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Entretien sexologique avec une femme âgée
/ Canal-u.fr
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Le film aborde le problème de la sexualité chez la personne
âgée : sexualité et conditions de vie, orgasme/plaisir, érection,
ménopause, maladies (cancers) et médicaments...
Il s'organise principalement autour d'une séance-type de
consultation médecin-patient.
Cette consultation permet d'introduire les problèmes qui
peuvent survenir chez la personne âgée et la difficulté d'aborder le sujet:
comment inciter à parler, rassurer, quelles sont les interactions de langage
qui peuvent survenir?
Ce modèle de film se décline en plusieurs versions : il
y a trois séances type de consultation, l’une mettant en scène un patient âgé,
l’autre le même patient qui revient 3 ans plus tard et dont les problèmes nécessitent
davantage de solutions médicamenteuses, une autre met en scène les problèmes
chez la femme âgée.
A chacune de ces consultations se rajoute une seconde
version où figurent des commentaires émanant du corps médical : sexologue,
gériatre, endocrinologue, urologue…
Enfin, une dernière version récapitule les différents
commentaires selon la discipline qu’ils illustrent.Réalisation et montage: Claire et Laure FUGAIN
Scénario: Pascal BOUCHE
Acteurs: Catherine CERDA (la patiente) et Catherine ACHOUR (la sage-femme)
Coordinateur scientifique: Athanase BENETOSProducteur: Canal U 3S / UNF3S Mot(s) clés libre(s) : hormones, érection, verge, gland, entretiens, sexologie, entretien, préservatif, impuissance, frigidité, consultation, clitoris, plaisir, sexe, gériatrie, lubrification, ménopause, vagin, prothèses, endocrinologie, urologie, orgasme, aparte
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Voir les cellules communiquer
/ UTLS - la suite
/ 19-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
AMATORE Christian
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Nos cellules "communiquent" chimiquement en échangeant des "molécules-mots" : hormones, neurotransmetteurs, etc. Le dialogue entre neurones dans notre cerveau est ainsi intimement lié à leurs échanges de petites bouffées de neurotransmetteurs de proche à proche. Beaucoup est déjà connu en physiologie et en biologie sur ce domaine, mais il reste encore très mystérieux car nos connaissances sur le sujet sont encore limitées par des difficultés expérimentales. Cela se comprend aisément lorsque l'on sait que ces échanges impliquent seulement quelques milliers de molécules-mots en quelques millièmes de seconde. De même, les neurones étant incapables de stocker leur énergie, ont une activité impliquant un couplage très fin avec le système neurovasculaire qui irrigue le cerveau. En d'autres termes, lorsqu'un neurone "communique avec ses partenaires", il doit simultanément "réclamer" un accroissement du flux sanguin à son voisinage immédiat. C'est précisément cette modulation locale du flux sanguin qui est observée en temps réel par imagerie IRM ou par caméra à positons (PET scan) avec des conséquences importantes en médecine ou en sciences cognitives. Néanmoins, le phénomène observé n'est que le résultat d'un échange de neurotransmetteur, le NO, sous-jacent comme nous le démontrerons au cours de cette conférence. Au cours de cette conférence nous expliquerons comment des électrodes extrêmement petites (entre une vingtaine et une cinquantaine d'entre elles, réunies en faisceau, auraient l'épaisseur d'un seul cheveu humain !) peuvent être utilisées afin de "voir les cellules parler". Nous montrerons ensuite comment les données expérimentales ainsi obtenues permettent de remonter aux mécanismes physicochimiques mis en jeu, c'est-à-dire de "comprendre comment elles parlent". voir le site internet : : http://helene.ens.fr/w3amatore/ Mot(s) clés libre(s) : cellule, chimie organique, cinétique, espace synaptique, hormone, modélisation, neurone, neurotransmetteur, physico-chimie, vésicule
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Vieillesse et hormones stéroïdes - Etienne-Emile BAULIEU
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 26-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BAULIEU Etienne-Emile
