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JPEMA 2009 n35 - Aide à la réflexion spirituelle dans le respect des convictions religieuses
/ Canal-U Médecine, CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 26-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
GEOFFROY Michel
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7èmes journées pédagogiques d'éthique médicale d'Amiens. JPEMA 2009 Amiens. Thème : Ethique et vieillissement.Titre : Aide à la réflexion spirituelle dans le respect des convictions religieuses.Résumé : Aspects philosophique et humaniste des préoccupations spirituelles de l’individu avec l’âge.Intervenant : Michel GEOFFROY – Médecin philosophe, Professeur associé en philosophie, Université de Marne-la-Vallée.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, APEEM, assistance, éthique, JPEMA 2009, philosophie, spiritualité, vieillissement
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Le jugement esthétique / Gérard Genette
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-11-1994
/ Canal-U - OAI Archive
GENETTE Gérard
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Le jugement esthétique. Gérard GENETTE. Conférence donnée dans le cadre de l'Institut d'Études Doctorales. Université Toulouse II-Le Mirail, novembre 1994. Présentation de la conférence par Guy Sagne (professeur de Lettres Modernes, UTM). Mot(s) clés libre(s) : art (littérature), art (philosophie), art littéraire, beau (philosophie), esthétique, goût (esthétique), jugement esthétique
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Nietzsche's notion of Health
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 06-10-2015
/ Canal-u.fr
GEMES Ken, BIKFALVI Andreas
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It is widely known that Nietzsche take himself to present a tremendous challenge to conventional morality. Many of his interpreters have been exorcised in trying to make precise the nature of that challenge. Here the attention has focused largely on the question of how his genealogical accounts of morality amount to a genuine challenge, rather than an instance of the genetic fallacy. Less attention has been paid to Nietzsche’s claim that morality involves a kind of pathology. This talk aims to expose some of the bases of Nietzsche’s idea about health and how they relate to his attacks upon morality and how they connect with his own positive values. Beyond Nietzsche scholarship this project aims to show us perspectives from which we might question are own accounts of health and values, both individual and social. Mot(s) clés libre(s) : biologie, Nietzsche, Philosophie, santé
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De la biologie comme science historique
/ ENS-LSH/SCAM
/ 16-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
GAYON Jean
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Colloque La représentation du vivant : du cerveau au comportementSession Les limites du vivant / sous présidence de Gabriel GachelinWhewell, qui forgea le premier l'expression «philosophie de la biologie» en 1840, voyait dans la biologie une authentique «science», c'est-à-dire une connaissance de dégager des relations constantes et universelles. Il ne rangeait pas dans le champ des connaissances «palétiologiques» ou «historiques», c'est-à-dire des disciplines telles que la géologie ou la paléontologie, dont les énoncés généraux n'ont jamais de sens qu'en référence à des séries d'événements irréversibles. Dans de telles sciences (sensu lato), l'explication ne consiste pas à subsumer les faits sous des lois universelles, mais à expliquer au moyen de schèmes de causalité historique (l'événement x est la cause prochaine de l'événement y, qui est la cause de z, etc.). De nombreux philosophes contemporains ont désormais une vision philosophique des sciences de la vie qui est exactement l'inverse de celle qu soutenait Whewell. Il est devenu problématique d'interpréter les généralisations des sciences biologiques comme des lois. La plupart, sinon toutes les généralisations, apparaissent comme contingentes par rapport à des portions définies de l'espace - temps. Aussi la biologie estelle alors qualifiée comme une science historique. L'objet de cette communication est d'examiner les arguments en faveur de cette thèse, et ses limites. Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia, Exploitation : Julien Lopez, Cadre:Mathias Chassagneux, Son: Xavier comméat, Montage-Encodage-Diffusion Web:Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : biologie, philosophie, philosophie des sciences, théories du vivant, William Whelwell
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Héritages et survivances de Jacques Derrida.
