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Liberté, Egalité, Fraternité
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 08-11-2006
/ Canal-U - OAI Archive
DE MONTGOLFIER Eric
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Héritage du siècle des Lumières et principal pivot de la rhétorique républicaine, la devise « Liberté, Egalité, Fraternité » est malmenée dans notre société : - la liberté est refrénée par la loi- le combat des plus puissants contre les plus faibles reste toujours de mise- et au regard de l’un, l’Autre n’existe pasA-t-on oublié ce qu’elle voulait dire ? Que voulons-nous en faire ? Il dépend de la volonté de chaque citoyen de s’emparer de cette devise et de trouver une solution à sa condamnation.La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2006-2007 sur le thème "L'autre". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : devise française, justice sociale, liberté, lois (applications)
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Le café
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN
/ 07-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
DAVIRON Benoît
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Histoire mondiale de la colonisation : les matières premières Le café, par Benoît Daviron Depuis ses débuts en 2006, l’Université populaire étudie l’histoire mondiale de la colonisation. Cette longue séquence d’au moins cinq siècles a déjà été traitée de manière chronologique à partir des premiers navigateurs portugais, puis en étudiant les dates cruciales de la colonisation depuis la Renaissance ; et enfin à travers l’histoire des métissages. Pour sa quatrième année,l’histoire de la colonisation sera traitée successivement sous deux angles: les matières premières,avec 11 conférences entre septembre 2009 et février 2010, puis les archétypes, clichés issus de la colonisation, dont la série commencera en avril 2010. Au programme de l’automne et de l’hiver, le cycle de l’histoire mondiale de la colonisation vous entraîne donc dans un voyage au long cours sur les chemins des matières premières. La découverte et le commerce de ces ressources ont en effet modelé les relations entre pays colonisateurs et colonisés, longtemps après la décolonisation et encore aujourd’hui. Historiens, économistes et ethnologues explorent les parcours du poivre (par Philippe Chalmin), de l’arachide au Sénégal (par Marc Michel), du cacao (par François Ruf), du coton (par Erik Orsenna), de la bauxite à l’aluminium (par Francis Gutmann), du nickel en Nouvelle-Calédonie (par Alban Bensa), du café (par Benoît Daviron), du sucre (par Philippe Chalmin), de l’opium (par Xavier Paulès), du riz (par Mamadou Fall), ou encore du pétrole (par Jean-Marie Chevalier). Mot(s) clés libre(s) : café, caféiculture, caféier, colonialisme, colonisation, esclavagisme, histoire coloniale française, histoire du café, matière première, plantation
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Fondation Croix-Rouge française 2015 : Ouverture - Darcos
/ 01-10-2015
/ Canal-u.fr
DARCOS Xavier
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Colloque de 2015 de la fondation Croix Rouge Française : Travail et lien social.
Intervenant : Xavier DARCOS, Ancien Ministre du Travail, Secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences Morales et Politiques, membre de l’Académie française
Ce colloque a pour objet d’apporter une réflexion pluridisciplinaire et pluraliste au sens donné au terme de « travail » au coeur de l’organisation sociale, en tenant compte des montées de l’individualisme, des mutations familiales, mais aussi du respect des droits des personnes en situation de vulnérabilité. Il convient de repenser la transversalité des politiques sociales en intervenant sur les fragilités créées par certaines conditions de travail. Un autre défi consiste à réviser la notion de solidarité en proposant des actions solidaires innovantes susceptibles d’assurer la formation et l’accompagnement des personnes en situation de vulnérabilité professionnelle réelle ou prévisible.
Les auteurs n’ont pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.
Conférence enregistrée lors du colloque organisé par la Fondation pour le lien social Croix-Rouge française le jeudi 1er octobre 2015 à la Cité internationale Universitaire de Paris sur le thème "Travail et lien social".
