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Forum Nîmois - Charles GIDE - BITTOUN -17 fevrier 2016
/ Canal-u.fr
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 1 février 2016, à la maison du protestantisme à Nîmes Jacques
Bittoun.
Nous accueillons ce soir un savant multiple. Jacques Bittoun
est en effet Docteur en médecine de l’Université Paris Descartes, et Docteur en sciences physiques, de
l’Université Paris Sud, où il est devenu
Professeur de biophysique et de médecine nucléaire. Il a dirigé
successivement deux centres d’imagerie par résonance magnétique nucléaire à l’hôpital
Bicêtre et à Jolliot Curie.
Il est donc – il était plutôt- de ces hommes qui, après vous
avoir soumis à de mini-Tchernobyl, vous annoncent quelquefois des petites
noirceurs ou blancheurs suspectes qui peuvent vous conduire au tombeau, après
une sévère calvitie. Mais qui peuvent aussi en détruisant ces sales petites
bêtes vous permettre de survivre plus ou moins longtemps.
Il est aussi, précise la bio rédigée façon anglo-saxonne,
l’auteur de 114 articles dans les revues à comité de lecture, dont 76 en
anglais, et de 20 chapitres dans divers livres.
Si j’ai cru bon de l’inviter, après une conversation dans un
long courrier présidentiel– de temps en temps on peut faire un peu people !-
c’est parce qu’il était en train de finaliser, ou avait même finalisé, une réunion – on ne doit pas dire une
« fusion »- de 18 établissements, dont deux universités, Paris sud, et Paris-Versailles-St Quentin, avec
diverses « grandes écoles »- j’espère ne pas en oublier, Agro Paris
tech, Centrale Supelec, CEA, Ecoles (au pluriel) normales supérieures, Ecole Polytechnique,
Ecole nationale de la statistique et des études économiques, HEC Paris,
Institut d’optique, Institut des hautes études scientifiques, Telecom, INRA,
INSERM, IRIA (institut de recherche dédié au numérique), ONERA ( aérospatiale),
Université d’Evry, reconnue parait-il, pour la génomique. Encore y-a-t-il aussi
des membres associés importants dont je vous épargne la liste.
Cette fusion très importante, et qui a dû être
particulièrement difficile puisqu’elle regroupait les « grandes écoles les
plus prestigieuses » et les plus jalouses de leurs renommée, n’ pas été la
seule en France. Ainsi, dans Paris Ville, s’est formée une autre fusion entre
Paris –Sorbonne, et Pierre et Marie Curie. Dans notre région, vous le savez,
Montpellier 1 (Droit Sciences eco, Médecine, Dentaire..) et Montpellier 2 (Sciences)
ont fusionné, ainsi que les universités de Nîmes, dont je salue la présence
d’un Vide Président et l’Université de Béziers, avec diverses antennes à Sète,
Perpignan…. Montpellier III Paul Valery (lettres et sciences humaines) n’a pas
souhaité s’y joindre. J’avais invité sa présidente pour qu’elle vienne nous
exposer ses raisons, mais elle est en déplacement.
Pourquoi ces fusions ? C’est ce que va nous expliquer
Jacques Bittoun. Mais j’ai quelques questions à poser
Est-ce un problème de lisibilité à l’étranger ? Tout le
monde connait- et reconnait- Oxford et
Cambridge, MIT, Stanford, Harvard, UCLA… Mais ce sont les plus grandes.
Comme en Allemagne, Iéna ou enseigna Hegel qui regarda admiratif défiler les
troupes de Napoléon, ou Francfort à cause
de son école philosophique avec Adorno, Walter Benjamin, exilé aux Etats-Unis,
puis Marcuse, Habermas, Axel Noneth. De
la France, à part la Sorbonne, contemporaine d’Oxford, les étrangers, sauf ceux
qui y ont fait leurs études, ne connaissent pas nos universités de province. Même pas la faculté
de médecine de Montpellier pourtant créée au XIIIème siècle, comme la
Sorbonne !
