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Séminaire TIL : Méthodologie de recherche (1/4)
/ 27-01-2016
/ Canal-u.fr
JARZEBOWSKI Witold
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Séminaire TIL
25-28 Janvier 2016 – Hôpital Charles Foix
Titre : Méthodologie de recherche (1/4)
Auteur (s) : Dr Witold Jarzebowski
Programme
Lundi
Psychologie
du sujet âgé : Dr Sylvie Pariel, Dr Sarah Thomas, Dr Christophe Bouché
Education Thérapeutique : Dr Sylvie Pariel, Régine Raymond
Mardi
Méthodologie
de recherche : Dr Witold Jarzebowski
Jeudi
Le jour J de la présentation : se comporter en public : Pr Joël Belmin
Préparer un cours : les bases : Pr Joël Belmin
Evaluation Gérontologique Standardisée : Pr Joël Belmin
L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant
les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.
Réalisation, production : Canal U/3S
http://www.u-til.org/ Mot(s) clés libre(s) : enseignement, Enseignement à distance, Pédagogie, TIL, UNF3S, Tutorat, A distance, Formation, atelier, calendrier, méthodologie de recherche, UPMC, sujet agé, gérontologie, psychiatrie, gériatrie, psychologie, tuteur, mémoire
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Séminaire Image et vérité. 3. Image et mémoire. La reconstruction de la vérité par l'image : ouverture de la journée / Pascale Peyraga, Marion Gautreau
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 07-04-2014
/ Canal-u.fr
GAUTREAU Marion, PEYRAGA Pascale
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Séminaire Image et vérité. 3. Image et mémoire. La reconstruction de la vérité par l'image : ouverture de la journée / Pascale Peyraga, Marion Gautreau. Séminaire organisé par le laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) et le Réseau interdisciplinaire sur les vérités de l'image hispanique contemporaines (RIVIC). Université Toulouse II-Le Mirail, 7 avril 2014.Tanto la dictadura franquista como las dictaduras latinoamericanas de los años 1960 a 1980 dieron lugar a una abundante
producción fílmica y fotográfica -documental y de ficción- que vuelven sobre estos periodos traumáticos desde diferentes puntos de vista. Comienzan a realizarse pe- lículas en los años 1980, todavía bajo la Ley de amnistía española (15 de octubre de 1977) o las Leyes de impunidad argentinas (finales de los años 1980) y siguen saliendo en pantalla hasta hoy en día, en un clima totalmente distinto. En efecto, la Ley de Memoria histórica del 31 de octubre de 2007 en
España o la declaración de inconstitucionalidad por la Corte Suprema de Argentina de los « indultos de Menem » en 2010 abre vías nuevas a la representación fílmica de estos episodios de la historia reciente. La idea de este seminario es observar cómo se reconstruye la memoria
histórica de las dictaduras a través de las imá- genes y el diálogo que entretiene estas producciones artísticas con una real o supuesta « verdad histórica ». Considerando cada una de estas obras como un « lugar de memoria », a la manera de Pierre Nora, sería interesante analizar los recursos utilizados por los artistas para ofrecer su propia memoria
de los gobiernos militares. En documentales como La maleta mexicana (Trisha Ziff, 2011, México/España/EEUU) o Los caminos de los memoria (José Luis Peñafuerte, 2009, España) se insiste en la problemática de las exhumaciones y del dilema verdad/olvido, mientras que en películas como Infancia clandestina (Benjamín Ávila, 2012, Argentina) o O ano en que meus pais saíram de férias (Cao Hamburger, 2006, Brasil) se intenta dar a ver la vida cotidiana de los niños que vivieron en tiempos de dictadura. Por otra parte, no podemos sino pensar en las producciones fotográficas de los últimos años, que no se refieren tanto a la revelación del pasado histórico (en las dictaduras o en tiempos de guerra) como a la comprobación de la ausencia de imágenes o una verdad para siempre velada (La misma Imagen a través de los días Socius II, Adrián Alemán). A través del tiempo y de la variedad de temas desarrollados en estos medios icónicos se va reconstruyendo poco a poco la memoria de las dictaduras. Nuestro propósito es confrontar los puntos de vista expuestos y los recursos iconográficos utilizados para defenderlos, con el fin de delinear los contornos de estas memorias española y latinoamericanas. Mot(s) clés libre(s) : conscience historique, cinéma et histoire, Mexique (20e siècle), Basilio Martín Patiño (1930-....), cinéma espagnol, Jorge Semprún (1923-2011), Espagne (20e siècle), film documentaire, mémoire collective, franquisme
