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3 - La société de l’harmonie universelle (1)
/ Laure De Scitivaux
/ 16-10-2014
/ Canal-u.fr
ARMANDO David
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Bilan d’étape du programme
de recherche sur l’histoire du mesmérisme et de la Société de l’harmonie
universelle Mot(s) clés libre(s) : ethnologie, sociologie, histoire des sciences, histoire, anthropologie, Histoire Moderne et Contemporaine, Sciences de l’homme, sciences de la société
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Histoire du cancer (1750-1950) : ouverture du colloque / J.-P. Armand, J.-M. Olivier, P. Cohen
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 20-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
ARMAND Jean-Pierre, OLIVIER Jean-Marc, COHEN Pierre
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Histoire du cancer (1750-1950) : ouverture du colloque / Jean-Pierre Armand, Jean-Marc Olivier, Pierre Cohen. Colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011.Alors que la lutte contre le cancer demeure un combat de santé publique de premier plan, on constate un regain d'intérêt pour les problématiques relatives à cette maladie, notamment parmi les acteurs des sciences humaines. Certains ont fait le pari d'ériger le cancer en objet d'histoire. On observe ainsi, en France comme à l'étranger, que de plus en plus d'universitaires et de chercheurs se penchent sur l'histoire des prises en charge, des préventions et de la lutte contre cette maladie. C’est à une confrontation de ces réflexions qu’invite ce colloque qui s'est tenu à Toulouse, ville qui s’affirme comme un des centres internationaux les plus dynamiques en matière de lutte contre le cancer. L’édification, sur le site de Langlade, d’un complexe hospitalier, scientifique et industriel, centré sur le cancer, en est l’illustration la plus visible. Les laboratoires de recherche œuvrant dans le cadre du « Cancéropôle Grand Sud-Ouest » et du pôle de compétitivité « Cancer-bio-santé », les entreprises pharmaceutiques et les équipes soignantes s’y trouvent étroitement associés pour développer, dans une synergie féconde, recherche fondamentale, applications industrielles et traitements de pointe.En favorisant une approche historique de la question du cancer depuis le milieu du XVIIIe siècle aux années 1950, cette rencontre apporte une contribution originale à cet effort collectif. La période choisie a pour objectif de dégager les continuités et les mutations dans les représentations de la maladie dans la prise en charge des patients, comme dans les politiques de lutte contre le cancer depuis la médecine des Lumières jusqu’aux balbutiements de la chimiothérapie. Ce colloque invite à rendre compte de la diversité des approches, à présenter des études régionales comme nationales, et à proposer des perspectives comparatistes internationales. Les communications sont organisées autour de quatre axes. Le premier est consacré aux interrogations et aux incertitudes, entre le milieu du XVIe et la fin du XIXe siècle, période marquée par un intérêt croissant de la médecine pour la maladie qui se traduit par des tâtonnements dans la thérapeutique en cancérogenèse. Le deuxième axe abordera l'évolution des traitements entre 1890 et 1914 où la chirurgie devient alors plus audacieuse et de nouveaux espoirs apparaissent avec la découverte des propriétés curatives des rayons X et du radium. Le troisième portera sur l'institutionnalisation de la lutte contre le cancer, avec la mise en place de centres anticancéreux et de programmes de prévention, depuis la Première Guerre mondiale jusqu'à l'immédiate après-Seconde Guerre. La dernière séance de travail portera sur l'image de la maladie, selon les différentes perceptions et représentations du cancer depuis le XVIIe siècle.Interventions inaugurales de : - Jean-Pierre Armand, docteur, directeur général de l'Institut Claudius Regaud, - Jean-Marc Olivier, directeur du laboratoire FRAMESPA de l'Université Toulouse II-Le Mirail.- Pierre Cohen, député-maire de Toulouse. Mot(s) clés libre(s) : cancer (aspects sociologiques), cancer (prévention), cancer (radiothérapie), cancer (thérapeutique), centres de lutte contre le cancer (France), histoire de la médecine, lutte contre le cancer (Canada), lutte contre le cancer (Espagne), National cancer in
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Enseigner la littérature – enseigner l’histoire : entre compagnonnage et rivalité.