Séance de l'après-midi - Partie 1 - 6 novembre 2014
/ Elisabeth de PABLO, Dimitri GALITZINE, Archives Audiovisuelles de la Recherche
/ 06-11-2014
/ Canal-u.fr
GASCHE Rodolphe, DE VRIES Hent, RIGAL Elisabeth
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Héritages et survivances de Jacques Derrida, pour dire ce qui arrive à sa pensée et à son oeuvre, tout autant que ce qui en provient, et qui revient et reviendra. Dix ans après la mort du philosophe, les héritages de Jacques Derrida portent en eux plus d’un secret et plus d’un esprit. Leur réserve d’inconnu, au delà de tout héritage comptable, doit être aujourd’hui réaffirmée, réinterprétée, maintenue en vie. Le désir testamentaire, inscrit dans le titre de notre colloque, au-delà d’un certain deuil mortifère, signifie qu’il n’y aura nul héritage sans l’invention d’un à-venir, et nul avenir ou survivance sans héritage incalculable et illégitime.Quelques dates choisies parmi tant d’autres possibles (« La date, la cendre et le nom : c'était ou ce sera le même, qui ne se tient jamais au présent”, écrivait-il dans Schibboleth. Pour Paul Celan) : En 1967, Jacques Derrida marque la scène philosophique avec trois livres : La voix et le phénomène, De la grammatologie et L’écriture et la différence. Il élabore le concept d’une écriture générale, libérée de l’opposition de l’écriture restreinte à l’oralité, engageant ainsi un travail de clôture et de décentrement du structuralisme qui va permettre d’interroger l’épistémologie et le langage des sciences humaines et sociales.
En 1972, dans Marges de la philosophie, « la différance » consacre et condense l’écart avec la tradition métaphysique. Elle opère en-deçà de la différence ontologique de l’être et de l’étant et au-delà de la représentation. Ni donnée ni constructible, ni même positive ou objectivable, elle s’inscrit, comme l’inconscient, en s’effaçant, n’apparaît que par ses traces qui renvoient à d’autres traces, ouvrant la multiplicité de l’écriture par-delà le sens, la signification et le savoir.
En 1990, à l'occasion d'une exposition au Louvre, Jacques Derrida écrit Mémoires d’aveugle. L’autoportrait et autres ruines où il analyse l’autorité du regard, de la vue et de la lumière dans l’histoire de la philosophie. Dès lors que le trait ne se voit pas, le dessin dessine toujours la mémoire. Sont choisis pour cette exposition des autoportraits dans lesquels l’oeil des dessinateurs est exposé à l’aveuglement comme expérience même de la vue.
En 1991, dans Circonfessions, Derrida livre des bribes de son enfance à Alger, cherchant le secret inaccessible de sa circoncision. Il raconte son enfance, le plus intime de son corps, la mort de sa mère, portant à la limite l’idée de Nietzsche que les philosophies sont des biographies involontaires de leurs auteurs. Penser ainsi la vie, transformée en écriture, déstabilise la conception pour laquelle la vie n’existe qu’en dehors de l’oeuvre, et l’oeuvre en dehors de la vie.
Après les attentats du 11 septembre 2001 à New York, Derrida entreprend de repenser les fondements de la démocratie et de la souveraineté en se demandant comment les événements doivent contraindre la philosophie et le langage de la politique à se transformer. Correspondant à l’exigence la plus haute de justice, la démocratie n’est pas un régime politique parmi d’autres mais ce qui manque à la politique, son avenir impossible et nécessaire.
Dix ans après la mort de Jacques Derrida en octobre 2004, ce colloque s’efforce d’éclairer, par une pluralité de perspectives, la manière dont la donne philosophique a été transformée par cette pensée plus que jamais féconde, singulière, et porteuse d’avenir. Quels sont, aujourd’hui et au-delà, les héritages et les survivances de la pensée de Jacques Derrida? Comment penser et recevoir ces héritages, être hanté par ses survivances, au-delà de tout dévoilement et de toute création, comme des événements qui restent à traduire et à réinventer ?
