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EN-8. Political ecology and protection of biodiversity
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 28-11-2014
/ Canal-u.fr
CHARTIER Denis
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Denis Chartier presents the scientific political ecology. After a reminder of the international context, he proposes a definition of this. In order to understand the contributions of this discipline, he uses it as part of two situations: the bees disappearance and the reserve of ecosystems. Mot(s) clés libre(s) : pollination, political ecology, nature reserve
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Vignerons biologiques iconoclastes du Bordelais. Des techniques et des discours viti-vinicoles inédits, pour quelle représentation de la "nature" ? / Frédérique Célérier
/ Jean JIMENEZ, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 21-04-2013
/ Canal-u.fr
CÉLÉRIER Frédérique
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Vignerons
biologiques iconoclastes du Bordelais. Des techniques et des discours
viti-vinicoles inédits, pour quelle représentation de la "nature" ? / Frédérique Célérier, in colloque « Les arts et les métiers de la vigne et
du vin : révolution des savoirs et des savoir-faire » organisé dans
le cadre du projet "Vins, Vignes et vignerons : passages, messages et
métissages" par le groupe de recherche "In Vino Varietas" du Centre
d’Etude et de Recherche Travail, Organisation, Pouvoir (CERTOP) et par le Département de Géographie de l'Université de Toulouse II-Le Mirail, Albi, 19-21 avril 2013.
Si son développement fut tardif en Bordelais, la viticulture biologique connaît une réelle expansion sur des exploitations
moyennes, avec de jeunes viticulteurs. Les pratiques viti-vinicoles
biologiques, fruits d'une lente conversion, sont portées par une demande croissante, et par une filière
de plus en plus structurée. Les acteurs de la bio ont engagé des
initiatives de construction territoriale, garante de qualité pour des
vins d'abord identifiés par leur mode de production. La constitution de
cette identité territoriale biologique se heurte dans le contexte
bordelais à la force du modèle territorialisé de la qualité et suscite des débats techniques
au sein de la profession, chez les exploitants mais aussi les
conseillers et dans les organismes communautaires. Mot(s) clés libre(s) : viticulture biologique, vins naturels, vin de Bordeaux, Bordelais (Gironde), vignerons, relations avec la nature, viticulture biodynamique
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2. Une nature ou des natures ? Introduction à l'anthropologie de l'environnement et à l'ethnoécologie
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 19-11-2014
/ Canal-u.fr
BAHUCHET Serge
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Serge Bahuchet montre que la nature fait l'objet de différents regards et perceptions. Il retrace les grands courants scientifiques qui se sont intéressés à cela (anthropologie de la nature, ethnoécologie, etc.) et présente les principaux chercheurs s'étant penchés sur ces questions : Max Sorre, Philippe Descola, ou encore Claude Lévi-Strauss. Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, anthropologie, Ethnoécologie, Nature
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Nature et culture
/ ENS-LSH/SCAM
/ 19-06-2007
/ Canal-U - OAI Archive
AUROUX SYLVAIN
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Thémes abordés:Sciences de l'esprit (de la culture) vs sciences de la nature.La thèse de Lévi-Strauss.Loi, histoire, structure.La démarcation entre norme et fait et sa critique (Searle, Putnam).Peut-on « naturaliser » l'esprit ?La sociobiologie, Les sciences cognitives.Equipe technique : Direction de la production: Christophe Porlier, coordination technique: Francis Ouedraogo, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : culture, nature, philosophie
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Des biens communs aux services écosystémiques : changement de discours ou changement de locuteur ? / Xavier Arnauld de Sartre
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 11-03-2013
/ Canal-u.fr
ARNAULD DE SARTRE Xavier
