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13e Matinée des œnologues de Bordeaux / Débat 1
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ Canal-u.fr
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13e Matinée des
Oenologues de Bordeaux / "Cherchons la p'tite Brett"
Débat et questions autour des conférences de la première session >> Aline Lonvaud-Funel / Des recherches sur Brettanomyces : anciennes, redondantes maius aussi... en plein renouveau>> Arnaud Didier / Phénols volatils en cidrerie : spécificités cidricoles, gestion du risque et perception par les consommateurs>> Sophie Tempère / Impact sensoriel des éthylphénols : approches perceptive et cognitive>> Cornélis (Kees) Van Leuuwen / L'augmentation du pH des moûts et es vins, un facteur important de développement de Brettanomyces Mot(s) clés libre(s) : oenologie, Brettanomyces, Phénols, Vin
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13e Matinée des Œnologues de Bordeaux / Débat 2
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ Canal-u.fr
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13e Matinée des
Oenologues de Bordeaux / "Cherchons la p'tite Brett"
Débat et questions autour des conférences de la deuxième session
>> Nancy Terrier / Précurseurs des éthylphénols dans le raisin
>> Isabelle Masneuf / De l'analyse de la diversité génétique de Brettanomyces bruxellensis vers le développement de nouveaux outils de diagnostic de la contamination Mot(s) clés libre(s) : oenologie, Brettanomyces, Phénols, Vin
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21 ans de bio et 14 ans de vin sans soufre
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 15-03-2013
/ Canal-u.fr
DOUGHTY Richard
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LE VIN SE MET AU VERT: ATTENTES DES MARCHES, ASPECTS REGLEMENTAIRES
ET TECHNIQUES
11e Matinée des Oenologues
>> Expériences croisées
Richard Doughty, 21 ans de bio et 14 ans de vin sans soufre
"En 1998, sur un
lot de vinification de 80 hectolitres de vendange rouge très saine, j’ai décidé de ne pas sulfiter la vendange. Par la suite, j’ai
voulu faire une expérience de fermentation malolactique sur trois barriques. Le restant du lot
en cuve a rapidement fait sa fermentation malolactique et a été mis en barrique bonde fermée
à côté des barriques expérimentales. Ayant un peu oublié cette expérimentation,
en juin j’ai retrouvé trois barriques non bondées. Ma première réaction d’horreur
d’un tel oubli a été dissipée par la dégustation: au lieu de trouver des
barriques acétiques et oxydées, j’ai dégusté un vin expressif, fruité et
beaucoup plus ouvert que le même lot sulfité et bondé. J’ai décidé d’embouteiller
ce lot sans le sulfiter et sans le filtrer et, malgré cette méthode « bêtise de
Cambrai », je l’ai commercialisé avec succès.
Les années suivantes, j’ai renouvelé ces
expériences en remplaçant cette méthode par des fermentations et élevages plus maîtrisés
et en introduisant des suivis microbiologiques des lots et des filtrations adaptées.
Aujourd’hui, la majorité de mes rouges sont faits sans ajout de sulfites.
Depuis trois millésimes, j’expérimente des blancs
secs sans ajout de sulfite, un défi bien plus grand avec encore plus de pièges
que pour les rouges, mais passionnant et avec des résultats intéressants." Mot(s) clés libre(s) : réglementation, pratiques, oenologie, vin bio
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Bio et goût du terroir : atouts et dérives
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 15-03-2013
/ Canal-u.fr
CHAPOUTIER Michel
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LE VIN SE MET AU VERT: ATTENTES DES MARCHES, ASPECTS REGLEMENTAIRES ET TECHNIQUES
11e Matinée des Oenologues
>> Pratiques oenologiques: les attentes du marché
Michel Chapoutier, Bio et goût du terroir: atouts et dérives
Si l’histoire du vin
trouve ses origines dans la nuit des temps, les secrets qui ont accompagné les différentes étapes
de son histoire se promènent entre vérités et superstitions, entre certitudes d’un
jour et contre-vérités du lendemain. À qui la gloire de la réussite, à qui la
responsabilité de l’échec ? Qui de l’agronomie, qui de l’oenologie, qui de la
recherche expérimentale, qui de la recherche fondamentale ?
