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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LAWTON Lesley
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Mot(s) clés libre(s) : Everyman (analyse littéraire), littérature anglaise (histoire et critique), mort (au théâtre), Pieter van Diest (Elckerlijc), théâtre anglais (Moyen Age)
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2. Le Paradoxe du spectaculaire ou spectaculaire en (tant que) paradoxe / André Lascombes
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LASCOMBES André
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"La Théâtralité de Everyman". Journée d'étude organisée par Wendy Harding et Lesley Lawton du Laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS) de l'Université de Toulouse II-Le Mirail en collaboration avec le Musée des Augustins. Toulouse, 9 janvier 2009.André Lascombes explore les ambiguïtés de la dimension spectaculaire de l’œuvre : il montre le paradoxe de cette pièce de théâtre qui refuse d’exploiter pleinement cette dimension spectaculaire. Mot(s) clés libre(s) : Everyman (étude littéraire), littérature anglaise, Pieter van Diest (Elckerlijc), théâtre anglais (Moyen Age)
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Le médiéviste
/ 27-01-2015
/ Canal-u.fr
KLAPISCH-ZUBER Christiane, ANHEIM Étienne, BOUCHERON Patrick, PASTOUREAU Michel, BOUREAU Alain, PIRON Sylvain
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Table-ronde
Modérateur : Patrick Boucheron, Université Panthéon-Sorbonne, Paris 1
Les premiers séminaires de Jacques Le Goff : Christiane Klapisch-Zuber, École des hautes études en sciences sociales
L’imaginaire est une réalité : Michel Pastoureau, École pratique des hautes études (IVe section)
Jacques Le Goff et l'expérimentation en histoire : Alain Boureau, École des hautes études en sciences sociales
Jacques Le Goff, historien du temps : Sylvain Piron, École des hautes études en sciences sociales
Jacques Le Goff et le rêve de l'histoire totale : Étienne Anheim, Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines
Témoignages filmés
Jacques Le Goff dicte ses livres : Christine Bonnefoy, École des hautes études en sciences sociales
La correspondance de Jacques Le Goff : Aurélien Gros, École des hautes études en sciences sociale Mot(s) clés libre(s) : historiographie, anthropologie historique, Moyen-Âge
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Indivision et seigneurie entre frères à travers les successions féodales en Rouergue au XIVe siècle / Emmanuel Johans
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 22-03-2012
/ Canal-u.fr
JOHANS Emmanuel
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Indivision et seigneurie entre frères à travers les successions féodales en Rouergue au XIVe siècle / Emmanuel Johans. In "Frères et sœurs, du Moyen Âge à nos jours", colloque international organisé par le laboratoire france Méridionale et espagne: histoire des sociétés du Moyen Âge à l'époque contemporaine (Framespa) de l'Université Toulouse II-Le Mirail et par le Centre de recherches historiques de l'Ouest (Cerhio) de l'Université Rennes 2. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 22-23 mars 2012. (Ce colloque de Toulouse constitue la seconde partie d'un double colloque international dont la première partie s'est tenue à Rennes, les 1er et 2 décembre 2011).Session
1: Fratries et transmission, 22 mars 2012.Cette communication repose sur l'analyse des actes des comtes de Rodez et d'Armagnac et des registres d'hommages rendus à ces mêmes princes de la fin de XIIIe siècle au début du XVe siècle. Les actes princiers et les reconnaissances féodales permettent d'appréhender les pratiques successorales au sein des classes dominantes. Celles-ci se différencient selon le rang socio-politique et le statut juridique.Dans la maison comtale, la primogéniture masculine est un principe affirmé, aussi bien pour l'héritage paternel que maternel. Les frères cadets légitimes obtiennent une part mineure de la succession mais peuvent espérer être associés au pouvoir, voire l'acquérir en cas de défaut de l'aîné. Les sœurs mariées reçoivent une dot importante et un legs en compensation de leur renonciation aux héritages paternel et maternel. La haute noblesse du Rouergue et du Gévaudan copie les règles de succession princière en privilégiant un héritier universel. Cependant, de nombreux frères cadets font de belles carrières écclésiastiques dans la proximité des papes français d'Avignon, notamment grâce à leur formation universitaire ou à leur alliances familiales avec la maison pontificale. De plus les cadets laïcs peuvent être un recours pour la succession à la baronnie. Les dots des sœurs quant à elles peuvent être constituées de domaines féodaux non négligeables.Malgré la prégnance de la primogéniture, les pratiques successorales de la petite et moyenne bourgeoisie rouergate attestent d'un plus grand souci de partage entre frères. Selon le droit romain, en tant qu'héritiers réservataires de leurs parents, les fils cadets peuvent réclamer une part a minima de leur succession. L'indivision qui, lorsqu'elle n'est pas utilisée, s'accompagne souvent de la désignation d'un chef de famille parmis les frères, n'apparaît que comme une étape avant la division effective du patrimoine parental.Dans la couche sociale des roturiers aisés, la coutume successorale du partage ou de l'indivision entre frères et sœurs est une norme assez répandue. Les seigneurs féodaux non nobles respectent couramment l'usage du partage égal entre frères et sœurs ou poussent à la mise en place de frérèches. L'indivision entre frères est pratiquée dans les milieux marchands enrichis mais elle peut masquer la réussite la plus marquée d'un des frères. Le mariage des sœurs fait l'objet d'un soin particulier qui tend à maintenir une égalité de traitement. Mot(s) clés libre(s) : relations frères-soeurs, famille (aspect historique), succession et héritage, Moyen Âge (France), partage successoral, Rouergue (France), droit d'aînesse
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005 Débat La philosophie dans le monde arabo-musulman au Moyen Âge
/ ENS-LSH/SCAM
/ 11-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
JANSSENS Jules, DJEBBAR Ahmed, GUTAS Dimitri
