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Intégrale d'une fonction continue par morceaux sur un segment - Révisions
/ SILLAGES
/ 20-07-2007
/ Unisciel
Barré Katia
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table des matières : formule de la moyenne, inégalité triangulaire, sommes de Riemann, intégrale fonction de ses bornes, inégalité de Cauchy-Schwarz, intégration par parties, changement de variable, formule de Taylor avec reste intégral, inégalité de Taylor-Lagrange, techniques de calcul primitives. Mot(s) clés libre(s) : intégrale sur un segment, analyse, sommes de Riemann, inégalité de Cauchy-Schwarz, formule de Taylor, inégalité de Taylor-Lagrange
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"Vers une renaturalisation des inégalités sociales à l’école ? Les jeunes face aux pathologies scolaires", semi-plénière avec la participation de Romuald Bodin et Stanislas Morel
/ 02-07-2015
/ Canal-u.fr
BODIN Romuald, MOREL Stanislas
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Vers une renaturalisation des inégalités sociales à l’école ? Les jeunes face aux pathologies scolaires
Coordination : RT4 « Éducation et Formation », RT15 « Jeunesse, âges de la vie, générations »
Intervenants :
- Romuald Bodin, enseignant-chercheur à l’EPSE / Université de Poitiers (Laboratoire GRESCO) : « Épidémie de handicap ou montée des inégalités ? La naturalisation des différences et des difficultés »
- Stanislas Morel, enseignant-chercheur à l’Université de Saint-Etienne (Laboratoire ECP) : « La "galaxie des dys" : une renaturalisation du problème de l'échec scolaire ? »
Depuis quelques années, les difficultés scolaires sont soumises à une forme de « re-naturalisation », à travers l’apparition et le développement de pathologies scolaires, telles que la dyslexie, la dyspraxie, ou encore la précocité intellectuelle. Ces phénomènes ont inspiré un certain nombre de travaux sociologiques récents (Garcia, 2013 ; Lignier, 2012 ; Morel, 2014), qui contribuent à montrer que ces pathologies demeurent socialement déterminées et que leur nombre croissant correspond moins à leur nouveauté qu’à un étiquetage médical ou psychologique plus fréquent. Ainsi, la dyslexie, les « surdoués », la dyspraxie etc., seraient de nouvelles manières de transformer en troubles médicaux des difficultés auparavant considérés comme produites par les caractéristiques sociales. Cet étiquetage médical n’est pas sans poser des questions, à la fois sur les enjeux politiques et sociaux de cette renaturalisation - l’échec scolaire devenant un problème individuel, en tout cas extérieur à l’institution scolaire - et sur la transformation de l’expérience scolaire et sociale des jeunes – le stigmate lié à la pathologie a-t-il des incidences sur la socialisation scolaire et familiale des jeunes ?
Au-delà de l’école, des conceptions proches se retrouvent dans la perception des populations ciblées par le travail social. Sous l’emprise grandissante des conceptions médico-sociales, se sont en effet développées des perceptions de la difficulté contribuant à naturaliser les « handicaps », y compris pour les populations victimes du chômage et de la précarité, et tout particulièrement les jeunes (Bodin, 2012).
Croisant les analyses issues de la sociologie de l’éducation et de la sociologie de la jeunesse, la semi-plénière visera à faire parler et discuter les intervenants sur les raisons de la montée en puissance du diagnostic médical et psychologique à l’école contre le diagnostic sociologique, sur les acteurs de la médicalisation de l’échec et de la réussite scolaire, et sur les conséquences politiques et sociales de ces évolutions. Cette semi-plénière vise à éclairer les processus de dénaturalisation opérés par la sociologie dans les champs de l’éducation et de la jeunesse. Mot(s) clés libre(s) : sociologie de l'éducation, école, jeunes, inégalités sociales, renaturalisation, pathologies scolaires
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Intégration
/ SILLAGES
/ 30-07-2010
/ Unisciel
Bonnet Brigitte
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Ce cours qui, après une révision des méthodes vues en 1ère année, aborde l'étude de la convergence des intégrales généralisées, est composé de sept parties: intégrale d'une fonction continue sur un intervalle fermé; intégrale d'une fonction continue sur un intervalle semi-ouvert, admettant un prolongement par continuité sur l'intervalle fermé; intégrales généralisées, ou impropres; propriétés des intégrales généralisées; convergence des intégrales impropres de fonctions positives; intégrales impropres absolument convergentes; comparaison des séries et des intégrales. Mot(s) clés libre(s) : intégration par parties, inégalité de la moyenne, sommes de Riemann, critères de convergence des intégrales
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Problèmes de convergence et approximations en probabilité
/ SILLAGES
/ 30-07-2010
/ Unisciel
Bonnet Brigitte
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Ce cours, qui aborde l'étude de suites de variables aléatoires et les cas particuliers, est composé de deux parties: inégalité de Bienaymé-Tchebychev; convergence en loi. Mot(s) clés libre(s) : inégalité de Bienaymé-Tchebychev, convergence en loi, théorème de la limité centrée
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Globalisation et montée des inégalités de revenus et de richesse
/ 10-04-2014
/ Canal-u.fr
BOURGUIGNON François, CHUSSEAU Nathalie
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Richesse et inégalité
On ne peut traiter de la richesse et de sa répartition sans aborder la problématique de l’inégalité. L’inégalité est au cœur du débat public, et de nombreuses questions émergent. Quel est l’impact de la mondialisation sur les inégalités? Comment les inégalités de revenus ont-elles évolué au niveau mondial et au niveau national? Les riches sont-ils toujours plus riches? Les rentiers sont-ils de retour? Peut-on combattre les inégalités nationales et obtenir plus de justice sociale? Avec quels instruments: une fiscalité adaptée? Un impôt mondial sur le capital? Des politiques d’éducation?
