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Les déportations de masse des Tchétchènes et des Tatars de Crimée
/ Canal-u.fr
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vendredi 10 avril 2009
Aurelie Campana - Les déportations de masse des Tchétchènes et des Tatars de Crimée Mot(s) clés libre(s) : migration, tchétchènes, tatars, crimée, expulsion
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Migrants, sans papiers : de la Méditerranée à Calais
/ Canal-u.fr
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Table-ronde animée par Claude CALAME (EHESS/AnHiMA & CRAL)
Interventions d’Emeline ZOUGBEDE (doctorante Paris-René Descartes) et de Sara PRESTIANNI (Migreurop)
Discutant : Alain JOXE (EHESS) Mot(s) clés libre(s) : engagement, migrations, camps de réfugiés
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Réfugiés ? Migrants ? Rroms ? Les droits humains et la politique européenne des migrations
/ Canal-u.fr
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Séance animée par Véronique NAHOUM-GRAPPE (EHESS/IIAC)
Intervention d’Eric FASSIN (université de Paris 8)
Table ronde avec:Nicole ABRAVANEL (Université d’Amiens),
Philippe BATAILLE (EHESS),
Maryline POULAIN (CGT),
Marie-Ange SCHILTZ (EHESS) Mot(s) clés libre(s) : engagement, migrations, camps de réfugiés, politique européenne, droits de l’homme
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Mégafaune marine de l’océan Indien
/ Serge MONTAGNAN, Emmanuel PONS, Richard TOPCZYNSKI
/ Canal-u.fr
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- Etude - Protection - Valorisation -La mégafaune marine regroupe des espèces telles que les mammifères marins, les tortues et les oiseaux marins. Composantes spectaculaires de la biodiversité de l’océan Indien tropical, ces espèces sont cependant menacées.Face à ce constat des scientifiques de La Réunion ont décidé de collaborer avec des partenaires de la région sur l’étude, la conservation et la valeur socio-économique de la mégafaune marine tropicale.Prospections scientifiques, actions de formation et de sensibilisation, se succèdent en différents lieux de la zone : des îles Nosy Ve et Sainte-Marie à Madagascar, en passant par Mohéli aux Comores et à La Réunion.
En mutualisant les données recueillies par les différents partenaires le « programme mégafaune » aura permis de déterminer, dans l’océan Indien, les hots spots de migration indispensables à la survie et la reproduction de ces animaux emblématiques. Ces résultats, croisés aux pressions environnementales liées aux activités humaines, permettront de mieux les protéger. Mot(s) clés libre(s) : biologie marine, baleine à bosse, Mohéli, Nosy Ve, puffin, tortue marine, paille-en-queue, baleine, biodiversité des espèces, île de La Réunion, migration, espèces menacées, whale watching
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Kingsley, carnet de route d’un immigrant clandestin, avec Kingsley Abang Kum, Olivier Jobard, Mahamet Timera
/ 13-04-2015
/ Canal-u.fr
ABANG KUM Kingsley, JOBARD Olivier, TIMERA Mahamet
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En 2004, Olivier Jobard, photojournaliste, rencontre Kingsley Abang Kum, un jeune Camerounais qui a décidé d’émigrer en France. Ensemble, pendant six mois, ils suivent la route qui mène les migrants d’Afrique subsaharienne en Europe. Le reportage d’Olivier Jobard, exposé à la Bibliothèque universitaire du Havre au printemps 2015, nous fait vivre au plus près les risques pris par ceux qui empruntent ces filières clandestines et nous en dévoile l’organisation.L’Université populaire s’associe pour la deuxième fois à ce rendez-vous avec un photojournaliste et propose une rencontre avec les acteurs de ce voyage périlleux. Par son travail, Olivier Jobard "met le nom et l’histoire de Kingsley sur ceux que l’on qualifie anonymement de ‘sans papiers’". Le sociologue Mahamet Timera mettra en perspective ce parcours dans le contexte plus global des migrations Afrique-Europe. Mot(s) clés libre(s) : immigration, sans papier, clandestin, migrations Afrique-Europe
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Migrations roms en Europe : accès aux droits, citoyenneté et politiques d'espace public
/ Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 19-11-2015
/ Canal-u.fr
ALUNNI Lorenzo, SARCINELLI Alice sophie, EL GHOZI Laurent, LARCHER Jonathan
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Cycle de conférences organisé par le LabEx Tepsis Les Agendas du Politique
Ces migrations communautaires, pourtant bien « européennes », demeurent construites aujourd’hui sous les figures du « danger » et de la « menace », d’une altérité radicale et souvent racialisée. De quelle manière nous invitent-elles à interroger les notions contemporaines de citoyenneté, de solidarité, d’enracinement et de mobilité dans une Europe de plus en plus confrontée à ses frontières ?
