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Indivision et seigneurie entre frères à travers les successions féodales en Rouergue au XIVe siècle / Emmanuel Johans
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 22-03-2012
/ Canal-u.fr
JOHANS Emmanuel
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Indivision et seigneurie entre frères à travers les successions féodales en Rouergue au XIVe siècle / Emmanuel Johans. In "Frères et sœurs, du Moyen Âge à nos jours", colloque international organisé par le laboratoire france Méridionale et espagne: histoire des sociétés du Moyen Âge à l'époque contemporaine (Framespa) de l'Université Toulouse II-Le Mirail et par le Centre de recherches historiques de l'Ouest (Cerhio) de l'Université Rennes 2. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 22-23 mars 2012. (Ce colloque de Toulouse constitue la seconde partie d'un double colloque international dont la première partie s'est tenue à Rennes, les 1er et 2 décembre 2011).Session
1: Fratries et transmission, 22 mars 2012.Cette communication repose sur l'analyse des actes des comtes de Rodez et d'Armagnac et des registres d'hommages rendus à ces mêmes princes de la fin de XIIIe siècle au début du XVe siècle. Les actes princiers et les reconnaissances féodales permettent d'appréhender les pratiques successorales au sein des classes dominantes. Celles-ci se différencient selon le rang socio-politique et le statut juridique.Dans la maison comtale, la primogéniture masculine est un principe affirmé, aussi bien pour l'héritage paternel que maternel. Les frères cadets légitimes obtiennent une part mineure de la succession mais peuvent espérer être associés au pouvoir, voire l'acquérir en cas de défaut de l'aîné. Les sœurs mariées reçoivent une dot importante et un legs en compensation de leur renonciation aux héritages paternel et maternel. La haute noblesse du Rouergue et du Gévaudan copie les règles de succession princière en privilégiant un héritier universel. Cependant, de nombreux frères cadets font de belles carrières écclésiastiques dans la proximité des papes français d'Avignon, notamment grâce à leur formation universitaire ou à leur alliances familiales avec la maison pontificale. De plus les cadets laïcs peuvent être un recours pour la succession à la baronnie. Les dots des sœurs quant à elles peuvent être constituées de domaines féodaux non négligeables.Malgré la prégnance de la primogéniture, les pratiques successorales de la petite et moyenne bourgeoisie rouergate attestent d'un plus grand souci de partage entre frères. Selon le droit romain, en tant qu'héritiers réservataires de leurs parents, les fils cadets peuvent réclamer une part a minima de leur succession. L'indivision qui, lorsqu'elle n'est pas utilisée, s'accompagne souvent de la désignation d'un chef de famille parmis les frères, n'apparaît que comme une étape avant la division effective du patrimoine parental.Dans la couche sociale des roturiers aisés, la coutume successorale du partage ou de l'indivision entre frères et sœurs est une norme assez répandue. Les seigneurs féodaux non nobles respectent couramment l'usage du partage égal entre frères et sœurs ou poussent à la mise en place de frérèches. L'indivision entre frères est pratiquée dans les milieux marchands enrichis mais elle peut masquer la réussite la plus marquée d'un des frères. Le mariage des sœurs fait l'objet d'un soin particulier qui tend à maintenir une égalité de traitement. Mot(s) clés libre(s) : relations frères-soeurs, famille (aspect historique), succession et héritage, Moyen Âge (France), partage successoral, Rouergue (France), droit d'aînesse
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Séminaire Image et vérité. 3. Image et mémoire. La reconstruction de la vérité par l'image : ouverture de la journée / Pascale Peyraga, Marion Gautreau
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 07-04-2014
/ Canal-u.fr
GAUTREAU Marion, PEYRAGA Pascale
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Séminaire Image et vérité. 3. Image et mémoire. La reconstruction de la vérité par l'image : ouverture de la journée / Pascale Peyraga, Marion Gautreau. Séminaire organisé par le laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) et le Réseau interdisciplinaire sur les vérités de l'image hispanique contemporaines (RIVIC). Université Toulouse II-Le Mirail, 7 avril 2014.Tanto la dictadura franquista como las dictaduras latinoamericanas de los años 1960 a 1980 dieron lugar a una abundante
producción fílmica y fotográfica -documental y de ficción- que vuelven sobre estos periodos traumáticos desde diferentes puntos de vista. Comienzan a realizarse pe- lículas en los años 1980, todavía bajo la Ley de amnistía española (15 de octubre de 1977) o las Leyes de impunidad argentinas (finales de los años 1980) y siguen saliendo en pantalla hasta hoy en día, en un clima totalmente distinto. En efecto, la Ley de Memoria histórica del 31 de octubre de 2007 en