/ Christian Bailly, ENS de Lyon, IFÉ - Institut Français de l'Éducation, Martine Watrelot
/ 26-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
Armand Anne, ARMAND Anne
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Comment enseigne-t-on la littérature et l’histoire quand on est un professeur bivalent ? Les nouveaux programmes de français restaurent à tous les niveaux de l’enseignement la place de l’histoire littéraire et insistent sur la nécessité de contextualiser une lecture. Les didactiques du français et de l’histoire sont-elles pour autant en rapport de complémentarité ou de rivalité ? Les attentes théoriques des programmes et les observations de pratiques d’enseignement, en lycée professionnel notamment, témoignent de tensions difficiles à dépasser sans une formation didactique centrée sur cette double perspective, lecture littéraire et approche historique. Mot(s) clés libre(s) : didactique du français, histoire littéraire, lycée professionnel, nouveaux programmes, pratiques
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Interpréter l'art : entre voir et savoirs
/ UTLS - la suite
/ 12-07-2001
/ Canal-U - OAI Archive
ARASSE Daniel
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Pour deux raisons au moins, la présence de l'histoire de l'art dans un cycle consacré aux renouvellements de l'observation dans les sciences a de quoi surprendre. La première tient au statut scientifique de l'histoire de l'art : même si elle veut souvent se donner l'aspect d'une discipline scientifique en reprenant les protocoles d'énoncé des sciences dites exactes, l'histoire de l'art n'est pas la science de l'art (traduction imparfaite de l'allemand Kunstwissenschaft) et, si on doit la compter au nombre des sciences humaines (ce que ne fait pas Lévi-Strauss), elle est la science des comportements artistiques humains , une science des pratiques artistiques dont les critères de scientificité sont loin d'être établis. Par ailleurs, le terme d'observation n'est jamais employé par les historiens de l'art pour qualifier leur relation avec les oeuvres : ils parlent d'étude, d'analyse, ils regardent les oeuvres plus qu'ils ne les observent, et la relation du regardant à l'oeuvre est traditionnellement considérée comme une relation de contemplation - et non d'observation. Parler d'observation de l'oeuvre d'art par son historien revient donc à opérer un glissement sémantique significatif. Malgré les réserves qu'il ne manquerait pas de susciter chez les spécialises attachés à préserver l'aura de l'oeuvre d'art, ce glissement est légitime : il enregistre et met en lumière une transformation effective de notre relation de regard avec les oeuvres d'art. L'historien se doit d'en être conscient et le spectateur non professionnel la subit à son insu. Cette transformation est liée au renouvellement des conditions de perception des oeuvres d'art : mise au point de techniques et de dispositifs spécifiques pour l'étude scientifique des oeuvres comme objets matériels ; conditions dans lesquelles les oeuvres sont présentées au regard - exposition muséale et reproduction technique sous forme, entre autres, photographique, radiographie, photographie à l'infrarouge ou l'ultraviolet, microprélèvement de pigments, etc., ces dispositifs et instruments techniques apportent à l'historien, depuis de nombreuses décennies, des informations parfois décisives sur l'histoire matérielle des oeuvres, sur leur authenticité ou leur genèse, dissimulée dans l'oeuvre finale. On abordera rapidement cet aspect du renouvellement de l'observation de l'art pour s'attarder davantage sur les transformations que connaît la perception normale des oeuvres du fait des conditions de présentation qui sont désormais les leurs. Après avoir évoqué le caractère anachronique de ces conditions de présentation par rapport aux modes initiaux, historiques, de réception des oeuvres, après avoir aussi rappelé comment l'historien se doit de percevoir cet anachronisme pour éviter les effets pervers, on insistera, à l'aide de plusieurs exemples, sur les nouvelles problématiques proprement historiques, que ce même anachronisme suscite en confrontant le voir renouvelé de l'historien à ses savoirs établis. Conditions muséales d'exposition et reproduction photographique permettent en particulier d'observer les oeuvres de la distance à laquelle elles ont été réalisées et de percevoir des éléments qui n'ont pas été peints pour être vus, peints pour ne pas être vus. Parmi les enjeux scientifiques de ce renouvellement de l'observation, on insistera en particulier sur la mise au point de nouveaux modèles théoriques permettant de constituer une microhistoire de l'art - dont un des principes pourrait être, précisément, la confrontation dialectique du voir et des savoirs. Tout en suggérant l'existence de modes de diffusion et de connaissance des images dont on ne peut trouver trace ailleurs, cette microhistoire ouvrirait, entre autres, la possibilité d'une histoire de la relation intime de l'artiste à son travail et de ses modes d'expression dans l'oeuvre, relation au travers de laquelle se préfigure et se configure le sujet classique. Mot(s) clés libre(s) : art, art et sciences, art et technologie, critique d'art, expositions artistiques, histoire de l'art
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Écriture, pouvoir et légitimité (Partie 2)
/ Isabelle PRIETO
/ 09-10-2015
/ Canal-u.fr
APICELLA Catherine, BRIQUEL CHATONNET Françoise, ROCHE-HAWLEY Carole, RAGAZZOLI Chloé, HAWLEY Robert
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(2éme partie du Film)
À l’occasion de la Fête de la Science, le laboratoire Orient et
Méditerranée propose un café des sciences qui réunit les chercheurs et
le public autour d’un sujet de recherche mené par les membres du
laboratoire.
