Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
La conservation de l’habitat traditionnel cappadocien
/ 07-05-2012
/ Canal-u.fr
Binan Demet
Voir le résumé
Voir le résumé
Séminaire "Cappadoce, terre d'histoire et de cultures" Prof. Dr. Demet Binan (Université des Beaux-Arts Mimar Sinan)La conservation de l’habitat traditionnel cappadocienLundi 7 mai 2012 à 18h à l'IFEA Mot(s) clés libre(s) : conservation, Turquie, architecture, patrimoine, restauration, habitat, Cappadoce
|
Accéder à la ressource
|
|
Les campus universitaires québécois - Emission 21
/ Gaston Imbeau, Pierre Greco, Annie Boudin, Pierre Saint-Yves, Louise Giguère
/ 01-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
Canal Savoir, Télé-Québec
Voir le résumé
Voir le résumé
ÉMISSION 21Des étudiants en architecture au Sénégal (Université Laval)Depuis 2007, les professeurs André Casault et Denise Piché guident des étudiants du groupe Habitats et cultures de l’École d’architecture de l’Université Laval dans leur collaboration avec les habitants de Malika, afin d’améliorer le quotidien des résidents de cette banlieue de Dakar.Un prof, un livre : Lucie Mandeville, professeure titulaire à l’Université de Sherbrooke, présente son ouvrage Le bonheur extraordinaire des gens ordinaires - La psychologie positive pour tous. Un centre de design exemplaire (UQAM)Un portrait qui vous permettra de découvrir le Centre de design de l’Université du Québec à Montréal qui, depuis sa création en 1974, forme des spécialistes en communication visuelle. Entretien : Isabelle Deschamps, professeure au Département de génie mécanique à l’École de technologie supérieure, nous parle de la gestion de l’innovation.Einstein@UQTR (UQTR)Suivez des étudiants à la maîtrise en physique de l'Université du Québec à Trois-Rivières qui participent au projet international Einstein@Home. Mot(s) clés libre(s) : Architecture, Coopération, Habitats et cultures, Psychologie
|
Accéder à la ressource
|
|
Approaches, pratices, challenges of mixité in urban contexts: présentation plénière [VF]/ Ian Cole
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 07-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
COLE Ian
Voir le résumé
Voir le résumé
Approaches, pratices and challenges of mixité in different urban contexts : présentation de la plénière / Ian Cole [version française]. In "Mixité : an urban and housing issue? Mixing people, housing and activities as urban challenge of the future", 23ème colloque international de l'European Network for Housing Research (ENHR), organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) à l'Université Toulouse II-Le Mirail, 5-8 juillet 2011. Plénière 4, 7 juillet 2011.This session will address the following questions: How are the concepts of social mixity / ‘mixité’ and social mix implemented in different contexts and by which categories of stakeholders? What representations of the society and the city do they reflect? How do market logics support or constrain policies objectives? How and to what extent do urban practices contribute to ‘mixité’ or on the contrary, to what extent do they reinforce sociospatial disparities?> La communication est traduite en français par Mme Solange Hibbs (directrice du Département Centre de Traduction, d'Interprétation et de Médiation linguistique (CETIM) de l'université Toulouse II-Le Mirail). Mot(s) clés libre(s) : mixité sociale, politique du logement, ségrégation urbaine, sociologie de l'habitat
|
Accéder à la ressource
|
|
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 07-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
COLE Ian
Voir le résumé
Voir le résumé
Mot(s) clés libre(s) : mixité sociale, politique du logement, ségrégation urbaine, sociologie de l'habitat
|
Accéder à la ressource
|
|
Les déjeuners de l'ISH et de l'ENS de Lyon : L’habitat urbain en Europe centrale et orientale
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, ENS de Lyon
/ 24-11-2006
/ Canal-U - OAI Archive
COUDROY de LILLE Lydia
Voir le résumé
Voir le résumé
Quelles dynamiques ?Cette séance des « Déjeuners de l’ISH et de l’ENS LSH » est l’occasion de présenter au public les résultats d’une partie des recherches menées par l’auteur depuis une quinzaine d’années sur les transformations urbaines en Pologne et dans d’autres pays d’Europe centrale et orientale, sous l’angle de l’habitat. Marqueur du niveau de développement économique d’un territoire, des relations entre Etat et société, emprunt de codes et de valeurs individuels et collectifs, l’habitat offre une entrée complexe sur la compréhension des rapports entre espace et société – qui constitue le cœur de la démarche géographique. Au croisement entre réflexion diachronique (le rôle des grandes fractures historiques, la pérennité des héritages territoriaux) et synchronique (la démarche comparative, l’analyse multiscalaire), l’habitat est ici questionné plus particulièrement sous l’angle des modèles d’évolution urbaine en Europe centrale et orientale. Dans une première partie, l’habitat des villes de l’Europe qu’on appelait alors « socialiste » socialiste est présenté dans toute sa diversité. En effet, on a tendance à l’associer spontanément à l’image itérative et monotone du grand ensemble. Pourtant, cette apparence