España o la declaración de inconstitucionalidad por la Corte Suprema de Argentina de los « indultos de Menem » en 2010 abre vías nuevas a la representación fílmica de estos episodios de la historia reciente. La idea de este seminario es observar cómo se reconstruye la memoria
histórica de las dictaduras a través de las imá- genes y el diálogo que entretiene estas producciones artísticas con una real o supuesta « verdad histórica ». Considerando cada una de estas obras como un « lugar de memoria », a la manera de Pierre Nora, sería interesante analizar los recursos utilizados por los artistas para ofrecer su propia memoria
de los gobiernos militares. En documentales como La maleta mexicana (Trisha Ziff, 2011, México/España/EEUU) o Los caminos de los memoria (José Luis Peñafuerte, 2009, España) se insiste en la problemática de las exhumaciones y del dilema verdad/olvido, mientras que en películas como Infancia clandestina (Benjamín Ávila, 2012, Argentina) o O ano en que meus pais saíram de férias (Cao Hamburger, 2006, Brasil) se intenta dar a ver la vida cotidiana de los niños que vivieron en tiempos de dictadura. Por otra parte, no podemos sino pensar en las producciones fotográficas de los últimos años, que no se refieren tanto a la revelación del pasado histórico (en las dictaduras o en tiempos de guerra) como a la comprobación de la ausencia de imágenes o una verdad para siempre velada (La misma Imagen a través de los días Socius II, Adrián Alemán). A través del tiempo y de la variedad de temas desarrollados en estos medios icónicos se va reconstruyendo poco a poco la memoria de las dictaduras. Nuestro propósito es confrontar los puntos de vista expuestos y los recursos iconográficos utilizados para defenderlos, con el fin de delinear los contornos de estas memorias española y latinoamericanas. Mot(s) clés libre(s) : conscience historique, cinéma et histoire, Mexique (20e siècle), Basilio Martín Patiño (1930-....), cinéma espagnol, Jorge Semprún (1923-2011), Espagne (20e siècle), film documentaire, mémoire collective, franquisme
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Faux frères-âmes sœurs ? Les relations ambiguës entre les bâtards royaux et les héritiers de la Couronne / Véronique Garrigues
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 22-03-2012
/ Canal-u.fr
GARRIGUES Véronique
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Faux frères-âmes sœurs ? Les relations ambiguës entre les bâtards royaux et les héritiers de la Couronne / Véronique Garrigues. In "Frères et sœurs du Moyen Âge à nos jours", colloque international organisé par le laboratoire France Méridionale et Espagne: histoire des sociétés, du Moyen Âge à l'époque contemporaine (Framespa) de l'Université Toulouse II-Le Mirail et par le Centre de recherches historiques de l'Ouest (Cerhio) de l'Université Rennes 2. Toulouse, Université Toulouse II-Le Mirail, 22-23 mars 2012. Session 2 : La fraternité vécue : sentiments et affection, 22 mars 2012. [Ce colloque de Toulouse constitue la seconde partie d'un double colloque international dont la première partie s'est tenue à Rennes, les 1er et 2 décembre 2011].Les bâtards font partie du décor des cours princières européennes entre le XVe et le XVIIIe siècle. Les germains des Valois, Habsbourg, Tudor, Stuart et Bourbon ont dû composer avec des fratries et sorories consanguines. Leur présence a pu transformer les positions des frères et des sœurs en complexifiant les liens adelphiques codifiés par la préséance. L'évolution permanente du contexte démographique reconfigure des relations démultipliées par les possibilités de positionner les acteurs de la filiation selon le rang de naissance, le sexe, la légitimité ou non de la naissance. A partir des cas espagnols et français, Véronique Garrigues organise sa communication en trois points :- Des sentiments à géométrie variable. Avec les Bourbons s'est popularisée l'image d'un souverain élevant sous le même toit le Dauphin, ses frères et ses sœurs ainsi que les enfants illégitimes. Cette proximité n'a pas toujours été de mise. Des sentiments ont pu se construire malgré une distance importante alors que les sentiments noués dans une proximité imposée ont pu se révéler peu amènes.- Âmes sœurs. Le lien adelphique ne peut être pensé sans référence au genre, tant la relation frère-sœur se distingue de celle entre frères. Dans le système curial, les sœurs sont les premières exclues de la succession. En l'absence d'une course aux honneurs, les liens s'applanissent pour plusieurs raisons : sœur "donnée", elle participe aux stratégies matrimoniales dynastiques, sœur dévouée, ses talents sont mis au service du royaume. Toutefois, des tensions peuvent apparaître en l'absence d'héritier mâle direct ou quand la sœur devient mère.- Faux frères ? Les liens qui unissent les frères incluent implicitement une distinction selon le rang de naissance. Cette hiérarchie a été majoritairement acceptée, d'autant qu'elle pouvait être accidentellement recomposée par le décès de l'aîné. Toutefois, les sentiments s'exacerbaient plus facilement quand une vacance du trône devenait possible par la santé débile du souverain et/ou l'absence de descendance légitime. Mot(s) clés libre(s) : relations frères-soeurs, famille (aspect historique), succession et héritage, enfants naturels, familles royales, Europe (15e-18e siècles)
