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Tri :   Date Editeur Auteur Titre

Atelier-concert Hans Zender

/ Canal-u.fr
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Atelier-concert Hans Zender. Cette manifestation avait pour but de présenter le cycle Lo-Shu du compositeur allemand Hans Zender, qui était invité par l'Université de Strasbourg et le Festival Musica en octobre 2012 à Strasbourg avec la collaboration de l’'Ensemble L’Imaginaire et celle des Musées de Strasbourg qui accueillaient l’'atelier-concert à l'’auditorium des Musées de la Ville de Strasbourg. Hans Zender, Pierre Michel et Olivier Class présentaient les œoeuvres suivantes, jouées par les musiciens intégralement et parfois sous la forme d’'extraits pour expliquer certaines particularités musicales : Lo-Shu VI (1989) – 5 Haikai pour flûte et violoncelle Lo-Shu II (1978) pour flûte solo Lo-Shu I (1977) pour ensemble Quelques échanges avec la flûtiste Keiko Murakami et le chef d’orchestre Luigi Gaggero complétaient ces présentations.
Mot(s) clés libre(s) : musique
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Chronique des pygmées babongo 2007 : Soirée de danse électrique

/ Canal-u.fr
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Moughombofouala, soirée du 25 fév 2007, (Ogoué Lolo, préfecture de Koukamoutou, Gabon) Soirée en famille dans le salon de Loundou Daniel, chef de regroupement babongo, maître de culte nzobi, devin-guérisseur et patron de bar à vin de canne à sucre. Le village, situé au pied d'une ligne à haute tension, bénéficie de l'électricité qui permet l'usage sans économie de lecteurs de cassettes et CD, et transforme les nuits et le paysage musical. Observation des modes de portage des bébés et de l'apprentissage de la danse des fillettes.
Mot(s) clés libre(s) : danse, états modifiés de conscience, Ogooué Lolo, vin de canne à sucre, éléctricité, salon, maître de regroupement, nzobi, radio-cassette, portage, Bar, musique, vidéo, Gabon, film ethnographique, Afrique, bébé, pygmée, Babongo, Mokhombofouala
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Ethnographie d’une performance techno-musicale ordinaire en banlieue sénégalaise

/ Canal-u.fr
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Intervention de Edgar C. MBANZA (Doctorant à l’EHESS, Marseille)
Mot(s) clés libre(s) : Sénégal, performance, musique techno
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Forum Nîmois - Charles GIDE - Jérôme CLÉMENT - 05 novembre 2015

