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Décolonisation, éducation, pluralisme (1ère partie)
/ Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 15-06-2015
/ Canal-u.fr
SALAÜN Marie, TUHIWAI SMITH Linda, ROUSSELEAU Raphaël
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DECOLONISATION, EDUCATION, PLURALISM
DESCOLONIZACIÓN, EDUCACION, Y PLURALISMO
Présidence - discussion avec ; discussion with / discusión con :
Marie Salaün - University of Nantes, anthropologue
Linda Tuhiwai Smith – Université de Waikato, Aotearoa New-Zealand, Maori
Decolonising education and knowledge paradigms and re-establishing indigenous capabilities
Décoloniser l’éducation et les paradigmes du savoir, rétablir les compétences autochtonesDescolonizar la educación y los paradigmas del saber, restablecer las competencias indígenas
Raphaël Rousseleau : SOGIP, Université de Lausanne, anthropologue
Ekalavya ou le dilemme de l’éducation adivasi dans des institutions nationales (Inde)
Ekalavya or the dilema of Adivasi education in national institutions (India)
Ekalavya o el dilema de la educación adivasi en las instituciones de la India Mot(s) clés libre(s) : droits, globalisation, peuples autochtones, normes internationales
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Décolonisation, éducation, pluralisme (2ème partie)
/ Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 15-06-2015
/ Canal-u.fr
LECLAIR Jean, OTIS Ghislain, MORRISON Rowana Dickins
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DECOLONISATION, EDUCATION, PLURALISM
DESCOLONIZACIÓN, EDUCACION, Y PLURALISMO
Présidence discussion avec ; discussion with / discusión con
Jean Leclair, juriste, Université de Montréal
Rowena Dickins Morrison, SOGIP, CERCRID-Université Jean Monnet, juriste
The Charter of the Kanak People and legal pluralism in New Caledonia
La Charte du Peuple Kanak et le pluralisme juridique en Nouvelle-Calédonie
La Carta del pueblo kanak y el pluralismo jurídico en Nueva Caledonia
Ghislain Otis, Université d’Ottawa, juriste
Mieux comprendre le pluralisme juridique pour décoloniser la gouvernance autochtone
Understanding better legal pluralism for decolonizing indigenous governance
Comprender mejor el pluralismo jurídico para descolonizar la gobernanza indígena Mot(s) clés libre(s) : droits, globalisation, peuples autochtones, normes internationales
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Distances et savoirs - Recherche, insertion dans les pratiques
/ CNED - Centre National d'Enseignement à Distance
/ 10-12-2009
/ Canal-U - OAI Archive
FICHEZ Elisabeth, OILLO Didier, ARDOUREL Yves
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Distances et savoirs– Symposium international– 10-11/12/2009 Les textes d’intervention ainsi qu’une abondante bibliographie sélective liée aux thèmes du symposium sont accessibles à www.cned.fr/ds/symposium.htm Le Conseil scientifique de Distances et savoirs, Martine Vidal, Monique Grandbastien et Pierre Moeglin. ____________________________________________________________ Forte de l'acquis de ses sept volumes annuels (2003-2009) Distances et Savoirs a organisé un dialogue international autour de la collaboration de D&S avec Michael G. Moore, rédacteur en chef de l’American Journal of Distance Education, père de la théorie de la « distance transactionnelle » et coordonnateur du Handbook of Distance Education les 10 et 11 décembre 2009. Ce fut l'occasion de dresser le bilan des recherches actuelles, riches et foisonnantes, et d'envisager leur avenir autour de six thèmes majeurs, exposés puis discutés par des chercheurs et des praticiens relevant de différentes disciplines concernées par l’enseignement à distance, sciences de l’éducation, de l’information et de la communication, informatique, économie, … 1 – Dispositifs techniques Stratégie des industriels, normes, discours sur et autour (structuration organisationnelle, spatiale et temporelle des environnements.) 2 – Politiques publiques et stratégies des acteurs (organismes privés / établissements publics d'enseignement, stratégies internationales, partenariats et modèles économiques.) 3 – Professionnalités (organisation et division du travail, nouvelles formes de compétences chez les enseignants, les concepteurs, les tuteurs - professionnalité enseignante et étudiante, évolutions des statuts des enseignants et divers autres formateurs ...) 4 – Usages, usagers (modèles pédagogiques, soutien scolaire, tuilage – ou heurts - entre formation palliative et formation enrichie, usages de la distance dans la formation ...) 5 – Recherche, insertion dans les pratiques (rôle de l’Etat, champs disciplinaires concernés : sciences de l’éducation, sciences de l’information et de la communication, sociologie, économie ...) 