of talk, felt like a personal injustice, when a great
consequences decision is announced (organizational behavior theories
call it the Churchill effect). The case sketches the consequences of
this, on personal and collective grounds. It suggests ideas for a
solution. Mot(s) clés libre(s) : fiction, Human resources management, Ethics in company, Filmed case study
|
Accéder à la ressource
|
|
Introduction au droit canonique Jedi
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
M. Antonin Forlen
Quel rapport entre Star Wars et le droit ? A priori, aucun. Et pourtant, les membres de l’association MédiaDroit font le pari de prendre Luke Skywalker, Han Solo, maître Yoda et autre R2-D2 comme objets d’étude sous un prisme juridique. Le projet a bénéficié du soutien des IdEx dans le cadre du programme d’Investissements d’avenir. Mot(s) clés libre(s) : droit, fiction
|
Accéder à la ressource
|
|
Invention fictive : la revanche des geeks
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
M. Jean-Baptiste Varoqueaux
Quel rapport entre Star Wars et le droit ? A priori, aucun. Et pourtant, les membres de l’association MédiaDroit font le pari de prendre Luke Skywalker, Han Solo, maître Yoda et autre R2-D2 comme objets d’étude sous un prisme juridique. Le projet a bénéficié du soutien des IdEx dans le cadre du programme d’Investissements d’avenir. Mot(s) clés libre(s) : droit, fiction
|
Accéder à la ressource
|
|
La congélation dans de la carbonite, nouvelle sanction au non-remboursement d’une dette ? L’exemple d’Han Solo
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
M. Jérôme Lasserre Capdeville
Quel rapport entre Star Wars et le droit ? A priori, aucun. Et pourtant, les membres de l’association MédiaDroit font le pari de prendre Luke Skywalker, Han Solo, maître Yoda et autre R2-D2 comme objets d’étude sous un prisme juridique. Le projet a bénéficié du soutien des IdEx dans le cadre du programme d’Investissements d’avenir. Mot(s) clés libre(s) : droit, fiction
|
Accéder à la ressource
|
|
La fiscalité de la galaxie
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
M. Thierry Schmitt
Quel rapport entre Star Wars et le droit ? A priori, aucun. Et pourtant, les membres de l’association MédiaDroit font le pari de prendre Luke Skywalker, Han Solo, maître Yoda et autre R2-D2 comme objets d’étude sous un prisme juridique. Le projet a bénéficié du soutien des IdEx dans le cadre du programme d’Investissements d’avenir. Mot(s) clés libre(s) : droit, fiction
|
Accéder à la ressource
|
|