Intervenants
Lorenzo Alunni (Chercheur indépendant) : La douleur politique : citoyenneté et enjeux de santé dans les campi roms de Rome
Alice Sophie Sarcinelli (IRIS- EHESS et Lasc-Université de Liège) : Enfance et parentalité roms au prisme des politiques d’accueil françaises et italiennes
Laurent El Ghozi (Collectif national droits de l’homme ROMEUROPE) : Le droit et les faits : quel accès aux droits pour les populations vivant en bidonville en France
Jonathan Larcher (Doctorant, CRAL, EHESS) : L’imagerie du ţigan et de la ţigancă en Roumanie
Séance présidée par Milena Doytcheva (Université de Lille 3, CeRIES). Mot(s) clés libre(s) : citoyenneté, migrations, Roms
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Quartiers et mémoires de migrations : introduction à la journée d'étude / Marianne Amar
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 13-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
AMAR Marianne
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"Quartiers et mémoires de migrations : introduction à la journée d'étude". Marianne AMAR (CNHI). Journée d'Étude organisée par le laboratoire France méridionale et Espagne, Histoire des sociétés du moyen Age à l'époque contemporaine (FRAMESPA, CNRS) en collaboration avec la Cité Nationale de l'Histoire de l'Immigration et avec le soutien de la MSHS de Toulouse, dans le cadre de "La Novela" le festival des savoirs de la ville de Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 13-14 octobre 2009. Mot(s) clés libre(s) : immigrés, migrations, quartiers ethniques
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Mobilité et accessibilité aux soins de santé mentales des étrangers à Dakar / Oumar Barry
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 16-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BARRY Oumar
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« Mobilité et accessibilité aux soins de santé mentale des étrangers à Dakar », Oumar BARRY (psychologue, enseignant-chercheur FLSH, Université Cheikh Anta DIOP, Sénégal). Colloque international "Santé et mobilités au Nord et au Sud : circulations des acteurs, évolutions des pratiques". Toulouse : Université de Toulouse II-Le Mirail, Institut d'Etudes Politiques (IEP), Association AMADES : 16-18 septembre 2009.Session A : Ajustements des systèmes, des politiques de santé et des pratiques de soins aux migrants malades et/ou vulnérables. Atelier A3 : Réaménagements des pratiques de soin et questionnements interculturels.La capitale dakaroise accueille de nouvelles catégories populations, provenant d’horizons très divers, dont un nombre de plus en plus croissant serait confronté à des problèmes de santé mentale avérés ou potentiels. Ces problèmes sont consécutifs à des vécus dramatiques (guerres, viols, catastrophes naturels, assassinats de parents, pauvreté, etc.) qui les ont conduit à migrer vers Dakar. Dans cette ville, elles doivent s’adapter à des situations difficiles de survie au quotidien dans un contexte culturel et linguistique qui leurs est complètement étranger. Elles sont aussi souvent dans une logique de recherche de soins de santé mentale, car dans ce domaine, Dakar garde encore une image valorisée en Afrique subsaharienne avec l’Ecole de Fann. Dans toutes les procédures thérapeutiques, il est reconnu que la parole joue un rôle important dans le processus, aussi bien pour le thérapeute que le patient. Elle permet à l’individu de formuler une demande d’aide en exprimant son vécu en mots, à des professionnels de la santé de poser un diagnostic, d'orienter la personne vers les services requis et de lui proposer un traitement et/ou un accompagnement approprié. Pourtant, nombre de ces étrangers demandent des services d’assistance psychologique et/ou psychiatriques, sans maîtriser les langues d’usage à Dakar, qui sont le français et le wolof. De même, les structures qui offrent ces services, déjà en nombre limité dans la capitale, font aussi face à une nouvelle catégorie de demandeurs au profil particulier qu’il faut prendre en compte. Ces différentes considérations nous amènent à nous poser les questions suivantes :- l’utilisation de langues autres que le français et le wolof par les migrants constitue-t-elle une barrière à l’accès à des services appropriés en santé mentale dans la ville de Dakar ?- au sein des structures sollicitées (hôpitaux, services sociaux, organismes et associations d’appui aux migrants), quelle est la réponse offerte pour accompagner et répondre aux besoins de santé mentale de populations usagères de langues étrangères ?- est ce que cela induit une modification de leurs pratiques ou offres de services ?Les données ici présentées sont collectées par le biais d’une enquête qualitative menée au sein des deux principales structures institutionnelles d’offres de services en santé mentale à Dakar et des organisations d’appui et d’accompagnement des migrants et réfugiés. Nous y avons ciblé des personnels de service, des migrants effectivement utilisateurs, ainsi que des potentiels solliciteurs des services de santé mentale à Dakar.Résultats attendus : les données de cette étude doivent montrer que la méconnaissance de la langue française et celle du wolof par les migrants vivant à Dakar demeure comme une barrière fondamentale à l'obtention de services appropriés en santé mentale. Il n’existe pas encore dans les structures à Dakar de services spécifiques en santé mentale en direction des personnes étrangères utilisant d’autres médiums autres que le français et le wolof. Les limites qu’impose la méconnaissance des langues d’usage appauvrissent toute la dimension « médiatrice » de la relation thérapeute-patient. Ceci a des incidences avérées sur la perception de la qualité des soins aussi bien par les soignants que les patients, et conduit ces derniers à s’orienter vers l’offre de soins de nouveaux acteurs. Néanmoins, le phénomène des mouvements migratoires à Dakar et leurs conséquences en terme de troubles mentaux et comportementaux interpelle de plus en plus le champ sanitaire dakarois. Le besoin de mise en place d’un dispositif d’offres de services spécifiques en santé mentale diversifiant davantage les médiums de communication se fait davantage ressentir. Il est à prévoir que le champ de l’offre de soins se diversifie davantage, avec de nouveaux acteurs. Mot(s) clés libre(s) : accès aux soins, barrières linguistiques, communication interculturelle, migration intérieure, réfugiés, relations soignant-soigné, services de santé mentale (Dakar - Sénégal)
