Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Sur le terrain du livre
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
On ignore souvent que le premier terrain des chercheurs en Sciences Humaines est la bibliothèque. Vincent Zarini et Malika Bakhti-Dahmani présentent leurs bibliothéques respectives, celle de l''Institut d'Etudes Augustiniennes, qui a récemment déménagé à Paris et celle de l'Institut des traditions textuelles à Villejuif.
Avec :
Malika Bakhti-Dahmani , Bibliothécaire, Institut des traditions textuelles et au Laboratoire d'Etudes sur les Monothéismes (LEM)
Vincent Zarini , Professeur à l'université Paris IV-Sorbonne (Littérature latine de l'Antiquité tardive)
Directeur de l'Institut d'Etudes Augustiniennes, composante du Laboratoire d'Etudes sur les Monothéismes (LEM) Mot(s) clés libre(s) : bibliothèque, le livre
|
Accéder à la ressource
|
|
Lancement de la méthode Occitan
/ Céline Ferlita
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Le mardi 20 mai a eu le lancement de la méthode d’occitan des éditions
ASSIMIL, conçu par Nicolas Quint, chercheur au CNRS. Cette nouvelle
édition est l’occasion de redécouvrir les richesses cette langue
régionale méconnue. Mot(s) clés libre(s) : analyse linguistique, livre, occitan
|
Accéder à la ressource
|
|
Ezio Ornato - Les méthodes quantitatives au service de l'histoire du livre : principes, parcours, exemples
/ Franck Guillemain
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Conférence inaugurale de
la journée d'initiation
Le livre médiéval
au regard des méthodes quantitatives
du 28 mai 2015 organisée dans le cadre du
séminaire
Codicologie quantitative et sociologie du livre médiéval du LAMOP
(campus de Villejuif)
Autre intervenant :
Denis Muzerelle Mot(s) clés libre(s) : UPS2259, LAMOP, Codicologie, Ezio Ornato, Les méthodes quantitatives au service de l'histoire du livre : principe, parcours, exemples., Codification quantitative, Le livre médiéval, au regard des méthodes quantitative, Denis Muzerelle
|
Accéder à la ressource
|
|
L'atelier Reliure du centre de documentation Haudricourt
/ Franck Guillemain
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
L' Atelier de reliure, tarifs et prestations
L'atelier de
reliure du centre de documentation Haudricourt est à présent ouvert et fonctionnel !
Nous vous rappelons qu'il est mis à la disposition de toutes les unités du
campus désireuses de faire relier leurs documents (ouvrages, périodiques,
thèses, etc...) sur place et à un moindre coût par rapport aux tarifs
généralement proposés par les prestataires extérieurs (qui sont, par ailleurs de
moins en moins nombreux).
De plus, l'atelier reliure peut également s'occuper de réparations et
petites restaurations de documents (déchirures, reliure abimées ou
décollées,...) car les agents du centre de documentation ont également été formés à ces
pratiques.
Les tarifs ont été calculés de façon à nous permettre de renouveler les
éléments nécessaires à cette activité (fournitures et toiles de reliure), tout
en restant en deçà des tarifs facturés dans le privé ; à savoir :
1 - tarif
pour les unités partenaires de l'UPS 2259 : 20 euros / volume en reliure cousue pleine toile.
2 - tarif pour les unités extérieures : 25 euros / volume en reliure
cousue pleine toile.
3 - tarif pour les particuliers ou prestations spécifiques : nous
consulter.
Vous pouvez
dès à présent nous soumettre vos documents à relier ou à réparer.
