Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Du baiser au bébé : l'aventure intérieure
/ Thierry BERROD, Mona Lisa Production
/ 01-01-2006
/ Canal-u.fr
BERROD Thierry
Voir le résumé
Voir le résumé
Jusqu où peut-on remonter dans l observation de la naissance de la vie
? À quel niveau de détail la science et les technologies modernes nous
permettent-elles d accéder ? Les mécanismes mis en jeu semblent
tellement complexes, innombrables, microscopiques que l idée même de
les expliquer et de les visualiser paraît un défi insurmontable. Le
corps humain est composé d environ 60 milliards de cellules. La
membrane d une seule cellule peut contenir jusqu à 10 000 récepteurs
capables de décoder des messages chimiques particuliers. Des chiffres
qui donnent le vertige et qui nous transportent aux frontières de l
infini. Si on a souvent parlé du "Miracle de la Vie", c est que l
ensemble des combinaisons et des réactions qui mènent à la naissance
sont d une telle précision et d une telle sophistication qu elles
peuvent apparaître miraculeuses. Pour la première fois à l écran,
grâce aux dernières technologies d imagerie médicale et de
micro-cinématographie, ce film approche au plus près ce miracle de la
vie en nous conviant à un fantastique voyage à l intérieur de nos
corps, pour observer, avec humour, la naissance de la vie dans l
ensemble de ses phases : depuis la quête du partenaire, en passant par
l acte sexuel, la fécondation, la croissance de l Suf et du fStus,
jusqu à la venue au monde. Mot(s) clés libre(s) : imagerie médicale, imagerie par résonance magnétique, radiologie, scanner
|
Accéder à la ressource
|
|
L'imagerie médicale au CEA
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 10-03-2006
/ Unisciel
CEA - espace jeunes
Voir le résumé
Voir le résumé
Un lien vers un dossier thématique du CEA sur l'imagerie médicale
et les recherches actuelles au CEA dans ce domaine. Principe de la médecine
nucléaire, utilisation de traceurs radioactifs, tomographie par émission de
positons, imagerie par résonance magnétique. Mot(s) clés libre(s) : imagerie médicale, médecine nucléaire, traceur radioactif, tomographie par émission de positons, TEP, rayon gamma, cyclotron, imagerie par résonance magnétique, IRM, cerveau, RMN, Résonance magnétique nucléaire
|
Accéder à la ressource
|
|
L'imagerie médicale par résonance magnétique
/ Mission 2000 en France
/ 16-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
COZZONE Patrick
Voir le résumé
Voir le résumé
Le Phénomène de Résonance Magnétique Nucléaire (RMN) découvert en 1946 est relatif aux propriétés magnétiques des noyaux des atomes. En médecine, il a donné naissance à l'Imagerie par Résonance Magnétique (IRM) qui constitue une des avancées les plus importantes de l'histoire de la médecine. L'IRM permet d'obtenir des images anatomiques du corps humain avec une finesse inégalée, sans avoir recours à des radiations ionisantes ou à l'injection de traceurs radioactifs. L'examen par IRM est indolore et peut être répété sans danger. La Spectrométrie de Résonance Magnétique (SRM) est une autre application du phénomène de résonance magnétique dans l'exploration du corps humain. La SRM qui connaît à présent un développement très rapide, analyse et visualise les réactions chimiques qui se produisent dans les tissus et les organes sans avoir à faire de prélèvements (biopsies). On obtient par SRM des images métaboliques du cerveau et de certains autres organes dont les anomalies éventuelles permettent de diagnostiquer de façon très précoce de nombreuses maladies et de quantifier l'effet des médicaments. Une application en plein développement concerne l'angiographie par résonance magnétique (ARM) qui permet la visualisation des vaisseaux de façon non invasive. Enfin, le fonctionnement du cerveau lorsqu'il gère des tâches motrices ou sensorielles peut être suivi par les nouvelles techniques de l'IRM fonctionnelle qui sont basées sur les variations du débit et de l'oxygénation du sang dans le tissu cérébral. Ces différentes modalités de l'Imagerie Médicale par Résonance Magnétique seront illustrées dans leurs applications à l'exploration du cerveau de l'homme. Mot(s) clés libre(s) : angiographie, imagerie médicale, imagerie par résonance magnétique, IRM, rayon X, résonance magnétique nucléaire, RMN, spectroscopie, SRM
|
Accéder à la ressource
|
|
L'Imagerie par Résonance Magnétique (IRM). À l'origine : la résonance magnétique nucléaire
/ ENS Paris CultureSciences-Chimie, Hagop Demirdjian
/ 04-11-2007
/ Unisciel
Demirdjian Hagop
Voir le résumé
Voir le résumé
Lien vers un article du site CultureSciences-Chimie. L'Imagerie
par Résonance Magnétique (IRM) a été développée à partir de 1973. Elle est
rapidement devenue la méthode de choix dans plusieurs domaines médicaux, en
particulier ceux en relation avec le cerveau (étude des maladies neurologiques,
visualisation du cerveau en activité...). L'IRM est adaptée d'une des principales
techniques d'analyse utilisée en chimie, la Résonance Magnétique Nucléaire (RMN.)