Réalisation, production : Canal U/3S Mot(s) clés libre(s) : lien social, travail, Paris, Fondation pour le lien social, Croix-Rouge française, 2015, emploi, chômage, famille, santé
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Travailler en LSF : outils et logiciels vidéos : atelier 1 / Brigitte Dalle, Pôle de recherche signes tolosan (Presto)
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
DALLE Brigitte
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Travailler en LSF : outils et logiciels vidéos : atelier 1 / Brigitte Dalle, Pôle de recherche signes tolosan (Presto, IRIT), in "Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du
français écrit", journée d'études organisée conjointement par l'École
supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE, Toulouse), le département Sciences du langage et le laboratoire Cognition, Langues, Langage, ergonomie,
Équipe de Recherche en Syntaxe et Sémantique (CLLE-ERSS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15 novembre 2014.
[Conférence en français, traduite en langue des signes française par Patrick Gache, échange avec le public traduit du français en langue des signes par Katia Abbou]. Mot(s) clés libre(s) : technologies éducatives, langue des signes française, étude et enseignement (aides audiovisuelles et informatiques)
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Didactique du français en LSF au secondaire : atelier 3 / Brigitte Dalle
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
DALLE Brigitte
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Didactique du français en LSF au secondaire : atelier 3 / Brigitte Dalle, in "Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit", journée d'études organisée conjointement par l'École supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE, Toulouse), le département Sciences du langage et le laboratoire Cognition, Langues, Langage, ergonomie,
Équipe de Recherche en Syntaxe et Sémantique (CLLE-ERSS)
de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15 novembre 2014.
[Conférence en français, traduite en langue des signes française par Katia Abbou et Gaëlle Eichelberger]. Mot(s) clés libre(s) : didactique des langues, enfants sourds, langue des signes française, étude et enseignement (secondaire)
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"L'esclave vieil homme et le molosse" ou la restructuration du paysage intime d'un roman des Amériques / Corina Crainic
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 10-10-2014
/ Canal-u.fr
CRAINIC Corina
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"L'esclave vieil homme et le molosse" ou la restructuration du paysage intime d'un roman des Amériques / Corina Crainic. In "Patrick Chamoiseau et la mer des récits", colloque international organisé par le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8-10 octobre 2014. Thématique 6 : Esthétiques naratives et récits des Amériques.Si
les romans qui le précèdent se préoccupent d’abord du sort commun des
Martiniquais et s’attachent à mettre en relief la richesse, la diversité et la
beauté antillaises de manière à parer au legs esclavagiste, "L’esclave vieil homme et le molosse" met en
scène l’avènement de préoccupations autres, qui relèvent davantage du désir
d’une libération intime que de la sauvegarde ou de la réhabilitation d’un
peuple. Ce désir, exploré d’ailleurs aussi dans "Un dimanche au cachot", "L’empreinte
à Crusoé" et "Le papillon et la lumière",
éloigne le discours des effondrements et des éventuelles solutions en contexte
postcolonial. Il l’éloigne aussi d’une pensée du devenir commun, d’un projet
social, de revendications et d’invitations à une réflexion quant aux manières
d’habiter et de penser le monde en général et la Martinique en particulier. Ou
encore, s’il y a invitation à penser et à habiter le monde différemment, et
surtout plus intelligemment, plus sensiblement ou plus poétiquement, elle est
adressée à ce que l’être humain comporte de plus solitaire et de plus profond,
comme si la révolution appelée ne pouvait correspondre qu’à une intimité
envisagée comme la seule instance pouvant soutenir un projet d’une telle
envergure. Le roman entame aussi un mouvement relevant du roman des Amériques
ou d’une américanité se définissant d’abord et surtout par un désir de la
métamorphose inséparable de celui de la solitude, sinon même d’une
individualité définie non pas comme une pulsion narcissique destructrice ou
stérile mais plutôt comme la condition même de la connaissance et de la
plénitude. Corina Crainic étudie donc les manières dont s’expriment ces
préoccupations, ce qu’elles révèlent de la pensée de l’écrivain et la place
qu’elles occupent parmi des idées, idéaux, fantasmes ou lucidités d’écrivains
des Amériques tels que William Faulkner et Alejo Carpentier.
[Illustration adaptée de "Mystery River", photographie de Mattias Ripp, 2014, publiée sur Flickr]. Mot(s) clés libre(s) : Patrick Chamoiseau (1953-....), littérature antillaise de langue française
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Chamoiseau et après ? / Jean-Louis Cornille
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 08-10-2014
/ Canal-u.fr
CORNILLE Jean-Louis
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Chamoiseau et après ? / Jean-Louis Cornille. In "Patrick Chamoiseau et la mer des récits", colloque international organisé par le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8-10 octobre 2014. Thématique 1 : Situation de Chamoiseau.
