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1.EVENEMENTS SCIENTIFIQUES: Actualités sur les addictions
/ BioTV, euroneuro.tv
/ 17-03-2003
/ Canal-U - OAI Archive
HAMON Michel
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Michel Hamon présente le comité de liaison sur les addictions de la Salpêtrière ainsi que le programme de la journée. Mot(s) clés libre(s) : comité de liaison sur les addictions, faculté de médecine pitié-salpêtrière, neuroscience
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20 000 liens sous les mers : pipeline, acheminement du pétrole, sécurité des installations
/ UTLS - la suite
/ 15-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MARION Alain
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Avec l'essor des développements pétroliers offshore en grande profondeur, les conduites sous-marines ont pris une importance technologique considérable. Ces conduites servent non seulement à transporter les hydrocarbures produits des têtes de puits sous-marines vers les plates-formes de production, mais également à véhiculer les fluides d'injection, eau ou gaz, en direction du réservoir. Des ombilicaux, assemblés hélicoïdaux de composants électro-hydrauliques, sont utilisés pour le contrôle et l'opération des équipements sous-marins - têtes de puits, collecteurs, vannes, pompes sous-marines, ... Les principales méthodes d'installation de ces conduites sous-marines seront brièvement décrites, pose en S, en J, en déroulé ou pose par remorquage. Leurs domaines d'application privilégiés seront également mentionnés. Parmi les technologies de conduites sous-marines, on retiendra les conduites rigides traditionnelles, en simple ou double enveloppe, ou bien assemblées en faisceau, ainsi que les conduites flexibles. Ces dernières, création originale de l'institut Français du Pétrole, sont un assemblage de couches indépendantes constituées de gaines thermoplastiques extrudées et de nappes de fils d'acier enroulés en hélice. Comme pour les conduites rigides classiques, le dimensionnement de ces conduites flexibles repose sur les conditions opératoires requises, en particulier relatives aux fluides transportés - pression, température, composition chimique. Les difficultés spécifiques introduites par l'utilisation de ces produits en mer ultra profonde seront ensuite évoquées, en insistant particulièrement sur les aspects mécaniques liés à la pression hydrostatique ainsi que les aspects thermodynamiques liés à la gestion de la veine fluide sans oublier les contraintes associées à la méthode de pose. Le cas particulier des liaisons fond-surface permettant de relier la canalisation sous-marine au support de production flottant sera étudié. L'influence de la nature du support de production sur le choix des configurations, le comportement dynamique des conduites dans la tranche d'eau sous les sollicitations environnementales, la fatigue des installations et des équipements associés seront évoqués. De nouvelles technologies liées à l'utilisation de fibres optiques permettent désormais d'apporter aux opérateurs pétroliers la faculté de surveiller leurs installations en temps réel. Cependant, les schémas de développement ou concepts d'architecture sous-marine varient selon les zones géographiques et l'expérience spécifique des opérateurs pétroliers, ce qui explique la grande diversité des solutions technologiques utilisées. Enfin, nous conclurons ce bref panorama par une présentation rapide de systèmes de conduites sous-marines installés dernièrement dans les principales zones du globe. La mise en production de champs dans des profondeurs entre 1 500m et 2 000m de profondeur d'eau fait désormais partie de notre quotidien et nous développons déjà les solutions qui nous permettront d'atteindre la tranche 2 500 à 3 000 m, dans laquelle les opérations de forage ont déjà lieu. Mot(s) clés libre(s) : canalisation, champ pétrolifère, conduite sous-marine, connection sous-marine, hydrocarbure, ingénierie industrielle, liaison fond-surface, mer profonde, plateforme pétrolière, riser, robot télécommandé
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Biochimie structurale et fonctionnelle
/ Université de Montpellier-II, Unisciel
/ 2011
/ Unisciel
Bobillo Pascale
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Les expériences de cinétique et de liaison à l’équilibre sont incontournables pour étudier les
réactions biologiques. Ce cours aborde le formalisme de la cinétique formelle et enzymatique
ainsi que les liaisons (sites indépendants et allostérie), donc toutes les notions de bases
nécessaires à l’interprétation des réactions biologiques. Mot(s) clés libre(s) : formalisme, cinétique, enzyme, enzymologie, Michaëlis, état quasi-stationnaire, pré équilibre rapide, effecteur, activateur, inhibiteur, liaison, coopérativité, allostérie
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Des électrons vraiment libres ?