Mais aux Etats-Unis comme en Allemagne, et en Espagne, il y
a, comme chez nous, des centaines
d’autres universités tout aussi peu connues que les nôtres
Ce qui, je crois, rend quand même nos universités moins
« people » si j’ose dire dans la mondialisation, c’est qu’elles ont
été jusqu’à présent médiatiquement concurrencées, en quelque sorte, par nos fameuses grandes écoles, dont trois
très importantes l’X, centrale et HEC viennent de fusionner avec Paris Sud dans
Paris Saclay. La « réunion » de ces grandes écoles et de nos
universités doit donc aider à la lisibilité de notre enseignement supérieur.
Les fusions visent-elles le nombre ? Harvard a un peu
plus de 6.000 étudiants, le MIT 10.000, Stanford 15.000, Oxford 22.000, 17.000
à Cambridge. Or, si nous prenons Montpellier 3, pas encore fusionnée, elle
compte déjà 19.000 étudiants, et Montpellier tout court, fusionnée en compte 40.000.
Paris Descartes avait déjà 38.000 étudiants.
Ce n’est donc pas directement le nombre qui est motif de fusion. Ce n’est pas lui qui fait que
l’on progressera dans le fameux classement de Shanghai, dont j’aimerais bien
que vous disiez un mot.
En tous cas, à mon avis, Il me reste deux raisons qui peuvent
vraiment justifier ces fusions. Mais c’est une question que je pose ?
D’abord, l’importance des frais de scolarité fait qu’avec
10/20.000 étudiants, une grande université américaine ou anglaise s’en tire
aisément, d’autant qu’elle jouit, comme nos grandes écoles, d’un attachement de
la part de leurs anciens élèves qui versent d’importantes contributions. Je ne
crois pas qu’aucun ancien étudiant de Montpellier 1 ait versé quoique ce soit à
cette brave université, et les dons d’anciens polytechniciens ou centraliens à
leur Ecole ne me paraissent pas non plus massifs
En tous cas, multiplier les étudiants, à des dizaines de
milliers, avec des frais de quelques
centaines d’euro, c’est une façon, pour nos universités, de réduire leur
mendicité auprès des administrations diverses. Mais ce n’est pas une bonne
méthode et, à mon sens, ne pourra pas durer. Pour autant, dans l’autre sens, le
niveau atteint aux Etats-Unis est insupportable : les étudiants s’endettent
quelquefois pour vingt ans. Ca ne durera pas non plus longtemps. Il faut
trouver le juste prix.
Et puis- et c’est toujours une question- est-ce que la
fusion, notamment avec les grandes écoles, ne multiplie pas les opportunités de
croisement des savoirs, ce qui est aujourd’hui, pour toutes les sciences, un
facteur de développement. Est-ce que ces fusions ne vont pas permettre, en
additionnant les prix Nobel, d’exposer comme les grandes universités
américaines, 75 ou 80 prix Nobel ?
Voilà toutes mes questions quantitatives.
Mais j’en ai une autre, plus qualitative. Un point sur lequel
nous avons déjà du retard, mais très rattrapable. Je veux parler des cours et
des modalités d’enseignement et de contrôle.
Plus précisément, je veux parler des « FLOT » (formation
en ligne ouverte à tous) ou encore « CLOM » (cours en ligne ouverts
et massifs) ou encore « ouverts aux
masses », ce qui donne « MOOC » en anglais : massive open
on line course.
Très sincèrement, l’ayant pratiqué 30 ans, je crois à la
disparition définitive des cours magistraux en amphi, souvent bondés, du moins en début d’année…..
Je pense que faire enregistrer des cours par les meilleurs d’entre nous (pour l’économie par exemple, Aglietta sur la
Chine, ou la Monnaie), Daniel Cohen et/ou Jérémie Rifkin, pour le développement
du capitalisme, Stiglitz pour les inégalités) , proposer aux étudiants de
visualiser ces cours, soit en collectif, soit en individuel, puis les réunir
ensuite par groupe de 20/30 pour répondre à leurs questions, serait un mode
d’enseignement bien plus efficace. Je crois d’ailleurs savoir que vous vous en
êtes rapprochés en médecine.