Cette rencontre propose d’éclairer le débat en abordant ces différents points.
N. C.
François Bourguignon, directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), professeur émérite à Paris School of Economics (PSE)
Nathalie Chusseau, maître de conférences en sciences économiques à l’université Lille 1, chercheuse au laboratoire EQUIPPE
Présentation: Nathalie Chusseau
Retrouver le programme complet du 6e Printemps des sciences humaines et sociales: La Richesse Mot(s) clés libre(s) : injustice sociale, inégalité, richesse
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Le commerce équitable - Jean Pierre Caldier
/ UTLS - la suite, UTLS au lycée
/ 28-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
Caldier Jean Pierre
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Une conférence de l'UTLS au lycéeLycée l’Ermitage (78 Maisons Laffitte) Avec Jean Pierre Caldier (Conseil en entreprise) Mot(s) clés libre(s) : acteurs, commerce et économie équitable, coûts, inégalité, solidarité
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Le commerce équitable
/ UTLS au lycée
/ 28-11-2007
/ Canal-u.fr
CALDIER Jean Pierre
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Une conférence de l'UTLS au lycée
Lycée l’Ermitage (78 Maisons Laffitte)
Avec Jean Pierre Caldier (Conseil en entreprise) Mot(s) clés libre(s) : acteurs, solidarité, inégalité, coûts, commerce et économie équitable
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"Peut-on parler de naturalisation des inégalités économiques ?", semi-plénière avec la participation de Louis Chauvel, Eric Fassin, Dominique Fougeyrollas et Frédéric Lebaron
/ 30-06-2015
/ Canal-u.fr
CHAUVEL Louis, FASSIN Eric, FOUGEYROLLAS Dominique, LEBARON Frédéric
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Peut-on parler de naturalisation des inégalités économiques ?
Présentée par les réseaux thématiques : RT 5 Classes, inégalités, fragmentations ; RT 12 Sociologie économique ; RT 42 Sociologie des élites
Table ronde avec :
- Louis Chauvel, professeur de sociologie, Université du Luxembourg
- Eric Fassin, professeur de science politique, Université Paris 8
- Dominique Fougeyrollas, chargée de recherche, CNRS
- Frédéric Lebaron, professeur de sociologie, Université de Versailles Saint-Quentin-en- Yvelines
« L’homme heureux se contente rarement du fait d’être heureux ; il éprouve de surcroît le besoin d’y avoir droit. Il veut être également convaincu qu’il “mérite” son bonheur, et surtout qu’il le mérite par comparaison avec d’autres. Et il veut donc également pouvoir croire qu’en ne possédant pas le même bonheur, le moins fortuné n’a que ce qu’il mérite. Le bonheur veut être “légitime”. » (Weber 1992 : 144)
Selon les contextes historiques et sociaux, des systèmes normatifs et idéologiques divers ont été utilisés pour justifier les différences de fortune : la religion, la biologie, la méritocratie, les « lois » économiques... Quelles sont aujourd’hui les modes de légitimation des inégalités économiques ? Reposent-elles sur des formes de naturalisation de l’ordre économique qui en ferait un phénomène allant de soi ?