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SANKORÉ Session Inserm : Recherches sur le développement de la mémoire chez l’enfant et l’adolescent
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Délégation interministérielle pour l’éducation numérique en Afrique (DIENA)
/ 16-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
GUILLERY-GIRARD Bérengère
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PREMIER SÉMINAIRE INTERNATIONAL SANKORÉ DE RECHERCHE UNIVERSITAIRE SUR LA PÉDAGOGIE NUMÉRIQUE Conférence-Débat : INSERM / SANKOREZOOM SUR LES NEUROSCIENCESQue disent les neurosciences sur l’Education numérique ?Les nouveaux médias viennent concurrencer les outils traditionnels de la transmission des savoirs et du développement des capacités cognitives.Dans un domaine où l'innovation est constante, la recherche devient rapidement obsolète. Cependant, une recherche abondante est déjà à notre disposition.Nous essaierons d'en dégager quelques grandes lignes et de proposer des axes sur lesquels les outils à venir pourront être évalués pour mettre en évidence leur valeur ajoutée du point de vue du développement de l'enfant.Intervention du Dr Bérengère GUILLERY-GIRARDMaître de Conférences à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes, Unité Inserm-EPHE-Université de Caen U923/ Neuropsychologie et neuro-anatomie fonctionnelle de la mémoire humaine.Recherches sur le développement de la mémoire chez l’enfant et l’adolescent selon une approche comportementale et de neuro-imagerie. Mot(s) clés libre(s) : mémoire, neuropsychologie
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Que nous apprennent les sciences cognitives sur notre capacité à gérer les conflits d'intérêts?
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 06-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
CORNU Jean-Michel
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Penser c’est avancer mais comment pense-t-on ? Pour raisonner, l’homme fait appel à deux mémoires de travail : - la première, la pensée linéaire ou boucle phonologique permet d’enchaîner les concepts mais elle est physiologiquement limitée à une suite de 3 idées. Mais en réalité, les capacités apparemment ténues de cette mémoire à court terme sont considérablement accrues grâce à l’existence d’une mémoire à long terme capable de stocker un vocabulaire symbolique acquis culturellement, permettant ainsi l’émergence de la parole et la construction d’un véritable discours. . - la seconde, le calepin visuo-spatial, permet de construire des liens associant entre elles plusieurs idées, ce qui s’apparente à une planification, à la réalisation d’une carte de concepts. C’est de ce mode de pensée que relèvent les processus de création, la confrontation de différents points de vue, la gestion des conflits d’intérêts. Cependant, tout comme la pensée linéaire, cette seconde mémoire de travail est également limitée et ne permet le traitement simultané que de 5 à 9 idées distinctes. Là encore, les capacités de cette mémoire sont augmentées par l’existence de plans symboliques, stockés dans la mémoire à long terme, et qui favorisent le maniement simultané de nombreux concepts. Partant de ce constat, Jean-Michel Cornu montre combien il est important de chercher à créer la meilleure carte symbolique possible pouvant aider au mieux à gérer les conflits d’intérêts, à travailler collectivement, à être créatifs et innovants et il présente les différents orientations de la recherche actuelle pour y parvenir.La représentation cartographique est un atout pour le raisonnement collectif et individuel et un garant de l’intérêt général. Mot(s) clés libre(s) : calepin visuo-spatial, cognition, conflits d’intérêts, heuristique, mémoire à court terme, mémoire à long terme, mémoire de travail, mind mapping, neurosciences, pensée linéaire, raisonnement, représentation mentale, résolution de problème, sciences cogni
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Que faire de nos traces numériques ?