Je crois aussi qu’enregistrer ces cours et les diffuser
ensuite dans le monde entier, comme font déjà les américains, en les faisant
payer, à petit prix, multiplié par des milliers de télé-étudiants, ou en
faisant payer le diplôme, que l’on peut
très bien obtenir ensuite par voie numérique, ce système peut permettre à nos
universités
-
De
cesser de perdre du temps en cours magistraux désuets
-
De
permettre aux étudiants de revenir et revenir à telle ou telle notion qu’ils
n’ont pas comprise
-
De
multiplier les recettes
-
De
contribuer bien plus efficacement à la diffusion du savoir
Par parenthèse, je vous signale que notre cher vidéaste, mon collègue
Jean louis Monino, a créé un système numérique permettant ces contrôles et
notations, agréé par le Rectorat.
Que pensez-vous de tout cela, Jacques Bittoun ? Mot(s) clés libre(s) : fusion d'universités, université
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Du tungstène pour les ampoules à incandescence
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 30-04-2007
/ Unisciel
Artru Marie-Christine, Mulet-Marquis Cédric
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Pourquoi utilise-t-on du tungstène pour le filament des ampoules à
incandescence ? Mot(s) clés libre(s) : ampoule, tungstène, filament, incandescence, ampoule à incandescence, argon, krypton, point de fusion, température de fusion, gaz rare, lampe, vaporisation, rayonnement thermique, lampe halogène, ampoule fluocompacte, ampoule basse consommation, ampoule halogène
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La fusion magnétique
/ Association EURATOM - CEA Département de recherches sur la fusion contrôlée, ENS Lyon CultureSciences-Physique, Gabrielle Bonnet
/ 01-01-2004
/ Unisciel
Association EURATOM - CEA Département de recherches sur la fusion contrôlée
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Un lien vers un site entièrement consacré à la fusion nucléaire,
source potentielle d'une grande quantité d'énergie utilisant une matière première
très abondante dans la nature, et aussi une technique très difficile à maîtriser. Ce
site vous propose un dossier sur les principes de la fusion contrôlée, et une
description du projet ITER. Mot(s) clés libre(s) : fusion nucléaire, fusion, fusion magnétique, fusion contrôlée, tokamak, tore magnétique, tore, tore supraconducteur, ITER, Cadarache
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La fusion nucléaire et les secrets du laser Mégajoule
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 15-01-2016
/ Canal-u.fr
BATANI Dimitri
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Un atome d’hydrogène + un atome d’hydrogène = un atome d’hélium + de l’énergie
Cette réaction pourtant simple à formuler ne peut pas
s’observer sur notre planète. Et pour cause !
Il s’agit de la réaction de fusion nucléaire, qui est la source naturelle d’énergie
des étoiles et du soleil, dégagée sous
forme de lumière et de chaleur. Alors, comment recréer sur terre,
artificiellement bien sûr, les conditions qui permettent la fusion de
l’hydrogène observée dans les étoiles ? C’est à cet objectif ambitieux,
dénommé Fusion à Confinement Inertiel ou FCI que travaille Dimitri Batani au
sein du Centre Lasers Intenses et Applications. Pour provoquer la fusion, l’énergie conjuguée de pas moins de 176
rayons lasers est nécessaire. Tous ces lasers sont censés produire une énergie
de 2 mégajoules, soit 20 millions de fois celle des lasers plus courants
utilisés dans certains laboratoires. A conditions hors normes construction hors
normes. Le bâtiment qui accueillera le laser Mégajoule est aussi long que la
tour Eiffel, aussi haut que l’Arc de Triomphe.
