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Titre
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Collège de France Le continuum entre troubles bipolaires et schizophrénie/Continuum between bipolar disorder and schizophrenia
/ 01-06-2007
/ Canal-U - OAI Archive
BELLIVIER Frank
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Bipolar disorders and schizophrenia continue to present complex diagnostic and therapeutic challenges. Traditionally, bipolar disorder has been considered as a clinical entity distinct from schizophrenia, although that assumption is being increasingly challenged. Despite the availability of international classifications, such as the DSM-IV and ICD-10, which clearly distinguish these two disorders, diagnosis is still problematic due to instability and symptoms overlap. In addition, each disorder is heterogeneous characterized by different subtypes and degrees of severity. Proponents of a bipolar continuum theory support the concept of an expanded psychiatric continuum ranging from bipolar disorders to schizophrenia. Although, the concept of continuum has never been clearly defined, this notion is supported by various independent findings. Both bipolar disorder and schizophrenia demonstrate a high degree of genetic heritability. Some data reported in family and twin studies suggest a genetic overlap between the two disorders. Gene mapping for both diseases is in its early stages, but certain susceptibility markers appear to be located on the same chromosomes and some candidate genes have been associated with each of these disorders. Bipolar disorder and schizophrenia also demonstrate some similarities in neurotransmitter dysfunction. Neuroimaging and cognitive studies have also provided arguments suggesting the existence of a continuum between schizophrenia and bipolar disorder. As further indirect evidence of a possible association, many atypical antipsychotic agents approved for the treatment of schizophrenia are also proving useful for bipolar disorder. Conversely, mood stabilizers have also been proposed in the treatment of schizophrenia. Recent research using dimensional and genetic approaches may reconcile both (unitary versus Kraepelinian) conceptions.
Origine
SPI-EAO CERIMES Canal-U Santé et Sport
Générique
Auteurs : Frank BELLIVIER Franck Schurhoff Pôle de Psychiatrie CHU Mondor-Chenevier Créteil /INSERM U842 Paris XII Mot(s) clés libre(s) : Collège de France, gènes, neurobiologie, psychiatrie, schizophrénie, troubles bipolaire
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j-Jubilé André Calas - Massimiliano Beltrano
/ André DAUTIGNY, Alain FREIXANET, BioTV
/ 24-04-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Beltrano Massimiliano
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Description à venir
Voir les autres programmes du jubilé André Calas :
a-Jubilé André Calas - présentation
b-Jubilé André Calas - Andrée Tixier-Vidal
c-Jubilé André Calas - Alain Trembleau
d-Jubilé André Calas - Bennis
e-Jubilé André Calas - Gérard Alonso
f-Jubilé André Calas - Olivier Kah
g-Jubilé André Calas - Yves Tillet
h-Jubilé André Calas - Olivier Bosler
i-Jubilé André Calas - Mikhail Ugrumov
j-Jubilé André Calas - Massimiliano Beltrano
k-Jubilé André Calas - Marc Landry
l-Jubilé André Calas - Brigitte Oteniente
m-Jubilé André Calas - André Calas Mot(s) clés libre(s) : cannabinoïdes, neurobiologie de la douleur, pharmacologie
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Bases naturelles de l'Espoir : cognition et/ou motivation
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 23-11-2005
/ Canal-U - OAI Archive
BIOULAC Bernard
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En biologie, le mot espoir est rarement utilisé. Aristote est le père du naturalisme. Hippocrate fut le premier à parler de la maladie de la perte de l'espoir, il mit au point la théorie des humeurs. La Bile noire est à l'origine de la mélancolie. Gallien situa la Bile noire dans la rate. Le professeur Bioulac s'intéresse notamment aux neurones de la substance noire. La dopamine est le neurotransmetteur naturel.
