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Synthèse des ateliers du colloque « Histoire et littérature » 3/4
/ Christian Bailly, IFÉ - Institut Français de l'Éducation, ENS de Lyon, Martine Watrelot
/ 28-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
Watrelot Martine
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Intervention pour la synthèse des ateliers A4 et B 4 :Textes/ formes/, histoire, récit historique au cycle 3 , témoignage/ documents/, littérature, guerres mondiales Mot(s) clés libre(s) : documents, formes, guerres mondiales, histoire, littérature, récit historique au cycle 3, témoignage, Textes
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Jean Potocki, fou littéraire par analogie et oulipien par convergences / Anna Wasilewska
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 15-04-2011
/ Canal-U - OAI Archive
WASILEWSKA Anna
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Jean Potocki, fou littéraire par analogie et oulipien par convergences / Anna Wasilewska. In colloque "Jean Potocki. Pérégrinations", organisé par la section de slavistique de l'UFR de Langues, Littératures et Civilisations Étrangères de l'Université Toulouse II-Le Mirail dans le cadre de la "Semaine polonaise". Toulouse : Université-Toulouse II-Le Mirail, 14-15 avril 2011.Thématique 4 : Croisements intertextuels, 15 avril 2011. Mot(s) clés libre(s) : Jan Potocki (1761-1815), littérature et sciences, littérature polonaise (18e siècle), Oulipo (Ouvroir de littérature potentielle)
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Conquered city, conquered self : a reading of "Their dogs came with them"/ Helena Maria Viramontes
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 11-06-2010
/ Canal-u.fr
VIRAMONTES Helena Maria
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Conquered city, conquered self : a reading of "Their dogs came with them". Helena Maria VIRAMONTES. In colloque "Identités américaines : relations et interactions - American Identities in relation and interaction" organisé par le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 10-11 juin 2010.Helena Maria Viramontes, romancière américaine chicana, lit des extraits de ses oeuvres (The Moths and Other Stories, Under the Feet of Jesus, Their Dogs Came With Them). Elle évoque les questions identitaires spécifiques à la communauté mexicaine-américaine qui vit entre deux langues et deux pays. Son travail contribue à subvenir aux besoins fondamentaux de l'Amérique, mais elle est marginalisée dans les villes et les campagnes où elle vit. A travers des extraits choisis de ses livres, Helena Viramontes dépeint les combats quotidiens de ce peuple pour affirmer sa dignité dans une Amérique qui la nie et pour trouver les moyens de lutter contre l'oppression.[La communication d'Helena Viramontes est précédée d'une présentation par Wendy Harding (univ. Toulouse-Le Mirail, France) et suivie d'un débat avec le public]. Mot(s) clés libre(s) : ethnicité (Chicanos), Helena Maria Viramontes (1954-....), littérature chicana (Etats-Unis), littérature mexicaine-américaine (Etats-Unis)
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/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 11-06-2010
/ Canal-U - OAI Archive
VIRAMONTES Helena Maria
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Mot(s) clés libre(s) : ethnicité (Chicanos), Helena Maria Viramontes (1954-....), littérature chicana (Etats-Unis), littérature mexicaine-américaine (Etats-Unis)
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« As-tu vu la baleine blanche ? » Un livre en chantier / Christophe Viart
/ Franck DELPECH, SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 24-01-2013
/ Canal-u.fr
VIART Christophe
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« As-tu vu la baleine blanche ? » Un livre en chantier / Christophe Viart, in "L'image empruntée : l'artiste comme éditeur", journée d'étude co-organisée par le laboratoire (LLA-CREATIS) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, l'Institut supérieur des arts de Toulouse (ISDAT) et le musée des Abattoirs de Toulouse, le 24 janvier 2013.Le grand livre de Melville, Moby Dick, ouvre sur une lecture infinie en quête d’un objet introuvable. Composé lui-même d’emprunts et de références puisés dans une multitude de récits, sa reprise par nombre d’auteurs, artistes, écrivains, réalisateurs, musiciens, fait place à de nouvelles lectures dont Christophe Viart tente de rendre compte à la manière dont se compose un atlas.* Illustration : "Gridflow 2015-05-21-02h14m12s", capture d'écran du site GridFlow de Reynald Drouhin. Mot(s) clés libre(s) : littérature et photographie, appropriation (art), emprunts artistiques, Moby Dick (Herman Melville)
