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019 - Débat Les transformations de la philosophie française et le legs de 68

/ ENS-LSH/SCAM / 23-05-2008 / Canal-U - OAI Archive
RENAULT Emmanuel
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Session Effets philosophiques de mai 68. Crises, fractures, déplacements Colloque Mai 68 en quarantaineRésumé La pensée française a connu, durant les années 1970-1980, de profondes transformations dans le domaine philosophique et sociologique, avec la mise en avant du thème du « retour » : retour du libéralisme, des droits de l’homme, du sujet, de l’humanisme, etc. Cette volonté de renouvellement, s’est accompagnée d’une rupture avec les « maîtres à penser » des années 1960 (Foucault, Bourdieu, etc.), et de la promotion de nouvelles interprétations de Mai 68. Cette communication se propose d’analyser les enjeux des ces déplacements intellectuels.Bibliographie S. Audier, La pensée anti-68 : Essai sur les origines d’une restauration intellectuelle, La découverte, 2008Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux,Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard
Mot(s) clés libre(s) : anti-humanisme, consumérisme, France, individualisme, libéralisme, mai 68, philosophie et politique, vie intellectuelle
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023 - Avec et contre la théorie critique au nom de 68

/ ENS-LSH/SCAM / 23-05-2008 / Canal-U - OAI Archive
RENAULT Emmanuel
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Session Effets philosophiques de mai 68. Crises, fractures, déplacements Colloque MaI 68 en quarantaine Si Marcuse est l’une des figures philosophiques de 1968, il n’était pas à l’époque considéré tant comme un représentant la Théorie critique francfortoise que comme un philosophe en phase avec l’ « événement ». Il fallu attendre le milieu des années 1970, avec la traduction de différents textes d’Horkheimer, Adorno et Habermas, pour que l’« École de Francfort » puisse apparaître comme une tradition de pensée autonome. Dans le contexte de la recherche d’un marxisme critique non althusserien, les modalités de la réception française furent surdéterminées par la conjoncture politique : les uns faisant de l’incapacité des Francfortois à accompagner 68 en Allemagne le signe de l’insuffisance politique de cette révision du marxisme (J.-M. Vincent), les autres faisant de ce « marxisme critique » une « critique du marxisme » dont la défense de la « social-démocratie » serait bientôt la contrepartie positive (A. Renaut, J.-M. Ferry). L’effondrement du marxisme devait peu après se solder par un coup d’arrêt à cette première étape de réception de la Théorie critique francfortoise. Ce n’est pas avant le milieu des années 1990 (et un nouveau cycle politique contestataire) qu’une seconde étape fut l’occasion de renouer sur des bases originales avec certains thèmes de la pensée critique des années 1968.Bibliographie A. Tosel, « Le développement du marxisme en Europe occidentale depuis 1917 », in Histoire de la philosophie, Gallimard, vol. III, 1975, p. 902-1045. J.-M. Vincent, Le marxisme critique de l’École de Francfort, Galilée, 1976. Paul-Laurent Assoun et de Gérard Raulet, Marxisme et théorie critique, Payot, 1978. M. Horkheimer, Théorie critique. Essais, Payot, 1978 (avec une introduction de J.-M. Ferry et A. Renaut). E. Renault, « Foucault et l’École de Francfort », in Y. Cusset, S. Haber, Habermas et Foucault. Parcours croisés, confrontations critiques, CNRS Éditions, 2006.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo,Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Cadre : Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard
Mot(s) clés libre(s) : Allemagne, Axel Honneth, critique, domination, école de francfort, Herbert Marcuse, Jürgen Habermas, marxisme critique, Max Horkheimer, philosophie et politique, Theodor Wiesengrund Adorno, théorie critique
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024 - Débat Avec et contre la théorie critique au nom de 68

/ ENS-LSH/SCAM / 23-05-2009 / Canal-U - OAI Archive