Responsables scientifiques : Marc Goldschmit, Sara Guindani-Riquier et Alexis Nuselovici
>> “Non-lieux de l’exil” est partie prenante du colloque “Héritages et survivances de Jacques Derrida”.
>> Colloque porté par la Fondation Maison des sciences de l'homme Mot(s) clés libre(s) : connaissance (philosophie), Jacques Derrida
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À propos de Spinoza (Daniel Garber)
/ ENS-LSH/SCAM, ENS-LSH / Canal Philo / Service Commun Audiovisuel et Multimédia
/ 15-03-2007
/ Canal-U - OAI Archive
GARBER Daniel, MOREAU Pierre-François
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Bien qu'habitué à mettre en lien l'histoire des sciences et l'histoire de la philosophie, la physique et la métaphysique, c'est sous l'angle religieux et politique que Daniel Garber a dû aborder Spinoza. Il évoque ce qu'il trouve d'intéressant dans les thèses de Spinoza sur la religion et sur ses liens avec la philosophie, la réception de Hobbes par Spinoza, et les liens entre Leibniz et Spinoza.Il souligne la spécificité de l'approche américaine, moins historique et plus analytique, et explique comment il se situe dans les études américaines sur Spinoza. Mot(s) clés libre(s) : philosophie, Spinoza
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Hommage à Stanley Cavell - A propos de quelques mystères laïcs
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon
/ 06-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
FRODON Jean-Michel
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notes sur le « Supplément à La Projection du monde »Éducation, morale et cinémaPrésidence : Jean-Loup Rivière Un second souffle pour la philosophie du cinéma en France L’ambition de ce colloque interdisciplinaire est de contribuer à la réception de la pensée du cinéma du philosophe américain Stanley Cavell, en interrogeant ses travaux dans une perspective croisant la théorie cinématographique et philosophique avec la création cinématographique. Ce colloque est porté par la section arts de l’École normale supérieure Lyon en collaboration avec la section philosophie. À cette occasion seront présentées au public une nouvelle traduction française et deux rééditions d’ouvrages de Stanley Cavell : Dire et vouloir dire (trad. fr. C. Fournier et S. Laugier, Le Cerf, 2009), Qu’est-ce que la philosophie américaine ? De Wittgenstein à Emerson (trad. fr. C. Fournier et S. Laugier, Folio Gallimard, 2009), et Le cinéma nous rend-il meilleurs ? (éd. augmentée, éd. E. Domenach, trad. fr. E. Domenach et C. Fournier). Ces publications récentes constituent une avancée décisive dans notre connaissance de l’œuvre de Stanley Cavell, puisqu’elles permettront de découvrir en français un aspect méconnu de sa philosophie du langage (constitué de ses lectures d’Austin et de Wittgenstein), et de redécouvrir ses travaux sur les penseurs fondateurs de la philosophie américaine et la réflexion morale engagée à partir des films. Une séance de signature de ces livres, à l’issue du colloque, sera l’occasion de réfléchir à la diffusion de sa pensée en France, alors que ses ouvrages de philosophie de la connaissance (Les Voix de la raison), ses écrits sur Shakespeare (Le Déni de savoir dans six pièces de Shakespeare) et sur Thoreau (The Senses of Walden) sont désormais considérés comme des classiques. Une cérémonie de remise du Doctora Honoris Causa de l’ENS Lyon à Stanley Cavell, en présence de Monsieur le Directeur général de l’ENS Lyon, Olivier Faron, conclura le colloque, et permettra de nouer un dialogue pérenne avec sa pensée au sein de l’École. Cavell est reconnu outre-Atlantique depuis une trentaine d’années déjà pour son apport décisif au champ des études cinématographiques et à la philosophie du langage et de la connaissance, mais la dimension philosophique de ses travaux sur le cinéma n’a pas encore reçu toute l’attention qu’elle mérite, en France ni dans le monde. Promouvoir la philosophie de l’art de Cavell demande un décloisonnement des champs disciplinaires de la littérature, du cinéma, de la philosophie, et l’appropriation des grandes voix de la culture que cette œuvre incorpore ; de la philosophie du langage ordinaire d’Austin et Wittgenstein au transcendantalisme américain d’Emerson et Thoreau, en passant par Shakespeare, Kant, Nietzsche et Freud. L’ENS Lyon s’impose comme le lieu adapté pour créer un espace de pensée ouvert, au croisement des disciplines, pour la philosophie du cinéma. 