La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2005-2006 sur le thème "L'espoir". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : cognition, cortex cérébral, dopamine, hypothalamus, motivation, neurobiologie, placebo, plaisir
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Signalisation à la jonction nerf-muscle : musk et les rafts
/ BioMedia-UPMC
/ 03-12-2010
/ Unisciel
Cartaud Jean
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La voie de signalisation majeure est déclenchée par la synthèse par le motoneurone et la sécrétion dans la fente synaptique d'une glycoprotéine appelée agrine. L'agrine active un récepteur tyrosine kinase spécifique du muscle MuSK -qui à son tour initie un processus d'agrégation du récepteur de l'acetylcholine (RACh) et d'autres composants au niveau de la membrane postsynaptique. Mot(s) clés libre(s) : synapse, Musk, rafts, Neurobiologie
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Le cerveau : de la biologie moléculaire aux sciences cognitives
/ Mission 2000 en France
/ 03-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CHANGEUX Jean-Pierre
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L'apport de multiples disciplines de recherche, qui incluent la biologie moléculaire, la physiologie nerveuse, les sciences du comportement et l'anthropologie, converge vers une conception synthétique des fonctions supérieures du cerveau de l'homme, qui s'inscrit dans l'emboîtement de multiples évolutions au niveau des gènes, du réseau neuronal, de l'expérience individuelle et des acquis socioculturels. Mot(s) clés libre(s) : cellule nerveuse, cerveau, neurobiologie, neurologie, neurone, neuroscience, neurotransmetteur, sciences cognitives, synapse, système nerveux
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Le cerveau : de la biologie moléculaire aux sciences cognitives
/ Mission 2000 en France
/ 03-01-2000
/ Canal-u.fr
CHANGEUX Jean-Pierre
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L'apport de multiples disciplines de recherche, qui incluent la biologie moléculaire, la physiologie nerveuse, les sciences du comportement et l'anthropologie, converge vers une conception synthétique des fonctions supérieures du cerveau de l'homme, qui s'inscrit dans l'emboîtement de multiples évolutions au niveau des gènes, du réseau neuronal, de l'expérience individuelle et des acquis socioculturels. Mot(s) clés libre(s) : cellule nerveuse, neurotransmetteur, neurologie, neurobiologie, système nerveux, sciences cognitives, neuroscience, neurone, cerveau, synapse
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Les universaux de pensée
/ UTLS - la suite
/ 24-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
CHANGEUX Jean-Pierre
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La pensée est liée au cerveau, une entité matérielle qui possède une organisation complexe. Les universaux de pensée se développent à partir de cette organisation. Elle se construit au court de l'évolution, ou plutôt d'une synthèse d'évolutions multiples. Elle résulte de l'évolution des espèces, de l'évolution au court du développement embryonnaire, de la formation des connexions entres cellules nerveuses avant et après la naissance. Des évolutions multiples, emboîtées qui correspondent aux niveaux d'organisation de la matière, de la molécule à la cellule nerveuse, de la cellule nerveuse au circuit, du circuit aux assemblées de neurones. Au court de l'enfance, il y a des changements de la connectivité en fonction de la culture, de l'environnement. Durant ces évolutions emboîtées, des universaux vont être sélectionnés, ils vont dans un premier cas assurer la survie de l'individu, mais aussi des groupes sociaux. Des universaux qui se retrouvent au niveau du génome, de l'anatomie et de l'organisation du cerveau, ses dispositions fonctionnelles, physiologique et psychologique. Il y a une universalité du génome humain mais aussi une variabilité génétique et épigénétique qui permet l'évolution tout en préservant l'intercompréhension entre les individus. Mot(s) clés libre(s) : cellule nerveuse, cerveau, conscience, diversité, épigénétique, évolution, génétique, génome, langage, neurobiologie, neurone, pensée, sciences cognitives, système nerveux, universaux
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Collège de France Conduite suicidaire : des gènes à la prise de décision
/ 01-06-2007
/ Canal-U - OAI Archive
COURTET Philippe