6 – « Provocateur », position de la FAD par rapport aux autres pratiques (celles en « face à face » notamment) : apports, stimulation, innovation – et/ou l’inverse. Deux tables rondes ont ponctué ces deux journées. Elles ont fait ressortir la nécessité des échanges entre communautés linguistiques différentes – notamment l’espace de la Francophonie - et ont montré le rôle que des revues scientifiques qui collaborent de façon internationale peuvent jouer pour une reconnaissance réciproque plus approfondie des travaux de recherche et des pratiques en enseignement à distance dans des environnements distincts. La seconde table ronde a été réalisée dans le cadre d’une classe virtuelle permettant ainsi de faire dialoguer Michael G. Moore (aux Etats-Unis), Paul Kawachi (en Chine) et, en France, Thomas Hülsmann, Alan Tait, Eric Bruillard, D&S et les participants au symposium. Mot(s) clés libre(s) : Compétences, économie, enseignement à distance (EAD, FAD, FOAD), globalisation, industrialisation, informatique, innovation, partenariat, pédagogie, politique publique, pratiques, professionnalité, recherche, revue scientifique, sciences de l’éducation, s
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ENS Lyon - La mondialisation centrifuge (Saskia Sassen)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Conseil de Développement du Grand Lyon, ENS-LSH
/ 15-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
SASSEN Saskia, WORMSER Gérard
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L'opposition du global et du local est trop simple. Une troisième sphère est plus difficile à théoriser que les grandes organisations mondiales. Nous manquons de mots pour parler des petites transformations qui introduisent de réelles innovations politiques. Deux institutions sont proprement « mondiales » : la Cour internationale de Justice (encore à peine fonctionnelle) et les règles de la propriété intellectuelle de l'OMC. La Cour pénale internationale peut être saisie par les citoyens de n'importe quel Etat, et l'OMC s'applique directement aux firmes sans passer par des transpositions juridiques. Des lois globales peuvent parfois être transposées localement sans passer par le niveau national. L'action politique contemporaine s'appuie sur ces changements de niveau juridique, autant que les firmes s'en inspirent pour déployer leur intérêt.... Mot(s) clés libre(s) : droit international, global, globalisation, local, territoire, ville
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ENS Lyon - La mondialisation du droit : vers une communauté de valeurs (Mirelille Delmas-Marty)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, ENS-LSH, Conseil de Développement du Grand Lyon
/ 24-01-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DELMAS-MARTY Mireille, WORMSER Gérard
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La mondialisation du droit renvoie-t-elle uniquement à la globalisation économique ou à l’universalisation des Droits de l’Homme, et donc à une communauté mondiale de valeurs ?Si la réponse n’appartient pas aux seuls juristes, les pratiques juridiques ont une place nécessaire pour consolider les choix de valeurs, voire pour anticiper et former des valeurs. La notion de « crime contre l’humanité » (Nuremberg) a créé une interdiction pénale à vocation universelle, alors même que l’« humanité » n’était pas conçue et définie comme une valeur à protéger. Si logiquement, l’éthique précède le droit, le chemin se parcourt parfois du droit à l’éthique. Mot(s) clés libre(s) : droit, droits de l’homme, ENS Lyon, éthique, forces imaginantes, Gérard Wormser, globalisation économique, humanité, Les conférences du Grand Lyon 2006-2007, liberté, libertés, Mireille Delmas-Marty, mondialisation, sureté
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Géographie, pouvoir et géopolitique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 01-06-2000
/ Canal-U - OAI Archive
KLEINSCHMAGER Richard
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"La question du contrôle des territoires par les États est au fondement de la géographie politique dont Friedrich Ratzel à la fin du XIXe siècle a jeté les bases dans sa " Politische Geographie ". Si la géopolitique qui en est l'une des héritières a pu faire figure de science instrumentalisée par les intérêts contingents des pouvoirs, et singulièrement ceux du IIIe Reich nazi, l'une et l'autre posent la question fondamentale de l'appropriation étatique du territoire. Aujourd'hui où des phénomènes majeurs englobés sous le terme générique de globalisation ou de mondialisation viennent cisailler les modalités traditionnelles d'appropriation des territoires par les divers pouvoirs étatiques, il n'est pas inintéressant de s'interroger sur les transformations des ces modalités traditionnelles. Il s'impose de revisiter des concepts fondateurs de la géographie politique comme ceux de position ou de frontières qui sont reconfigurés par les effets de diverses révolutions économiques et technologiques en particulier celles de l'agriculture, des transports et de la communication. " Mot(s) clés libre(s) : état, frontières, géographie politique, géopolitique, globalisation, mondialisation, territoire national
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Guerre et paix à l'âge de la mondialisation
/ UTLS - la suite
/ 08-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