RENAULT Emmanuel
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Session Effets philosophiques de mai 68. Crises, fractures, déplacements Colloque Mai 68 en quarantaineRésumé Si Marcuse est l’une des figures philosophiques de 1968, il n’était pas à l’époque considéré tant comme un représentant la Théorie critique francfortoise que comme un philosophe en phase avec l’ « événement ». Il fallu attendre le milieu des années 1970, avec la traduction de différents textes d’Horkheimer, Adorno et Habermas, pour que l’« École de Francfort » puisse apparaître comme une tradition de pensée autonome. Dans le contexte de la recherche d’un marxisme critique non althusserien, les modalités de la réception française furent surdéterminées par la conjoncture politique : les uns faisant de l’incapacité des Francfortois à accompagner 68 en Allemagne le signe de l’insuffisance politique de cette révision du marxisme (J.-M. Vincent), les autres faisant de ce « marxisme critique » une « critique du marxisme » dont la défense de la « social-démocratie » serait bientôt la contrepartie positive (A. Renaut, J.-M. Ferry). L’effondrement du marxisme devait peu après se solder par un coup d’arrêt à cette première étape de réception de la Théorie critique francfortoise. Ce n’est pas avant le milieu des années 1990 (et un nouveau cycle politique contestataire) qu’une seconde étape fut l’occasion de renouer sur des bases originales avec certains thèmes de la pensée critique des années 1968.Bibliographie A. Tosel, « Le développement du marxisme en Europe occidentale depuis 1917 », in Histoire de la philosophie, Gallimard, vol. III, 1975, p. 902-1045. J.-M. Vincent, Le marxisme critique de l’École de Francfort, Galilée, 1976. Paul-Laurent Assoun et de Gérard Raulet, Marxisme et théorie critique, Payot, 1978. M. Horkheimer, Théorie critique. Essais, Payot, 1978 (avec une introduction de J.-M. Ferry et A. Renaut). E. Renault, « Foucault et l’École de Francfort », in Y. Cusset, S. Haber, Habermas et Foucault. Parcours croisés, confrontations critiques, CNRS Éditions, 2006.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard
Mot(s) clés libre(s) : Allemagne, Axel Honneth, critique, domination, école de francfort, Herbert Marcuse, Jürgen Habermas, marxisme critique, Max Horkheimer, philosophie et politique, Theodor Wiesengrund Adorno, théorie critique
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Phénoménologie et politique : Arendt et Merleau-Ponty

/ ENS-LSH/SCAM / 14-11-2001 / Canal-U - OAI Archive
REVAULT D'ALLONNES Myriam
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Les discours du politique : Ecole thématique Violence, consensus, sécuritéMyriam Revault d'Allones étudie ici le rapport problématique qu'entretiennent la philosophie et la politique à partir de l'oeuvre d'Hanna Arendt et de Merleau Ponty. La rencontre de la philosophie et du monde ne va pas de soi. Merleau Ponty se demande si la politique peut jamais s'énoncer dans la prose du vrai. Anna Harendt, qui radicalise ce propos, insiste sur le caractère foncièrement anti-politique de la philosophie, y compris de la philosophie politique, attachée avant tout à se défaire du monde. La philosophie politique a un statut problématique parce qu'elle se trouve précisément à l'intersection de la philosophie et de la non-philosophie, de la spéculation et de l'expérience. Cette relation problématique est incarnée de façon emblématique par Socrate dans son rapport à la cité. Sa figure est longuement évoquée par Merleau Ponty dans sa leçon inaugurale au collège de France, "Eloge de la philosophie". Arendt et Merleau Ponty récusent tous deux la position légiférante de la philosophie sur la politique.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Captation vidéo : Sebastien Boudin, Julien Lopez, Mathias Chassagneux, Son: Samuel Bazin, Montage-Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard
Mot(s) clés libre(s) : Hanna Arendt, Maurice Merleau-Ponty, phénoménologie, philosophie, politique