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Suicidal behaviour is a major public health problem. The increasing knowledge of the pathophysiology and the aetiology of suicidal behaviour is critical in the aim to enhance early detection of at risk patients and to propose efficient prevention strategies. However, the number of risk factors and the complex nature of their interactions do not allow sufficiently accurate prediction of the suicide risk for a given individual. The « stress vulnerability » model initially suggested by clinical facts is increasingly supported by biological data. The vulnerability to suicidal behaviour is related to a central dysfunction of the serotonin system particularly in the orbitofrontal cortex, influenced by genetic factors and yielding cognitive deficits and emotional dysregulation. Indeed, studies of genetic epidemiology suggest the existence of a specific genetic susceptibility independently from the vulnerability to psychiatric disorders related to suicidal behaviour. Recent molecular genetic studies suggest that genes coding for proteins involved in the metabolism of the serotonin (tryptophan hydroxylase, serotonin transporter) are involved in this susceptibility. These genes confer the vulnerability to suicidal acts by shaping personality traits, such as impulsivity and anger dyscontrol, or cognitive factors such as decision-making. Indeed, we suggest that decision-making impairment may 1) confer a vulnerability to suicidal behaviour, 2) represent an endophenotype that would enhance the success in the identification of the susceptibility genes, and 3) mediate the effect of environmental triggers of suicidal behaviour. Further developments in neuroscientific works of suicidal behaviour aim to identify a functional neuro-anatomy of suicidal behaviour, using neuroimaging tools, and to study the interaction with environmental factors and the stress axis. Les conduites suicidaires (CS) sont de déterminisme complexe et multifactoriel. La connaissance de la physiopathologie et de l'étiopathogénie des conduites suicidaires est essentielle afin de proposer un jour des moyens de dépistage précoce et d'envisager des stratégies de prévention enfin efficaces. Si de nombreux facteurs de risque ont été identifiés, des progrès importants sont actuellement réalisés dans la connaissance des facteurs biologiques permettant une meilleure appréhension de leur physiopathologie. Le modèle « vulnérabilité stress » initialement suggéré par les faits cliniques, est étayé au niveau biologique. La vulnérabilité suicidaire est sous-tendue par un dysfonctionnement sérotoninergique central, notamment au niveau du cortex orbitofrontal, influencé par des facteurs génétiques, et générant déficits cognitifs et dysrégulation émotionnelle. En effet, les études de génétique épidémiologique suggèrent l'existence d'une vulnérabilité génétique pour les CS, spécifique et indépendante de la vulnérabilité génétique aux affections psychiatriques associées aux CS. Les études génétiques d'association ont permis d'impliquer les gènes codants pour des protéines impliquées dans le métabolisme de la sérotonine (tryptophane hydroxylase, transporteur de la sérotonine). Ces gènes confèrent une vulnérabilité aux CS en influençant la constitution de traits de personnalité tels que l'impulsivité, le déficit de contrôle de la colère, ou de traits cognitifs comme la prise de décision. Ainsi, nous proposons que la prise de décision soit un trait de vulnérabilité suicidaire, qu'il puisse s'agir d'un endophenotype, dans le but de faciliter l'identification des gènes de susceptibilité, et que ce trait puisse influencer la survenue d'événements de vie précipitants des CS. Les développements en cours permettront d'individualiser une neuro-anatomie fonctionnelle des CS, á l'aide des outils de la neuro-imagerie, mais aussi d'étudier les interactions avec les facteurs environnementaux et l'axe du stress.
Origine
SPI-EAO CERIMES Canal-U Santé et Sport
Générique
Auteur: Philippe Courtet Professeur de Psychiatrie, Université Montpellier 1 CHU Montpellier, Hôpital Lapeyronie, Service de Psychologie Médicale et Psychiatrie; Inserm U 888, Montpellier, 34000 France Mot(s) clés libre(s) : Collège de France, cortex, dépression, gènes, neurobiologie, prise de décision, psychiatrie, stress, suicide
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Collège de France Analyse cognitive des délires et hallucinations/Cognitive analysis of delusions and hallucinations
/ 01-06-2007
/ Canal-U - OAI Archive
FRITH Cris
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Hallucinations (false perceptions) and delusions (false beliefs) are the principle symptoms associated with a diagnosis of schizophrenia. These symptoms often seem to reflect faulty attributions of self-generated events to the outside world. For example, hallucinations include `hearing my own thoughts spoken aloud' and delusions include beliefs that `my actions are caused by alien forces.' In the first part of my talk I will show that such symptom can be explained as a failure in the neural system that controls our actions by taking account of the sensory effects that these actions will produce. Normally, when we speak our brain's response to the sound of our own voice is suppressed. Likewise when we move our limbs, the kinesthetic sensations associated with these movements are suppressed. This process is impaired