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L’universalité des droits et l’altérité
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 10-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
AOUNIT Mouloud
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En 1983, la France connaît sa première manifestation nationale contre le racisme: la marche des beurs. En 2007, 24 ans après, malgré les intentions, rien n’a changé. La réalité est restée celle d’un véritable « génocide » social : on nie à l’Autre le droit d’exister.L’incapacité des acteurs de la société à anticiper les réalités de la diversité française a renforcé la peur de l’Autre et intensifié la violence des attitudes discriminatoires : le combat pour l’altérité se poursuit. Il s’agit encore de bousculer les mentalités et de tenter de banaliser une réalité : noir ou arabe, musulman ou chrétien nous sommes tous français. La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2006-2007 sur le thème "L'autre". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : altérité, discrimination raciale, intolérance, lutte contre le racisme, marche pour l’égalité et contre le racisme, mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples, racisme, relations interethniques
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022 - Débat Marxisme hétérodoxe et pensée libertaire
/ ENS-LSH/SCAM
/ 23-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
ANGAUT Jean-Christophe
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Session Effets philosophiques de mai 68. Crises, fractures, déplacements Colloque Mai 68 en quarantaine Résumé Quarante ans après, au travers des commémorations, mai 68 est décrit d’une part comme l’émergence d’un mouvement de libération aux tonalités libertaires, dissimulé sous une gangue marxiste archaïque (dont il est de bon ton de se gausser), et d’autre part, en parallèle, comme le cantonnement du mouvement ouvrier aux revendications délimitées par les syndicats, en complet décalage avec les mots d’ordre révolutionnaires et libertaires portés par les étudiants. Au rebours de cette relecture euphémisante, qui sous prétexte de rendre hommage au rôle positif de mai 68 rajoute une pelletée de terre sur son cercueil et n’en retient que la part valorisable, il faut souligner le lien étroit qui a uni, au moment des événements, les mots d’ordre libertaires et marxistes hétérodoxes. Bien que les organisations libertaires et conseillistes aient été assez peu impliquées dans la dynamique des événements, et bien qu’on n’ait souvent retenu de mai 68 que les tentatives de renouvellement de l’orthodoxie marxiste (maoïsme notamment), ce qui a donné son caractère d’événement à mai 68, c’est la rencontre entre anarchisme et conseillisme (en particulier chez les situationnistes), rencontre qui constitue sans doute la part irrécupérable de mai 68.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Cadre : Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : anarchisme, barbarie, conseillisme, france (1968), grève générale, mai 68, marxisme hétérodoxe, mouvement ouvrier, occupations, pensée libertaire, situationnisme, socialisme
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021 - Marxisme hétérodoxe et pensée libertaire
/ ENS-LSH/SCAM
/ 23-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
ANGAUT Jean-Christophe
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Session Effets philosophiques de mai 68. Crises, fractures, déplacements Colloque Mai 68 en quarantaine Quarante ans après, au travers des commémorations, mai 68 est décrit d’une part comme l’émergence d’un mouvement de libération aux tonalités libertaires, dissimulé sous une gangue marxiste archaïque (dont il est de bon ton de se gausser), et d’autre part, en parallèle, comme le cantonnement du mouvement ouvrier aux revendications délimitées par les syndicats, en complet décalage avec les mots d’ordre révolutionnaires et libertaires portés par les étudiants. Au rebours de cette relecture euphémisante, qui sous prétexte de rendre hommage au rôle positif de mai 68 rajoute une pelletée de terre sur son cercueil et n’en retient que la part valorisable, il faut souligner le lien étroit qui a uni, au moment des événements, les mots d’ordre libertaires et marxistes hétérodoxes. Bien que les organisations libertaires et conseillistes aient été assez peu impliquées dans la dynamique des événements, et bien qu’on n’ait souvent retenu de mai 68 que les tentatives de renouvellement de l’orthodoxie marxiste (maoïsme notamment), ce qui a donné son caractère d’événement à mai 68, c’est la rencontre entre anarchisme et conseillisme (en particulier chez les situationnistes), rencontre qui constitue sans doute la part irrécupérable de mai 68.Bibliographie René Viénet, Enragés et situationnistes dans les mouvements d’occupation, Paris, Gallimard, 1968. Guy Debord, "Le commencement d’une époque", Internationale Situationniste, n°12 (septembre 1969).Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux,Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : anarchisme, barbarie, conseillisme, france (1968), grève générale, mai 68, marxisme hétérodoxe, mouvement ouvrier, occupations, pensée libertaire, situationnisme, socialisme