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Héritages et survivances de Jacques Derrida. Séance de l'après-midi - Partie 2 - 6 novembre 2014

/ Elisabeth de PABLO, Dimitri GALITZINE, Archives Audiovisuelles de la Recherche / 06-11-2014 / Canal-u.fr
RIGAL Elisabeth, JULLIEN François, DEGUY Michel
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Héritages et survivances de Jacques Derrida, pour dire ce qui arrive à sa pensée et à son oeuvre, tout autant que ce qui en provient, et qui revient et reviendra. Dix ans après la mort du philosophe, les héritages de Jacques Derrida portent en eux plus d’un secret et plus d’un esprit. Leur réserve d’inconnu, au delà de tout héritage comptable, doit être aujourd’hui réaffirmée, réinterprétée, maintenue en vie. Le désir testamentaire, inscrit dans le titre de notre colloque, au-delà d’un certain deuil mortifère, signifie qu’il n’y aura nul  héritage sans l’invention d’un à-venir, et nul avenir ou survivance sans héritage incalculable et illégitime.Quelques dates choisies parmi tant d’autres possibles (« La date, la cendre et le nom : c'était ou ce sera le même, qui ne se tient jamais au présent”, écrivait-il dans Schibboleth. Pour Paul Celan) : En 1967, Jacques Derrida marque la scène philosophique avec trois livres : La voix et le phénomène, De la grammatologie et L’écriture et la différence. Il élabore le concept d’une écriture générale, libérée de l’opposition de l’écriture restreinte à l’oralité, engageant ainsi un travail de clôture et de décentrement du structuralisme qui va permettre d’interroger l’épistémologie et le langage des sciences humaines et sociales. En 1972, dans Marges de la philosophie, « la différance » consacre et condense l’écart avec la tradition métaphysique. Elle opère en-deçà de la différence ontologique de l’être et de l’étant et au-delà de la représentation. Ni donnée ni constructible, ni même positive ou objectivable, elle s’inscrit, comme l’inconscient, en s’effaçant, n’apparaît que par ses traces qui renvoient à d’autres traces, ouvrant la multiplicité de l’écriture par-delà le sens, la signification et le savoir. En 1990, à l'occasion d'une exposition au Louvre, Jacques Derrida écrit Mémoires d’aveugle. L’autoportrait et autres ruines où il analyse l’autorité du regard, de la vue et de la lumière dans l’histoire de la philosophie. Dès lors que le trait ne se voit pas, le dessin dessine toujours la mémoire. Sont choisis pour cette exposition des autoportraits dans lesquels l’oeil des dessinateurs est exposé à l’aveuglement comme expérience même de la vue. En 1991, dans Circonfessions, Derrida livre des bribes de son enfance à Alger, cherchant le secret inaccessible de sa circoncision. Il  raconte son enfance, le plus intime de son corps, la mort de sa mère, portant à la limite l’idée de Nietzsche que les philosophies sont des biographies involontaires de leurs auteurs. Penser ainsi la vie, transformée en écriture, déstabilise la conception pour laquelle la vie n’existe qu’en dehors de l’oeuvre, et l’oeuvre en dehors de la vie. Après les attentats du 11 septembre 2001 à New York, Derrida entreprend de repenser les fondements de la démocratie et de la souveraineté en se demandant comment les événements doivent contraindre la philosophie et le langage de la politique à se  transformer. Correspondant à l’exigence la plus haute de justice, la démocratie n’est pas un régime politique parmi d’autres mais ce qui manque à la politique, son avenir impossible et nécessaire.  Dix ans après la mort de Jacques Derrida en octobre 2004, ce colloque s’efforce d’éclairer, par une pluralité de perspectives, la manière dont la donne philosophique a été transformée par cette pensée plus que jamais féconde, singulière, et porteuse d’avenir.  Quels sont, aujourd’hui et au-delà, les héritages et les survivances de la pensée de Jacques Derrida? Comment penser et recevoir ces héritages, être hanté par ses survivances, au-delà de tout dévoilement et de toute création, comme des événements qui restent à traduire et à réinventer ? Responsables scientifiques : Marc Goldschmit, Sara Guindani-Riquier et Alexis Nuselovici >> “Non-lieux de l’exil” est partie prenante du colloque “Héritages et survivances de Jacques Derrida”. >> Colloque porté par la Fondation Maison des sciences de l'homme