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Des biens communs aux services écosystémiques : changement de discours ou changement de locuteur ? / Xavier Arnauld de Sartre. In séminaire "Penser les biens communs dans le espaces ruraux : regards croisés", organisé par le laboratoire "Dynamiques rurales" de l'Université Toulouse II-Le Mirail avec le soutien des doctorants et étudiants du master "Développement des territoires ruraux et de l'École Doctorale TESC (Temps, Espaces, Sociétés, Cultures), Université Toulouse II-Le Mirail, 11-12 mars 2013.Cette communication rend compte de l'observation de la notion de "services écosystémiques" comme moyen de gestion de la nature, de sa montée en puissance à partir de 2005 (Millenium Ecosysteme Assessment) et de son corollaire, la notion de paiement pour services écosystémiques, au détriment de celle de biodiversité et de la gestion des "communs". La notion de services écosystémiques appellerait à une monétarisation de la nature (commodification), au découpage de la nature en entité, en morceaux, que l'on pourrait gérer par le recours au marché pour mettre en place une régulation, la création de droits d'accès privé, l'établissement de valeurs de la nature. C'est ce qui devrait donner la notion de services écosystémiques, pourtant ce n'est pas cela qui est rencontré sur le terrain. Mot(s) clés libre(s) : services écologiques, biens communs, gestion des écosystèmes, marchandisation de la nature
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L’homme et l’animal : métamorphose d’une relation / Vinciane Despret, Anne Simon, Gérard Caussimont
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 12-05-2016
/ Canal-u.fr
ALBERT-LLORCA Marlène, SIMON Anne, DESPRET Vinciane, CAUSSIMONT Gérard
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L’homme et l’animal : métamorphose d’une relation / Vinciane Despret, Anne Simon, Gérard Caussimont, in 7ème séance du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 2. Transformation, recréation", organisée par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès, sous la responsabilité scientifique de Jean-Yves Laurichesse. Toulouse, Muséum d’histoire naturelle, 12 mai 2016.
Table ronde animée par Marlène ALBERT-LLORCA (professeur émérite d’anthropologie, Université Toulouse Jean Jaurès).
« Puis Dieu dit : Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre ». Ce verset de la « Genèse » traduit assez bien la façon dont les sociétés européennes ont conçu leur rapport aux animaux : des êtres bien différents des humains et du Dieu auquel ceux-ci ressemblent, et destinés à être dominés par eux. Nous nous demanderons si, et dans quelle mesure, cette conception de notre relation aux animaux a changé et en quoi ce changement a modifié nos interactions avec eux. En avons-nous fini avec l’idée que les animaux
sont des « bêtes », stupides et corvéables à merci ? Leur reconnaissons-nous des droits ? Et qu’en est-il dans les sociétés extérieures à l’Europe ?
Intervenants :
- Vinciane DESPRET (chef de travaux en philosophie des sciences à
l’Université de Liège),
- Anne SIMON (chargée de recherche en littérature française au CNRS),
- Gérard CAUSSIMONT (membre du Conseil scientifique du Parc National des Pyrénées). Mot(s) clés libre(s) : relations homme-animal, Animalité (philosophie), préservation du patrimoine, protection de la nature
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La nature au service de notre agriculture - N. Franscaria Lacoste, AgroParisTech
/ Canal-u.fr
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Organisées au sein du Pavillon de la France, ces conférences TAG, courtes et dynamiques, permettent de comprendre les grands enjeux de l’innovation et de la recherche dans les domaines de l’agriculture et de l’alimentation, dans une perspective de développement durable.
Les conférenciers sont issus des grandes institutions de recherche et de formation françaises dans le domaine : universités, établissements publics de recherche, écoles et fondations.
Les thématiques abordées donnent une photographie de la contribution de la France à l’alimentation mondiale, de la gestion et la préservation des ressources naturelles, des nouveaux modèles de l’agriculture, de la sécurité alimentaire... réparties en cinq thèmes : Alimentation, Agriculture, Changement climatique, Environnement, Santé. Mot(s) clés libre(s) : agriculture durable, Agroécologie, systèmes agricoles, Nature, gestion du vivant
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"Dénaturaliser les sciences de la nature et du vivant ?", semi-plénière avec la participation de Jacqueline Candau, Valérie Deldrève, Michel Dubois, Marie Jacqué et Pierre-Benoit Joly
/ Canal-u.fr
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Dénaturaliser les sciences de la nature et du vivant ?