Cet article expose le principe physique commun aux deux méthodes. Mot(s) clés libre(s) : imagerie médicale, imagerie par résonance magnétique, IRM, cerveau, RMN, Résonance magnétique nucléaire, spin, précession, champ magnétique, spectroscopie, réponse impulsionelle, spectre RMN
|
Accéder à la ressource
|
|
Hautes performances en RMN et applications
/ Académie de Lyon - Journée "Milieux extrêmes", ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 05-02-2009
/ Unisciel
Emsley Lyndon
Voir le résumé
Voir le résumé
Une conférence de Lyndon Emsley, chercheur au Centre de RMN à
Très Hauts Champs, Université de Lyon, présentée dans le cadre de la journée
académique enseignement-recherche sur les "Milieux extrêmes", à Lyon. Mot(s) clés libre(s) : RMN, Résonance magnétique nucléaire, spin, précession, champ magnétique, effet Zeeman, spectroscopie, spectroscopie de radiofréquence, réponse impulsionelle, spectre RMN, imagerie par résonance magnétique, IRM, imagerie médicale
|
Accéder à la ressource
|
|
Semaine du cerveau 2002 : neuroimagerie fonctionnelle (1)
/ BioTV
/ 13-03-2002
/ Canal-U - OAI Archive
HANTRAYE Philippe
Voir le résumé
Voir le résumé
Dans le cadre de la semaine du cerveau 2002, le Dr Hantraye fait le point sur l'imagerie fonctionnelle au travers des méthodes modernes d'exploration. Mot(s) clés libre(s) : cerveau, fonction cognitive, imagerie cérébrale, imagerie médicale, imagerie par résonance magnétique, IRM, neuroscience, positon, radiographie, rayon X, sciences cognitives, système nerveux, TEP, tomographie
|
Accéder à la ressource
|
|
Semaine du cerveau 2002 : neuroimagerie fonctionnelle (2)
/ BioTV
/ 15-03-2002
/ Canal-U - OAI Archive
HANTRAYE Philippe
Voir le résumé
Voir le résumé
Conférence du Dr Hantraye Mot(s) clés libre(s) : angiographie, cerveau, fonction cognitive, imagerie cérébrale, imagerie médicale, imagerie par résonance magnétique, IRM, neuroscience, petscan, radiographie, rayon X, sciences cognitives, système nerveux, TEP, tomographie
|
Accéder à la ressource
|
|
Voyage initiatique dans notre cerveau
/ William ROSTENE, BioTV
/ 18-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
HERVE-MINVIELLE Anne, ROSTENE William
Voir le résumé
Voir le résumé
Voyage initiatique dans notre cerveau. Mot(s) clés libre(s) : cellule nerveuse, cerveau, cortex, imagerie par résonance magnétique, influx nerveux, IRM, neurone, neuroscience, potentiel d'action, région cérébrale, sciences cognitives, synapse, système nerveux
|
Accéder à la ressource
|
|
Voir le cerveau penser
/ UTLS LA SUITE, UTLS - la suite
/ 26-10-2002
/ Canal-U - OAI Archive
LE BIHAN Denis
Voir le résumé
Voir le résumé
L'imagerie par Résonance Magnétique (IRM) permet depuis une vingtaine d'année de produire des images de l'anatomie statique' du cerveau, c'est-à-dire des coupes virtuelles montrant les détails des structures cérébrales (matière grise, matière blanche) avec une précision millimétrique. Cette imagerie anatomique' est utilisée par les radiologues pour la détection et la localisation de lésions cérébrales. Plus récemment, l'IRM est aussi devenue fonctionnelle' (IRMf), montrant l'activité des différentes structures qui composent notre cerveau. L'imagerie neurofonctionnelle par IRMf repose sur deux concepts fondamentaux. Le premier, soupçonné depuis l'Antiquité mais clairement mis en évidence au siècle dernier par les travaux du chirurgien français Paul Broca, est que le cerveau n'est pas un organe homogène, mais que chaque région est plus ou moins spécialisée dans sa fonction. Le deuxième, suggéré par l'anglais Sherrington à la fin du siècle dernier, est que les régions cérébrales actives à un moment donné voient leur débit sanguin augmenter. C'est cette augmentation locale et transitoire de débit sanguin, et non directement l'activité des neurones, qui peut être détectée par l'IRMf et par la caméra à émission de positons (autre méthode d'imagerie neurofonctionnelle). En pratique, il suffit donc d'acquérir des images représentant le débit sanguin en chaque point de notre cerveau quand il exécute une tâche particulière (motrice, sensorielle, cognitive,...) et dans une condition de référence neutre. A l'aide d'un traitement informatique de ces images, on peut extraire les régions cérébrales pour lesquelles le débit sanguin a changé entre la condition de