Cette communication évoque l'œuvre de Chamoiseau qui, à mesure qu’elle déployait ses fastes, n’a guère éprouvé de mal à susciter les lectures qu’elle méritait. Attentives et bienveillantes, celles-ci se contentaient de la suivre ou de l’accompagner (plus rarement s’efforçaient-elles de la précéder). Mais aujourd’hui c’est d’une certaine façon, malgré toutes les ouvertures auxquelles elle invite, une œuvre close, c’est-à-dire faite. Et à travers elle, ne dirait-on pas que son auteur a lui-même réussi sa dernière mue : d’« idiot » (« Chameau, oiseau ») qui plagiait les grands auteurs, puis de « petite personne » qui s’insurgeait contre eux (« Chamoiseau »), il est devenu « artiste » à part entière (« Cham »), et même un rien « chaman ». Le rebelle s’est mué en artiste, le révolté en amnésique. Il ne s’agit plus dès lors pour lui d’habiter son œuvre, mais d’en faire une île à nouveau déserte, c’est-à-dire ouverte à tous ceux qui viendront y échouer et feront, avec ses débris épars, œuvre à leur tour (afin de l’abandonner aussitôt, en bande, ce qui est encore une façon de la donner en abondance). La voici donc îlot flottant dans une mer de récits (Rushdie) : se séparant des autres (et non le moins du grand continent littéraire), tout en émergeant des profondeurs océaniques. Agir en artiste (Deleuze), c’est à la fois se séparer des autres desquels on continue de se sentir « solidaire », et devenir créateur « solitaire » : être solaire qui, tel le faux Robinson, se tient à la limite entre terre et mer. Dans le reflux. Mais jusqu’où refluer, rebrousser chemin ? On en revient forcément aux premiers écrits publiés dans lesquels se fomentait la révolte. Contre le père, les fils se sont liés, en formant une alliance, certes éphémère, qui ne devait pas se limiter aux seuls essais, comme en témoigne d’emblée Chronique, autant dire les tout premiers mots de l’œuvre : « En vous confiant qui nous étions, aucune vanité n’imprégnera nos voix » : manière de nous signaler que cette première œuvre fut écrite en complicité avec le premier roman de Confiant, Le Nègre et l’Amiral, qui semble presque s’en être dégagé comme d’une gangue. Cependant, l’auteur lui-même ne nous précède-t-il pas sur cette voie de relecture ? N’a-t-il pas atteint un point à partir duquel son œuvre ne peut guère plus que refluer sur elle-même ? A mesure qu’elle avance, elle se retourne sur soi, d’un geste tout sauf orphéen, puisqu’elle s’y constitue : sous la « sentimenthèque » gît une autothèque. C’est ainsi qu’on voit Biblique des derniers gestes mimer le titre du premier roman ; ou L’Empreinte à Crusoé reprendre les « chutes et notes » rejetées du même Chronique des sept misères ; ou encore Un dimanche au cachot revenir sans arrêt sur Le vieil homme esclave et le molosse. A présent qu’elle s’est constituée, incontournable, que dire encore de cette œuvre à chaque fois renouvelée par ce qu’elle accueille ou ce qui s’inscrit de surcroît en elle, sinon la relire (voire même la récrire) ? D’où ce titre : "Chamoiseau : et après ?" Qui peut aussi, de façon plus sournoise, s’entendre ainsi : que peuvent, après Chamoiseau, nous donner encore les Antilles, qui nous donnèrent Césaire, dont procéda Glissant ? Ce serait mal poser la question que d’y voir une sorte de vivier de la littérature produite en français. Chamoiseau n’a lui-même cessé d’appeler d’autres travailleurs à venir de nouveaux horizons : souvenons-nous ici que la mer des récits à l’origine désignait l’Océan indien.[Illustration adaptée de "Mystery River", photographie de Mattias Ripp, 2014, publiée sur Flickr]. Mot(s) clés libre(s) : littérature française (20e-21e siècles), Patrick Chamoiseau (1953-....), littérature antillaise de langue française
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Littérature et chiffonnerie
/ 10-03-2016
/ Canal-u.fr
COMPAGNON Antoine
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L’activité poétique de Baudelaire a coïncidé avec
l’âge d’or de l’industrie du chiffonnage à Paris, sous la monarchie de
Juillet et le Second Empire. À l’époque, on ramassait, recyclait
tout, et les moindres rebuts retrouvaient un destin ; tout objet rejeté gardait une valeur sur le marché de la revente.