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Le théâtre baroque - Benito Pelegrin
/ UTLS au lycée
/ 16-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée, Pelegrin Benito
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Un panorama historique, artistique et conceptuel du théâtre baroque dressé par un des spécialistes de l’époque baroque, Benito Pelegrin.Avec Benito Pelegrin (Agrégé de l'Université, Docteur d'Etat, Professeur émérite de l'Université de Provence, écrivain, dramaturge, traducteur, critique musical, journaliste.)Lycée Pierre et Marie Curie (06 Menton) Mot(s) clés libre(s) : baroque littéraire, littérature baroque, théâtre (1500-1800), théâtre baroque
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Le roman - Jean Bessière
/ UTLS au lycée
/ 07-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLe roman par Jean Bessière (Professeur de littérature comparée à la Sorbonne Nouvelle)Lycée FJ Talma (91 Brunoy) Mot(s) clés libre(s) : genre littéraire, littérature, livre
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La moraline et les moralistes - Jean-Charles Darmon
/ UTLS - la suite
/ 13-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS - la suite, DARMON Jean Charles
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Une conférence du cycle : "Quels humanismes pour quelle humanité aujourd'hui ?"La moraline et les moralistes par Jean-Charles DarmonLa tentation a souvent été grande de légitimer l’enseignement de la littérature en mettant au premier plan des raisons et des finalités morales. Mais ce type de démarche, encouragé aujourd’hui par tout un courant critique et philosophique outre-Atlantique, a souvent pour effet d’occulter l’inquiétante étrangeté des expériences de pensée que la littérature (même la plus « classique ») permet d’explorer, loin, très loin assurément des « leçons de morale » qui l’on prétend parfois y puiser. Ceux que l’on nomma, précisément, les « moralistes », furent des maîtres du soupçon impitoyablement critiques et prodigieusement inventifs à cet égard. On pourrait montrer, notamment, qu’avec Montaigne et ses grands successeurs s’ouvre une crise de l’exemplarité morale sans précédent, faisant de la lecture un exercice éthique d’un style nouveau. Je voudrais réexaminer, de ce point de vue, un cas, célèbre entre tous, celui des Fables de Jean de La Fontaine ; et, en abordant les jeux complexes qu’il instaure avec la notion même d’exemplarité, rappeler quelle fut la profondeur souvent déroutante des allégories de la pensée morale dont certaines Fables offrent le spectacle. Mot(s) clés libre(s) : fables, humanisme, Jean de la Fontaine, littérature et morale, moralistes
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Giono, la mémoire à l'oeuvre : Mémoire, histoire, mythe (3)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 21-04-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Université Toulouse II-Le Mirail
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"Giono : la mémoire à l'oeuvre". Colloque international organisé par le laboratoire "Patrimoine, Littérature, Histoire" (PLH), équipe "Littérature et Herméneutique" (Université du Mirail) ) avec la participation des Amis de Jean Giono et en présence de Sylvie Durbet-Giono, fille de Jean Giono. Université Toulouse II-Le Mirail, 20-22 mars 2008. Deuxième journée : "Mémoire, histoire, mythe". Associée par-dessus tout à la peinture de paysages dynamisés par l'imagination ainsi qu'au génie du conteur, avec tout ce que cela suppose d'élan prospectif, l'oeuvre de Giono ne vient pas spontanément à l'esprit des spécialistes de la mémoire. Même dans les textes les plus « autobiographiques », l'imaginaire semble l'emporter sur la composante mnésique, tandis que les oeuvres proprement romanesques reflètent plus volontiers un art de saisir le moment présent dans son acuité sensorielle et émotionnelle et une aptitude à regarder vers l'avant.Cette poétique de l'instant et cet élan prospectif ne peuvent toutefois occulter tous les échos du passé dont résonne l'oeuvre de Giono. « Dans ses mille alvéoles, l'espace tient du temps comprimé », écrit Bachelard. Bien au-delà des seules Chroniques romanesques , tout le « Sud imaginaire » (Faulkner est ici une référence majeure) est plein d'un « passé d'anecdotes et de souvenirs » qui le constitue en territoire littéraire. Différentes dimensions de la mémoire s'y déploient : mémoire personnelle (l'enfance, bien sûr, ce « gisement profond de mon sol mental » selon Proust, mais aussi les joies, les passions, les épreuves de l'âge adulte, dont l'écriture porte trace) ; mémoire familiale (les origines piémontaises et la légende qui en découle, fondatrice du « Cycle du Hussard ») ; mémoire collective (la guerre, traumatisme originel, où s'articulent destin individuel et destin partagé) ; mémoire historique (ces temps anciens - le XIX e siècle, mais aussi plus loin en amont - dans lesquels Giono cherchera de plus en plus une évasion lucide) ; mémoire mythique , quand l'écrivain puise dans le fond archaïque des peurs et des fantasmes ancestraux et, plus fasciné par « la nuit des temps » que nostalgique du « bon vieux temps », s'engage selon Jacques Chabot dans « une anamnèse interminable », une « quête, sans espoir, des origines »...Rien de « passéiste » ici, en effet, contrairement à l'idée reçue, car le passé ne prend sens chez Giono que dans ce présent où l'écriture s'en saisit, l'inscrit, voire l'invente, où la mémoire se fait oeuvre . Explorer « la mémoire à l'oeuvre », c'est donc explorer aussi bien le rôle de la mémoire dans la genèse de l'oeuvre que la représentation de la mémoire, de ses processus, de ses images, dans l'oeuvre même. Mot(s) clés libre(s) : Jean Giono (1895-1970), Jean Giono (critique et interprétation), littérature française (20e siècle), mémoire (dans la littérature), souvenir (dans la littérature)
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Giono, la mémoire à l'oeuvre : Mémoire et stratégies d'écriture (4)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-04-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Université Toulouse II-Le Mirail
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"Giono : la mémoire à l'oeuvre". Colloque international organisé par le laboratoire "Patrimoine, Littérature, Histoire" (PLH), équipe "Littérature et Herméneutique" (Université du Mirail) ) avec la participation des Amis de Jean Giono et en présence de Sylvie Durbet-Giono, fille de Jean Giono. Université Toulouse II-Le Mirail, 20-22 mars 2008.Troisième journée : "Mémoire et stratégies d'écriture".Associée par-dessus tout à la peinture de paysages dynamisés par l'imagination ainsi qu'au génie du conteur, avec tout ce que cela suppose d'élan prospectif, l'oeuvre de Giono ne vient pas spontanément à l'esprit des spécialistes de la mémoire. Même dans les textes les plus « autobiographiques », l'imaginaire semble l'emporter sur la composante mnésique, tandis que les oeuvres proprement romanesques reflètent plus volontiers un art de saisir le moment présent dans son acuité sensorielle et émotionnelle et une aptitude à regarder vers l'avant. Cette poétique de l'instant et cet élan prospectif ne peuvent toutefois occulter tous les échos du passé dont résonne l'oeuvre de Giono. « Dans ses mille alvéoles, l'espace tient du temps comprimé », écrit Bachelard. Bien au-delà des seules Chroniques romanesques , tout le « Sud imaginaire » (Faulkner est ici une référence majeure) est plein d'un « passé d'anecdotes et de souvenirs » qui le constitue en territoire littéraire. Différentes dimensions de la mémoire s'y déploient : mémoire personnelle (l'enfance, bien sûr, ce « gisement profond de mon sol mental » selon Proust, mais aussi les joies, les passions, les épreuves de l'âge adulte, dont l'écriture porte trace) ; mémoire familiale (les origines piémontaises et la légende qui en découle, fondatrice du « Cycle du Hussard ») ; mémoire collective (la guerre, traumatisme originel, où s'articulent destin individuel et destin partagé) ; mémoire historique (ces temps anciens -le XIX e siècle, mais aussi plus loin en amont- dans lesquels Giono cherchera de plus en plus une évasion lucide) ; mémoire mythique, quand l'écrivain puise dans le fond archaïque des peurs et des fantasmes ancestraux et, plus fasciné par « la nuit des temps » que nostalgique du « bon vieux temps », s'engage selon Jacques Chabot dans « une anamnèse interminable », une « quête, sans espoir, des origines »... Rien de « passéiste » ici, en effet, contrairement à l'idée reçue, car le passé ne prend sens chez Giono que dans ce présent où l'écriture s'en saisit, l'inscrit, voire l'invente, où la mémoire se fait oeuvre . Explorer « la mémoire à l'oeuvre », c'est donc explorer aussi bien le rôle de la mémoire dans la genèse de l'oeuvre que la représentation de la mémoire, de ses processus, de ses images, dans l'oeuvre elle-même. Mot(s) clés libre(s) : Jean Giono (1895-1970), littérature française (20e siècle), mémoire (dans la littérature), souvenir (dans la littérature)
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