À la fin des années
2000, l’INAO, puis l’O.I.V valident une définition conciliante et simple du terroir. Par cette
définition, il commence à être intéressant et facile de prendre une certaine
hauteur et de se poser la question que serait un terroir, et quels outils et
quels moyens pouvaient l’influencer.
C’est dans ce contexte que la
défense du vivant, des micro-organismes, de la bactériologie trouva un terrain propice pour faire
entendre la philosophie de l’agriculteur biologique. L’approche agrobiologique
(biologique ou biodynamique) a le mérite de rappeler un fondamental agronomique (une plante vivante sur
un sol vivant). Ceci n’est pas réellement innovant, mais interpelle par des
questions qu’on se pose souvent, mais que l’on ne juge pas toujours
prioritaires. S’il est indéniable que l’agrobiologie
a le mérite de remettre l’église au milieu du village dans une pensée agronomique moderne et
adaptée, elle doit aussi savoir reconnaître ses points faibles, carences et limites :
- Au niveau de la vigne
(phytotoxicité des cuivres ?),
- Au niveau de l’oenologie (zéro SO²,
éthylphénols, oxydation, etc.)
- Et enfin
le risque de dérive commerciale en refusant d’écarter Mot(s) clés libre(s) : réglementation, pratiques, oenologie, vin bio
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Bretts et vins au naturel : une question d'équilibre
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 20-03-2015
/ Canal-u.fr
NIAUTOU Florent
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13e Matinée des
Oenologues de Bordeaux / "Cherchons la p'tite Brett"
Le vin est le fruit d’une transformation par une communauté microbienne d’un milieu naturel biologiquement instable. Certaines phases de son élaboration, fermentations alcoolique et malolactique, sont bien maîtrisées à ce jour, en partie grâce aux levains du commerce. Il est, bien entendu, possible de faire du vin sans utiliser ces outils, mais il faut alors s’en remettre à dame nature et accepter de perdre un peu de maîtrise sur la sélection d’une microflore active. Cette démarche, parfois motivée par la recherche d’une complexité aromatique, peut s’avérer exceptionnelle, mais aussi être malheureusement catastrophique. Produire un vin bio au sens technique du terme ne peut se limiter à une liste de pratiques d’usages qui diffèrent en fonction du cahier des charges d’une charte donnée, qu’elle soit règlementaire ou privée. Cette démarche témoigne d’une dérive liée à notre formation scientifique, à une façon de penser. Notre approche, plutôt cartésienne est parfaitement adaptée à l’étude de systèmes stables où l’on peut se focaliser sur une cause afin d’en éviter les effets, en essayant, au passage, d’y apporter une explication logique. Le vin doit être considéré comme un milieu vivant dans sa complexité. Nous pourrions parler d’un « écosystème » complexe avec des interactions dynamiques entre les éléments et leur environnement: un système en mouvement perpétuel où la notion d’équilibre est fondamentale. Le rationalisme analytique n’est alors plus suffisant pour appréhender ce système où la notion d’interaction supplante la simple relation de cause à effet qui domine la science classique. À défaut de connaitre parfaitement les Bretts, il faut s’intéresser à la nature et la forme de l’interaction. L’optimisation de la gestion de ces populations indésirables passe par une évolution de notre façon de penser: on pourrait parler d’approche systémique. L’objectif pratique est d’apporter une méthodologie qui nous conduise à objectiver notre approche, d’apporter un outil d’aide à la décision qui nous permette d’adapter au mieux nos pratiques oenologiques tout en respectant un milieu vivant.En agriculture biologique, la prévention doit rester la règle prioritaire, les altérations microbiennes, les maladies en général ne doivent être considérées que comme le signal d’une situation de déséquilibre. La tâche reste délicate, car il faut trouver le juste compromis entre le « vivre avec la nature » en respectant la complexité des équilibres naturels sans rationalisation excessive et le « contrôle de la nature » qui peut facilement dériver vers son exploitation. Mot(s) clés libre(s) : oenologie, Brettanomyces, Phénols, vin
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Cafés des Sciences Nancy 2008 - L’œnologie est-elle une science ?