Mot(s) clés libre(s) : UPS2259, Reliure, Xavier Simoes, Centre de documentation haudricourt, restauration livre ancien
|
Accéder à la ressource
|
|
Écriture, relecture : les métamorphoses du texte du lecteur engagé / Marina Arias-Vikhil
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
ARIAS-VIKHIL Marina
Voir le résumé
Voir le résumé
L’écriture comme relecture : les métamorphoses du texte du lecteur engagé / Marina Arias-VikhilDans l’univers aragonien le lecteur est un miroir qui renvoie au poète sa propre image. « Nous utilisons les livres comme des miroirs qui nous renvoient notre réflexion » écrit Aragon dans la postface de son roman "La Mise à mort". Si Sartre comprend la lecture comme une rencontre dramatique de deux libertés dans l’espace de l’œuvre qui souvent se présentait sous une forme de théorème à prouver ou de problème à résoudre, Aragon entraîne son lecteur dans un jeu de reflets de miroir dans son roman "La Mise à mort". Il tente de séduire le lecteur en créant en même temps l’image de l’auteur évolutive, à contours dédoublés, non focalisée afin de suggérer l’idée de la liberté de l’auteur insaisissable et insoumis au jugement du lecteur. Lecteur comme miroir fidèle de l’auteur, lecteur qui le suit dans toutes ses divagations et dont l’esprit critique est détourné, devient un engagé de l’auteur qui reste à son tour engagé. Dans cet esprit on se propose d’observer comment Aragon devient lecteur de ses propres textes : en nous basant sur l’analyse du texte du roman La Mise à mort" (1965) , notamment de l’épisode concernant le voyage à Moscou d’Aragon en été de 1936, nous essayons de démontrer que la narration d’Aragon, où l’écrivain raconte l’histoire de la mort et de l’enterrement de Gorki, représente la relecture de ses textes écrits bien avant "Les jours de Gorki" (1936) et "Les jeunes gens" (1955). La figure de Gorki permet à Aragon de formuler le problème de son engagement qui reste au centre de sa réflexion sous différents aspects. Les métamorphoses de cet épisode, recréé plusieurs fois, ne finissent pas en 1965 : c’est encore en 1977, dans sa préface à "L'Œuvre poétique", qu’Aragon nous offre une nouvelle relecture de ce récit qui démontre que la dernière version est étroitement liée au désengagement politique du poète dans les années 70.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : art d'écrire, engagement politique, lecture (subjectivité), livres et lecture, Louis Aragon (1897-1982), Louis Aragon (La mise à mort), réception des oeuvres
|
Accéder à la ressource
|
|
Territoires mentaux, adolescents et interprétation du "Passeur" de Lowry / M. Burgos, M. Hebert
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
BURGOS Martine, HEBERT Manon
Voir le résumé
Voir le résumé
Perspectives croisées Québec-France-Burkina Faso: observation des « territoires mentaux » convoqués par différents types d’adolescents dans l’interprétation du roman Le passeur de Loïs Lowry / Martine Burgos et Manon Hebert. L’objectif de ces deux études a été d’analyser et de comparer les réactions d’élèves adolescents à la lecture de l’œuvre de Loïs Lowry, "Le passeur". Dans ces études menées en parallèle et à dix ans d’intervalle (1897/2007), ont été examinés des lecteurs d’âges variés (de 11 à 18 ans), provenant de contrées fort éloignées (Québec, France et Burkina Faso), et dans des conditions méthodologiques différentes (entretiens, cercles de lecture). S'inscrivant ainsi dans le premier axe du colloque, nous essaierons de dégager : à quelles sources (psychiques, culturelles et sociales) s’alimente l’activité fictionalisante et interprétative de ces jeunes lecteurs (québécois, français et africain); puis quels sont les territoires mentaux ici convoqués (affects, expériences, conditionnements, savoirs sur le monde, la littérature) et qui contribuent aux reconfigurations de cette contre-utopie que propose le roman de Lowry. Une attention toute particulière sera apportée aux conditions de possibilité de la fonction identificatoire chez des lecteurs qui appartiennent à des sociétés qui pensent selon des modalités fort différentes la place de l’individu au sein des divers groupes d’appartenance. Selon les similitudes et différences observées dans nos corpus, méthodologies et résultats respectifs, nous nous demanderons jusqu’à quel point le texte du lecteur s’élabore ou non comme une interprétation singulière du texte-partition de l’œuvre, intégrant retour sur soi et réflexion sur le monde.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : adolescents (livres et lecture), ethnolinguistique, imaginaire, lecture (aspect psychologique), lecture (pédagogie), lecture (subjectivité), littérature (appréciation), Loïs Lowry (1937-....), réception des oeuvres
|
Accéder à la ressource
|
|
L'imparfait du subjectif ou le lecteur ravi / Karl Canvat
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
CANVAT Karl
Voir le résumé
Voir le résumé
De toutes les instances de lecture dégagées par Michel Picard et Vincent Jouve, celle du « lu » est paradoxalement la moins bien connue, alors qu’elle joue un rôle fondamental dans l’activité de lecture. Dans cet exposé à orientation heuristique, Karl Canvat tente de répondre aux questions suivantes : - comment savoir ce qui se passe et se parle d’inconscient dans la lecture ? - comment écouter ce qui ne se lit pas d’abord ? - quels sont les éclairages de la psychanalyse, dans ses formes anciennes (de Freud à Lacan) et plus récentes (Leclaire, Green, Anzieu, Assoun, Bayard, Glaudes …), et de la textanalyse (Bellemin-Noël …) ? - comment conduire l’apprenti lecteur à appréhender ce qui se passe en lui pendant sa propre lecture (pourquoi ce texte me (dé)plaît-il ?), en évitant soigneusement de l’« encombrer » ou de lui faire passer simplement un bon moment (ce qui est parfois pire qu’un mauvais) ? - comment conjuguer (alterner/confondre) réaction affective (« subjective ») et construction interprétative (« objective ») ?- comment construire un bagage minimal de connaissances sur la psychanalyse mobilisables par le lecteur (« l’analisant ») ? - comment amener à (d)écrire sans gêne, inquiétude ou inhibition les raisons d’un retentissement intérieur dans un texte destiné (peut-être) à une lecture collective ?...Intervention de Karl Canvat, lue par son épouse, dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'Equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts" (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : goût de la lecture, lecture (appréciation), lecture (subjectivité), livres et lecture, psychanalyse et lecture, réception des oeuvres