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Conférence du 26 janvier 2000 par Etienne-Emile Baulieu. L'exposé traitera du rôle des hormones dans le processus de vieillissement, y compris de la DHEA, et le situera au regard des aspects génétiques. Il développera l'idée que beaucoup de dysfonctionnements associés à l'âge sont réversibles pourvus que l'environnement, les comportements et les "traitements" soient bien conçus et suivis. Le but est de procurer au maximum de personnes une longévité accrue dans de bonnes conditions physiques et mentales, permettant une activité intellectuelle, personnelle et sociale. Mot(s) clés libre(s) : développement biologique, génétique, hormone animale, vieillissement
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Encéphalopathies subaiguës spongiformes transmissibles : le risque pour la santé
/ Mission 2000 en France
/ 12-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DORMONT Dominique
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Les encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles (ESST) ont été décrites chez l'homme et les animaux : Kuru, maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), insomnie fatale familiale, chez l'homme ; tremblante du mouton et de la chèvre, encéphalopathie du vison, maladie du dépérissement chronique des ruminants sauvages, encéphalopathies spongiforme du chat et encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) chez l'animal. Toutes ces maladies ont des lésions histopathologiques très proches constituées d'une mort neuronale, d'une gliose et d'une spongiose, et elles sont transmissibles au sein de la même espèce, et expérimentalement d'une espèce à l'autre. Ces maladies humaines et animales sont induites par des agents transmissibles non conventionnels (ATNC), appelés "prions" ou "virinos". Ces agents restent inconnus à ce jour. S.B. Prusiner et ses collaborateurs ont décrit, à la fin des années 70, la principale caractéristique moléculaire de ces maladies : il s'agit d'une accumulation d'une protéine de l'hôte sous une forme modifiée. Les deux formes diffèrent seulement dans leurs propriétés physico-chimiques qui seraient la conséquence d'une modification de la structure secondaire ou organisation en trois dimensions. L'hypothèse la plus couramment admise en 1998 est que l'agent infectieux est composé de la protéine sous sa forme pathologique ; la propagation de la conformation pathologique s'effectuerait par l'acquisition, par la protéine normale, de la conformation anomale de la protéine infectieuse avec laquelle elle est associée. Récemment, une nouvelle forme de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (nvMCJ) est apparue en Grande Bretagne (48 cas) et, à un moindre degré, en France (2 cas) et en République d'Irlande (1 cas). Cette nouvelle variante touche des individus jeunes, sans facteurs de risques génétiques ou iatrogènes et se traduit par une clinique particulière et une neuropathologie tout à fait spécifique, inconnue dans les autres formes de MCJ. L'implication de l'agent de l'encéphalopathie bovine spongiforme dans l'émergence du nvMCJ est maintenant démontrée ; les conséquences en termes de santé publique du passage de l'agent bovin à l'homme ne sont pas encore totalement évaluées. Mot(s) clés libre(s) : cannibalisme, cerveau, encéphalopathie subaïgue spongiforme, farine animale, hérédité, hormone de croissance, Kuru, maladie de Creutzfeld-Jacob, prion, santé, système nerveux central
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La Neuroendocrinologie
/ Université Denis Diderot - Paris VII, Studio Vidéo UNIVERSITE PARIS 7 DENIS-DIDEROT
/ 25-11-2004
/ Canal-U - OAI Archive
GOURDJI Danielle, EPELBAUM Jacques, TIXIER-VIDAL Andrée, ROSTENE William, KORDON Claude