in patients with schizophrenia. As a result the actions they perform no longer have the sensory quality of self-generated events. This account suggests that their `delusions' result from a reasonable attempt to explain highly abnormal experiences. However, this account is not sufficient. Not all delusions are associated with abnormal sensations and a critical feature of schizophrenia is that patients unreasonably maintain their delusions in the face of strong counter evidence. In the second part of my talk I will present some new ideas about how perceptions are constructed by combining sensory evidence with prior beliefs about the world. These prior beliefs are normally strongly constrained by social interactions. Such constraints are greatly reduced in schizophrenia. Les principaux symptômes utilisés pour le diagnostic de la schizophrénie sont les hallucinations (fausses perceptions) et les délires (fausses croyances). Ces symptômes semblent souvent refléter une attribution erronée de ses propres actions á des causes externes. Un exemple d'hallucination est « entendre mes propres pensées prononcées á voix haute » et un exemple de délire la croyance que « mes actions sont causées par une force extérieure ». Dans la première partie de ma présentation je montrerai que ces symptômes peuvent s'expliquer par un échec du système cérébral qui intervient pour supprimer les conséquences sensorielles de nos actions lors de l'exécution. Normalement, lorsque nous parlons, la réponse neuronale au son de notre voix est supprimée. De même lorsque nous bougeons nos membres, les sensations kinesthésiques associées á ces mouvements sont supprimées. Ce processus est déficient chez les patients schizophrènes. Il en résulte que les actions qu'ils exécutent perdent les qualités sensorielles des actions auto-générées. Cette explication suggère que leurs « délires » sont le résultat d'une tentative rationnelle d'expliquer une expérience hautement anormale. Pourtant, cette explication ne suffit pas. Tous les délires ne sont pas associés á des sensations anormales et une caractéristique cruciale de la schizophrénie est que les patients maintiennent leur délire de manière illogique face á l'accumulation de contre-arguments. Dans la seconde partie de ma présentation j'introduirai des idées récentes qui considèrent que les perceptions se construisent en combinant les événements sensoriels aux croyances préalables á propos du monde. Ces croyances préalables sont normalement contraintes par les interactions sociales. Ces contraintes sont considérablement réduites dans la schizophrénie.
Origine
SPI-EAO CERIMES Canal-U Santé et Sport
Générique
Auteur: Chris Frith Professor in Neuropsychology & Wellcome Principal Research Fellow. The Wellcome Trust Centre for Neuroimaging at University College London, Centre for Functionally Integrative Neuroscience, University of Aarhus Mot(s) clés libre(s) : Collège de France, délires, dopamine, gènes, hallucinations, neurobiologie, psychiatrie, schizophrénie
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Stress, adaptation et développement
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 08-02-2000
/ Canal-U - OAI Archive
JOUVENT Roland
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Conférence du 8 février 2000 par Roland Jouvent. En trente ans, les sciences du cerveau ont considérablement progressé. Cette avancée tient à l'émergence successive de deux grands domaines, la neurobiologie et les sciences cognitives. Ces Neurosciences de la Cognition se trouvent érigées au rang de corpus théorique de référence ; la psychiatrie et la psychopathologie expérimentale sont parmi les premières disciplines concernées. En réussissant à se dégager de toute ambition théorique hégémonique, la psychologie cognitive et les neurosciences ont su leur offrir une nouvelle opérationalité. De nouvelles méthodologies laissent augurer une première approche fonctionnelle du cerveau, voire du fonctionnement de l'esprit. A partir de différents exemples concernant des situations normales (stress maternel, effets de l'âge sur les conséquences du stress) et pathologiques (anxiété, trouble obsessionel-compulsif, dépression), nous développerons l'idée d'une double continuité, phylogénétique et développementale. Si l'acquisition d'un néo-cortex et d'un langage a pu permettre à l'homme d'apprendre à utiliser des représentations d'actions en lieu et place des actes moteurs, et si la valeur adaptative de cette nouvelle compétence est énorme, il n'en ressort pas moins que nombre de troubles psychopathologiques trouvent sinon leur origine du moins leur expression primaire dans la partie moins évoluée, sous-corticale de l'être humain. De notre capacité à gérer l'animal en nous, dépend notre destin adaptatif et développemental. Mot(s) clés libre(s) : anxiété, neurobiologie, psychopathologie, stress, système nerveux
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