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Quand l'Université Toulouse-Le Mirail dialogue avec l'art / Isabelle Alzieu
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
ALZIEU Isabelle
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Quand l'UTM dialogue avec l'art. Isabelle ALZIEU. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.Dans un premier temps, Isabelle Alzieu propose un panorama des universités construites dans les années soixante en Europe en périphérie des centres urbains et dont le vocabulaire formel et architectural (concepts de grappe ou "cluster block", circulation, maille, trame, flexibilité, etc.) servirent de creuset et de modèle à l'université de Toulouse-Le Mirail : l'université d'East Anglia près de Nordwich sur des plans de Denys Lasdun, l'universités d'Urbino de Giancarlo di Carlo (Italie) puis l'université libre de Berlin, réalisée par Georges Candilis.Ensuite, le campus de l'université de Toulouse-Le Mirail est raconté de façon "subjective", du point de vue de l'usager des lieux qu'est Isabelle Alzieu en tant qu'enseignante.Pour finir, nous sont présentés les liens artistiques entre le lieu de l'université et l'art, illustrés par deux artistes, Jagna Ciuchta et son l'exposition "Lignes de fuite" et Georges Rousse qui, non seulement y présenta une série d'œuvres créées en 2001 lors d'un atelier in situ, mais aussi avec une œuvre réalisée au cœur même des entrailles de la fac. Mot(s) clés libre(s) : architecture universitaire (20e siècle), Georges Rousse, Mouvement moderne (architecture), université d'East Anglia, université d'Urbino, université libre de Berlin, université Toulouse II-Le Mirail
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008 - Les féminismes des années 1970, entre théories et pratiques
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
ACHIN Catherine, NAUDIER Delphine
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Session Effets sociaux et politiques de mai 68. Pratiques, acteurs, représentations Colloque Mai 68 en quarantaine L’histoire des « idées » féministes est intimement liée à celle des pratiques et des mobilisations : dans les années 1970, des groupes de femmes à Paris comme en Province élaborent une politique d’autonomisation, indissolublement pratique (expérimentation de conduites subversives quotidiennes, groupes non mixtes, etc.), théorique (productions de concepts et d’analyse de l’oppression des femmes) et subjective (« conscientisation » et politisation, qui passent par la circulation de la parole, autorisant la mise en partage d’expériences, la possibilité de l’indignation et sa traduction sous formes de revendications collectives). Nous chercherons donc à appréhender le processus de production des idées féministes dans le sillage de Mai 68, en ayant soin de croiser les textes théoriques principaux du Mouvement des femmes publiés dans diverses revues au cours de la décennie, et les expériences pratiques de femmes actives dans des groupes, notamment en Province. Nous chercherons à comprendre, pourquoi et comment, à ce moment précis, les normes de genre ont été déplacées et les femmes ont subverti les assignations qui pesaient sur elles dans les différents cadres sociaux où elles s’inséraient. C’est en effet en recueillant nombre de micro-événements qui, jalonnant des histoires de vie reformulées à travers la reconstitution des manières d’être, de penser et d’agir, ont organisé et donné sens à ces « révoltes individuelles » que l’on peut accéder aux modifications pratiques, et pas seulement rhétoriques, des normes de genre. Les indignations quotidiennes et les accidents de trajectoire ordinaires déterminent la révolte des femmes, mais il est certain que la mise à disposition de cadres théoriques et de modèles impensables avant 1968 par l’espace public médiatique et par des membres locaux des organisations militantes, permet d’élargir l’espace des possibles et la conscientisation qui précède l’action.Bibliographie