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BioTV consacre quatre émissions à la Neuroendocrinologie, une discipline aux croisements des Neurosciences et de l'Endocrinologie. La première de ces émissions est consacrée l'antéhypophyse, glande chef d'orchestre au niveau central. La deuxième porte sur l'histoire de la Neuroendocrinologie, la troisième sur les molécules qui interviennent dans les mécanismes de régulation neuroendocrinienne. Enfin, la dernière, a trait aux pathologies neuroendocriniennes et sur ce qu' a apporté la neuroendocrinologie aux les sciences de la vie. Mot(s) clés libre(s) : hormones hypophysaires, hormones stéroidiennes, Neuroendocrinologie, neuropeptides, pathologies neuroendocriniennes
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ANARLF 2009 - Autres neuroprotecteurs
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 26-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
PAYEN Jean François
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31ème journée de l’association de Neuro Anesthésie Réanimation de Langue Française (ANARLF). Thérapeutique en neuro-anesthésie-réanimation.ANARLF 2009 Nancy – Autres neuroprotecteursRésumé : Le concept de neuroprotection sous-tend le projet thérapeutique de s’opposer à la mort neuronale induite par l’agression cérébrale. En traumatologie crânienne, ce concept s’applique aux lésions primaires (lésions axonales diffuses, contusions, hématomes) qui sont prévenues par l’emploi de casques, de ceintures de sécurité, d’airbag, et aux lésions secondaires. Celles-ci sont des altérations cellulaires, neurochimiques et métaboliques évoluant pour leur propre compte après la lésion initiale. Les lésions secondaires peuvent correspondre à l’aggravation des lésions initiales, par rupture de la barrière hémato-encéphalique (BHE), développement d’un œdème cérébral, apparition de zones d’ischémie. Elles peuvent aussi avoir une origine systémique, on parle alors d’agressions cérébrales secondaires d’origine systémique (ACSOS).A partir de résultats favorables obtenus sur des modèles animaux de TC, environ 50 essais cliniques ont été conduits depuis 1980 pour tester plus de 20 agents neuroprotecteurs. Malheureusement, les résultats sur le pronostic neurologique des patients ont été la plupart du temps décevants.Auteur : Jean François PAYEN - Anesthésie-Réanimation Hôpital Michallon CHU de Grenoble SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : ANARLF 2009 Nancy, anesthésie, cyclosporine, hormone, inflammation, ischémie cérébrale, neurologie, pharmacologie, progestérone, réanimation
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Les fonctions cérébrales
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 01-02-2000
/ Canal-U - OAI Archive
Pr. JEANNEROD Marc
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Conférence du 1er février 2000 par Jacques Jeannerod. Le cerveau doit d'abord ses fonctions à son organisation anatomique. Cette organisation se construit pendant la première période de la vie. Les connexions entre neurones s'établissent d'après des lois qui combinent le hasard à un déterminisme étroit. La répartition des neurones présentant des connexions communes en noyaux, en couches, en aires est une indication de l'existence d'un plan qui se reproduit dans chaque cerveau de la même espèce. Mais, à l'intérieur de ce réseau relativement fixe, les connexions restent labiles, pouvant s'accroître ou diminuer selon le degré d'exercice d'une fonction. Cette labilité, ou plasticité, permet la constitution de réseaux connectant entre eux plusieurs ensembles de neurones le temps de la réalisation d'une opération complexe (trouver un mot, penser à une action...). Ces réseaux, depuis quelques décennies, sont devenus visibles grâce aux méthodes de l'anatomie fonctionnelle qui permet de réaliser des images du cerveau en fonctionnement. L'acquisition de nouvelles capacités repose peut-être sur la plasticité des connexions entre neurones. Le développement de nouvelles connexions pourrait alors expliquer la récupération d'un déficit à la suite d'une lésion pathologique. Le cerveau doit aussi ses fonctions à l'existence des multiples relations qui l'unissent au reste du corps. Le corps envoie au cerveau des informations sur l'état du monde extérieur et intérieur. En retour, le cerveau contrôle l'ensemble de l'organisme, non seulement par les fibres nerveuses qui le connectent aux muscles et à l'appareil végétatif, mais également par l'intermédiaire de signaux chimiques (des hormones) qu'il envoie vers les récepteurs placés dans les organes. C'est ainsi que des influences venues du reste du corps peuvent modifier l'état cérébral et créer des émotions, ou que, à l'inverse, le cerveau contribue à modifier l'état du corps pour le préparer à l'effort ou pour déclencher les réactions de stress. Mot(s) clés libre(s) : cerveau, corps, hormones, neurones, stress
