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11. La transformation de la châtaigne
/ Jean JIMENEZ, UVED
/ 10-07-2015
/ Canal-u.fr
BRIANE Gérard, JIMENEZ Jean
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Ressource non labellisée UVED - En cours d'expertise
Le problème majeur de la châtaigne, c'est sa conservation. En réalité, la châtaigne n'est pas un fruit, ni un fruit sec, mais une graine très riche en amidons, qui fermente rapidement si l'on ne prend pas toutes les précautions pour la conserver. Si l'on a parlé de "civilisation du châtaignier", c'est aussi parce que les hommes ont su trouver des solutions au fil des siècles pour conserver cette graine durant plusieurs mois, pour "faire la soudure" jusqu'à l'arrivée des premières récoltes de céréales. Une des méthodes de conservation, la plus traditionnelle, passe par le séchage dans de petites constructions (appelées clèdes dans les Cévennes, secadors dans le Rouergue). A la sortie, on obtenait les "châtaignons" ou "auriols" qui pouvaient se consommer toute l'année, qui pouvaient aussi être moulus et transformés en farine notamment en Corse. Du fait de ses multiples utilisations, cette farine a produit un éventail d'applications culinaires beaucoup plus large que pour le "châtaignon", sa matière première : fabrications de pains (sans gluten), de pâtisseries, de beignets, de polenta, de crêpes.
Les autres utilisations de la châtaigne sont issues d'une filière humide : marrons glacés, châtaignes sous vide, confitures et crèmes sont aussi abordées dans ce film. Mot(s) clés libre(s) : environnement, biodiversité, écologie, paysage, développement durable, lutte biologique, patrimoine, coopérative, agrodiversité
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10. Foresterie et utilisations du bois de châtaignier
/ Jean JIMENEZ, UVED
/ 10-07-2015
/ Canal-u.fr
BRIANE Gérard, JIMENEZ Jean
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Ressource non labellisée UVED - En cours d'expertise
Le bois du châtaignier est naturellement durable en raison de sa forte teneur en tanin qui lui confère une grande résistance aux diverses agressions : champignons, insectes et éléments naturels. Son utilisation passée et actuelle est ainsi très variée. Certains usages ont aujourd'hui quasiment disparu mais d'autres perdurent : comme la menuiserie et l'ébénisterie, le bois de charpente et d'ossature, la fabrication de meubles ou de parquets, le bois de chauffe. La vannerie a toujours été une valorisation artisanale importante et spécifique au bois de châtaignier, un bois souple et facile à travailler. Mot(s) clés libre(s) : environnement, biodiversité, écologie, paysage, développement durable, lutte biologique, patrimoine, coopérative, agrodiversité
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/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
ALLEE Philippe, MIRAS Yannick
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Mot(s) clés libre(s) : archéologie du paysage, économie préhistorique, Massif Central (France), paléoenvironnement, société préhistorique
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Faire / Voir le paysage
/ Canal-u.fr
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Il s’agira, dans cet exposé, de proposer une réflexion sur les
différentes directions qui ont été prises par la théorie du paysage dans
les vingt dernières années. Cette conjoncture intellectuelle a été
marquée, en particulier, par un déplacement des perspectives. Si une
approche dans les termes de la visualisation et de la représentation est
toujours effective, d’autres approches se sont également développées,
qui, d’une part, cherchent à mettre en relief les dimensions non
représentationnelles dans les expériences du paysage, et d’autre part,
dirigent leur attention sur l’univers des gestes et des pratiques à
l’œuvre dans la fabrication des paysages. On s’efforcera dans cet exposé
de présenter un aperçu de ces nouvelles directions de recherche.J.-M. B. Mot(s) clés libre(s) : paysage, géographie (philosophie), architecture
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Expériences du paysage
/ Canal-u.fr
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La notion de Jardin en mouvement se réfère directement à la technique du
jardinage, à l’entretien et au développement des espèces dans le temps ;
elle procède d’une expérience de terrain. Sa théorisation et son renvoi
à d’autres échelles de territoire que celles du jardin à proprement
parler atteint, pour des raisons de logique écologique, la planète
entière à travers cette attitude : «faire le plus possible avec le moins
possible contre». D’où le Jardin planétaire valant comme projet
politique d’écologie humaniste.Au sein même de ce jardin étendu à la
planète, la biodiversité en souffrance se réfugie sur les seuls
territoires à l’écart de l’activité humaine : le Tiers-paysage. Attirer
l’attention sur cette richesse, au demeurant mal connue, devient une
urgence. Cependant, l’ensemble des activités humaines, aveuglément
orientées par une économie dérégulée devenue folle, menace cette
richesse dont l’humanité entière dépend. D’où la nécessaire résistance à
ces mécanismes suicidaires.Dans ce cadre où s’entrecroisent les
données formelles, esthétiques, biologiques du paysage, la part active
laissée à l’humanité dans le processus de l’évolution – transformant,
pour certaines, notre ère en une nouvelle séquence : l’Anthropocène –
acquiert une si grande importance qu’il devient difficile de séparer la
question du paysage de la question économique et politique globale. La
notion de Paysage du désendettement, plus précisément associée au
paysage rural, traduit bien cette complexité.Gilles Clément Mot(s) clés libre(s) : histoire de l'art, architecture et paysage
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