Christine Bard et Janine Mossuz-Lavau (dir.), Le Planning familial, histoire et mémoire, 1956-2006, Rennes, PUR, 2006 Christine Delphy, L’ennemi principal 1 et 2, Paris, Syllepse, 2001 Centre Lyonnais d’Etudes Féministes, Chronique d’une passion. Le Mouvement de Libération des Femmes à Lyon, Paris, L’Harmattan, 1989 Yasmine Ergas, « Le sujet femme. Le féminisme des années 1960-1980 », in Histoire des femmes en Occident, Paris, Perrin, 2002 Françoise Flamant, A tire d’elles. Itinéraires de féministes radicales des années 1970, Rennes, PUR, collection "Archives du féminisme", 2007. Antoinette Fouque, Gravidanza. Feminologie II, Paris, Des femmes, 2007. Françoise Picq, Libération des femmes : les années mouvements, Paris, Seuil, 1993 Annie de Pisan et Anne Tristan, Histoires du MLF, Paris, Calmann-Lévy, 1977. Michèle Riot-Sarcey, Histoire du féminisme, Paris, La Découverte, 2002. Michelle Zancarini-Fournel, « Genre et politique : les années 1968 », Vingtième siècle. Revue d’histoire, 75, jlet-sept 2002.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux,Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : féminisme, france, mai 1968, mouvement de libération des femmes, mouvement féministe
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Briey-Nancy 1955-1975: patrimoine rebelle du logement social et de l'expérimentation/ Joseph Abram
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
ABRAM Joseph
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Briey-Nancy 1955-1975 : le patrimoine rebelle du logement social et de l'expérimentation. Joseph ABRAM. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010. Mot(s) clés libre(s) : architecture (Mouvement moderne), Briey (Meurthe et Moselle), logement social
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Stimulation palidale thérapeutique - conférence Pr Philippe COUBES
/ Canal-U - OAI Archive
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Conférence et entretien de Philippe COUBES Mot(s) clés libre(s) : mouvement, stimulation
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Séminaire annuel du Collège
/ Canal-u.fr
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Penser global
Social Change, Social Movements, Social Justice, Social Progress: where are we now?
After several decades of economic prominence in the political discourse, the social is back. New social movements question traditional political parties everywhere and bring new themes on the local/global agenda. Social change is increasingly discussed in the light of widespread and rising inequalities. Social justice is rethought at the global level to transcend various claims about recognition and redistribution. Social progress gets increasing attention as an overarching goal to be pursued by societies in the 21st century.
Social sciences have made significant advances in studying all the issues mentioned above over the past decades, in part thanks to a better understanding of the complex and interdependent nature of contemporary social phenomena. We need to take stock of these conceptual and empirical advances to help further the recognition of social sciences as key to crucial policy debates on the future of our societies.
Three internationally recognised scholars affiliated with the Collège d’études mondiales will introduce the debate on the new ways of rethinking social phenomena in the 21st century.
Speakers: Nancy Fraser, Marc Fleurbaey and Saskia Sassen
Pour en savoir plus sur le Collège: http://www.fmsh.fr/fr/c/1207 Mot(s) clés libre(s) : justice sociale, mouvements sociaux, progrès social, changements sociaux
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Colloque "Le Corbusier : l’œuvre à l'épreuve de sa restauration" - 2/2
/ Canal-u.fr
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Enregistrements de la deuxième partie du colloque "Le Corbusier : l’œuvre à l'épreuve de sa restauration", tenu à l'auditorium de l'INHA les 17 et 18 avril 2014.L'Institut national d'histoire de l'art et la Cité de l'architecture et du Patrimoine accueilleront du 16 au 18 avril la XXe
Rencontre de la Fondation Le Corbusier. Trois journées de conférences, tables-rondes, d'études de cas et de visites de chantiers qui
permettront d'engager une réflexion sur le bilan que l’on peut dresser
des nombreuses restaurations de l'œuvre de Le Corbusier. L'œuvre
architecturale de Le Corbusier vit aujourd'hui une époque charnière qui
connaît un double phénomène : la mutation importante des propriétaires
et/ou des usages ainsi que la prise de conscience de l’importance et de
la qualité de son œuvre.