Cette année, la discussion s’est appuyée sur le projet de recherche transversal : Écriture, pouvoir et légitimité (Responsable : Carole Roche).
Les différentes voies et utilisations des systèmes d’écriture suivant
les formes et les rôles qu’ils peuvent tenir dans un système politique
ou social ont été abordées, qu’il s’agisse, par exemple, de légitimer un
pouvoir politique par l’utilisation d’une l’écriture monumentale
archaïsante, de choisir d’une écriture "moderne" comme l’alphabet ou
d’affirmer une différence en utilisant des innovations techniques.
Les participants ont débattu sur les évolutions qui sont apparues depuis
les premières écritures jusqu’à celles utilisées à l’époque médiévale
dans tous le bassin méditerranéen et au proche orient.
Ont participé :
Catherine Apicella
Chloé Ragazzoli
Carole Roche
Robert Hawley
Françoise Briquel Chatonnet
Le débat est organisé et animé par Isabelle Prieto
5 posters de présentation des types d'écritures accompagnent le café des
sciences "Pouvoir, écriture et légitimités" (dans l'onglet "liens") Mot(s) clés libre(s) : écriture, histoire
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Visualisation des réseaux savants / Anthony Andurand, Marion Maisonobe, Laurent Jégou
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 08-04-2014
/ Canal-u.fr
ANDURAND Anthony, MAISONOBE Marion, JÉGOU Laurent
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Visualisation des réseaux savants / Anthony Andurand, Marion Maisonobe, Laurent Jégou, in colloque "Comprendre les mondes sociaux 2014", organisé par Le Labex Structuration des Mondes Sociaux (SMS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail. Toulouse, Centre de congrès Pierre Baudis, 7-9 avril 2014.L'activité scientifique, comme activité sociale dédiée à la production
et à la diffusion des savoirs, produit à chaque époque d'abondantes
traces documentaires, dont l'exploitation et le traitement permettent de
reconstituer autant de mondes savants, dans la pluralité de leur
organisation et de leur fonctionnement. L'analyse de ces configurations
et de leurs variations, modelées par des contextes et des logiques
spécifiques, est au coeur de la réflexion menée par les chercheurs de
l'opération "Mondes scientifiques" de SMS, élaborée à l'articulation de
plusieurs domaines des sciences sociales. Le croisement de l'analyse
des réseaux et de l'approche spatiale constitue l'un des objectifs de
cette démarche pluridisciplinaire. A l'automne 2013, la préparation
d'une publication collective pour un numéro de la revue "Histoire et informatique",
portant sur la visualisation des données en sciences sociales, à été
l'occasion de tester cette approche sur divers terrains empiriques et
dans différents contextes ou périodes, selon un parcours menant des
banquets de lettrés dans l'Empire romain au très contemporain Web of Science. En revenant sur ce travail qui a permis d'associer dans une réflexion commune historiens et géographes, l'exposé présenté lors du Conseil scientifique de SMS, conçu sous la forme d'un "retour d'expérience", permettra d'envisager les enjeux épistémologiques et méthodologiques propres à une cartographie des mondes savants. Il s'agit d'envisager, à travers la confrontation des résultats produits par cette étude, les matériaux documentaires et les données, les protocoles d'enquête et les outils que peuvent mobiliser les recherches liées au domaine émergent du science mapping. Cette présentation vise également à évaluer l'apport de ces questionnements et de ces méthodes à la compréhension des mondes savants et des logiques sociales de l'activité scientifique. Mot(s) clés libre(s) : histoire (recherche), sciences humaines et sociales (recherche), traitement graphique de l'information, visualisation de données
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Naissance des prématurés : jusqu'où reculer la limite du vivable ?
/ 08-12-2015
/ Canal-u.fr
ANDRIEU Bernard
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À travers les archives d’Alexandre Minkowski et de Suzanne Saint-Anne Dargassies, celles de l’INH et de l’INSERM, Bernard Andrieu montrera comment le prématuré a été inventé et sauvé au début des années 1950, notamment dans l’équipe de Clinique la Baudelocque à Paris, devenue aujourd’hui Port Royal.