/ SPI-EAO, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 18-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
PARISI Jean-Marie, PEYRON Dominique, MANGEOT Jean Michel
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Organisés par les universités de Lorraine en collaboration avec l’INSERM, le CNRS, l’INRIA et l’INRA. Résumé : A quelques jours du Beaujolais nouveau, c’est l’occasion d’explorer un sujet apprécié de nombreux amateurs : le vin. De la sélection des vignes à la dégustation, l’œnologie est une affaire de spécialistes ! Cette rencontre a lieu dans le cadre de la Fête de la Science 2008. Intervenants : - Dominique Peyron, Maître de Conférences à l'Institut Universitaire de la Vigne et du Vin - Université de Bourgogne- Jean-Marie Parisi, professeur de Physique, oenophile et dégustateur passionné - Jean-Michel Mangeot, producteur, domaine Régina (côtes de Toul) SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : analyse sensorielle, AOC, Cafés des Sciences Nancy Université, cépage, chimie, dégustation, oenologie, polyphénols, raisin, terroir, vin
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Dégustation: Métrologie olfactive pour la formation des professionnels
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 04-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
TEMPERE Sophie
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9e matinée des Œnologues - Bordeaux >> Neurosciences : les mécanismes de la perception du goût et l’objectivité de la dégustation Pierre-Marie Lledo, L’odorat : un sens pas si archaïqueYves Le Fur, Est-il possible de définir des espaces sensoriels détachés de toute subjectivité culturelle ? Sophie Tempère, Dégustation : Métrologie olfactive pour la formation des professionnels Que se passe t-il quand on prend plaisir à déguster un vin ? Quels sont les mécanismes de perception du goût ? Nos perceptions sont-elles objectives ?... Les interrogations sont nombreuses quant à la compréhension des mécanismes neurologiques et sensoriels qui forgent notre goût en matière de vin. Pierre-Marie Lledo, Yves Le Fur et Sophie Tempère, respectivement Directeur de recherche, Maître de conférence et Docteur en neurosciences, apportent quelques précieux éclaircissements sur ces questions et exposent les dernières découvertes sur ce sujet lors de la 9e matinée des œnologues. Mot(s) clés libre(s) : dégustation, goût, oenologie, perception, sens, vin
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Des recherches sur Brettanomyces : anciennes, redondantes mais aussi... en plein renouveau - Enfin, un espoir
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 20-03-2015
/ Canal-u.fr
LONVAUD-FUNEL Aline
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13e Matinée des Oenologues de Bordeaux / "Cherchons la p'tite Brett"Rien d'étonnant à ce que Brettanomyces bruxellensis une levure largement répandue dans la nature fasse partie des écosystèmes des boissons fermentés, bière, cidre et vin. Sa présence dans le système microbiologique oenologique est connue depuis longtemps, son implication dans les altérations du vin aussi. Mais depuis 20-30 ans producteurs, oenologues et scientifiques lui accordent un intérêt croissant. Les cas d'altération sensorielle se sont multipliés, avec des paroxysmes lors de certains millésimes. On attribue souvent cette recrudescence à une analyse plus systématique, et non à une plus grande prévalence, de ces levures.Quoi qu’il en soit, le fait est là : les B. bruxellensis sont très présentes. Les observations de terrain suggèrent que de nouvelles habitudes ou pratiques pourraient favoriser leur multiplication. La maturité excessive des raisins rouges, l'ajout trop systématique de nutriments censés ne bénéficier qu'aux micro-organismes d'intérêt, l'oxygénation de vins en élevage, la