Le regard porté sur l’œuvre de Le
Corbusier - et sur l’architecture moderne en général - a
considérablement évolué au cours de ces années. Plusieurs bâtiments ont
connu des changements d’affectation ou subi des aménagements importants.
D'autres ont connu leur "achèvement" et certains projets restés oubliés
ou dont l'existence fut éphémère font régulièrement l'objet de
velléités de réalisation posthume, reposant ainsi la question de la
finitude de l'œuvre… La dimension universelle du legs de Le Corbusier a
été mise en évidence, notamment au cours du long processus de
préparation de la candidature de l’œuvre architectural à l’inscription
sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO au travers d’une série
transcontinentale. Dans le même moment, les politiques, les stratégies,
les techniques, l’éthique de la restauration des monuments historiques
du XXe siècle ont connu des évolutions, des réinterprétations
qui ont fait largement évoluer les pratiques. Des cas exemplaires de
restauration du moderne peuvent aujourd’hui servir de référence… Mot(s) clés libre(s) : architecture (conservation et restauration), architecture, colloque, architecture (Mouvement moderne), architecture (XXe siècle), Le Corbusier, INHA, architecte, mies van der rohe
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Colloque "Le Corbusier : l’œuvre à l'épreuve de sa restauration" - 1/2
/ Canal-u.fr
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Enregistrements de la première partie du colloque "Le Corbusier : l’œuvre à l'épreuve de sa restauration", tenu à l'auditorium de l'INHA les 17 et 18 avril 2014.L'Institut national d'histoire de l'art et la Cité de l'architecture et du Patrimoine accueilleront du 16 au 18 avril la XXe
Rencontre de la Fondation Le Corbusier. Trois journées de conférences, tables-rondes, d'études de cas et de visites de chantiers qui
permettront d'engager une réflexion sur le bilan que l’on peut dresser
des nombreuses restaurations de l'œuvre de Le Corbusier. L'œuvre
architecturale de Le Corbusier vit aujourd'hui une époque charnière qui
connaît un double phénomène : la mutation importante des propriétaires
et/ou des usages ainsi que la prise de conscience de l’importance et de
la qualité de son œuvre.
Le regard porté sur l’œuvre de Le
Corbusier - et sur l’architecture moderne en général - a
considérablement évolué au cours de ces années. Plusieurs bâtiments ont
connu des changements d’affectation ou subi des aménagements importants.
D'autres ont connu leur "achèvement" et certains projets restés oubliés
ou dont l'existence fut éphémère font régulièrement l'objet de
velléités de réalisation posthume, reposant ainsi la question de la
finitude de l'œuvre… La dimension universelle du legs de Le Corbusier a
été mise en évidence, notamment au cours du long processus de
préparation de la candidature de l’œuvre architectural à l’inscription
sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO au travers d’une série
transcontinentale. Dans le même moment, les politiques, les stratégies,
les techniques, l’éthique de la restauration des monuments historiques
du XXe siècle ont connu des évolutions, des réinterprétations
qui ont fait largement évoluer les pratiques. Des cas exemplaires de
restauration du moderne peuvent aujourd’hui servir de référence… Mot(s) clés libre(s) : architecture (conservation et restauration), architecture, colloque, architecture (Mouvement moderne), architecture (XXe siècle), Le Corbusier, INHA, architecte, mies van der rohe
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