est trompeuse. D’une part, parce que cette forme architecturale et résidentielle s’est développée en Pologne et en Tchécoslovaquie entre les deux guerres, de manière expérimentale, avant que ces deux pays ne soient des pays « socialistes ». D’autre part, la résolution de la crise du logement grâce au recours à des formes architecturales « modernes » est un courant qui traverse toute l’Europe à cette même période, puis surtout après la Seconde Guerre mondiale. La différence fondamentale entre l’Europe dite alors « de l’est » avec l’Europe occidentale est la pérennisation du phénomène à l’est, alors qu’à l’ouest, d’autres solutions de logement furent proposées aux ménages à partir des années 1970 alors que cette alternative ne fut que très rarement autorisée (en Hongrie notamment). Le grand ensemble dans les pays socialistes offrait en définitive la meilleure réponse technique aux présupposés économiques et idéologiques que les Etats s’y étaient fixés. Sa généralisation et le gigantisme paroxysmique avec lequel il s’est diffusé sont responsables de l’indigence paysagère de bien des villes à l’est de l’Europe. Mais paradoxalement, l’habitat dit « de masse » laissait les populations en situation de pénurie structurelle de logements. Ce constat général doit être nuancé par le fait que ces orientations communes ont été mises en œuvre de manière finalement assez contrastée dans les différents Etats. Les populations y étaient toutes globalement mal logées à la fin des années 1980, mais selon des critères distincts : en Pologne, la pénurie quantitative était très marquée, en Roumanie la taille moyenne des logements était très basse, alors que les Bulgares étaient ceux qui devaient le plus souvent vivre dans des appartements communautaires. Autre différence marquante : le rapport à la propriété. La Bulgarie est un pays de propriétaires à plus de 90 % alors que c’est le cas de 40% des Polonais. Traditions historiques, choix politiques et économiques expliquent ces contrastes qui heurtent les idées reçues sur les éventuels choix idéologiques. Enfin, les grands ensembles ne sont pas conçus comme de l’habitat « social » mais doivent loger la majorité de la population, dans toute sa diversité sociale. Cela n’abolit pas les différences de statut des quartiers d’habitat collectif, mais celles-ci sont fines. Depuis les années 1990, les paradigmes politiques et économiques sont renouvelés : l’Etat s’est désengagé de la mission essentielle qu’il s’était fixée de contrôler l’offre de logements, et a reporté sur les communes une partie de ses compétences, comme l’offre de logements sociaux ; l’économie de marché exerce désormais ses lois sur le marché foncier notamment, et de nouveaux opérateurs économiques augmentent la part du privé dans l’offre de logements. Pour autant, 15 ans d’économie de marché n’ont pas du tout résolu le manque quantitatif de logements, ne serait-ce que parce que les investisseurs se sont d’abord intéressés à des secteurs économiques à plus forte rentabilité (immobilier d’affaires, tourisme). D’autre part, les ménages ontété fragilisés économiquement et socialement, ce qui a freiné la demande. Le rattrapage n’est donc pas fait, quantitativement. En revanche, l’amélioration qualitative de la construction est réelle : l’architecture est plus différenciée, et les matériaux de meilleure qualité. Dans les capitales, qui enregistrent le plus fortement les dynamiques et réagissent comme des miroirs grossissants – ou déformants, parfois -, l’habitat évolue là encore selon des logiques très différentes. En Hongrie, en Pologne, elles jouent un rôle de tête de pont des dynamiques économiques et profitent nettement de la situation en concentrant depuis la fin des années 1990 une part sensible des investissements dans l’immobilier résidentiel. Il n’en est rien en Roumanie, ni en Bulgarie. Le marasme s’y perpétue : à Bucarest seuls les populations les plus aisées se font construire des logements - très vastes -, et en Bulgarie, Sofia est délaissée, au profit de l’urbanisation touristique littorale. Spatialement, les dynamiques de l’habitat produisent des situations qui demandent des lectures interprétatives croisées. D’un côté, les dynamiques en cours montrent des traits de convergence avec des trajectoires urbaines « européennes » : le retour vers un certain interventionnisme étatique à la fin des années 1990, des politiques publiques territorialisées vers les quartiers les plus en difficulté en témoignent dans certains Etats. Mais d’autre part, la tendance des élites à s’enfermer dans des quartiers préservés tandis que se forment des poches de pauvreté à base ethnique (rom) dans certains quartiers péricentraux ou dans des grands ensembles (Hongrie, Slovaquie, Bulgarie) évoquent plus des processus d’« américanisation ». En ce sens, les villes d’Europe centrale et orientale indiquent une voie de développement hybride. Mot(s) clés libre(s) : Europe centrale et orientale, habitat urbain
|
Accéder à la ressource
|
|
L’habitat urbain en Europe centrale et orientale - Les déjeuners de l'ISH et de l'ENS de Lyon
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, ENS de Lyon
/ 24-11-2006
/ Canal-u.fr
COUDROY de LILLE Lydia
Voir le résumé
Voir le résumé
Quelles dynamiques ?