En reculant la limite du vivable, la médecine pré-natale nous interroge sur la plasticité du corps vivant, son adaptation technologique aux couveuses et les développements psycho-moteurs de sa cognition.
Devons-nous pour autant reculer les limites du vivant en améliorant sans cesse la survie artificielle de l’enfant prématuré ? Ne faut-il pas convenir de ce qui est invivable et consentir à la mort précoce ? Les séquelles d’une trop forte prématuration engagent-elles notre éthique pour soutenir l’existence d’enfants risquant d’être lourdement handicapés ?
Cette recherche pluridisciplinaire qui lie l’histoire de la médecine et les sciences humaines trouve dans cette conférence les conditions d’un dialogue sur le corps vivant. Mot(s) clés libre(s) : corps, vie artificielle, néonatalogie, histoire de la médecine, Prématurés, médecine pré-natale
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L'informatique de demain : de Von Neumann aux superprocesseurs
/ Mission 2000 en France
/ 04-09-2000
/ Canal-U - OAI Archive
ANCEAU François
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L'évolution du matériel informatique est certainement le phénomène technique qui a connu la progression la plus importante pendant ce demi-siècle. L'apparition de la microélectronique a permis, sur les trente dernières années, une augmentation de la performance des microprocesseurs par un facteur d'environ 100 000, tandis que le prix des machines informatiques était divisé par plusieurs dizaines. Sous la pression des utilisateurs, la course à la performance semble insatiable. Les concepteurs des nouvelles machines informatiques rivalisent d'ingéniosité pour arriver à exécuter les programmes de plus en plus rapidement. L'organisation interne des processeurs modernes s'apparente à des sortes de "chaînes de montage" dans lesquelles plusieurs instructions sont simultanément en exécution. Ces techniques tiennent souvent de l'acrobatie. En effet, la recherche effrénée de la vitesse de traitement incite, par exemple, à utiliser des résultats intermédiaires avant même qu'ils n'aient été élaborés, en spéculant sur la valeur qu'ils devront avoir. Cette course folle se poursuit sans qu'aucun signe de fléchissement ne se fasse sentir. On constate même actuellement une accélération de sa vitesse d'évolution. Les études prospectives laissent à penser que ce rythme va se poursuivre pendant au moins encore dix ou vingt ans. Mot(s) clés libre(s) : architecture des ordinateurs, histoire de l'informatique, mémoire informatique, microprocesseur, pipe-line, puissance de calcul, transistor
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L'informatique de demain : de Von Neumann aux superprocesseurs
/ Mission 2000 en France
/ 04-09-2000
/ Canal-u.fr
ANCEAU François
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L'évolution du matériel informatique est certainement le phénomène technique qui a connu la progression la plus importante pendant ce demi-siècle. L'apparition de la microélectronique a permis, sur les trente dernières années, une augmentation de la performance des microprocesseurs par un facteur d'environ 100 000, tandis que le prix des machines informatiques était divisé par plusieurs dizaines. Sous la pression des utilisateurs, la course à la performance semble insatiable. Les concepteurs des nouvelles machines informatiques rivalisent d'ingéniosité pour arriver à exécuter les programmes de plus en plus rapidement. L'organisation interne des processeurs modernes s'apparente à des sortes de "chaînes de montage" dans lesquelles plusieurs instructions sont simultanément en exécution. Ces techniques tiennent souvent de l'acrobatie. En effet, la recherche effrénée de la vitesse de traitement incite, par exemple, à utiliser des résultats intermédiaires avant même qu'ils n'aient été élaborés, en spéculant sur la valeur qu'ils devront avoir. Cette course folle se poursuit sans qu'aucun signe de fléchissement ne se fasse sentir. On constate même actuellement une accélération de sa vitesse d'évolution. Les études prospectives laissent à penser que ce rythme va se poursuivre pendant au moins encore dix ou vingt ans. Mot(s) clés libre(s) : transistor, architecture des ordinateurs, histoire de l'informatique, mémoire informatique, microprocesseur, pipe-line, puissance de calcul
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La faune antarctique est en train de changer (les fonds marins et leurs écosystèmes)
/ Muséum national d'Histoire naturelle
/ 01-01-2015
/ Canal-u.fr
AMEZIANE Nadia
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Dans
le cadre de la COP21, le Muséum national d'Histoire naturelle interroge
ses chercheurs sur les effets du changement climatique sur la
biodiversité et l'Homme. En Antarctique, les chercheurs constatent des
changements d'ère de répartition des espèces dûs au réchauffement
climatique. Mot(s) clés libre(s) : changement climatique, Muséum national d'histoire naturelle, biodiversité
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