Mot(s) clés libre(s) : connaissance (philosophie), Jacques Derrida
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Héritages et survivances de Jacques Derrida. Séance de l'après-midi - Partie 3 - 6 novembre 2014

/ Elisabeth de PABLO, Dimitri GALITZINE, Archives Audiovisuelles de la Recherche / 06-11-2014 / Canal-u.fr
RIGAL Elisabeth, DE FONTENAY Elisabeth
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Héritages et survivances de Jacques Derrida, pour dire ce qui arrive à sa pensée et à son oeuvre, tout autant que ce qui en provient, et qui revient et reviendra. Dix ans après la mort du philosophe, les héritages de Jacques Derrida portent en eux plus d’un secret et plus d’un esprit. Leur réserve d’inconnu, au delà de tout héritage comptable, doit être aujourd’hui réaffirmée, réinterprétée, maintenue en vie. Le désir testamentaire, inscrit dans le titre de notre colloque, au-delà d’un certain deuil mortifère, signifie qu’il n’y aura nul  héritage sans l’invention d’un à-venir, et nul avenir ou survivance sans héritage incalculable et illégitime.Quelques dates choisies parmi tant d’autres possibles (« La date, la cendre et le nom : c'était ou ce sera le même, qui ne se tient jamais au présent”, écrivait-il dans Schibboleth. Pour Paul Celan) : En 1967, Jacques Derrida marque la scène philosophique avec trois livres : La voix et le phénomène, De la grammatologie et L’écriture et la différence. Il élabore le concept d’une écriture générale, libérée de l’opposition de l’écriture restreinte à l’oralité, engageant ainsi un travail de clôture et de décentrement du structuralisme qui va permettre d’interroger l’épistémologie et le langage des sciences humaines et sociales. En 1972, dans Marges de la philosophie, « la différance » consacre et condense l’écart avec la tradition métaphysique. Elle opère en-deçà de la différence ontologique de l’être et de l’étant et au-delà de la représentation. Ni donnée ni constructible, ni même positive ou objectivable, elle s’inscrit, comme l’inconscient, en s’effaçant, n’apparaît que par ses traces qui renvoient à d’autres traces, ouvrant la multiplicité de l’écriture par-delà le sens, la signification et le savoir. En 1990, à l'occasion d'une exposition au Louvre, Jacques Derrida écrit Mémoires d’aveugle. L’autoportrait et autres ruines où il analyse l’autorité du regard, de la vue et de la lumière dans l’histoire de la philosophie. Dès lors que le trait ne se voit pas, le dessin dessine toujours la mémoire. Sont choisis pour cette exposition des autoportraits dans lesquels l’oeil des dessinateurs est exposé à l’aveuglement comme expérience même de la vue. En 1991, dans Circonfessions, Derrida livre des bribes de son enfance à Alger, cherchant le secret inaccessible de sa circoncision. Il  raconte son enfance, le plus intime de son corps, la mort de sa mère, portant à la limite l’idée de Nietzsche que les philosophies sont des biographies involontaires de leurs auteurs. Penser ainsi la vie, transformée en écriture, déstabilise la conception pour laquelle la vie n’existe qu’en dehors de l’oeuvre, et l’oeuvre en dehors de la vie. Après les attentats du 11 septembre 2001 à New York, Derrida entreprend de repenser les fondements de la démocratie et de la souveraineté en se demandant comment les événements doivent contraindre la philosophie et le langage de la politique à se  transformer. Correspondant à l’exigence la plus haute de justice, la démocratie n’est pas un régime politique parmi d’autres mais ce qui manque à la politique, son avenir impossible et nécessaire.  Dix ans après la mort de Jacques Derrida en octobre 2004, ce colloque s’efforce d’éclairer, par une pluralité de perspectives, la manière dont la donne philosophique a été transformée par cette pensée plus que jamais féconde, singulière, et porteuse d’avenir.  Quels sont, aujourd’hui et au-delà, les héritages et les survivances de la pensée de Jacques Derrida? Comment penser et recevoir ces héritages, être hanté par ses survivances, au-delà de tout dévoilement et de toute création, comme des événements qui restent à traduire et à réinventer ? Responsables scientifiques : Marc Goldschmit, Sara Guindani-Riquier et Alexis Nuselovici >> “Non-lieux de l’exil” est partie prenante du colloque “Héritages et survivances de Jacques Derrida”. >> Colloque porté par la Fondation Maison des sciences de l'homme