Cette séance des « Déjeuners de l’ISH et de l’ENS LSH » est l’occasion de présenter au public les résultats d’une partie des recherches menées par l’auteur depuis une quinzaine d’années sur les transformations urbaines en Pologne et dans d’autres pays d’Europe centrale et orientale, sous l’angle de l’habitat. Marqueur du niveau de développement économique d’un territoire, des relations entre Etat et société, emprunt de codes et de valeurs individuels et collectifs, l’habitat offre une entrée complexe sur la compréhension des rapports entre espace et société – qui constitue le cœur de la démarche géographique. Au croisement entre réflexion diachronique (le rôle des grandes fractures historiques, la pérennité des héritages territoriaux) et synchronique (la démarche comparative, l’analyse multiscalaire), l’habitat est ici questionné plus particulièrement sous l’angle des modèles
d’évolution urbaine en Europe centrale et orientale.
Dans une première partie, l’habitat des villes de l’Europe qu’on appelait alors « socialiste » socialiste est présenté dans toute sa diversité. En effet, on a tendance à l’associer spontanément à l’image itérative et monotone du grand ensemble. Pourtant, cette apparence est trompeuse. D’une part, parce que cette forme architecturale et résidentielle s’est développée en Pologne et en Tchécoslovaquie entre les deux guerres, de manière expérimentale, avant que ces deux pays ne soient des pays « socialistes ». D’autre part, la résolution de la crise du logement grâce au recours à des formes architecturales « modernes » est un courant qui traverse toute l’Europe à cette même période, puis surtout après la Seconde Guerre mondiale.
La différence fondamentale entre l’Europe dite alors « de l’est » avec l’Europe occidentale est la pérennisation du phénomène à l’est, alors qu’à l’ouest, d’autres solutions de logement furent proposées aux ménages à partir des années 1970 alors que cette alternative ne fut que très rarement autorisée (en Hongrie notamment). Le grand ensemble dans les pays socialistes offrait en définitive la meilleure réponse technique aux présupposés économiques
et idéologiques que les Etats s’y étaient fixés. Sa généralisation et le gigantisme paroxysmique avec lequel il s’est diffusé sont responsables de l’indigence paysagère de bien des villes à l’est de l’Europe. Mais paradoxalement, l’habitat dit « de masse » laissait les populations en situation de pénurie structurelle de logements.
Ce constat général doit être nuancé par le fait que ces orientations communes ont été mises en œuvre de manière finalement assez contrastée dans les différents Etats. Les populations y étaient toutes globalement mal logées à la fin des années 1980, mais selon des
critères distincts : en Pologne, la pénurie quantitative était très marquée, en Roumanie la taille moyenne des logements était très basse, alors que les Bulgares étaient ceux qui devaient le plus souvent vivre dans des appartements communautaires. Autre différence marquante : le rapport à la propriété. La Bulgarie est un pays de propriétaires à plus de 90 % alors que c’est le cas de 40% des Polonais. Traditions historiques, choix politiques et économiques expliquent ces contrastes qui heurtent les idées reçues sur les éventuels choix idéologiques.
Enfin, les grands ensembles ne sont pas conçus comme de l’habitat « social » mais doivent loger la majorité de la population, dans toute sa diversité sociale. Cela n’abolit pas les différences de statut des quartiers d’habitat collectif, mais celles-ci sont fines.
Depuis les années 1990, les paradigmes politiques et économiques sont renouvelés : l’Etat s’est désengagé de la mission essentielle qu’il s’était fixée de contrôler l’offre de logements, et a reporté sur les communes une partie de ses compétences, comme l’offre de logements sociaux ; l’économie de marché exerce désormais ses lois sur le marché foncier
notamment, et de nouveaux opérateurs économiques augmentent la part du privé dans l’offre de logements. Pour autant, 15 ans d’économie de marché n’ont pas du tout résolu le manque quantitatif de logements, ne serait-ce que parce que les investisseurs se sont d’abord intéressés à des secteurs économiques à plus forte rentabilité (immobilier d’affaires, tourisme). D’autre part, les ménages ont
été fragilisés économiquement et socialement, ce qui a freiné la demande. Le rattrapage n’est donc pas fait, quantitativement. En revanche, l’amélioration qualitative de la construction est réelle : l’architecture est plus différenciée, et les matériaux de meilleure qualité. Dans les capitales, qui enregistrent le plus fortement les dynamiques et réagissent comme des miroirs grossissants – ou déformants, parfois -, l’habitat évolue là encore selon des logiques très différentes. En Hongrie, en Pologne, elles jouent un rôle de tête
de pont des dynamiques économiques et profitent nettement de la situation en concentrant depuis la fin des années 1990 une part sensible des investissements dans l’immobilier résidentiel. Il n’en est rien en Roumanie, ni en Bulgarie. Le marasme s’y perpétue : à Bucarest seuls les populations les plus aisées se font construire des logements - très vastes -, et en Bulgarie, Sofia est délaissée, au profit de l’urbanisation touristique littorale.