|
Accéder à la ressource
|
|
L'infratexte sensible du lecteur / Louis-Philippe Carrier
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 20-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
CARRIER Louis-Philippe
Voir le résumé
Voir le résumé
L'infratexte sensible du lecteur / Louis-Philippe Carrier. La communication que propose Louis-Philippe Carrier s’intéresse moins au texte du lecteur en lui-même qu’à ce que nous nommons, en empruntant librement une expression à Bellemin-Noël (2001, p. 21), l’infratexte sensible du lecteur. Par analogie avec les rayons infrarouges, l’infratexte sensible désignerait ce produit de la lecture, cette émanation du lecteur, qui se situe en dehors du spectre visible (intelligible), mais contribue néanmoins à donner sa chaleur à un texte, à le rendre vivant pour un lecteur singulier. Cet infratexte sensible correspondrait, selon le point de vue que nous développerons, à la signifiance telle que Barthes l’a définie, c’est-à-dire au « sens en ce qu’il est produit sensuellement » (1973, p. 82). Afin d’approfondir cette idée, nous nous intéresserons à la façon dont un lecteur recourt, consciemment ou non, à sa mémoire affective pour s’approprier et comprendre un texte. En se questionnant sur le fonctionnement de cette mémoire du corps, en prenant notamment en exemple le travail des acteurs, Louis-Philippe Carrier espère aider les enseignants à former des sujets lecteurs qui sauront répondre avec sensibilité aux textes littéraires -condition essentielle d’une lecture littéraire authentique- et développer leur sensibilité au contact de ces œuvres. Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'équipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : goût de la lecture, lecture (aspect psychologique), lecture (didactique), livres et lecture, réception des oeuvres, travail de l'acteur
|
Accéder à la ressource
|
|
Passé et avenir du livre
/ Mission 2000 en France
/ 23-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CHARTIER Roger
Voir le résumé
Voir le résumé
Cette conférence voudrait examiner les différentes mutations que la nouvelle textualité électronique propose ou impose aux catégories et pratiques qui ont régi - et régissent encore - notre rapport à la culture écrite. L'exposé s'attachera avant tout à trois ordres de questions. Tout d'abord, il s'agit d'examiner les nouvelles possibilités offertes par l'écrit électronique à la création littéraire ou à l'argumentation scientifique. Quels sont les effets sur l'invention romanesque ou poétique d'un mode de composition des textes qui leur donne mobilité, malléabilité et ouverture ? Et quelles sont les nouvelles ressources mises à disposition du raisonnement logique et philosophique, de la démonstration savante, du récit et de la démonstration historiques ? Il faut ensuite s'interroger sur les conditions techniques, économiques et juridiques qui gouvernent l'édition électronique des oeuvres. Comment repenser les notions classiques de propriété littéraire, copyright et droit d'auteur et comment définir le " livre " électronique. Enfin, un dernier questionnement portera sur la place et la fonction de la bibliothèque dans ce nouvel univers. La communication à distance des textes signifie-t-elle sa condamnation puisque chaque lecteur se trouve à même de lire là où il se trouve catalogues et collections ? Ou bien ne faut-il pas plutôt opposer à ce diagnostic de mort annoncée les rôles nouveaux dont la bibliothèque peut être investie, à la fois comme conservatoire du patrimoine écrit, instrument d'apprentissage des nouvelles techniques et lieu d'échanges autour des oeuvres ? Mot(s) clés libre(s) : édition électronique, livre, livres et lecture, nouvelles technologies de l'information et de la communication
|
Accéder à la ressource
|
|
Comment de jeunes élèves apprennent à construire leur parole de lecteur / Sophie David
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DAVID Sophie
Voir le résumé
Voir le résumé
Entre singularité et altérité : comment de jeunes élèves apprennent à construire leur parole de lecteur / Sophie David. L’acte de lecture se pose en réception, ce qui suppose pour le sujet repli vers une intériorité qui ne se laisse pas forcément dévoiler. Mais ce serait un leurre de s’en tenir à cette conception car la lecture est aussi projection (de soi dans le texte) et distanciation (de soi face aux effets du texte), autant de signes de la singularité du lecteur.À l’inverse, le cadre de l’école impose, dans un processus d’élaboration collective des compétences, la présence et l’écoute de l’autre dans sa différence et sa diversité.Comment concilier ces deux mouvements dans la mise en œuvre scolaire d’une lecture littéraire ? Comment les poser de manière dialectique plutôt qu’antagoniste ? Pour quelles visées ? Pour aboutir à quel texte ?Nous analyserons dans ce sens la mise en œuvre d’un travail mené en classe de sixième où il s’agira, à la fois, de considérer la parole subjective de l’élève et sa mise en relation au sein d’une communauté d’interprétation, dans un jeu de constructions interactives.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'équipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : lecture (aspect psychologique), lecture (pédagogie), lecture (subjectivité), lecture littéraire, livres et lecture, réception des oeuvres
|
Accéder à la ressource
|
|