diminution du sulfitage seraient des facteurs aggravants. Mais certains chais hébergent moins de B. bruxellensis que d'autres. Des études d'écologie microbienne, qui incluent un éventail plus large des espèces de la vinification, aideront à comprendre cette situation. Elles se développent avec les méthodes de l'analyse moléculaire, qui ont déjà grandement profité à la microbiologie du vin. Jusqu'ici B. bruxellensis a peu bénéficié de ces progrès, mis à part pour la détection précoce et le dénombrement par PCR. Mais les résultats récents des approches génomiques et phylogénomiques, associées au phénotypage, laissent espérer des développements substantiels. Depuis de nombreuses années, les travaux qui se répètent dans toutes les régions, ont abouti aux mêmes résultats : la multiplication dans le vin, la capacité à former les molécules des défauts sensoriels et la sensibilité au dioxyde de soufre dépendent de la souche. À l’évidence comme dans toute espèce, la variabilité est grande chez B. bruxellensis.Mais ce constat ne suffit pas pour avancer. L'analyse de larges collections de souches d'origines variées mettra en relation les données génomiques, physiologiques et métaboliques. Munis de leurs nouveaux outils, les scientifiques vont explorer l'espèce et interpréter sa biologie. Pour apporter des réponses aux questions, et des solutions aux problèmes, ils devront s'appuyer sur les indispensables observations de terrain que leur apportent les praticiens. Les conditions sont réunies pour aborder le sujet dans toute sa complexité biologique et physicochimique. Les moyens de prévention devraient alors en découler. Mot(s) clés libre(s) : oenologie, vin, Brettanomyces, Phénols
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Élevage long, comprendre le cycle de vie du vin
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 09-03-2012
/ Canal-u.fr
DEJEAN Alain, POUTAYS David
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VALORISER SON ELEVAGE POUR SIGNER SON VIN
10e matinée des Œnologues - Bordeaux
>> Débat : L’élevage comme signature : expériences croisées de terrain
Alain Dejean, David Poutays. Elevage long, comprendre le cycle de vie du vin
L’élevage est toute la partie de la vie du vin située entre la fin des phases fermentaires et l’étape de préparation des vins à leur conditionnement. Historiquement, la barrique est passée d’un outil de transport à un véritable instrument d’élevage pour les grands vins.
Nous vivons depuis une quinzaine d’années une révolution avec consécutivement l’invention de dispositifs d’oxygénation des vins mais aussi et depuis peu l’autorisation légale d’utiliser des morceaux de bois à usage œnologique alternatifs à la barrique.
L’association des œnologues de Bordeaux a souhaité faire un point sur cette étape déterminante pour le style et le goût futur du vin. Déjà Pasteur écrivait : « C’est l’oxygène qui fait le vin ». Nous verrons donc l’influence de cet élément en association avec le bois. Mot(s) clés libre(s) : bois, élevage, oenologie, barrique, oxygénation, vin
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Entre qualité et authenticité du produit
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 15-03-2013
/ Canal-u.fr
QUENIOUX Bruno
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LE VIN SE MET AU VERT: ATTENTES DES MARCHES, ASPECTS REGLEMENTAIRES
ET TECHNIQUES
11e Matinée des Oenologues
>> Pratiques oenologiques: les attentes du marché
Bruno Quenioux, Entre qualité et authenticité du produit
En 8000 ans d’histoire du vin: 7800 ans de quête
spirituelle, 200 ans de séduction !
Comment le vin, dans l’histoire, devient un objet
de dégustation ? Qu’a-t-il gagné… ou perdu ? Mot(s) clés libre(s) : réglementation, pratiques, oenologie, vin bio
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