Coordination : RT29, Sciences et techniques en société et RT38, Sociologie de l’environnement etdes risques. Session animée par Ashveen Peerbaye (LISIS, Université Paris Est)
Intervenants :
- Jacqueline Candau (IRSTEA Bordeaux) et Valérie Deldrève (IRSTEA Bordeaux) : "La sociologie critique de l’environnement"
- Michel Dubois (DR CNRS, GEMASS) : "Regénérer les sciences du vivant : cellules souches et stratégies scientifiques de (dé)naturalisation"
- Marie Jacqué (MCF, Aix-Marseille Université) : "La nature des modélisations"
- Pierre-Benoît Joly (DR INRA, LISIS) : "OGM et STS – La sociologie des controverses à l’épreuve"
La sociologie des sciences et des techniques, de l’environnement, de l’innovation et des risques sont des spécialités particulièrement confrontées à la question de la naturalisation des objets, des savoirs et des pratiques. Cette question recouvre toutefois des enjeux et prend des formes qui sont loin d’être univoques. D’une part, la diversité des postures sociologiques – en termes de questions privilégiées, de méthodes d’enquête et de procédures analytiques – renvoie à des conceptions différentes de ce que « naturalisation » et « dénaturaliser » veulent dire, et du rôle assigné aux sciences sociales par rapport à ce sujet. D’autre part, la dénaturalisation, loin de constituer un privilège ou une vocation propres à la sociologie, peut être vue comme pratique constitutive de toute activité scientifique. Le laboratoire, de par le travail expérimental qui s’y déroule, constitue à cet égard un site emblématique de « mise à la question » de la nature, mais aussi de production et de circulation d’artefacts.
Cette session vise à rendre compte de la manière dont la sociologie s’empare aujourd’hui de ces questions, qui touchent aux sciences du vivant, à la biodiversité, aux biotechnologies, aux nanotechnologies, à la biomédecine, aux risques environnementaux et sanitaires. Le déploiement d’une analyse critique des formes de naturalisation des techniques et savoirs scientifiques vise aussi à un questionnement des fondements de la production de ces techniques et savoirs. Le recours de plus en plus systématique à la modélisation comme méthode modifie par exemple tout à la fois l’activité scientifique et la nature des connaissances produites. Quels effets la place prise par la modélisation et les outils règlementaires a-t-elle sur les débats à propos du risque lui-même et des choix technologiques qui lui sont associés ? De ce point de vue, la construction scientifique sous la forme de risque des enjeux environnementaux fait écho aux formes de prises en charge gestionnaire de l’environnement caractérisée par un recours généralisé à des technologies environnementales ou « propres ». La technologie semble dans ce cadre pouvoir se substituer aux formes sociales de gestion de l’environnement et des ressources naturelles. À partir d’exemples issus de recherches sur les cellules souches, les OGM, la biologie de synthèse, l’introduction de technologies génomiques en biologie et en médecine, mais aussi dans le domaine de la gestion des enjeux environnementaux comme la biodiversité, les politiques de développement durable, les questions suivantes seront abordées
- Comment ont évolué les enjeux scientifiques, politico-institutionnels et sociaux dans ces différents domaines, et les manières de les aborder en sociologie ?
- Quelles formes de « naturalisation » et de « dénaturalisation » les sociologues rencontrent-ils sur le terrain, et comment y font-ils face ?
- Quelles stratégies de recueil de données, d’analyse et d’interprétation mettent-ils en place ? En quoi consiste par exemple aujourd’hui de « suivre » en sociologue les acteurs (scientifiques, médecins, technologues, industriels, etc.) ?
- Quelles formes prennent concrètement les collaborations entre sciences sociales et les autres sciences et techniques, avec quelles difficultés (qu’on pense par exemple aux questions d’accès et de compétences nécessaires pour comprendre avec pertinence le travail scientifique contemporain), mais aussi avec quels succès ?
- Quels effets le discours et le regard sociologiques induisent-ils en retour sur les terrains investigués ? Mot(s) clés libre(s) : sociologie des sciences, sciences du vivant, dénaturalisation, sciences de la nature, sociologie de l'environnement
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