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/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
GALOP Didier
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Mot(s) clés libre(s) : archéologie du paysage, archéologie médiévale, archéologie préhistorique, économie préhistorique, géographie historique, géographie humaine, paléobotanique, paleoenvironnement, pastoralisme préhistorique
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072 - Une histoire idéologique ? Existe-t-il une vision pied noir de l'histoire franco-algérienne ?
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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par Yann Scioldo-Zurcher (Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales)Migrations, cultures et représentations : la pérennité des liensUne histoire idéologique : session thématique (prés. Anne-Marie Granet-Abisset)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Nous savons aujourd’hui que les pieds-noirs ne forment pas une communauté, ni même un groupe homogène, et que plusieurs mémoires, parfois concurrentes, les caractérisent. Pourtant, derrière la multitude, se dégage non seulement une mémoire collective, au sens ou Maurice Halbwachs l’entend, mais aussi une « vision pied-noir de l’histoire franco-algérienne ». Faite de mythologies coloniales, de sophismes politiques, de justifications a posteriori, de rejets et de victimisation, cette vision est souvent l’unique point de rencontre des associations, voire des rapatriés...Il s’agira donc dans un premier temps de définir cette vision historique, mais au-delà d’une approche convenue, nous proposerons une définition par la négative, et tenterons d’analyser les dénis de mémoire et les refus d’histoire, qui paradoxalement forment cette vision historique particulière. Il s’agira d’historiciser cette vision à partir d’un corpus original d’archives, et de montrer combien elle existait déjà du temps de la colonisation. Plus encore, nous regarderons comment, après l’indépendance de l’Algérie, cette vision fut réintroduite en métropole et confortée par les pouvoirs publics, et notamment le ministère de l’Information, au point de redonner une vie active à des stéréotypes coloniaux qui ont survécu sans difficulté à la colonisation.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), conscience historique, historiographie, mémoire collective, pieds-noirs, stéréotypes coloniaux
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L'histoire dans les subjectivités individuelles
/ Mission 2000 en France
/ 23-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CORBIN Alain
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Le simple énoncé de l'objet qui m'a été proposé suffit à désigner son ampleur. La manière dont l'individu reçoit, interprète, se rappelle, oublie ce qui constitue à ses yeux le cours de l'histoire résulte de sa trajectoire et de sa position sociales, de son habitus, de ses représentations du monde, de l'autre et de soi - qu'elles forment ou non système - de ses croyances et de ses convictions, de sa culture sensible, de sa structure affective et des événements qui ont rythmé son existence. Les cinquante minutes imparties imposent donc de délimiter plus étroitement cet objet. Aussi m'en tiendrai-je, aujourd'hui, à la manière dont la conscience de l'identité, les représentations et la mémoire de soi contribuent à déterminer la façon dont le sujet interprète l'apport extérieur et au retentissement de ce qu'il nous faut résumer par le terme "histoire", ici conçu comme somme de savoirs et d'expériences. Mot(s) clés libre(s) : biographies, conscience historique, identité individuelle, individu et histoire, représentation de soi
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Patrimonialisation et mémoires de l'esclavage : la difficile rencontre / Christine Chivallon
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
CHIVALLON Christine
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Patrimonialisation et mémoires de l'esclavage : la difficile rencontre / Christine Chivallon, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014.
