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Chronique des Pygmées baka : Le masque d'Edzengui
/ Laurent MAGET
/ 23-04-2010
/ Canal-u.fr
MAGET Laurent
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Village de Mayang. est du Cameroun à 45 km de Lomié.
Edzengui est l'esprit de la forêt qui veille sur les Baka. Il
soigne, conseille, protège.
Edzengui est également une pratique rituelle
dont les manifestations sont essentiellement réservées aux seuls
initiés.
Les enfants de Mayang, village de Pygmées Baka, partent en forêt récolter le raphia pour réaliser le masque de cérémonie d'Edzengui. Il s’agit souvent d’endroits marécageux. Les fibres jaunes qui constituent le masque sont récoltées sur les branches du palmier raphia laurentii. Des lianes sont arrachées puis tendues d’un arbre à un autre pour constituer la structure sur laquelle ces fibres seront tissées. Ce sont surtout les hommes qui réalisent le tissage de la parure, les femmes chantent et aident à l’extraction des fibres ; il est nécessaire de séparer les petites tiges dures des fibres afin de n’en garder que les longues parties souples. Ces opérations sont délicates dans la mesure où les extrémités des fibres sont très coupantes, mais cela n’empêche pas les jeunes, filles ou garçons, de s’amuser à confectionner des bracelets ou autres coiffes. Le trajet du retour est l'occasion de jeux et de chants. Une fois arrivés au coeur du village, les enfants effectuent une ultime danse tournoyante avant de disparaître dans la forêt.
CAMÉRA SON MONTAGE RÉALISATION : Laurent Maget
Production : L. Maget, Laboratoire dynamique de l'évolution humaine UPR2147 CNRS
ACTEURS, les enfants et adolescents du village de Mayang Mot(s) clés libre(s) : masque, raphia laurentii, palmier raphia, edzengui, baka, cérémonie, Cameroun, jeux, jeunesse, fabrication, pygmées, afrique, mythlogie pygmées
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Filmer les masques, la musique et la danse (2002)
/ Jean-Christian NICAISE, C.N.R.S Images
/ 31-12-1969
/ Canal-U - OAI Archive
NICAISE Jean-Christian, ZEMP Hugo
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Hugo Zemp, ethnomusicologue du CNRS de réputation internationale, nous parle brièvement de son expérience de terrain en ce qui concerne l'approche et la déontologie du chercheur qui assiste a des cérémonies religieuses comprenant des tabous très importants, souvent liés à des sociétés secrètes initiatiques, déterminant ce que l'on doit et ce que l'on ne doit pas filmer. La première partie de l'entretien est consacrée aux rites funéraires chez les Sénoufo de Côte d'Ivoire, desquels il a tiré quatre films exceptionnels, dont la série s'intitule « Les Maîtres du Balafon » (voir générique pour distributeur). Ces rites funéraires sont sévèrement réglementés par le masque du « bois sacré ». Celui-ci ne doit pas être vu des femmes qui doivent s'éloigner lorsqu'il paraît et sort du bois. Certains rituels sur le cadavre enveloppé de draps doivent absolument ne pas être vus, encore moins filmés ou photographiés par des non-initiés. La deuxième partie est une approche très brève sur des masques uniquement sonores chez les Dan de Côte d'Ivoire. La puissance des masques et leur hiérarchie ne dépend pas du fait qu'il soit nus ou habillés (On distingue ainsi les deux sortes de masques s'ils sont uniquement sonores ou en plus habillés de différentes façons selon leur fonction.), Cette partie du montage consacrée au travail merveilleux d' Hugo Zemp est à mettre en relation avec le disque réalisé dans les années 60 sur ce sujet.
Générique
Réalisation pour Science en cours : Jean-Christian Nicaise. Production de l'entretien avec Hugo Zemp : CNRS Images / media. Copyright CNRS Images / media 2001. Photographies : Hugo Zemp. D'après le film "Les maîtres du balafon" de Hugo Zemp produit par Sélénium Films et distribué par Süpor XAO. Contact : suporxao@free.fr. Mot(s) clés libre(s) : danse, masques, musique
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La Danse des dieux (2002)
/ Marie-Claire QUIQUEMELLE
/ 03-01-2002
/ Canal-U - OAI Archive
QUIQUEMELLE Marie-Claire
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Résultat de trois séjours dans la région d'Anshun, à 80km de Guiyang, ce film présente le "di xi" un théâtre masqué que les troupes villageoises interprètent deux fois l'an, au moment de la Fête du Printemps, et au milieu du septième mois du calendrier lunaire, quand le riz est en fleur. Ce théâtre dont l'origine remonte au danses d'exorcisme de la Chine antique, a d'abord une fonction religieuse. Son but est de chasser les mauvais esprits, et d'honorer les dieux pour que les récoltes soient bonnes et l'année heureuse. A travers des extraits de représentations et des interviews, on aborde l'histoire de ce théâtre, son répertoire, le jeu des acteurs, , la fabrication des masques et leur symbolisme... Les représentations théâtrales sont intégrées dans un ensemble de cérémonies rituelles qui conportent notament "l'ouverture de la malle" etc... Des images inédites permettent de découvrir une région mal connu de la Chine, isolée au milieu des montagnes, véritable conservatoire de traditions qu'on croyait depuis longtemps disparues.
Générique
Auteur, réalisateur :Marie-Claire Quiquemelle Production : Top Films Post-production : Université Paris 7 - Denis Diderot Copyright Top Films 1993 Mot(s) clés libre(s) : Chine, masques, symbolisme, Théatre
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Des masques pour le président
/ 09-09-2015
/ Canal-u.fr
TAÏEB Jean Marc
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Amadou Toumani Touré dit ATT, président de la République du Mali venait inaugurer les voiries de la ville de Bandiagara. C’était l’occasion pour prés de 200 masques dogon de « sortir » accompagnés de nombreux chasseurs, tous venus des villages de la falaise de Bandiagara. Prétexte à une immense fête populaire. Mot(s) clés libre(s) : masque, voierie, président de la République, cloche, dogon, tambour, ethnomusicologie, bandiagara, Afrique, film ethnographique, inauguration, chant, Mali, cérémonie, vidéo, musique, danse, fête populaire
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