Mot(s) clés libre(s) : connaissance (philosophie), Jacques Derrida
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Espoir et Histoire

/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM / 05-06-2006 / Canal-U - OAI Archive
RIOT-SARCEY Michèle
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Les mouvements de révolte qui secouent actuellement notre société sont symptomatiques d'une crise du jeu démocratique. La représentation politique ne fonctionne pas comme elle le devrait puisqu'il est désormais nécessaire de s'exprimer ailleurs, hors du cadre ordinaire de représentation. Pourquoi assistons-nous à une crise aussi éloquente et visible? Est-il possible d'envisager le devenir d'une humanité en difficulté en terme d'espoir?La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2005-2006 sur le thème "L'espoir". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM /
Mot(s) clés libre(s) : crise démocratique, crise sociale, démocratie représentative, Emmanuel Kant, espoir, histoire politique, instruction, liberté, philosophie du progrès, raison critique, savoir, siècle des Lumières
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La découverte de la durée dans l'Essai sur les données immédiates de la conscience, ou Bergson et la valse à trois temps (par Camille Riquier)

/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris / 25-03-2014 / Canal-u.fr
RIQUIER Camille
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La découverte de la durée dans l'Essai sur les données immédiates de la conscience de Bergson.
Mot(s) clés libre(s) : espace-temps, chronologie, perception du temps, Temps vécu, durée, conscience de soi (philosophie), Gilles Deleuze, contribution au concept de temps, perception spatiale, spatialisation
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La géographie

/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France / 06-04-2000 / Canal-U - OAI Archive
RONCAYOLO Marcel
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Le paradigme de la géographie paraît évoluer entre deux termes depuis l'institutionnalisation de la discipline, à la fin du XIXè siècle. Enracinée dans la tradition, confortée par l'éclat des théories biologiques, la géographie privilégie, avec nuance et refus d'un déterminisme mécanique, la nature comme fixant les conditions de l'activité humaine. A la suite non d'une rupture mais d'un débat complexe, les espaces sont plutôt considérés comme des constructions humaines, sociales, même si on doit tenir compte des mécanismes individuels. Toute une série de changements se dessinent, se chevauchant les uns les autres : par exemple, les paysages agraires sont rapportés d'abord au milieu naturel, puis aux traditions ethniques, enfin à une évolution historique de plus en plus précise qui conduit de l'économie domaniale à l'individualisme agraire. En même temps que la géographie devient historicité, elle fait une place aux rythmes sociaux, aux mouvements, au temps. La géographie se place ainsi comme instance de réflexion par rapport aux changements techniques qui peuvent la dissoudre, mondialisation, individualisme et surtout, plus humblement, distance et temps, proche et lointain, vieilles contraintes rassurantes. Elle s'interroge sur ce que devient la territorialité, quand la mobilité des hommes et celle de l'information se conjuguent, vers les processus de construction des espaces (mémoire et projet) et sur l'ampleur des risques dans une société vulnérable, y compris dans son environnement naturel.