HASSNER Pierre
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Faut-il encore parler de l'ère de la globalisation ? Celle-ci a succédé à celle de la guerre froide, ce qui semblait indiquer que désormais la dimension économique, sociale et culturelle l'emportait sur les conflits internationaux et la violence. Certes, ceux-ci n'avaient pas disparu : la globalisation produit des réactions violentes, nationalistes, ethniques ou religieuses, et contribue, avec la chute de l'empire soviétique, à la prolifération d'Etats faibles mal assurés de leurs unités et de leurs frontières, et de zones de non-droit qui se combinent avec celle des réseaux mafieux. Mais le 11 septembre 2001 introduit une nouvelle phase caractérisée par le terrorisme apocalyptique et la montée d'un empire américain décidé à s'appuyer activement sur la force militaire. Les divisions classiques entre paix et guerre, entre régions pacifiques ou troublées, entre militaires et civils, entre la violence des Etats et celle des réseaux sont mises en question. Des civils tuent des civils, ils surgissent du sein même du centre pour l'attaquer de l'intérieur de ses frontières, mais ils viennent des quatre coins du monde, et c'est là que la riposte ira les chercher. C'est une nouvelle forme de globalisation, celle de la violence. Mot(s) clés libre(s) : globalisation, mondialisation, relations internationales, sécurité internationale, violence
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Initiative "Mouvements sociaux à l'Age global"
/ FMSH Production
/ 18-05-2016
/ Canal-u.fr
PLEYERS Geoffrey, GUINDANI Sara, Boaventura de Sousa Santos, LAVILLE Jean-Louis
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Initiave de recherche proposée par Geoffrey Pleyers, dans le cadre de la Chaire Reconversion écologique, travail, emploi et politiques sociales de Dominique Méda.
mercredi 18 mai, 16h-19h, salle du Conseil A : "Penser l’émancipation à partir des épistémologies du Sud", avec Boaventura de Sousa Santos (Université de Coimbra), Jean-Louis Laville (CNAM), Geoffrey Pleyers (FNRS-Université de Louvain, Collège d’études mondiales/FMSH).
Geoffrey Pleyers est chercheur du FNRS à l’Université de Louvain et chercheur associé au Collège d’Etudes Mondiales (Chaire « Reconversion écologique », D. Méda) et au CADIS (EHESS). Il est le président du comité de recherche « RC 47 : Social classes and social movements » de l’Association Internationale de Sociologie et l’auteur de « Alter-Globalization. Becoming Actors in the Global Age » (Polity, 2011). Publications disponibles sur http://uclouvain.academia.edu/GeoffreyPleyers Mot(s) clés libre(s) : écologie, emploi, globalisation, mouvements sociaux, émancipation sociale
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L'éradication des maladies, remède à la mondialisation ?
/ UTLS - la suite
/ 17-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
MOULIN Anne-Marie
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L'éradication des maladies infectieuses est-elle une réponse logique et réaliste à la globalisation des épidémies, entamée lors de la découverte du Nouveau Monde et illustrée au cours des siècles par la peste, le choléra, et enfin le Sida ? Le recul spectaculaire des maladies infectieuses est en partie responsable de l'explosion démographique du 20ème siècle. Après avoir défini et affirmé avec force le droit à la santé en 1949, l'OMS a médité et mis au point un programme d'éradication systématique des maladies infectieuses étendu aux pays les plus pauvres qui n'avaient pas encore bénéficié pleinement des progrès de la santé publique. Le succès remporté sur la variole dont l'éradication a été proclamée en 1979, reposait sur plusieurs siècles de "traque" de la maladie, avec des procédés divers de prévention, anticipant les connaissances virologiques et immunologiques sur la maladie. Il n'en a pas moins été considéré comme le modèle à suivre pour une série d'actions analogues, visant en premier lieu la tuberculose, le paludisme, la poliomyélite et la rougeole... Cette idée d'éradication n'était en fait pas nouvelle, elle remonte au moins à la fin du 19ème siècle, où elle s'était quasiment imposée à tous, professionnels et profanes, avec l'essor de la bactériologie. L'assurance d'avoir sous la main au laboratoire des germes disponibles, cause principale des maladies, avait engendré l'idée messianique de se débarrasser, par des manipulations appropriées, de tous les microbes pathogènes. La formule prêtée à Paul Bert: une maladie, un germe, un vaccin, était devenue un credo commun. Cette idée, endossée par des personnalités comme Pasteur, répercutée par les journalistes et largement répandue dans le public, a perduré malgré un nombre important de déconvenues et a été relancée dans le contexte d'apocalypse et de résurrection de la fin de la seconde guerre mondiale. Si la science l'a réorientée selon ses fins propres, l'idée même d'éradication comporte une analogie évidente avec la délivrance du mal, présente dans les religions de salut. Par