Thématique 1 : Esclavage et mémoire.
Cette communication s'intéresse aux nouvelles pratiques patrimoniales et muséographiques relatives à l'esclavage trasatlantique dans la France contemporaine et ses lointains "Départements d'outre-mer" de la Caraïbe. Elle envisage de manière critique les discours que proposent ces nouveaux dispositifs patrimoniaux au vu de l'ambition qu'ils visent de représenter l'esclavage. A partir d'expériences concrètes de scénographies de l'esclavage, plutôt muséographiques, il s'agit de faire émerger les questions que pose la mise en visibilité de l'esclavage par le langage patrimonial dans un contexte politico-mémoriel saturé de signes. La visée stratégique de la prise en compte du passé esclavagiste fait en effet massivement appel aux « machines du souvenir », outils de la modernité occidentale, pour tenter de convaincre de la prise en compte des histoires douloureuses des peuples noirs. A partir de quelques exemples, Christine Chivallon veut ainsi montrer que ce langage muséographique et monumental, fortement mobilisé dans le contexte de frénésie mémorielle, n'est pas adapté pour traduire les expériences sociales issues de la matrice esclavagiste. Celles-ci semblent comme leur échapper ou être de nouveau rendues silencieuses par des dispositifs qui oblitèrent des pans de réalités sociales encore vives ou qui viennent à produire des régimes de représentations encore étroitement liées aux spécificités de sociétés restées clivées par les héritages coloniaux. Cette commuication envisage successivement quatre stratégies discursives : celle de la périodisation historique, celle du récit national, celle du lieu-témoin, celle enfin de la monumentalité du Mémorial. Ces stratégies ne sont pas exclusives l'une de l'autre mais expriment plutôt des dominantes où les discours, par leurs procédures de sélection et d'exclusion, installent certaines visions de l'esclavage qui brouillent les manières d'atteindre le sens de l'expérience humaine formée dans le creuset esclavagiste. Mot(s) clés libre(s) : conscience historique, lieux de mémoire, politique culturelle (protection du patrimoine), esclavage (mémoire collective), scénographie d'exposition (muséologie)
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/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
CAROZZA Laurent
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Mot(s) clés libre(s) : chalcolithique, géographie historique, métallurgie préhistorique (Hautes-Alpes ; France)
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L’homme public
/ 27-01-2015
/ Canal-u.fr
BURGUIERE A., PERROT Michelle, NORA Pierre, POMIAN Krzysztof, HEURGON Édith, LAURENTIN Emmanuel
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Table-ronde
Modérateur : Emmanuel Laurentin, France Culture
Le Goff en livres : Pierre Nora, Éditions Gallimard
Les Lundis de l’Histoire : Michelle Perrot, Université Denis-Diderot, Paris 7
Les Annales de Jacques Le Goff : André Burguière, École des hautes études en sciences sociales
Les engagements polonais de Jacques Le Goff : Krzysztof Pomian, Centre national de la recherche scientifique
Jacques Le Goff en séminaire à la RATP : Édith Heurgon, Centre culturel international de Cerisy Mot(s) clés libre(s) : historiographie, anthropologie historique, engagement, édition, radio
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La vitesse de la lumière
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Gabrielle Bonnet
/ 12-09-2003
/ Unisciel
Bonnet Gabrielle
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Dossier consacré à la vitesse de la lumière : aspects historiques,
origine et signification physique de l'indice, relativité et vitesse de la lumière... et
quelques exemples d'objets qui vont ou semblent aller paradoxalement « plus vite que la
lumière ». Mot(s) clés libre(s) : vitesse de la lumière, historique, Fizeau, Foucault, Galilée, Michelson, définition du mètre, relativité restreinte, relativité générale, indices optiques, indice optique, équations de Maxwell, fréquence d'oscillateur, effet Cherenkov, tachyon, jet de plasma ultrarelativiste
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