Mot(s) clés libre(s) : géographie (histoire), géographie (philosophie), territoire
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Hommage à Stanley Cavell - The Double Existence of Cavell’s Philosophical Prose.

/ Ensmédi@ / ENS de Lyon / 06-05-2010 / Canal-U - OAI Archive
ROTHMAN William
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Mythe, fiction et autobiographieUn second souffle pour la philosophie du cinéma en France L’ambition de ce colloque interdisciplinaire est de contribuer à la réception de la pensée du cinéma du philosophe américain Stanley Cavell, en interrogeant ses travaux dans une perspective croisant la théorie cinématographique et philosophique avec la création cinématographique. Ce colloque est porté par la section arts de l’École normale supérieure Lyon en collaboration avec la section philosophie. À cette occasion seront présentées au public une nouvelle traduction française et deux rééditions d’ouvrages de Stanley Cavell : Dire et vouloir dire (trad. fr. C. Fournier et S. Laugier, Le Cerf, 2009), Qu’est-ce que la philosophie américaine ? De Wittgenstein à Emerson (trad. fr. C. Fournier et S. Laugier, Folio Gallimard, 2009), et Le cinéma nous rend-il meilleurs ? (éd. augmentée, éd. E. Domenach, trad. fr. E. Domenach et C. Fournier). Ces publications récentes constituent une avancée décisive dans notre connaissance de l’œuvre de Stanley Cavell, puisqu’elles permettront de découvrir en français un aspect méconnu de sa philosophie du langage (constitué de ses lectures d’Austin et de Wittgenstein), et de redécouvrir ses travaux sur les penseurs fondateurs de la philosophie américaine et la réflexion morale engagée à partir des films. Une séance de signature de ces livres, à l’issue du colloque, sera l’occasion de réfléchir à la diffusion de sa pensée en France, alors que ses ouvrages de philosophie de la connaissance (Les Voix de la raison), ses écrits sur Shakespeare (Le Déni de savoir dans six pièces de Shakespeare) et sur Thoreau (The Senses of Walden) sont désormais considérés comme des classiques. Une cérémonie de remise du Doctora Honoris Causa de l’ENS Lyon à Stanley Cavell, en présence de Monsieur le Directeur général de l’ENS Lyon, Olivier Faron, conclura le colloque, et permettra de nouer un dialogue pérenne avec sa pensée au sein de l’École. Cavell est reconnu outre-Atlantique depuis une trentaine d’années déjà pour son apport décisif au champ des études cinématographiques et à la philosophie du langage et de la connaissance, mais la dimension philosophique de ses travaux sur le cinéma n’a pas encore reçu toute l’attention qu’elle mérite, en France ni dans le monde. Promouvoir la philosophie de l’art de Cavell demande un décloisonnement des champs disciplinaires de la littérature, du cinéma, de la philosophie, et l’appropriation des grandes voix de la culture que cette œuvre incorpore ; de la philosophie du langage ordinaire d’Austin et Wittgenstein au transcendantalisme américain d’Emerson et Thoreau, en passant par Shakespeare, Kant, Nietzsche et Freud. L’ENS Lyon s’impose comme le lieu adapté pour créer un espace de pensée ouvert, au croisement des disciplines, pour la philosophie du cinéma. 1999-2009 : les deux actes de la réception de la pensée du cinéma de Cavell en France Dix ans après le premier (et, jusqu’à présent, unique) colloque consacré à la philosophie du cinéma de Stanley Cavell en France (à l’Université de Paris III Sorbonne Nouvelle en 1999, organisé par S. Laugier et M. Cerisuelo. Stanley Cavell. Cinéma et philosophie, Presses de la Sorbonne Nouvelle, 2001), ce colloque permettra de prendre en compte des dernières ressources de la recherche sur Stanley Cavell, en France et dans le monde. Une telle recherche doit se faire dans l’optique d’une