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i-Jubilé André Calas - Mikhail Ugrumov
/ André DAUTIGNY, Alain FREIXANET, BioTV
/ 24-04-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Ugrumov Mikhail
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description à venir
Voir les autres programmes du jubilé André Calas :
a-Jubilé André Calas - présentation
b-Jubilé André Calas - Andrée Tixier-Vidal
c-Jubilé André Calas - Alain Trembleau
d-Jubilé André Calas - Bennis
e-Jubilé André Calas - Gérard Alonso
f-Jubilé André Calas - Olivier Kah
g-Jubilé André Calas - Yves Tillet
h-Jubilé André Calas - Olivier Bosler
i-Jubilé André Calas - Mikhail Ugrumov
j-Jubilé André Calas - Massimiliano Beltrano
k-Jubilé André Calas - Marc Landry
l-Jubilé André Calas - Brigitte Oteniente
m-Jubilé André Calas - André Calas Mot(s) clés libre(s) : hormones., neuroendocrinologie du développement, neurones monoaminergiques et peptidergique
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La chimie de l'amour - Marcel Hibert
/ UTLS - la suite
/ 22-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS - la suite, HIBERT Marcel
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La chimie de l'amour par Marcel Hibert, Professeur, Médaille d'argent du CNRS, Pharmacochimie de la Communication Cellulaire, UMR CNRS 7175, Université de StrasbourgUne conférence UTLS du cycle : « La Chimie partout » du 21 au 29 mai 2011 à 18h30 Mot(s) clés libre(s) : hormone, molécule, neurologie, pharmacologie, sexe
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ANARLF 2009 - Erythropoïétine et protection cérébrale
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 26-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
VELLY Lionel
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31ème journée de l’association de Neuro Anesthésie Réanimation de Langue Française (ANARLF). Thérapeutique en neuro anesthésie-réanimation.ANARLF 2009 Nancy – Erythropoïétine et protection cérébrale.Résumé : La découverte de l’existence de l’expression d’EPO et de son récepteur sur de nombreux autres types cellulaires incluant les cardiomyocytes, l’endothélium vasculaire ou plus récemment les cellules nerveuses a fait naître l’idée d’un effet extra-hématopoïétique de l’EPO, suggérant que l’EPO, par une action paracrine et/ou autocrine (synthèse et action locale), possède également un rôle cytoprotecteur. De cette hypothèse est né le concept d’un apport exogène d’EPO dans un but de protection tissulaire. Depuis, l’administration d’EPO recombinée humaine (rh-EPO) a fait la preuve de son efficacité sur différents modèles animaux d’ischémie rénale (Patel et coll., 2004) ou myocardique (Parsa CJ et coll., 2003). Dans le cadre plus spécifique du système nerveux central, outre un rôle physiologique de l’EPO endogène au cours de l’embryogénèse et de soutien en postnatal du tissu cérébral, une multitude de données expérimentales suggère un puissant effet neuroprotecteur de l’administration exogène d’rh-EPO. Cependant, cet effet n’est obtenu qu’avec de fortes doses d’rh-EPO (1000-30.000 UI/kg), très nettement supérieures à celles employées dans le traitement de l’anémie des insuffisants rénaux (500 UI/kg). Ces doses posent chez l’homme des problèmes de sécurité d’emploi et ont limité l’usage de la rh-EPO comme agent neuroprotecteur. Récemment, afin de palier à ces éventuels effets secondaires, des dérivés non hématopoïétiques de l’EPO ont été développés.Auteur : Lionel VELY – Service d’Anesthésie Réanimation, CHU Timone adultes Marseille.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : ANARLF 2009 Nancy, anesthésie, EPO, érythropoïétine, hormone, neurologie, pharmacologie, réanimation
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