/ Canal-u.fr
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 5 novembre 2015, à la maison du protestantisme à Nîmes Jérôme CLÉMENT Fondateur et Ancien président d’ARTE. Jérôme Clément, je suis particulièrement heureux de vous accueillir ce soir au Forum nîmois Charles Gide pour nous parler de « La Culture à la télévision ». Dans ma bouche et probablement dans la vôtre, ce soir, le mot «  culture » est entendu en son sens usuel, que nous allons tenter plus loin d’approcher, et non dans son sens anthropologique comme on parle de la « culture  inca » ou de la culture du fer ou du bronze, même si les deux sens de « culture »ne sont pas sans liens Vous êtes particulièrement bien placé pour en parler. Après  Sciences Po Paris, puis l’ENA, que vous intégrez en 1970 dans une promotion grandiose, puisque vous avez collectivement choisi Charles de Gaulle, vous  débutez votre carrière administrative au Ministère de la Culture. Vous deviendrez sous-directeur de la Direction du Patrimoine de ce Ministère, puis, après une expérience de Conseiller culturel et scientifique auprès de l’Ambassade de France en Egypte, vous allez participer au Cabinet de Pierre Mauroy en 1981, avec quelle responsabilité ? la Culture, les relations culturelles internationales et la communication. Après avoir été directeur général du Centre de la Cinématographie, vous prenez la direction d’une Chaîne de télévision, la Sept, avec pour objectif d’en faire une chaîne européenne de la Culture. , ce qui aboutira, selon la volonté commune de François Mitterrand et Helmut Kohl à ARTE ( Association relative aux télévisions européennes) l qui voit le jour en 1991, dont vous prenez la tête du Comité de gérance. Conformément à la Convention initiale, vous avez cédé votre place  à un cadre allemand en 1999, puis la reprendrez de 2003 à 2011, après diverses modification statutaires. Ajoutons qu’entre 1997 et 2000 , vous aviez été aussi président de La Cinq, avant qu’elle ne devienne France 5.. Vous êtes ou avez été- c’est difficile de suivre pas à pas une carrière aussi denses, mais toujours dans la Culture- membre des conseils d’administration de l’orchestre de paris, du Théâtre du Chatelet,  et du Musée d’Orsay, et vous êtes aussi actionnaire et membre du Conseil de la société de vente Piasa, concurrent de Christies. Vous baignez vraiment dans tous les domaines de la Culture. Je ne cite pas tous les festivals dont vous avez été président ou animateur. Je ne peux pas clore cette biographie si riche sans ajouter que vous êtes aujourd’hui aussi Président de la Fondation Alliance Française, tête de réseau organisatrice et pensante des 811 alliances françaises , présentes dans 133 pays, et qui y diffusent  cette culture française qui reste si appréciée dans le monde, par laquelle même j’ose dire que la France reste principalement appréciée, et pour laquelle, chez nous , le goût s’affadit. Ajoutons que vous êtes l’auteur de neuf livres et de deux émissions de radio. Trois de vos livres sont présentés ici ce soir par la librairie Moda que je remercie, dont un , le « Choix d’Arte » est révélateur de vos propres choix culturels On vous attribue, Jérôme Clément,  une phrase qui me parait fort juste et que notre ami Régis Debray présent il y a trois semaines ici ne renie certainement pas : « Le champs politique n’est plus irrigué par des personnalités nourries de culture » . Tout le monde pense évidemment aux Président de Gaulle, Pompidou et Mitterrand, vraiment nourris de Culture dès leur plus jeune âge. On ressortait toujours plus riche d’un entretien avec eux, quand on avait la chance de l’avoir et, surtout, quand leurs phrases éveillait en vous un certain écho… ce qui signifiait que notre humus culturel avait lui-même été travaillé. Il est vrai que, dans le « mundillo » politique, dirait-on à Nîmes, Mesdames H  et L , H pour l’histoire, et L pour la littérature, selon la linguistique  de Debray,  semblent bien s’en être allées, et elles étaient, qu’on le veuille ou non meilleure conseillères, que les sondages d’opinion sur 1000 personnes, ou la lecture de journaux qui n’ont en vue que l’événementiel politique, quitte à tenter de le créer eux-mêmes. Une phrase suffirait pour  donner à la culture une légitimité absolue . Tout le monde l’a entendue ! Mais  excusez moi de la prononcer en allemand, car c’est de là qu’elle vient « Wenn ich Kultur höre, entsichere ich meine browning » » , «  Quand j’entends le mot culture, j’arme mon browning », phrase non pas de Goering ou Goebels, mais d’un personnage de théâtre dans une mauvaise pièce célébrant un des premiers nazis,  écrite par un   scriboullard nazi lui-même,dénommé Hans Johst. . C’est une sorte de « loi » politico-sociologique. La culture est nécessairement un « désordre » dans n’importe ordre qui prétend s’imposer. Elle a donc nécessairement avec les partis d’extrême droite une relation très conflictuelle allant jusqu’aux autodafés. La culture, c’est un désordre inventif, imaginatif, créatif , l’équivalent de la destruction créatrice dans le monde économique. Voyez vous, Jérôme Clément,,  j’avoue avoir peu de gout pour l’art contemporain, et trouver assez souvent – excusez l’expression- qu’il s’agit d’un « foutage de gueule », mais je me battrais contre quiconque exercerait une censure à son encontre. Quand on voit d’ailleurs, chez nous, les nouvelles municipalités élues en 2014 dans quelques endroits perméables aux idées extrêmes, supprimer prioritairement les aides aux associations culturelles , on ne peut que constater encore une fois, la réalisation de la loi socio-politique que j’évoquais.  Une seconde phrase célèbre, elle aussi transmise déformée, m’est venue, bien sûr, à l’esprit : « La culture , c’est ce qui demeure dans l’homme lorsqu’il a tout oublié ». Cette phrase n’est pas d’Edouard Herriot, mais d’un homonyme académicien élu en  1945. La culture serait-elle une sorte de trace épigénétique, qui s’incrusterait dans nos neurones, au fur et à mesure de nos divers  apprentissages de jeunesse,  et resterait latente en nous ?  Elle « exprimerait », ensuite , pour reprendre le terme génétique, tout au long de notre vie et de nos fonctions, des réactions ou comportements. Chez les politiques , elle « exprimerait » des compréhensions du monde, donc de grandes décisions d’avenir. Je pense que c’est une image signifiante ! Et je pense donc comme vous que les maths, les stats et l’économie, pour qui j’ai quelques faiblesses et qui dominent l’enseignement supérieur d’aujourd’hui,  ne suffisent pas à cet enrichissement   « génétique ». Pour revenir à la première phrase citée, celle du « théatreux » nazi, j’aime à voir aujourd’hui que la chaîne la plus culturelle est celle que nous partageons avec les allemands d’aujourd’hui. La vôtre si je puis dire.Nos voisins ont ainsi renoué avec leur grande  tradition culturelle trop ignorée d’ailleurs et que la nazisme avait temporairement effacée. Il y a une troisième phrase, complètement apocryphe, celle là , attribuée par erreur à Jean Monnet, qui aurait dit, à propos des débuts de la construction de l’Europe : «  Si c’était à refaire, je commencerais par la culture ».  Il n’a jamais prononcé cette phrase et et j’ignore les raisons de son succès apocryphe.  Pour faire l’Europe, d’ailleurs, compte tenu de la diversité des « cultures »  au sens anthropologique des peuples d’alors, ne serait-ce que des langues,  il a eu bien raison , comme Schumann et Adenauer, de commencer par l’économie. Parce que c’était la voie d’entrée la plus facile!  Au demeurant l’Europe de la culture se réalise peu à peu, à travers Erasmus et l’immense mobilité de nos jeunes. A travers des entreprises culturelles comme Arte !  Par les alliances françaises ! Et même à travers Airbus, Ariane et quelques autres grandes entreprises, où l’on parle anglais , bien sûr, mais ou se réalise quand même une certaine fusion culturelle. Et les institutions de Bruxelles, si critiquées qu’elles soient,    et peut-être d’autant plus aujourd’hui qu’elles sont la cible du Front national, sont aussi d’heureux creusets de fusion des cultures Mais pour venir au sujet même de ce soir, la culture est-elle aujourd’hui absente de la télévision ? Evidemment, nous n’aurons plus, je crois, comme les plus âgés d’entre nous ont eu le plaisir de regarder, Les Perses d’Eschyle au prime time. Probablement plus Les Rois Maudits ! Mais nous disposons , quand même, si nous avons l’envie d’attendre les deuxième partie de soirée des émissions historiques, des réunions d’invités prestigieux, des opéras et concerts qui constituent quand même un beau menu de culture. Le problème, justement, c’est celui de l’envie.  Si l’envie en était plus forte dans le public, chez les téléspectateurs, ces émissions seraient plus nombreuses et en première partie de soirée, car elles feraient de l’audimat et gonfleraient donc les recettes publicitaires. Peut-on donc, et comment, restaurer cette envie populaire au sens etymologique? Le mot «  culture populaire a-t-il encore un  sens ?Est-ce encore notre enseignement qui est en cause ? Les divers enseignements artistiques, dont nous ne bénéficions point dans notre jeunesse, mais que l’Ecole organise aujourd’hui largement pour nos enfants, sont-ils des fausses portes pour stimuler l’envie de  culture ? Ou, pour reprendre votre phrase, la culture comme nous l’entendons est-elle morte , et nos futurs hommes politiques ne pourront-ils plus être nourris que de séries, trop souvent américaines, donc industriellement réussies, ce clips, de pages Facebook et de Twitts, voire de jeux vidéo. ? Vers quel monde alors vont-ils nous guider ?  N’y sommes nous pas déjà entrés ? Nous vous écoutons aussi curieux qu’inquiets.
Mot(s) clés libre(s) : télévision (aspect social), télévision et musique
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La musique baroque et l'expression des passions : esquisse théorique.