contrôle et l'exécution de la tâche et en déduire que ces régions ont participé à cette tâche. Ces régions sont reportées en couleurs sur l'anatomie cérébrale sous-jacente. Bien que l'imagerie neurofonctionnelle, aujourd'hui, ne permette pas de descendre à l'échelle des neurones, les exemples rassemblés dans ces pages tendent à montrer que les circuits cérébraux utilisés par l'activité de pensée' sont communs avec ceux utilisés par des processus de perception ou d'action réels. Ce résultat n'est pas surprenant a priori, si on considère que certaines formes de pensée (créer et voir une image mentale, imaginer une musique, inventer une histoire, évoquer des souvenirs...) ne sont autres que des simulations ou reproductions internes d'évènements que nous avons vécus ou que nous pourrions vivre. Au delà de l'identification des régions impliquées dans les processus cognitifs, des travaux en cours laissent présager qu'un jour nous pourrions peut-être même avoir accès en partie à la nature de l'information traitée par les différentes régions de notre cerveau, et donc, d'une certaine manière, à une petite fraction du contenu de nos pensées... Mot(s) clés libre(s) : anatomie cérébrale, Broca, cerveau, fonction cognitive, imagerie cérébrale, imagerie médicale, imagerie par résonance magnétique, IRM, language, matière blanche, matière grise, motricité, neuroimagerie, neurone, neuroscience, pensée, région cérébrale, She
|
Accéder à la ressource
|
|
Voir et étudier les poumons avec l'hélium polarisé
/ UTLS - la suite
/ 25-10-2002
/ Canal-U - OAI Archive
LEDUC Michèle
Voir le résumé
Voir le résumé
Depuis quelques années se développe aux Etats Unis et en Europe une nouvelle méthode non invasive pour étudier certaines pathologies des poumons. Elle est fondée sur l'imagerie par résonance magnétique (IRM) utilisant du gaz d'hélium 3 inhalé par le patient et préalablement polarisé par pompage optique. La polarisation nucléaire dans un gaz d'hélium 3 peut atteindre 80% avec les techniques existantes et les sources laser actuelles. Ceci correspond à une « hyperpolarisation » considérable, 105 fois plus grande que les polarisations thermiques obtenues dans les champs magnétiques élevés de l'IRM standard. Ce gaz hyperpolarisé peut être utilisé comme source de signaux de résonance magnétique nucléaire (RMN) avec un excellent rapport signal sur bruit. Parmi toutes les applications que ceci suggère dans des disciplines diverses, la possibilité de faire l'image des voies aériennes des poumons a immédiatement suscité un intérêt considérable. En effet l'IRM conventionnelle, fondée sur les protons des tissus, ne peut pas fournir d'image des espaces creux, ni même des tissus du parenchyme pulmonaire. L'hélium « hyperpolarisé » apparaît ainsi comme un outil clinique très prometteur. Il fournit des images de très bonne résolution et renseigne sur la ventilation des voies respiratoires : il donne accès à des images statiques pendant que le patient retient son souffle, à la dynamique de la ventilation pendant l'inspiration et l'expiration et aussi à l'imagerie fonctionnelle. Il permet des études sur l'asthme, l'emphysème, l'obstruction chronique des voies respiratoires, en particulier chez les grands fumeurs, et donne des informations précieuses en cas de chirurgie ou de greffe du poumon. Actuellement se déroulent simultanément des études cliniques sur des malades, des travaux sur des modèles animaux et des développements technologiques visant à adapter les méthodes optiques de polarisation du gaz à un environnement médical. Ces études très pluridisciplinaires associent étroitement physiciens, ingénieurs de la résonance magnétique, radiologues et médecins. Dans cette conférence on rappellera les principes de l'IRM conventionnelle, on expliquera la méthode du pompage optique pour l'hyperpolarisation nucléaire de l'hélium, on décrira les particularités de l'IRM avec hélium, on montrera des images pulmonaires statiques et dynamiques de volontaires sains et de patients atteints de diverses pathologies. Les potentialités cliniques futures seront enfin discutées. Mot(s) clés libre(s) : hyperpolarisation de l'hélium, imagerie médicale, imagerie par résonance magnétique, IRM, pathologie des poumons, physique atomique, polarisation nucléaire, pompage optique
|
Accéder à la ressource
|
|