1999-2009 : les deux actes de la réception de la pensée du cinéma de Cavell en France Dix ans après le premier (et, jusqu’à présent, unique) colloque consacré à la philosophie du cinéma de Stanley Cavell en France (à l’Université de Paris III Sorbonne Nouvelle en 1999, organisé par S. Laugier et M. Cerisuelo. Stanley Cavell. Cinéma et philosophie, Presses de la Sorbonne Nouvelle, 2001), ce colloque permettra de prendre en compte des dernières ressources de la recherche sur Stanley Cavell, en France et dans le monde. Une telle recherche doit se faire dans l’optique d’une collaboration élargie entre laboratoires et institutions. C’est la raison pour laquelle nous mettons en commun les ressources distinctes et les spécialisations complémentaires des sections arts et philosophie au sein de l’ENS Lyon, mais aussi des deux laboratoires de l’École, le CEP, avec sa vocation d'expérimentation poétique et d'engagement dans la création contemporaine, et le CERPHI UMR 5037, avec ses méthodes d'histoire des idées, de contextualisation des textes et des débats qui structurent le champ intellectuel. Trois autres laboratoires français sont associés au colloque (et représentés au comité d’organisation) : le CURAPP de l’Université de Picardie Jules Verne qui associe sociologues, politistes et philosophes dans des travaux sur l’action publique, le politique, et deux laboratoires trans-artistiques, l’ARIAS de l’ENS Ulm/Paris III et le LESA de l’Université d’Aix-Marseille, qui travaillent en esthétique et théorie du cinéma. Enfin, il est décisif que ce colloque se tienne à Lyon, dans la ville du cinéma, et avec le soutien du Département du Rhône. L’écran de nos pensées Considérer le cinéma comme écran de nos pensées implique de corréler la théorie avec la création cinématographique. C’est pourquoi nous sollicitons des cinéastes réalisateurs et scénaristes, lecteurs de Stanley Cavell ; soit qu’ils s’intéressent aux possibilités spécifiques d’expression du medium cinématographique (Luc Dardenne, Jacques Audiard, Agnès Varda), soit qu’ils s’inspirent directement de Stanley Cavell (Claire Simon, Emmanuel Bourdieu) ou ambitionnent d’« adapter » sa pensée à l’écran (comme aime à le dire Arnaud Desplechin). Nous souhaitons faire place à des projections de films et d’extraits de films d’Arnaud Desplechin et de Terrence Malick, tous deux « disciples » de Stanley Cavell, car on ne peut dissocier la pensée cinématographique, critique et philosophique, de l’expérience des films. Cette variété d’approches vise à explorer la manière dont le film devient l’écran de nos pensées. Interroger cette dimension, c’est accepter avec Stanley Cavell une profonde rénovation critique du discours philosophique, l’ancrer dans notre expérience ordinaire du monde et des autres, et mettre en question notre expérience des films, sans préjuger de la clarté de nos pensées projetées, ni des difficultés que l’écran permet ou non de lever. C’est pourquoi nous voulons articuler ce colloque autour des concepts cavelliens de projection, d’éducation, de perception, de mythe pour examiner ce qu’il advient de nos pensées et de leurs objets lors de leurs projections ; ce que la perception cinématographique altère ou révèle de la nature de nos perceptions ordinaires ; ce qui distingue et lie l’expérience cinématographique à l’expérience ordinaire, et l’effet de retour de l’image projetée sur la pensée. Si le cinéma hollywoodien nous fait rêver à la possibilité de réconcilier ses héros, d’éduquer le faible, de moraliser les vilains, c’est pourtant au cinéma que nous trouvons l’expression d’un sentiment d’exil du monde, d’étrangeté, que Cavell a appelé scepticisme, qui traverse nos vies ordinaires. Dans le mélodrame américain, Cavell a poursuivi une interrogation menée d’abord sur le terrain de l’étude des tragédies shakespeariennes, sur nos dénis du monde et des autres. Le cinéma devient ainsi l’écran de nos pensées, parce qu’il s’offre comme le miroir de nos doutes et incertitudes, tout en nous donnant les moyens d’en « guérir », dit Wittgenstein, et Cavell après lui. Il s’agira donc d’interroger ces rapports entre image, émotion, projection et pensée, sur le double versant de la création cinématographique et de la réflexion philosophique. Mot(s) clés libre(s) : Cavell, philosophie du cinéma