/ Canal-u.fr
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On a été frappé depuis longtemps par le fait que deux auteurs contemporains qui ne se connaissent nullement, René Descartes et Giulio Caccini, ont eu en commun une définition de la fin de la musique, celle de représenter, voire de provoquer des passions. Le fait que cette expression des passions, qui paraît culminer au XVIIe siècle italien dans les madrigaux de Monteverdi, et plus généralement dans le style représentatif à la naissance de l’'opéra, figurant la colère, le désespoir, l'’amour, la haine, le désir etc., soit aisément identifiable par l’'auditeur ne dispense pas d’une réflexion plus théorique sur le moyens mis en œoeuvre dans cette expression et cette identification : comment savons nous qu’'une musique est triste ou gaie ? D’où vient ce qu’'un poète et théoricien appelait sa « secrète énergie » ? Il s'’agit d'’une question classique, nullement limitée à la période baroque, qui est encore aujourd’hui discutée par de nombreux musicologues contemporains dans les domaines musicaux les plus divers. Le propos de cette intervention est d’'examiner brièvement la situation du problème au début du XVIIe siècle, à partir de l’'évocation de questions théoriques tels qu’elles se posent au moment d’'un renouveau sans précédent des modes de rationalité philosophique et des moyens d’'expression artistique. Il sera organisé à partir de la recherche des éléments musicaux auxquels est attribuée une fonction affective dans son rapport avec un texte: rythme et mesure, hauteur, modes, accents, timbre, à travers l’évocation de quelques moments de théorie ou de critique, par exemple de Pontus de Tyard, de Mersenne, ou de Descartes. On terminera sur un problème paradoxal avec lequel Descartes s'’explique au tout début et à la toute fin de sa carrière philosophique, à savoir que l’'on peut reconnaître une pièce de musique comme triste et néanmoins éprouver de la joie à l’'entendre : preuve que ce n’est pas exactement la même chose que de représenter et de provoquer des passions.Intervenants : Laurent Arbeit - basseFloriane Ballot-Buob - altoFrédéric De BuzonEmma Gutierrez - sopranoMonique Haug - théorbisteEdlira Priftuli - sopranoDamien Schubert - ténor
Mot(s) clés libre(s) : musique, baroque
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La techno, ses amateurs et ses groupes : circulation des théories et appropriations musicales