Sans nier la validité des interprétations désormais classiques,
attachées à la définition du monde moderne par l’obsolescence des
choses, avant la « destruction créatrice » de Joseph Schumpeter,
et justifiées par la passion de Baudelaire pour la modernité comme
beauté éternelle à extraire des modes fugitives, il importe de les
réconcilier avec un fait économique, social, culturel et littéraire
massif et incontestable. Le moment historique dont Baudelaire fit
l’expérience fut un temps qui ne laissait pas de restes, où les
bilans, les vers, les billets doux, les procès et les romances, si le
poète les avait descendus de sa mansarde dans la rue, auraient été
ramassés aussitôt par un chiffonnier au coin de la borne et revendus
au poids à l’entreposeur pour refaire du papier ou du carton, car leur
place était prescrite dans le cycle industriel de la papeterie. Mot(s) clés libre(s) : poésie, littérature française (19e siècle), histoire économique, Schumpeter, Baudelaire, histoire industrielle, chiffonnerie, chiffonnage
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Photographie ou cinéma ? Le brouillage des modèles dans la poésie moderniste / Nadja Cohen
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 12-02-2014
/ Canal-u.fr
COHEN Nadja
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Photographie ou cinéma ? Le brouillage des modèles dans la poésie moderniste / Nadja Cohen. In colloque international "Création, intermédialité, dispositif" organisé, sous la responsabilité scientifique de Philippe Ortel, par le laboratoire "Lettres, Langages et Arts Création, Recherche, Émergence, en Arts, Textes, Images, Spectacles" (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 12-14 février 2014.
Thématique 1 : Poésie et médias. Mot(s) clés libre(s) : littérature et photographie, poésie française (20e-21e siècle), relations entre les arts, intermédialité, poésie et cinéma
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Mise en voix. Que fait la poésie aux étudiants ? / Pascale Chiron, Philippe Chométy
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 20-03-2015
/ Canal-u.fr
CHIRON Pascale, CHOMÉTY Philippe
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Mise en voix. Que fait la poésie aux étudiants ? / Pascale Chiron, Philippe Chométy, in colloque international "Performances poétiques", organisé par l'équipe "Textes, Contextes, Frontières" du Centre Universitaire Jean-François Champollion, le laboratoire "Lettres, Langages et Arts : Création, Recherche, Émergence, en Arts, Textes, Images, Spectacles" (LLA-CRÉATIS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail. Albi, Centre Universitaire Champollion, 19-20 mars 2015. Thématique : Enseignement et didactique.Ce
colloque réunit des spécialistes de six pays différents, issus de
disciplines diverses
(littéraires, spécialistes des arts de la scène, sociologues, etc.),
pour réfléchir sur les enjeux de la diffusion orale de textes poétiques
et embrasser leur profération comme dispositif, dans toute sa
complexité, depuis l'écriture littéraire jusqu'au mode d'intervention
public, en s'attachant aussi bien au texte, à l'interprétation, à la
scénographie, à la réception, aux praticiens, aux publics, aux cadres de
diffusion, aux enjeux poétiques mais aussi sociaux, éducatifs,
éthiques, politiques. Sont ainsi étudiées les multiples voies (et voix)
qu'a prises la performance poétique ce dernier siècle dans l'espace
francophone, depuis les références incontournables que sont Ghérasim
Luca, Bernard Heidsieck (disparu le 22 novembre 2014) ou l'OuLiPo,
jusqu'aux formes émergentes du slam contemporain, avec ses joutes ou ses
scènes ouvertes, dans une approche globalisante qui aborde aussi les
enjeux de la récitation scolaire ou la définition d'un code
typographique pour incarner la voix dans l'écriture. Mot(s) clés libre(s) : poésie française, lecture à haute voix, poésie (étude et enseignement), poésie (diction)
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