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Session La philosophie dans le monde arabo-musulman au Moyen ÂgeColloque L’Islam et l’Occident à l’époque médiévale. Transmission et diffusion des savoirs. (11, 12, 13 mars 2009) Dans son livre l’ Obtention du bonheur, al-Fârâbî (Xe siècle) présente la philosophie qui est d’après lui "la science suprême" et "la science la plus ancienne" comme le produit des Chaldéens (peuples d’Irak) transmis aux Egyptiens, puis aux Grecs, ensuite aux Syriaques, enfin aux Arabes. Cette présentation insiste sur la pérégrination des savoirs antiques dans différentes ères géographiques et linguistiques et sur leur appropriation par la culture arabo-musulmane à un moment donné de l’histoire. Certains affirment, toutefois, que la « falsafa ne coïncide pas totalement avec notre "philosophie" » (Rémi Brague, Au moyen du Moyen Âge, p. 238), et pensent que le travail des philosophes arabes serait dépourvu de ce qui caractérise celui des Grecs : la recherche libre du savoir. D’autres estiment que l’ère géographique dominée par la culture arabo-musulmane pendant le Moyen Âge serait restée faiblement hellénisée, donc étrangère aux dynamiques intellectuelles et scientifiques qui ont animé leurs prédécesseurs grecs. Al-Fârâbî était-il donc en droit de revendiquer l’appropriation des savoirs antiques ? Par ailleurs, les connaissances produites en terre d’islam en fait de sciences et de philosophies ont-elles été foncièrement différentes de ce qui est né en Grèce et de qui sera élaboré en Occident au Moyen Âge et plus tard ? Les spécialistes de la philosophie arabe du Moyen Âge sont invités à débattre de la nature et de l’ampleur des productions scientifiques et philosophiques qui ont eu lieu en terre d’islam à cette époque.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Cadre: Mathias Chassagneux, Carine Doléac Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Al-Fârâbî, civilisation islamique, civilisation occidentale, échange de savoirs, moyen âge, orient et occident, philosophie arabe
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004 Avicenne et son emprise sur la pensée postérieure
/ ENS-LSH/SCAM
/ 11-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
JANSSENS Jules
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tant en terre d’Islam qu’en OccidentSession La philosophie dans le monde arabo-musulman au Moyen Âge Colloque L’Islam et l’Occident à l’époque médiévale. Transmission et diffusion des savoirs. (11, 12, 13 mars 2009)Avicenne reconnaît Aristote comme une grande autorité, tant dans le domaine de la philosophie que des sciences. Cela ne l’empêche pas pour autant de le critiquer, surtout en indiquant qu’il ne se soit pas toujours clairement exprimé. Il n’a donc pas hésité à introduire à plusieurs égards d’importantes modifications, voire d’innovations réelles. En nous limitant à ses théories en métaphysique et psychologie, nous démontrerons qu’il a élaboré un système de pensée qui dépasse largement le cadre d’une simple transmission de la pensée du Stagirite, et, plus largement, de la pensée hellénistique. Tant dans le monde musulman post-Avicennien que dans la scholastique chrétienne on constatera l’influence énorme que ces théories innovatrices ont exercé.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Cadre: Mathias Chassagneux, Carine Doléac Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Avicenne, civilisation islamique, civilisation occidentale, échange de savoirs, moyen âge, orient et occident, philosophie islamique
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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
HARDING Wendy
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Mot(s) clés libre(s) : Everyman (analyse littéraire), moralités anglaises, Pieter van Diest (Elckerlijc), sacrements (au théâtre), théâtre anglais (Moyen Age)
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/ ENS-LSH/SCAM
/ 11-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
GUTAS Dimitri
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Mot(s) clés libre(s) : civilisation islamique, échange de savoirs, influence hellénistique, moyen âge, orient et occident, philosophie arabe
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014 Débat : La transmission des savoirs du monde arabo-musulman à l’Occident
/ ENS-LSH/SCAM
/ 12-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
GERBIER Laurent, OTTAVIANI Didier, SENELLART Michel
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Colloque L’Islam et l’Occident à l’époque médiévale. Transmission et diffusion des savoirs. (11, 12, 13 mars 2009) Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Cadre: Mathias Chassagneux, Carine Doléac, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : civilisation islamique, civilisation occidentale, échange de savoirs, moyen âge, orient et occident
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011 Lire Aristote dans le texte de Platon.
/ ENS-LSH/SCAM
/ 12-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
GERBIER Laurent
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Averroès et la mutation de la médecine politiqueSession La transmission des savoirs du monde arabo-musulman à l’Occident Colloque L’Islam et l’Occident à l’époque médiévale. Transmission et diffusion des savoirs. (11, 12, 13 mars 2009) Lorsqu’il ouvre sa Paraphrase de la République de Platon, Averroès signale qu’il n’a utilisé le texte de Platon que pour pallier l’absence de celui d’Aristote, dont il voulait commenter La Politique. Averroès va donc devoir reconstituer dans sa lecture de Platon un Aristote hypothétique, et cette opération de palimpseste conceptuel le conduit à déplacer délibérément le sens de l’analogie médico-politique qui se trouve effectivement dans la République. Recodant ainsi finement le platonisme de la République pour y loger l’aristotélisme dont il a besoin, Averroès inaugure un usage de l’analogie médico-politique qui jouera un rôle décisif dans la naissance de la science politique moderne.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Cadre: Mathias Chassagneux, Carine Doléac, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Averroès, civilisation islamique, civilisation occidentale, échange de savoirs, moyen âge, orient et occident, transmission des textes
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