Les applications ? En astrophysique bien sûr, pour étudier le cœur battant
des étoiles, mais aussi en imagerie médicale et peut-être à terme une nouvelle
source de production d’énergie…
Dimitri Batani est Professeur à l'Université de Bordeaux et développe ses recherches dans l'équipe Particules et Transport, rayonnement Ultra-bref, matière sous conditions eXtrèmes du Centre Lasers Intenses et Applications
Site du CELIA
Ce document a été réalisé dans la cadre de « Physique
des objets du quotidien », un MOOC coordonné par Ulysse Delabre, Maître de Conférences
en physique à l'Université de Bordeaux, et développé par la Mission d’Appui à
la Pédagogie et à l’Innovation (MAPI) de l'Université de Bordeaux Mot(s) clés libre(s) : physique nucléaire, laser mégajoule, fusion à confinement inertiel
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Quelle politique énergétique pour respecter la planète ?
/ Sylvain Hermelin, ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 28-11-2007
/ Unisciel
Bigot Bernard
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Une conférence de Bernard Bigot, Haut-commissaire à l'énergie atomique. Quelque soient les
économies que l'on envisage, les standards de niveau de vie actuels
conduisent à des consommations à la fin du siècle qui se comptent en au moins une vingtaine de milliards de
tonnes d'équivalent pétrole d'énergie primaire par an, soit au moins le double de ce que nous
consommons maintenant. À quelles ressources, à quelles technologies de transformation, pouvons-vous
faire appel sans risquer de bouleverser profondément l'environnement et le fonctionnement
global de notre planète ? Des propositions faisant appel à une combinaison des énergies
renouvelables et des énergies nucléaires sont présentées pour tenter de répondre à ces questions. Mot(s) clés libre(s) : haut-commissaire à l'énergie atomique, énergie, politique énergétique, énergie renouvelable, biomasse, éolien, nucléaire, énergie nucléaire, consommation énergétique, ressource énergétique, économie d'énergie, éolienne, développement durable, gaz à effet de serre, réchauffement climatique, environnement, fusion, fission, iter, tokamak, fusion magnétique, tritium, deutérium, réacteur nucléaire, EPR, combustible, déchet nucléaire, uranium, stockage géologique, stockage des déchets, réacteur à neutrons rapides, RNR
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Les énergies du XXIème siècle
/ UTLS - la suite
/ 27-04-2007
/ Canal-U - OAI Archive
BONIN Bernard
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Une conférence de L'UTLS au Lycéeavec Bernard Bonin Mot(s) clés libre(s) : centrale nucléaire, énergie, fission, fusion, noyau atomique, radioactivité, réaction nucléaire, uranium
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La « force » de l'eau
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Gabrielle Bonnet
/ 07-10-2004
/ Unisciel
Bonnet Gabrielle
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Comment se situe l'énergie de l'eau par rapport aux autres sources
d'énergie ? Comment est-elle utilisée en France ? Quel avenir pour l'eau en tant que
source d'énergie ? Mot(s) clés libre(s) : eau, électricité, centrale hydroélectrique, énergie hydraulique, énergie nucléaire, énergie fossile, centrale thermique, ITER, surgénérateur, fusion nucléaire, deutérium, tritium, usine marémotrice, centrale marémotrice
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Structures de financement, exigences des actionnaires et nouveaux modes de gouvernement
/ Mission 2000 en France
/ 25-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
COHEN Elie
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"Les changements intervenus dans le système financier se traduisent par une transformation de la structure de financement des entreprises et par une modification profonde des comportements d'épargne des ménages et des autres acteurs. Ces changements conduisent à l'expression beaucoup plus ouverte des exigences de rendement requis par les actionnaires. Ils entraînent également la mise en place de nouveaux modes de gouvernement. La véritable ""révolution financière "" qui s'est diffusée dans la plupart des pays développés a bouleversé la structure de la demande et la structure de l'offre de capitaux en France, au cours des deux dernières décennies. S'agissant de la demande de capitaux, les changements observés affectent la structure de financement des entreprises françaises. Ils se traduisent par le recours accru à l'émission de titres sur le marché des capitaux. On assiste ainsi à l'affirmation croissante du rôle du marché financier au détriment des circuits d'intermédiation financière dominés par les crédits bancaires. S'agissant de l'offre de fonds, le changement affecte les