collaboration élargie entre laboratoires et institutions. C’est la raison pour laquelle nous mettons en commun les ressources distinctes et les spécialisations complémentaires des sections arts et philosophie au sein de l’ENS Lyon, mais aussi des deux laboratoires de l’École, le CEP, avec sa vocation d'expérimentation poétique et d'engagement dans la création contemporaine, et le CERPHI UMR 5037, avec ses méthodes d'histoire des idées, de contextualisation des textes et des débats qui structurent le champ intellectuel. Trois autres laboratoires français sont associés au colloque (et représentés au comité d’organisation) : le CURAPP de l’Université de Picardie Jules Verne qui associe sociologues, politistes et philosophes dans des travaux sur l’action publique, le politique, et deux laboratoires trans-artistiques, l’ARIAS de l’ENS Ulm/Paris III et le LESA de l’Université d’Aix-Marseille, qui travaillent en esthétique et théorie du cinéma. Enfin, il est décisif que ce colloque se tienne à Lyon, dans la ville du cinéma, et avec le soutien du Département du Rhône. L’écran de nos pensées Considérer le cinéma comme écran de nos pensées implique de corréler la théorie avec la création cinématographique. C’est pourquoi nous sollicitons des cinéastes réalisateurs et scénaristes, lecteurs de Stanley Cavell ; soit qu’ils s’intéressent aux possibilités spécifiques d’expression du medium cinématographique (Luc Dardenne, Jacques Audiard, Agnès Varda), soit qu’ils s’inspirent directement de Stanley Cavell (Claire Simon, Emmanuel Bourdieu) ou ambitionnent d’« adapter » sa pensée à l’écran (comme aime à le dire Arnaud Desplechin). Nous souhaitons faire place à des projections de films et d’extraits de films d’Arnaud Desplechin et de Terrence Malick, tous deux « disciples » de Stanley Cavell, car on ne peut dissocier la pensée cinématographique, critique et philosophique, de l’expérience des films. Cette variété d’approches vise à explorer la manière dont le film devient l’écran de nos pensées. Interroger cette dimension, c’est accepter avec Stanley Cavell une profonde rénovation critique du discours philosophique, l’ancrer dans notre expérience ordinaire du monde et des autres, et mettre en question notre expérience des films, sans préjuger de la clarté de nos pensées projetées, ni des difficultés que l’écran permet ou non de lever. C’est pourquoi nous voulons articuler ce colloque autour des concepts cavelliens de projection, d’éducation, de perception, de mythe pour examiner ce qu’il advient de nos pensées et de leurs objets lors de leurs projections ; ce que la perception cinématographique altère ou révèle de la nature de nos perceptions ordinaires ; ce qui distingue et lie l’expérience cinématographique à l’expérience ordinaire, et l’effet de retour de l’image projetée sur la pensée. Si le cinéma hollywoodien nous fait rêver à la possibilité de réconcilier ses héros, d’éduquer le faible, de moraliser les vilains, c’est pourtant au cinéma que nous trouvons l’expression d’un sentiment d’exil du monde, d’étrangeté, que Cavell a appelé scepticisme, qui traverse nos vies ordinaires. Dans le mélodrame américain, Cavell a poursuivi une interrogation menée d’abord sur le terrain de l’étude des tragédies shakespeariennes, sur nos dénis du monde et des autres. Le cinéma devient ainsi l’écran de nos pensées, parce qu’il s’offre comme le miroir de nos doutes et incertitudes, tout en nous donnant les moyens d’en « guérir », dit Wittgenstein, et Cavell après lui. Il s’agira donc d’interroger ces rapports entre image, émotion, projection et pensée, sur le double versant de la création cinématographique et de la réflexion philosophique.
Mot(s) clés libre(s) : cavell, philosophie du cinéma
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