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 15-06-2007
/ Unisciel
Simand Catherine
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Quel est l'effet de la pesanteur sur les électrons libres dans un
métal ? Mot(s) clés libre(s) : électrons, électrons libres, électrons de conduction, conduction électrique, couches électroniques, métal, liaison métallique, gaz d'électrons libres, réseau ionique, cristal, bande de valence, bande de conduction, pesanteur, conduction, interaction gravitationnelle, interaction électromagnétique, gravité
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Internet par satellite, protocoles et performances
/ Mission 2000 en France
/ 06-09-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DABBOUS Walid
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Cet exposé traitera des protocoles Internet en général et de l'impact de l'insertion de liens satellites dans l'Internet sur les performances de ces protocoles. Dans un premier temps, je présenterai un bref aperçu sur l'architecture de l'Internet : - comment le réseau est constitué ; quelques détails sur les protocoles essentiels. Je présenterai ensuite les spécificités des liaisons satellites qui font en sorte que les protocoles définis pour l'Internet ne fonctionnent pas très bien dans un environnement comprenant des liens satellites. J'expliquerai ensuite comment ces protocoles ont été modifiés ou adaptés pour effectuer un transfert de données point à point - d'une source vers une destination - optimal dans le réseau Internet avec liens satellites. J'exposerai ensuite les protocoles utilisés et les difficultés recontrées lors de la diffusion par satellite. Je terminerai par l'exposé de sujets de recherche actuels. Mot(s) clés libre(s) : diffusion multipoint, liaison satellite, optimisation de TCP/IP, protocole de l'Internet, routage, transfert de données
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KEZAKO : De quoi est composée la matière ? Pourquoi est-ce solide, liquide ou gazeux ?
/ Mickael Mensier
/ 01-01-2013
/ Canal-u.fr
BEAUGEOIS Maxime, Hennequin Daniel, Deltombe Damien
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Kezako est la série qui répond à vos questions de science. Cet épisode traite de deux questions : "De quoi est composée la matière ? Pourquoi est-ce solide, liquide ou gazeux ?". Il aborde les notions d'atomes, molécules et les forces de liaisons. Mot(s) clés libre(s) : atome, matière, molécule, liaison, agitation thermique
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L'eau : un liquide ordinaire ou extraordinaire
/ UTLS - la suite
/ 15-07-2005
/ Canal-U - OAI Archive
CABANE Bernard
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L'eau est un liquide dont les propriétés sont tout à fait surprenantes, à la fois comme liquide pur et comme solvant. C'est un liquide très cohésif : ses températures de cristallisation et d'ébullition sont très élevées pour un liquide qui n'est ni ionique, ni métallique, et dont la masse molaire est faible. Cette cohésion est assurée par les liaisons hydrogène entre molécules d'eau ; l'eau fait ainsi partie d'un petit groupe de liquides qu'on appelle liquides associés. Cependant, parmi ces liquides, la cohésion de l'eau est remarquable, et elle se traduit par une chaleur spécifique énorme. Cette résistance aux variations de température a des conséquences climatiques importantes, puisque la capacité calorifique des océans leur fait jouer le rôle de régulateurs thermiques du climat. L'eau est aussi un liquide très cohésif d'un point de vue diélectrique : sa constante diélectrique est bien plus élevée que celle qu'on attendrait sur la base de la valeur du moment dipolaire de la molécule isolée. C'est aussi, dans les conditions usuelles de température et de pression, un liquide peu dense : les atomes y occupent moins de la moitié du volume total ; une grande partie du volume de l'eau liquide est donc formée de cavités. Le volume occupé par ces cavités varie de manière tout à fait anormale à basse température. D'abord, l'eau se dilate quand on la refroidit en dessous d'une température appelée température du maximum de densité. Ensuite, l'eau se dilate encore de 9 % en cristallisant, contrairement à la plupart des liquides, qui se contractent d'environ 10 % en cristallisant. Cette augmentation de volume, qui fait flotter la glace sur l'eau, a des conséquences environnementales considérables : si la glace était plus dense que l'eau liquide, toute la glace formée dans les régions arctiques coulerait au fond des océans au lieu de former une banquise qui les isole thermiquement des températures extérieures, et la production de glace continuerait jusqu'à congélation complète de ces océans Pour presque tous les liquides, l'application d'une pression réduit la