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Démocratie et justice sociale au-delà de l'Etat-nation
/ Pierre BLANCHANDIN
/ 28-05-2015
/ Canal-u.fr
FRASER Nancy, BALIBAR Etienne
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Dialogue entre Nancy FRASER et Etienne BALIBAR
Philosophe et professeur de philosophie et de sciences politiques, Nancy Fraser est titulaire de la chaire "Rethinking Social Justice" au Collège d'études mondiales de la Fondation Maison des sciences de l'homme.
Etienne Balibar, philosophe, est professeur émérite de l'université Paris Ouest Nanterre La Défense et visiting professor, à l'Institut de littérature et société comparée de l'université de Columbia où il enseigne également dans le département de français.
>> En savoir plus : http://www.fmsh.fr/fr/c/7383
>> En savoir plus, sur le site du Collège d'études mondiales
>> Vidéo extraite de la collection "Colloques" des Archives Audiovisuelles de la Recherche, lien direct sur AAR. Mot(s) clés libre(s) : philosophie politique, justice sociale, Etat-nation
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CIDMEF Libreville 2011 –Philosophie du projet.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 19-04-2011
/ Canal-U - OAI Archive
FRANCKE Jean-Paul
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Titre : CIDMEF Libreville 2011 –Philosophie du projet.Intervenant (s) : Jean-Paul FRANCKE (Lille - France)Résumé : Philosophie du projet.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des XVIIIème Journées Universitaires Francophones de Pédagogie des Sciences de la Santé de la CIDMEF et du 3ème Congrès International Francophone de Pédagogie des Sciences de la Santé 16 – 19 avril 2011, Faculté de Médecine de Libreville (Gabon), Université des Sciences de la Santé.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF et le FSP mère – enfant du ministère des affaires étrangères.Réalisation, production : Canal U/3S Mot(s) clés libre(s) : CIDMEF, Libreville 2011, philosophie, santé, SIFEM, UMVF
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ENS Lyon - Consentement, autonomie, égalité des sexes (Geneviève Fraisse)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, ENS-LSH, Conseil de Développement du Grand Lyon
/ 13-12-2008
/ Canal-U - OAI Archive
FRAISSE Geneviève, WORMSER Gérard
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La construction de la pensée de l’émancipation n’est pas seulement un acte de résistance et de subversion, mais aussi un raisonnement, une logique, une stratégie discursive. Les termes d’« autonomie », de « consentement » et d’« égalité » permettent d’éclairer la forme du débat actuel sur la controverse des sexes.L’autonomie (être source de sa propre loi) est l'aboutissement du « devenir sujet » des femmes à la fin du XXe siècle. Pourtant, ce devenir sujet dans l'autonomie économique et civique, par la maîtrise de la fécondité, le droit à l’avortement... ne supprime pas les relations qui font des femmes autant d'objets (d’échange, de communication, etc.). Le paradigme sujet/objet est aujourd’hui le plus heuristique. Dans ce contexte, il nous faut réfléchir à l’articulation de l’égalité et de la liberté, et ce à partir du mot « consentement ». Mot(s) clés libre(s) : autonomie, consentement, égalité des sexes, ENS Lyon, Geneviève Fraisse, Gérard Wormser, Les conférences du Grand Lyon 2006-2007, liberté, philosophie de l’égalité
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