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Histoire de la philosophie
/ ENS-LSH/SCAM, ENS-LSH / Canal Philo / Service Commun Audiovisuel et Multimédia, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 15-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MOREAU Pierre-François
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Les essentiels : La philo par les mots - Histoire de la philosophieEquipe technique :Directeur de la production: Christophe Porlier, Réalisation: Pascal Grzywacz, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat Mot(s) clés libre(s) : philosophie
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Finalité et biologie
/ ENS-LSH/SCAM
/ 14-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
MOREAU Pierre-François
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par Pierre-François MoreauColloque La représentation du vivant : du cerveau au comportementSession L'implicite des représentations scientifiques "La représentation du vivant est depuis longtemps le lieu privilégié des idéologies finalistes, et, réciproquement, les différentes versions de l'idée de finalité ont longtemps semblé indispensables pour comprendre la spécificité de la vie. Elles ont en même temps servi de vecteur pour exporter hors de la connaissance de la vie un certain nombre de caractéristiques spécifiques de cette dernière et que l'on a cru pouvoir appliquer aux sciences de la nature ou de la société. Elles se sont souvent appuyées sur la communication entre les deux dimensions indiquées (en français et dans d'autres langues) par le double sens du mot vie : biologique et biographique.Toutefois, des courants philosophiques minoritaires, que l'on peut indiquer par les noms d'Epicure, Lucrèce ou Spinoza, ont tenté de représenter le vivant hors de ce complexe d'idées et d'images."(P.-F. Moreau)Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia, Exploitation : Julien Lopez, Cadre:Mathias Chassagneux, Son: Xavier comméat, Montage-Encodage-Diffusion Web:Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Baruch Spinoza (1632-1677) -- Contribution au concept de vie, Biologie -- Philosophie, Épicure (0341-0270 av. J.-C.) -- Contribution au concept de vie, Lucrèce (0098?-0055 av. J.-C.) -- Contribution au concept de vie, Sciences -- Philosophie, Théories du
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What does a ‘global history’ of biology bring to us ?
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 07-06-2016
/ Canal-u.fr
MORANGE Michel
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To write a global history
of life sciences from Antiquity to extant research, from molecular biology to
ecology and ethology is an impossible task, the promise to be inaccurate and
wrong in many issues.
Nevertheless, the result is not without interest. It casts a new light on
continuities and discontinuities in biological thought, and on the relations
between biology and other scientific disciplines. It reveals the circulation of
concepts and methods between biological subdisciplines, and between Society and
biology. It shows the complex dynamics of biological transformations that gives
biology its specific nature. Mot(s) clés libre(s) : epistémologie, philosophy, Philosophie
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Hommage à Stanley Cavell - "Facing Reality: some remarks
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon
/ 07-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MORAN Richard
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on recognition, betrayal, and the photographic field of expression" La pensée et l’expression à l’écran Présidence : Anne Sauvagnargues Un second souffle pour la philosophie du cinéma en France L’ambition de ce colloque interdisciplinaire est de contribuer à la réception de la pensée du cinéma du philosophe américain Stanley Cavell, en interrogeant ses travaux dans une perspective croisant la théorie cinématographique et philosophique avec la création cinématographique. Ce colloque est porté par la section arts de l’École normale supérieure Lyon en collaboration avec la section philosophie. À cette occasion seront présentées au public une nouvelle traduction française et deux rééditions d’ouvrages de Stanley Cavell : Dire et vouloir dire (trad. fr. C. Fournier et S. Laugier, Le Cerf, 2009), Qu’est-ce que la philosophie américaine ? De Wittgenstein à Emerson (trad. fr. C. Fournier et S. Laugier, Folio Gallimard, 2009), et Le cinéma nous rend-il meilleurs ? (éd. augmentée, éd. E. Domenach, trad. fr. E. Domenach et C. Fournier). Ces publications récentes constituent une avancée décisive dans notre connaissance de l’œuvre de Stanley Cavell, puisqu’elles permettront de découvrir en français un aspect méconnu de sa philosophie du langage (constitué de ses lectures d’Austin et de Wittgenstein), et de redécouvrir ses travaux sur les penseurs fondateurs de la philosophie américaine et la réflexion morale engagée à partir des films. Une séance de signature de ces livres, à l’issue du colloque, sera l’occasion de réfléchir à la diffusion de sa pensée en France, alors que ses ouvrages de philosophie de la connaissance (Les Voix de la raison), ses écrits sur Shakespeare (Le Déni de savoir dans six pièces de Shakespeare) et sur Thoreau (The Senses of Walden) sont désormais considérés comme des classiques. Une cérémonie de remise du Doctora Honoris Causa de l’ENS Lyon à Stanley