fluidité et favorise le solide par rapport au liquide. Au contraire, pour l'eau à basse température, l'application d'une pression accroît la fluidité et favorise le liquide par rapport à la glace. Cet effet anormal de la pression permet à l'eau de rester fluide lorqu'elle est confinée dans des pores ou des films nanométriques, contrairement aux autres liquides qui se solidifient sous l'effet des pressions de confinement. Cette persistance de l'état fluide est capitale pour le fonctionnement des cellules biologiques : en effet, de nombreux processus requièrent le déplacement de couches d'hydratation avant le contact entre macromolécules, ou avant le passage d'un ligand vers son récepteur. De même le passage des ions à travers les canaux qui traversent les membranes des cellules n'est possible que grâce à l'état fluide de l'eau confinée dans ces canaux. Les théories anciennes attribuaient toutes ces anomalies au fait que les molécules d'eau sont liées par des liaisons H. En ce sens, l'eau devrait avoir des propriétés « en ligne » avec celles d'autres liquides associés (éthanol, glycols, amides). Pour les propriétés de cohésion, c'est une bonne hypothèse de départ bien que les propriétés de l'eau (densité d'énergie cohésive, constante diélectrique) soient supérieures à celles des liquides comparables. Pour les autres propriétés, cette hypothèse n'est pas suffisante : les autres liquides associés ne partagent pas les propriétés volumiques anormales de l'eau, ni son polymorphisme, ni son comportement comme solvant. Certains liquides ont un comportement qui ressemble à celui de l'eau pour une de ses propriétés : par exemple, on connaît quelques liquides qui se dilatent à basse température, ou en cristallisant. Nous découvrirons peut-être un jour que chacune des propriétés anormales de l'eau existe aussi dans un autre liquide. Cependant il est remarquable qu'un seul liquide rassemble autant d'anomalies. Il y a donc un besoin d'explication, auquel ne répondent pas les théories développées pour les liquides simples. Mot(s) clés libre(s) : cohésion, constante diélectrique, dissolution, eau, écoulement, fluidité, liaison hydrogène, permittivité, physique des liquides, solvant
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L'eau : un liquide ordinaire ou extraordinaire
/ UTLS - la suite
/ 15-07-2005
/ Canal-u.fr
CABANE Bernard
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L'eau est un liquide dont les propriétés sont tout à fait surprenantes, à la fois comme liquide pur et comme solvant. C'est un liquide très cohésif : ses températures de cristallisation et d'ébullition sont très élevées pour un liquide qui n'est ni ionique, ni métallique, et dont la masse molaire est faible. Cette cohésion est assurée par les liaisons hydrogène entre molécules d'eau ; l'eau fait ainsi partie d'un petit groupe de liquides qu'on appelle liquides associés. Cependant, parmi ces liquides, la cohésion de l'eau est remarquable, et elle se traduit par une chaleur spécifique énorme. Cette résistance aux variations de température a des conséquences climatiques importantes, puisque la capacité calorifique des océans leur fait jouer le rôle de régulateurs thermiques du climat. L'eau est aussi un liquide très cohésif d'un point de vue diélectrique : sa constante diélectrique est bien plus élevée que celle qu'on attendrait sur la base de la valeur du moment dipolaire de la molécule isolée. C'est aussi, dans les conditions usuelles de température et de pression, un liquide peu dense : les atomes y occupent moins de la moitié du volume total ; une grande partie du volume de l'eau liquide est donc formée de cavités. Le volume occupé par ces cavités varie de manière tout à fait anormale à basse température. D'abord, l'eau se dilate quand on la refroidit en dessous d'une température appelée température du maximum de densité. Ensuite, l'eau se dilate encore de 9 % en cristallisant, contrairement à la plupart des liquides, qui se contractent d'environ 10 % en cristallisant. Cette augmentation de volume, qui fait flotter la glace sur l'eau, a des conséquences environnementales considérables : si la glace était plus dense que l'eau liquide, toute la glace formée dans les régions arctiques coulerait au fond des océans au lieu de former une banquise qui les isole thermiquement des températures extérieures, et la production de glace continuerait jusqu'à congélation complète de ces océans Pour presque tous les liquides, l'application d'une pression réduit la fluidité et favorise le solide par rapport au liquide. Au contraire, pour l'eau à basse température, l'application d'une pression accroît la fluidité et favorise le liquide par rapport à la glace. Cet effet anormal de la pression permet à l'eau de rester fluide lorqu'elle est confinée dans des pores ou