exemple, la rénovation de l'hôpital a suscité, à la période des Lumières, une efflorescence d'utopies architecturales visant, à l'aide d'un dispositif spatial, à une meilleure visibilité et une mise à plat radicale des différentes formes de maladies. Ma conférence retracera les grandes étapes du plan d'éradication des maladies infectieuses, les difficultés rencontrées dans la réalisation d'un modèle variole qui avait en fait ses particularités et qui était de ce chef difficile à reproduire. Les déceptions nées d'obstacles imprévus dans l'accomplissement du plan, ont amené à retarder les échéances, à en abandonner certaines, comme pour le paludisme, et à se replier sur de nouveaux mots-clé comme l'"élimination", moins radical, ou plus modeste encore, le "contrôle", entendant par là l'abaissement de la prévalence d'une maladie au-dessous d'un certain seuil jugé tolérable. Pasteur lui-même, et surtout après lui Charles Nicolle, avaient mis en garde contre des espérances excessives. Ils avaient prédit, en même temps que la disparition des épidémies de peste et de choléra, l'apparition de maladies nouvelles, favorisées notamment par les guerres civiles et étrangères, mais ils restaient confiants que les outils scientifiques forgés au laboratoire garderaient leur efficacité. Ces dernières décennies ont été marquées par une meilleure compréhension de la génétique des germes, notamment des virus, et de l'écologie des maladies infectieuses, et la découverte des capacités des germes à muter et réorganiser leur génome face à une pression sélective dans le milieu. L'émergence de souches résistantes aux chimiothérapies disponibles a alimenté une vague de pessimisme, cependant que des maladies nouvelles dites émergentes se manifestaient, dont certaines provoquées par des modifications profondes du milieu et l'irruption de l'homme dans des écosystèmes jusqu'alors protégés. Les infections nosocomiales à germes ultra résistants, maladies graves survenant dans l'environnement hospitalier, illustrent aussi la perte de confiance et l'inquiétude devant ce démenti flagrant aux espérances hyperboliques dans la "santé parfaite"(Lucien Sfez), l'utopie de notre temps. Une telle utopie est peut-être néanmoins indispensable pour embraser les efforts des hommes. Quelles sont aujourd'hui les possibilités de se rallier à une idéologie de rechange qui concilie la nécessité d'un pari clair et rassembleur pour l'avenir et la prise en compte réaliste de notre insertion dans un monde biologique vivant complexe et en perpétuelle évolution ? A l'heure de l'angoisse montante d'un bioterrorisme se superposant aux formes dés longtemps répertoriées du mal et du malheur, quelles propositions pour demain ? Mot(s) clés libre(s) : filaire, globalisation, paludisme, trachome, virus
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L'impact de la mondialisation sur l'entreprise
/ Mission 2000 en France
/ 21-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DUCHESNE Yann
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"Face à la mondialisation qui s'accélère, les "" actifs immatériels "" constituent une source clé d'avantage concurrentiel. Dans une économie mondialisée où les opportunités de marché sont quasi-pléthoriques, où les capitaux sont de moins en moins une ressource rare, où les technologies sont de plus en plus accessibles et où le coût des interactions baisse de façon vertigineuse, les entreprises doivent s'assurer le contrôle d'avantages compétitifs immatériels. Ce sont les savoir-faire spécifiques et exemplaires, la marque (réputation), les réseaux de relations privilégiées, qui constituent les nouveaux avantages comparatifs. L'importance des ressources immatérielles n'est certes pas nouvelle. Mais elle est intensifiée par la mondialisation : l'ouverture des marchés, dont celui des capitaux, rend moins durables les avantages comparatifs liés à la possession d'actifs physiques ou à l'existence de barrières d'entrée. L'exploitation de ces atouts immatériels dépend de la mise en oeuvre de l'intelligence et de la créativité humaines, donc, plus que jamais, de la qualité des individus que les entreprises sont capables d'attirer. Cela explique la guerre des "" talents "" managériaux engagée par les grandes entreprises : leur aptitude à anticiper et à exploiter les opportunités de la mondialisation, mais aussi à en déjouer les risques, repose largement sur leur capacité à attirer et développer ces talents. Ainsi, parce qu'ils permettent d'exploiter au mieux les actifs matériels, ces avantages comparatifs immatériels constituent les accélérateurs de la performance économique et boursière de l'entreprise. Les investisseurs attendent d'un "" entrepreneur "" qu'il utilise ses atouts dans tous les pays et dans tous les métiers où ils apportent de la valeur. D'où aussi le phénomène de ""course à la taille"" boursière en cours à l'échelle planétaire." Mot(s) clés libre(s) : bourse, entreprise, fusion entreprisen globalisation, internet, mondialisation, privatisation
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