/ 12-10-2015
/ Canal-u.fr
MERZEAU Louise
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En quelques années, le numérique a évolué dans le sens d’une personnalisation des interfaces et des contenus : chacun, aujourd’hui, peut prétendre à une information sur mesure. La contrepartie est un traçage systématique des préférences et des comportements des utilisateurs sur les réseaux. Traduite en traces, l’identité relève alors de plus en plus du calcul et de la documentation. Livrée aux algorithmes, la personne fait l’objet de traitements et de transactions.
Cette évolution pose la question de la dépossession et de la réappropriation de sa « présence numérique ». En termes de contrôle ou de protection bien sûr, mais aussi d’exercice individuel et collectif d’une liberté, d’une mémoire et d’une sociabilité. Car notre environnement numérique doit d’abord se penser comme un espace à habiter, à construire et à partager. Mot(s) clés libre(s) : protection, contrôle, liberté, identité, traces numériques, information, traçage, présence numérique, mémoire
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Quartiers et mémoires de migrations : présentation de la journée d'étude / Laure Teulières
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 13-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
TEULIERES Laure
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"Quartiers et mémoires de migrations : présentation de la journée d'étude". Laure TEULIERES (Univ. Toulouse II-Le Mirail). Journée d'Étude organisée par le laboratoire France méridionale et Espagne, Histoire des sociétés du Moyen Age à l'époque contemporaine (FRAMESPA, CNRS) en collaboration avec la Cité Nationale de l'Histoire de l'Immigration et avec le soutien de la MSHS de Toulouse, dans le cadre de "La Novela" le festival des savoirs de la ville de Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 13-14 octobre 2009.Intervention de Salah Amokrane (Association Tactikollectif) présentant le programme des activités culturelles connexes à la journée d'études : exposition "Travail d'arabes", journée musicale (hip-hop, rap, slam, chansons populaires de l'immigration et des quartiers)... Mot(s) clés libre(s) : identité collective, immigration, mémoire collective, quartiers ethniques
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Quand les noirs cubains prennent la parole... à la fin du XIXe siècle / Michèle Guicharnaud-Tollis
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
GUICHARNAUD-TOLLIS Michèle
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Quand les noirs cubains prennent la parole... à la fin du XIXe siècle / Michèle Guicharnaud-Tollis, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 1 : Esclavage et mémoire.Il est communément admis que l'image du Noir américain a longtemps été transmise et véhiculée par les Blancs. À Cuba, au XIXe siècle, c'est même une vision biaisée qui nous parvient, souvent gauchie par un ensemble de préjugés et de stéréotypes propres à stigmatiser violemment le Noir. Même les écrits anti-esclavagistes émanant de Blancs semblent ne pas avoir échappé à cette vision fallacieuse de la réalité coloniale. Cette communication redonne au contraire la parole aux Noirs et aux hommes de couleur : dès qu'ils ont pu prendre la parole dans la période décisive des années 1890 et jouer un rôle actif dans la vie publique cubaine, leurs écrits -expressions littéraires et discours politiques- témoignent d'une lutte acharnée pour poursuivre l'émancipation, la défense des Noirs et l'égalité. Ainsi tend à s'inverser l'image traditionnelle jusque-là ancrée dans les imaginaires. Les supports textuels seront ceux de Martín Morúa Delgado et de Rafael Serra, tous deux fils d'esclaves. Mot(s) clés libre(s) : représentations sociales, esclavage (mémoire collective), écrits d'esclaves, Noirs (dans la littérature), littérature cubaine (19e siècle)
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Puces et biopuces
/ Mission 2000 en France
/ 07-09-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MORENO Roland