Cavell, en présence de Monsieur le Directeur général de l’ENS Lyon, Olivier Faron, conclura le colloque, et permettra de nouer un dialogue pérenne avec sa pensée au sein de l’École. Cavell est reconnu outre-Atlantique depuis une trentaine d’années déjà pour son apport décisif au champ des études cinématographiques et à la philosophie du langage et de la connaissance, mais la dimension philosophique de ses travaux sur le cinéma n’a pas encore reçu toute l’attention qu’elle mérite, en France ni dans le monde. Promouvoir la philosophie de l’art de Cavell demande un décloisonnement des champs disciplinaires de la littérature, du cinéma, de la philosophie, et l’appropriation des grandes voix de la culture que cette œuvre incorpore ; de la philosophie du langage ordinaire d’Austin et Wittgenstein au transcendantalisme américain d’Emerson et Thoreau, en passant par Shakespeare, Kant, Nietzsche et Freud. L’ENS Lyon s’impose comme le lieu adapté pour créer un espace de pensée ouvert, au croisement des disciplines, pour la philosophie du cinéma. 1999-2009 : les deux actes de la réception de la pensée du cinéma de Cavell en France Dix ans après le premier (et, jusqu’à présent, unique) colloque consacré à la philosophie du cinéma de Stanley Cavell en France (à l’Université de Paris III Sorbonne Nouvelle en 1999, organisé par S. Laugier et M. Cerisuelo. Stanley Cavell. Cinéma et philosophie, Presses de la Sorbonne Nouvelle, 2001), ce colloque permettra de prendre en compte des dernières ressources de la recherche sur Stanley Cavell, en France et dans le monde. Une telle recherche doit se faire dans l’optique d’une collaboration élargie entre laboratoires et institutions. C’est la raison pour laquelle nous mettons en commun les ressources distinctes et les spécialisations complémentaires des sections arts et philosophie au sein de l’ENS Lyon, mais aussi des deux laboratoires de l’École, le CEP, avec sa vocation d'expérimentation poétique et d'engagement dans la création contemporaine, et le CERPHI UMR 5037, avec ses méthodes d'histoire des idées, de contextualisation des textes et des débats qui structurent le champ intellectuel. Trois autres laboratoires français sont associés au colloque (et représentés au comité d’organisation) : le CURAPP de l’Université de Picardie Jules Verne qui associe sociologues, politistes et philosophes dans des travaux sur l’action publique, le politique, et deux laboratoires trans-artistiques, l’ARIAS de l’ENS Ulm/Paris III et le LESA de l’Université d’Aix-Marseille, qui travaillent en esthétique et théorie du cinéma. Enfin, il est décisif que ce colloque se tienne à Lyon, dans la ville du cinéma, et avec le soutien du Département du Rhône. L’écran de nos pensées Considérer le cinéma comme écran de nos pensées implique de corréler la théorie avec la création cinématographique. C’est pourquoi nous sollicitons des cinéastes réalisateurs et scénaristes, lecteurs de Stanley Cavell ; soit qu’ils s’intéressent aux possibilités spécifiques d’expression du medium cinématographique (Luc Dardenne, Jacques Audiard, Agnès Varda), soit qu’ils s’inspirent directement de Stanley Cavell (Claire Simon, Emmanuel Bourdieu) ou ambitionnent d’« adapter » sa pensée à l’écran (comme aime à le dire Arnaud Desplechin). Nous souhaitons faire place à des projections de films et d’extraits de films d’Arnaud Desplechin et de Terrence Malick, tous deux « disciples » de Stanley Cavell, car on ne peut dissocier la pensée cinématographique, critique et philosophique, de l’expérience des films. Cette variété d’approches vise à explorer la manière dont le film devient l’écran de nos pensées. Interroger cette dimension, c’est accepter avec Stanley Cavell une profonde rénovation critique du discours philosophique, l’ancrer dans notre expérience ordinaire du monde et des autres, et mettre en question notre expérience des films, sans préjuger de la clarté de nos pensées projetées, ni des difficultés que l’écran permet ou non de lever. C’est pourquoi nous voulons articuler ce colloque autour des concepts cavelliens de projection, d’éducation, de perception, de mythe pour examiner ce qu’il advient de nos pensées et de leurs objets lors de leurs projections ; ce que la perception cinématographique altère ou révèle de la nature de nos perceptions ordinaires ; ce qui distingue et lie l’expérience cinématographique à l’expérience ordinaire, et l’effet de retour de l’image projetée sur la pensée. Si le cinéma hollywoodien nous fait rêver à la possibilité de réconcilier ses héros, d’éduquer le faible, de moraliser les vilains, c’est pourtant au cinéma que nous trouvons l’expression d’un sentiment d’exil du monde, d’étrangeté, que Cavell a appelé scepticisme, qui traverse nos vies ordinaires. Dans le mélodrame américain, Cavell a poursuivi une interrogation menée d’abord sur le terrain de l’étude des tragédies shakespeariennes, sur nos dénis du monde et des autres. Le cinéma devient ainsi l’écran de nos pensées, parce qu’il s’offre comme le miroir de nos doutes et incertitudes, tout en nous donnant les moyens d’en « guérir », dit Wittgenstein, et Cavell après lui. Il s’agira donc d’interroger ces rapports entre image, émotion, projection et pensée, sur le double versant de la création cinématographique et de la réflexion philosophique. Mot(s) clés libre(s) : Cavell, philosophie du cinéma
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Qu'est-ce que voir une image ?