Spatialement, les dynamiques de l’habitat produisent des situations qui demandent des lectures interprétatives croisées. D’un côté, les dynamiques en cours montrent des traits de convergence avec des trajectoires urbaines « européennes » : le retour vers un certain interventionnisme étatique à la fin des années 1990, des politiques publiques territorialisées
vers les quartiers les plus en difficulté en témoignent dans certains Etats. Mais d’autre part, la tendance des élites à s’enfermer dans des quartiers préservés tandis que se forment des poches de pauvreté à base ethnique (rom) dans certains quartiers péricentraux ou dans des grands ensembles (Hongrie, Slovaquie, Bulgarie) évoquent plus des processus d’« américanisation ». En ce sens, les villes d’Europe centrale et orientale indiquent une voie de développement hybride. Mot(s) clés libre(s) : Europe centrale et orientale, habitat urbain
|
Accéder à la ressource
|
|
L'Abri Pataud - 15 000 ans sous la falaise des Eyzies
/ Hervé LIEVRE, SFRS-CERIMES
/ 01-01-1990
/ Canal-U - OAI Archive
DE LUMLEY Henry, DELLUC Brigitte, PERPERE Marie
Voir le résumé
Voir le résumé
Les fouilles entreprises à l'abri Pataud et dans les sites environnants à la fin des années 50 par le professeur américain Hallam Movius permettent de retracer l'évolution humaine au cours des 15 000 ans de son occupation, entre 35 000 et 18 000 ans avant notre ère. Cette implantation humaine constante, allant des hommes de Néanderthal aux Magdaléniens, permet de suivre les progrès effectués dans l'industrie lithique et osseuse et la naissance d'une expression artistique qui va trouver son épanouissement au Magdalénien. Vues réelles du site, d'outils, de figures, reconstitution par animations et dessins des habitats et paysages. Mot(s) clés libre(s) : art rupestre, habitat préhistorique, homme de Cro Magnon, industrie lithique, Les Eyzies
|
Accéder à la ressource
|
|
Activité pédagogique : la détermination des crânes
/ Sébastien PAGANI
/ 01-02-2016
/ Canal-u.fr
DETROIT Florent
Voir le résumé
Voir le résumé
Sur quels critères peut-on déterminer à quelle espèce d'Homo nous avons affaire? Mot(s) clés libre(s) : préhistoire, archéologie, crâne, activités pédagogiques, habitat préhistorique, paléo-anthropologie, Muséum national d'histoire naturelle
|
Accéder à la ressource
|
|
Chronique des Pygmées Babongo, avril - mai 2008
Questionnaire linguistique comparatif akélé, babongo, awanji et adouma, 15 avril 2008 Doumé
/ 15-04-2008
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Chronique des Pygmées Babongo, avril - mai 2008 (Gabon)
05 Questionnaire linguistique comparatif akélé, babongo, awanji et adouma (7 mn 33)
15 avril 2008 : Doumé, Ogooué-Lolo, Gabon
ACTEURS
Malemba, chef de Doumé
ses enfants, petits enfants et épouses
Bernard Lomba, chef de Manenga
Sylvie Le Bomin, ethnolinguiste & ethnomusicologue
MONTAGE : Alain Epelboin & Annie Marx
CAMÉRA-SON : Alain Epelboin
AUTEURS-RÉALISATEURS : Alain Epelboin & Sylvie Le Bomin Mot(s) clés libre(s) : afrique, chef de village, malade mental, comparatif, linguistique, akélé, Ogooué-Lolo, Babongo, Awanji, Adouma, Doumé, pygmée, interaction mère-enfant, film ethnographique, Gabon, habitat, questionnaire, vidéo, langue
|
Accéder à la ressource
|
|
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
FRANKLIN Jay
Voir le résumé
Voir le résumé
Mot(s) clés libre(s) : Appalaches (plateau des Cumberland ; États-Unis), archéologie du paysage, économie préhistorique, habitat préhistorique
|
Accéder à la ressource
|
|