des films nanométriques, contrairement aux autres liquides qui se solidifient sous l'effet des pressions de confinement. Cette persistance de l'état fluide est capitale pour le fonctionnement des cellules biologiques : en effet, de nombreux processus requièrent le déplacement de couches d'hydratation avant le contact entre macromolécules, ou avant le passage d'un ligand vers son récepteur. De même le passage des ions à travers les canaux qui traversent les membranes des cellules n'est possible que grâce à l'état fluide de l'eau confinée dans ces canaux. Les théories anciennes attribuaient toutes ces anomalies au fait que les molécules d'eau sont liées par des liaisons H. En ce sens, l'eau devrait avoir des propriétés « en ligne » avec celles d'autres liquides associés (éthanol, glycols, amides). Pour les propriétés de cohésion, c'est une bonne hypothèse de départ bien que les propriétés de l'eau (densité d'énergie cohésive, constante diélectrique) soient supérieures à celles des liquides comparables. Pour les autres propriétés, cette hypothèse n'est pas suffisante : les autres liquides associés ne partagent pas les propriétés volumiques anormales de l'eau, ni son polymorphisme, ni son comportement comme solvant. Certains liquides ont un comportement qui ressemble à celui de l'eau pour une de ses propriétés : par exemple, on connaît quelques liquides qui se dilatent à basse température, ou en cristallisant. Nous découvrirons peut-être un jour que chacune des propriétés anormales de l'eau existe aussi dans un autre liquide. Cependant il est remarquable qu'un seul liquide rassemble autant d'anomalies. Il y a donc un besoin d'explication, auquel ne répondent pas les théories développées pour les liquides simples. Mot(s) clés libre(s) : écoulement, physique des liquides, permittivité, liaison hydrogène, fluidité, dissolution, constante diélectrique, cohésion, eau, solvant
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L'étude de la matière à toutes les échelles
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 25-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
PILENI Marie
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L' étude de la matière à toutes les échelles est un sujet très vaste qui nécessiterait plusieurs cours. Aussi, nous limiterons notre propos en tentant de répondre à la question : " Un même assemblage d'éléments organiques ou inorganiques peut-il exister à différentes échelles et qu'elles sont leurs propriétés spécifiques ? " Dans ce dessein, nous choisirons une même entité différant par le nombre d'atomes qui la constitue et nous chercherons à montrer que ses propriétés physiques ou catalytiques changent en fonction de leur dimension. Dans un second temps, nous associerons cette entité à elle-même afin de faire croître cet assemblage de quelques Angstrom au millimètre. Nous montrerons que, dans certains cas, l'organisation de ces entités induit l'apparition des propriétés spécifiques différant de l'élément isolé. Nous traiterons tout d'abord les matériaux inorganiques puis organiques. Mot(s) clés libre(s) : adsorption, auto-organisation des particules, catalyse, enzyme, fluorescence, liaison chimique, matériau, matière organique, nanochimie, nanomatériaux, superparamagnétisme
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La chimie quantique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 20-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MALRIEU Jean-Paul
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En évoquant d'abord les différentes périodes qui ont marqué le développement de cette discipline théorique, située à la charnière de la Physique et de la Chimie, on essayera de faire comprendre quels sont ses objets, et la spécificité de sa pratique. De fait, la Chimie Quantique a fourni à la fois des concepts cruciaux pour l'intelligibilité de phénomènes à l'échelle moléculaire, aidant même parfois les chimistes dans leur invention d'édifices nouveaux, et des outils de prédiction quantitative fiables des énergies et des structures de ces édifices. On essayera de montrer les défis qu'elle affronte aujourd'hui dans sa recherche de puissance (l'efficience simulatrice tuera-t-elle la théorie ?), sa synergie possible avec la Physique dans l'étude des matériaux, sa participation au design d'architectures moléculaires à propriétés électroniques remarquables, le développement des aspects temporels. On ne se privera pas de formuler quelques remarques d'ordres épistémologique, esthétique et sociologique. Mot(s) clés libre(s) : chimie quantique, électron, énergie cinétique, liaison chimique, liaison covalente, matière, orbitale moléculaire, physique atomique, simulation numérique, structure moléculaire, supraconductivité
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