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La puce est un carré en silicium (seul matériau avec lequel on soit arrivé à faire des semiconducteurs), plus petit que l’ongle du petit doigt, avec de très nombreuses petites pattes qui font penser à une puce. On peut se faire une idée de la révolution qu’a introduit la puce, en consultant par exemple Internet, qui est de loin la manifestation la plus spectaculaire des possibilités. Il y a des microprocesseurs partout, c’est à dire l’intelligence ; il y a des mémoires. Je n’ai inventé que la carte à puces. Les biopuces sont une sorte de fantasme journalistique : il n’y en a pas qui fonctionne. Les grands de l’informatique comme Intel, Texas Instrument ne travaillent pas dessus. C’est trop différent des circuits intégrés.Il y a une différence spectaculaire entre mémoire informatique et mémoire humaine.Comment se fait-il qu’il est si difficile d’apprendre ? Qu’il soit impossible d’oublier sur commande ? Aujourd’hui j’ai une veste jaune, si demain vous voulez chasser cette image de votre mémoire, ça vous sera complètement impossible. Il n’y a pas d’intersection entre la volonté et la mémoire. La mémoire artificielle la plus simple : une feuille de papier, une vitre embuée sont des mémoires, au sens où l’on peut inscrire une information et elle reste. Toutes ces mémoires sont effaçables. Il suffit de frotter avec un chiffon et l’information s’évapore. Rien de tel n’est concevable avec notre mémoire. La mémoire humaine est infinie ; ce soir ayant déjà dans notre tête tout ce que nous avons, nous allons voir un film d’action, on sort avec le film dans la tête mais ça n’a pas chassé de précédent souvenir. Les mémoires artificielles sont finies, elles ont un espace délimité. Une cassette de magnétoscope, une fois remplie, ne peut prendre une seconde d’images supplémentaires. Sur cet étonnement, j’ai voulu créer une mémoire artificielle ayant les traits de fonctionnement de la mémoire humaine, son irréversibilité. Une information enregistrée est irréversiblement enregistrée. Les informaticiens adorent ce type de situation stable... Mot(s) clés libre(s) : carte à puce, circuit intégré, identification, information irréversible, mémoire informatique, microélectronique, microprocesseur, semi-conducteur, silicium
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Provenchères, Charles, Jean et Primo Lévi [20ème s.]
/ Catherine BOURDIN, Université Paul Verlaine - Metz (UPV-M)
/ 31-05-1991
/ Canal-U - OAI Archive
BOURDIN Catherine
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Dans son roman Si c'est un homme, Primo Levi évoque parmi d'autres figures celle de Charles Conreau, compagnon de détention au camp d'Auschwitz. Ce film, à la rencontre de Charles, aujourd'hui instituteur retraité d'un petit village vosgien, Provenchères, témoigne de cette relation née dans des conditions exceptionnelles. Mot(s) clés libre(s) : 2ème guerre mondiale, Auschwitz, camps de concentration, Charles Conreau, condition humaine, déportation, détention, Jean Samuel, mémoire, mort, occupation, Primo Levi, Provenchères, résistance, romans biographiques, Vosges
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Philosophie de l'esprit et sciences cognitives
/ Mission 2000 en France
/ 31-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
JACOB Pierre
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"Le mot ""cognition"" vient du mot latin *cognoscere* qui veut dire ""savoir"" ou ""connaître"". Sous le nom de ""sciences cognitives"", et autour d'un projet commun, se sont fédérées des disciplines aussi différentes que les neurosciences, la neuropsychologie, la primatologie, la psychologie comparée, la psychophysique, la psychologie cognitive, la psychologie du développement, la linguistique, la logique, l'intelligence artificielle, la philosophie, la psychologie sociale et l'anthropologie. Les sciences cognitives ont pour objet d'étudier les mécanismes neurophysiologiques et les processus mentaux grâce auxquels un être humain construit ses connaissances : la perception, la mémoire, l'attention, l'imagerie, le raisonnement, la communication. Elles poursuivent donc par des moyens expérimentaux le projet de ce que les philosophes appelaient naguère - d'un mot formé à partir du mot grec *épistémè* qui signifie conjointement ""savoir"" et ""science"" - l'*épistémologie*. Les sciences cognitives n'étudient pas seulement les mécanismes de formation de connaissances détachées ; elles étudient aussi l'engagement dans l'action, c'est-à-dire : la planification et l'exécution de l'action. Le progrès des sciences cognitives suggère donc que la cognition humaine résulte de mécanismes cérébraux qui donnent naissance à l'expérience consciente subjective, à des représentations véridiques de l'environnement et à des représentations motrices au service de l'action. " Mot(s) clés libre(s) : comportement, croyance, désir, intentionnalité, mémoire, perception, philosophie, psychologie, raisonnement, sciences cognitives
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