/ Canal-u.fr
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Intervention de Christophe SEVIN (EHESS, Marseille)
Mot(s) clés libre(s) : musique électronique
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L’expressivité instrumentale dans la musique électronique

/ Canal-u.fr
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Intervention de Geert BEVIN (société Uwyn)
Mot(s) clés libre(s) : émotions, musique électronique, sensations
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Scorsese, l'homme par qui le rock a envahi le cinéma. Conférence de Michka Assayas

/ Canal-u.fr
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De The Band (The Last Waltz) aux Rolling Stones (Shine a Light), de George Harrison (Living in the Material World) à Bob Dylan (No Direction Home), Martin Scorsese n'a cessé de consacrer des documentaires à la musique, au live et à des performers de la scène. Autant de films, peu souvent commentés, d'un cinéaste qui, pourtant, a toujours considéré la musique populaire comme la bande originale de son existence.
Mot(s) clés libre(s) : cinéma et musique, rock (musique) et cinéma, cinéma américain
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“A man in a (machine) room” : enjeux de l’opéra électronique

/ Canal-u.fr
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Intervention de Lola SALEM (ENS, Lyon)
Mot(s) clés libre(s) : performance, musique électronique, opéra, classicisme
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Pourquoi et comment le rock est passé du Mississippi au Mégastore

/ Mission 2000 en France / 14-12-2000 / Canal-U - OAI Archive
ASSAYAS Michka
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Pourquoi et comment le rock est passé du Mississippi au Mégastore par Michka Assayas Produit à l'origine dans les villes du sud-est des États-Unis au milieu des années 50, le rock'n'roll s'est métamorphosé en une mythologie moderne qui a annoncé à l'avance le changement de civilisation auquel nous assistons aujourd'hui.
Mot(s) clés libre(s) : Etats-Unis, musique, rock 'n' roll
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