/ UTLS - la suite
/ 13-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
MONDZAIN Marie-josé
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On associe spontanément l'image à la vision parce que nous identifions aussi naturellement image et spectacle. Les choses ne sont pas si simples. L'histoire théologique et philosophique témoigne de la vivacité des débats qui opposèrent les défenseurs de l'image à leurs adversaires. Tous défendirent l'image, reconnaissant en elle une opération structurante, mais pour les uns elle devait rester invisible alors que pour les autres la visibilité était sa condition nécessaire. Est-il possible de concevoir un traitement du visible qui respecte l'invisibilité de l'image ? Si c'est le cas, il faut donc reprendre la définition différentielle de l'image et du visible pour construire la question du sens partagé dans l'expérience sensible ? Si le visible est déterminé par la vision, il est en effet irréductible au partage. La question qui porte sur le voir ne peut échapper à celle qui porte sur la parole elle-même. Ne faut-il pas dire alors que voir une image c'est partager le visible par l'usage de la parole ? Voir une image c'est déjà voir ensemble ce qui est montré à des sujets parlants. Dès lors on peut revenir à l'analyse de ce qui permet de distinguer non seulement image et vision mais aussi image et spectacle. Les controverses actuelles qui traversent le monde du spectacle montrent clairement que la question : « qu'est-ce que voir une image ? » revient à demander : qu'est-ce qu'un spectateur et quelle est sa place ? Est-il toujours reconnu quand on lui donne à voir dans sa situation de sujet de la parole et de la pensée ? Mot(s) clés libre(s) : iconographie, image, perception, philosophie, vision
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L'équité, illusion ou perspective
/ ENS-LSH/SCAM
/ 15-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
MICHEL Jacques
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Les discours du politique : Ecole thématique Violence, consensus, sécuritéJacques Michel s'intéresse ici à la notion d'équité dans les discours du politique. Partant du constat de la grande fréquence de ce terme, il s'interroge sur la signification de cette notion ancienne, héritée d'Aristote, de Saint Thomas... L'équité comme vecteur de revendication sociale et de bouleversement. Le droit et l'équité : est-elle un concept juridique ou une notion support qui permet à des données extra-juridiques de perturber le sens et la rigueur juridique des choses ? L'équité comme l'art de bien juger, comme une sagesse pratique, une prudence. L'équité comme correction d'une loi qui, trop générale et trop abstraite, pourrait dans son application mécanique engendrer la plus grande injustice. L'équité, c'est le pouvoir d'appréciation laissé au juge. L'exposé est suivi d'une discussion.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Captation vidéo : Sebastien Boudin, Julien Lopez, Mathias Chassagneux, Son: Samuel Bazin, Montage-Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : droit, équité, philosophie
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Qu’est-ce-qu’une oeuvre d’art ? - Yves Michaud
/ UTLS au lycée
/ 23-02-2009
/ Canal-U - OAI Archive
MICHAUD Yves
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Une production artistique devient une œuvre d’art lorsqu'elle est acceptée comme telle par un milieu déterminé compétent. La qualification d’œuvre d’art n’est attribuée que sous certaines conditions d’acceptation du groupe social. L’œuvre d’art se définit donc différemment selon les époques et les lieux. Philosophe et spécialiste de l'art, Yves Michaud revient sur ces évolutions aux cours des siècles et des mouvements artistiques.Une conférence de l'UTLS au Lycée avec Yves Michaud (philosophe). Partenariat Région Auvergne Mot(s) clés libre(s) : art, chefs-d’œuvre, esthétique, histoire de l'art, philosophie de l'art
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Que font les artistes - Yves Michaud
/ UTLS au lycée
/ 05-02-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MICHAUD Yves
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L’activité artistique et esthétique ne se limite pas à la seule production d’une œuvre mais se prolonge au-delà dans l’impact qu’elle provoque. En effet, l’artiste produit de nombreux effets : émotionnels, moraux, cognitifs mais aussi sociaux. C’est à ce phénomène que s’intéresse ici Yves Michaud, professeur de philosophie et spécialiste d’art contemporain.Une conférence de l'UTLS au lycée avec Yves Michaud (philosophe). Lycée Emile Duclaux, Aurillac (15) Mot(s) clés libre(s) : art et morale, art et politique, art et religion, artistes, esthétique, philosophie de l'art, sociologie de l’art
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Qu'est-ce-que gouverner - Yves Michaud
/ UTLS - la suite, UTLS au lycée
/ 21-01-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MICHAUD Yves
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Un conférence de l'UTLS au lycéeLycée International de Strasbourg (67) Qu’est ce que gouverner ?Avec Yves Michaud (philosophe) Mot(s) clés libre(s) : gouvernement, philosophie politique
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Qu'est ce qu'un philosophe aujourd'hui en Europe?
/ UTLS - la suite, UTLS au lycée
/ 22-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MICHAUD Yves
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Rencontre autour de la philosophie : Quelle est l’image du philosophe en France et en Europe ? Comment fait-on de la philosophie ? Professeur de philosophie, Yves Michaud répond à ces différentes interrogations.Un conférence de l'UTLS au lycée avec Yves MichaudLycée Victor Louis (33) Mot(s) clés libre(s) : Europe, philosophes, philosophie
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