instruments utilisés par les épargnants pour allouer leurs excédents ainsi que les circuits de collecte et d'allocation de l'épargne. Outre un engouement nouveau pour les placements en titres, les épargnants manifestent un intérêt pour des formes multiples de gestion collective qui mobilisent la compétence de gérants professionnels et leur permettent de prétendre à des performances accrues aussi bien en termes de rendement de leurs actifs qu'en termes de contrôle des risques qui leur sont associés. La concurrence qui s'établit entre les émissions de titres domestiques ou internationaux mais aussi entre l'investissement en titres et les autres formes de gestion patrimoniale débouche sur des comportements plus vigilants de la part des épargnants. On assiste notamment à l'affirmation d'exigences de rendement élevées de la part des détenteurs d'actions. Le lien entre l'évolution des comportements d'épargne et celle des modes de financement explique ainsi l'apparition de nouvelles formes de contrôle exercées sur les dirigeants d'entreprises et l'affirmation de nouveaux modes et de nouvelles normes de gouvernance des entreprises. " Mot(s) clés libre(s) : actionnaire, bourse, économie de marché, épargne, finance, fusion entreprise, inflation, privatisation
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Structures de financement, exigences des actionnaires et nouveaux modes de gouvernement des entreprises françaises
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 25-05-2000
/ Canal-u.fr
COHEN Elie
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Les changements intervenus dans le système financier se traduisent par une transformation de la structure de financement des entreprises et par une modification profonde des comportements d'épargne des ménages et des autres acteurs. Ces changements conduisent à l'expression beaucoup plus ouverte des exigences de rendement requis par les actionnaires. Ils entraînent également la mise en place de nouveaux modes de gouvernement. La véritable "révolution financière " qui s'est diffusée dans la plupart des pays développés a bouleversé la structure de la demande et la structure de l'offre de capitaux en France, au cours des deux dernières décennies. S'agissant de la demande de capitaux, les changements observés affectent la structure de financement des entreprises françaises. Ils se traduisent par le recours accru à l'émission de titres sur le marché des capitaux. On assiste ainsi à l'affirmation croissante du rôle du marché financier au détriment des circuits d'intermédiation financière dominés par les crédits bancaires. S'agissant de l'offre de fonds, le changement affecte les instruments utilisés par les épargnants pour allouer leurs excédents ainsi que les circuits de collecte et d'allocation de l'épargne. Outre un engouement nouveau pour les placements en titres, les épargnants manifestent un intérêt pour des formes multiples de gestion collective qui mobilisent la compétence de gérants professionnels et leur permettent de prétendre à des performances accrues aussi bien en termes de rendement de leurs actifs qu'en termes de contrôle des risques qui leur sont associés. La concurrence qui s'établit entre les émissions de titres domestiques ou internationaux mais aussi entre l'investissement en titres et les autres formes de gestion patrimoniale débouche sur des comportements plus vigilants de la part des épargnants. On assiste notamment à l'affirmation d'exigences de rendement élevées de la part des détenteurs d'actions. Le lien entre l'évolution des comportements d'épargne et celle des modes de financement explique ainsi l'apparition de nouvelles formes de contrôle exercées sur les dirigeants d'entreprises et l'affirmation de nouveaux modes et de nouvelles normes de gouvernance des entreprises. Mot(s) clés libre(s) : finance, bourse, privatisation, économie de marché, inflation, actionnaire, épargne, fusion entreprise
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Fusion et cristallisation dans la Terre
/ Université Lyon-I, Unisciel
/ 2011
/ Unisciel
Daniel Isabelle, Perrillat Jean-Philippe, Bezacier Lucile, Feuillie Cécile, Journaux Baptiste
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Une expérience de fusion et cristallisation avec applications aux planètes, menée par une équipe pédagogique de Lyon 1, a permis la réalisation de plusieurs ressources : des films d’expériences avec H2O - un protocole complet et illustré des expériences - et une simulation permettant de créer un point de mesure sur le diagramme de phase pour définir les courbes solidus et liquidus. Mot(s) clés libre(s) : fusion partielle, cristallisation fractionnée, diagramme de phase, cristallisation
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