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Les enjeux présents et futurs de la répartition mondiale des ressources cognitives
/ UTLS - la suite
/ 10-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
BLONDEL Danièle
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Théoriciens et praticiens s'accordent aujourd'hui pour voir dans la connaissance le facteur déterminant de la compétitivité des firmes et de la croissance des économies. Les signes sont clairs : tandis que des économistes, de plus en plus nombreux, modélisent la Knowledge-Based Economy, les conseillers d'entreprise en Knowledge Management prennent peu à peu le pas sur ceux qui traitent de la gestion financière. Le problème de la production et de la distribution de cette source de richesse est donc au coeur de la question de l'inégalité entre les nations, entre les firmes et entre les individus. Ce nouveau régime économique que certains ont appelé « capitalisme cognitif » est-il plus ou moins égalitaire que le capitalisme industriel ? La réponse est ambiguë. La connaissance semble- a priori- un bien libre et non-rival : celui qui possède un savoir et le transmet à quelqu'un d'autre ne le perd pas pour autant ; ce pourrait donc être une grande chance pour les pays pauvres puisque leur capacité de développement pourrait être enrichie par des transferts de savoirs gratuits qui ne priveraient en rien leurs donateurs ; en outre, cette diffusion pourrait être accélérée par les nouveaux moyens d'information et de communication, rapides et peu coûteux. Pourtant, une réflexion plus approfondie sur la nature même de la connaissance utile pour créer de la richesse, montre que tous les individus et tous les pays ne sont pas forcément dans de bonnes conditions pour valoriser les informations qu'ils reçoivent. L'appropriation de la connaissance, étape préalable nécessaire à sa valorisation, requiert des compétences très particulières qui ne sont pas transférables en temps réel par les TIC. Le nouveau savoir pour être fructueux doit être ensemencé dans un terreau fertilisé de longue date par l'éducation, la formation et la culture. Confrontés à cette dynamique cumulative qui intègre les différents apprentissages, certains pays en voie de développement ont su profiter du nouveau modèle ; pour d'autres au contraire, l'éviction semble encore plus grave et définitive qu'auparavant. Quelles leçons peut-on tirer de ces expériences pour le rééquilibrage durable du développement mondial ? Mot(s) clés libre(s) : brevet, migration, mondialisation, productivité
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Les enjeux présents et futurs de la répartition mondiale des ressources cognitives
/ UTLS - la suite
/ 10-07-2003
/ Canal-u.fr
BLONDEL Danièle
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Théoriciens et praticiens s'accordent aujourd'hui pour voir dans la connaissance le facteur déterminant de la compétitivité des firmes et de la croissance des économies. Les signes sont clairs : tandis que des économistes, de plus en plus nombreux, modélisent la Knowledge-Based Economy, les conseillers d'entreprise en Knowledge Management prennent peu à peu le pas sur ceux qui traitent de la gestion financière. Le problème de la production et de la distribution de cette source de richesse est donc au coeur de la question de l'inégalité entre les nations, entre les firmes et entre les individus. Ce nouveau régime économique que certains ont appelé « capitalisme cognitif » est-il plus ou moins égalitaire que le capitalisme industriel ? La réponse est ambiguë. La connaissance semble- a priori- un bien libre et non-rival : celui qui possède un savoir et le transmet à quelqu'un d'autre ne le perd pas pour autant ; ce pourrait donc être une grande chance pour les pays pauvres puisque leur capacité de développement pourrait être enrichie par des transferts de savoirs gratuits qui ne priveraient en rien leurs donateurs ; en outre, cette diffusion pourrait être accélérée par les nouveaux moyens d'information et de communication, rapides et peu coûteux. Pourtant, une réflexion plus approfondie sur la nature même de la connaissance utile pour créer de la richesse, montre que tous les individus et tous les pays ne sont pas forcément dans de bonnes conditions pour valoriser les informations qu'ils reçoivent. L'appropriation de la connaissance, étape préalable nécessaire à sa valorisation, requiert des compétences très particulières qui ne sont pas transférables en temps réel par les TIC. Le nouveau savoir pour être fructueux doit être ensemencé dans un terreau fertilisé de longue date par l'éducation, la formation et la culture. Confrontés à cette dynamique cumulative qui intègre les différents apprentissages, certains pays en voie de développement ont su profiter du nouveau modèle ; pour d'autres au contraire, l'éviction semble encore plus grave et définitive qu'auparavant. Quelles leçons peut-on tirer de ces expériences pour le rééquilibrage durable du développement mondial ? Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, productivité, brevet, migration
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