Plus précisément, l’accroissement actuel des inégalités économiques et sociales s’appuie-t-il sur de nouvelles formes de naturalisation, sur le renforcement de visions du monde déjà anciennes ou encore sur l’affaiblissement des discours contestataires ? Si naturalisation il y a, par quels processus s’opère-t-elle ? Autour de quels espaces sociaux et par l’intermédiaire de quels acteurs ? L’Etat, notamment par le biais de différents dispositifs d’action publique, contribue-t-il à instituer ces inégalités, voire à les dissimuler ? Les ressorts sur lesquels s’appuient ces phénomènes de naturalisation de l’ordre économique varient-ils selon les groupes sociaux ? Dans quelle mesure les constructions sociales de différences biologiques (sexe, âge, couleur de peau, etc.) continuent-elles de justifier des différences économiques et sociales ? Dans quelle mesure également, la naturalisation des inégalités économiques concourt-elle à naturaliser l’ordre social ? Enfin, les sciences sociales participent-elles ou, tout à l’inverse, dévoilent-elles ces formes de naturalisation ? Mot(s) clés libre(s) : différence, inégalités, naturalisation, inégalités économiques
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L'évolution des inégalités
/ Mission 2000 en France
/ 04-06-2000
/ Canal-U - OAI Archive
COHEN Daniel
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"L' histoire du siècle est celle d'une formidable réduction des inégalités au sein des nations industrielles, et d'un élargissement tout aussi considérable des inégalités entre les nations elles-mêmes. Pourtant, à partir du milieu des années 1980, une autre tendance est apparue. Les nations les plus riches ont vu resurgir le spectre d'une augmentation des inégalités, tandis que les pays pauvres les plus peuplés, en Asie, se sont engagés dans un processus de croissance rapide. L'idée a été immédiatement avancée qu'une relation de cause à effet était à l'oeuvre, qu'un phénomène de vases communicants entre le monde riche et le monde pauvre reportait la pauvreté du monde pauvre sur celle du monde riche. L'encre de ces débats n'avait pas encore séché qu'un nouveau changement de direction est apparu dans la deuxième moitié des années 1990. La crise asiatique, tout d'abord, a interrompu brutalement la croissance de ces pays, et fait resurgir nombre d'appréhensions à l'égard de la "globalisation ". Aux États-Unis, par ailleurs, le "miracle" d'une croissance soutenue a fait taire les critiques contre la montée des inégalités dans ce pays, et posé, parfois, en modèle la "nouvelle économie" américaine. Il y aurait beaucoup de naïveté à extrapoler les évolutions des dernières années en une nouvelle tendance qui validerait le phénomène de vases communicants entre les pays riches et les pays pauvres. Mieux vaut reconnaître que deux processus distincts sont à l'oeuvre : le rattrapage des pays en voie de développement, et une nouvelle dynamique des inégalités au sein des pays riches. Le premier terme est-il interrompu par la crise asiatique ? Le second terme est-il inéluctable ? Faut-il se résigner à ce que certains pays (à l'échelle du monde) ou certains groupes (à l'échelle des nations) soient exclus de la prospérité des autres ? Telles sont les questions préalables auxquelles il faut répondre avant de dessiner une perspective d'ensemble sur le destin des inégalités mondiales. " Mot(s) clés libre(s) : capitalisme, inégalité sociale, mondialisation, pauvreté, protectionnisme
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L'évolution des inégalités
/ Mission 2000 en France
/ 04-06-2000
/ Canal-u.fr
COHEN Daniel
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"L' histoire du siècle est celle d'une formidable réduction des inégalités au sein des nations industrielles, et d'un élargissement tout aussi considérable des inégalités entre les nations elles-mêmes. Pourtant, à partir du milieu des années 1980, une autre tendance est apparue. Les nations les plus riches ont vu resurgir le spectre d'une augmentation des inégalités, tandis que les pays pauvres les plus peuplés, en Asie, se sont engagés dans un processus de croissance rapide. L'idée a été immédiatement avancée qu'une relation de cause à effet était à l'oeuvre, qu'un phénomène de vases communicants entre le monde riche et le monde pauvre reportait la pauvreté du monde pauvre sur celle du monde riche. L'encre de ces débats n'avait pas encore séché qu'un nouveau changement de direction est apparu dans la deuxième moitié des années 1990. La crise asiatique, tout d'abord, a interrompu brutalement la croissance de ces pays, et fait resurgir nombre d'appréhensions à l'égard de la "globalisation ". Aux États-Unis, par ailleurs, le "miracle" d'une croissance soutenue a fait taire les critiques contre la montée des inégalités dans ce pays, et posé, parfois, en modèle la "nouvelle économie" américaine. Il y aurait beaucoup de naïveté à extrapoler les évolutions des dernières années en une nouvelle tendance qui validerait le phénomène de vases communicants entre les pays riches et les pays pauvres. Mieux vaut reconnaître que deux processus distincts sont à l'oeuvre : le rattrapage des pays en voie de développement, et une nouvelle dynamique des inégalités au sein des pays riches. Le premier terme est-il interrompu par la crise asiatique ? Le second terme est-il inéluctable ? Faut-il se résigner à ce que certains pays (à l'échelle du monde) ou certains groupes (à l'échelle des nations) soient exclus de la prospérité des autres ? Telles sont les questions préalables auxquelles il faut répondre avant de dessiner une perspective d'ensemble sur le destin des inégalités mondiales. " Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, capitalisme, inégalité sociale, pauvreté, protectionnisme
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