Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Collections et concepts (en botanique) (4/4)
/ 01-01-2013
/ Canal-u.fr
DENNETIERE Bruno, LE GALL Line
Voir le résumé
Voir le résumé
Les collections de botanique auxquelles est donné le nom d'herbiers assurent de multiples fonctions. Un herbier accompagne son botaniste durant toute la période de son activité et certains indices nous permettent de retrouver ses questions, ses doutes, ses convictions et centres d'intérêts. L'herbier prend ainsi le statut de « cahier de laboratoire » et se révèle fréquemment plus indiscret que les travaux publiés du même botaniste. Au cours de cette présentation, nous tenterons de faire « parler » les herbiers par divers parcours chronologiques ou transversaux afin d'illustrer certains concepts biologiques : fixité et variabilité, approche écologique, contraintes issues du code de nomenclature. Mot(s) clés libre(s) : phylogénie, Algues, herbier, espèce nouvelle
|
Accéder à la ressource
|
|
Master BIP- Cours de Y.Desdevises
/ BioMedia-UPMC
/ 05-11-2007
/ Unisciel
Desdevises Yves
Voir le résumé
Voir le résumé
Documents de cours des UE de M1: Biologie des organismes marins (MU410), Biostatistiques avancées (MB003)
Documents de M2: Adaptation et phylogénie chez les poissons (NU950), Physiologie environnementale/Bases biologiques de l'aquaculture (NB107) Mot(s) clés libre(s) : phylogénie, biologie des organismes, biostatistique, physiologie environnementale, Physiologie, Biologie des organismes, Biostatistiques Avancées
|
Accéder à la ressource
|
|
Master SDUEE- Cours de Y.Desdevises
/ Yves Desdevises
/ 29-05-2008
/ Unisciel
Desdevises Yves
Voir le résumé
Voir le résumé
Documents de cours de M1: (MU209) Etude des Interactions durables en milieux marin et terrestre, (MU405)Pratique en océanographie biologique, (MU410) Biologie des organismes marins, (NU950) Adaptation et phylogénie chez les poissons, (NV545) Qualité des eaux littorales. Mot(s) clés libre(s) : interaction, phylogénie, biologie des organismes, océanographie, eau, Biologie des organismes, Océanographie
|
Accéder à la ressource
|
|
Origines et position de l'homme dans l'évolution : la connexion chromosomique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 05-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DUTRILLAUX Bernard
Voir le résumé
Voir le résumé
Il est possible de montrer que l'homme partage ses chromosomes, support de l'hérédité, avec l'ensemble des mammifères, et d'utiliser les différences, d'espèce à espèce, pour reconstruire leur phylogénie, c'est-à-dire leurs positions respectives dans l'arbre de l'évolution. L'étude qui sera basée sur des approches de cytogénétique classique et moléculaire, utilisant des sondes spécifiques de chromosomes humains, appliquées à une centaine de primates et une centaine de mammifères appartenant à d'autres ordres comme les carnivores, les rongeurs, les artiodactyles etc. Aujourd'hui, il n'est pas exagéré de dire que l'on connaît, de notre grand ancêtre mammalien, beaucoup mieux les chromosomes que la morphologie. Cette reconstitution d'une centaine de millions d'années d'évolution des chromosomes amène à poser des questions sur les mécanismes de la spéciation, l'origine des ordres de mammifères et celle de l'homme, l'origine de certaines pathologies, séquelles de notre propre évolution et à proposer des règles montrant que l'évolution n'est pas aléatoire. Mot(s) clés libre(s) : chromosome, cytogénétique, évolution, génétique, hérédité, mammifère, mutation, phylogenèse, phylogénie, primate, spéciation, translocation
|
Accéder à la ressource
|
|
Origines et position de l'homme dans l'évolution : la connexion chromosomique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 05-01-2000
/ Canal-u.fr
DUTRILLAUX Bernard
Voir le résumé
Voir le résumé
Il est possible de montrer que l'homme partage ses chromosomes, support de l'hérédité, avec l'ensemble des mammifères, et d'utiliser les différences, d'espèce à espèce, pour reconstruire leur phylogénie, c'est-à-dire leurs positions respectives dans l'arbre de l'évolution. L'étude qui sera basée sur des approches de cytogénétique classique et moléculaire, utilisant des sondes spécifiques de chromosomes humains, appliquées à une centaine de primates et une centaine de mammifères appartenant à d'autres ordres comme les carnivores, les rongeurs, les artiodactyles etc. Aujourd'hui, il n'est pas exagéré de dire que l'on connaît, de notre grand ancêtre mammalien, beaucoup mieux les chromosomes que la morphologie. Cette reconstitution d'une centaine de millions d'années d'évolution des chromosomes amène à poser des questions sur les mécanismes de la spéciation, l'origine des ordres de mammifères et celle de l'homme, l'origine de certaines pathologies, séquelles de notre propre évolution et à proposer des règles montrant que l'évolution n'est pas aléatoire. Mot(s) clés libre(s) : évolution, spéciation, primate, phylogénie, phylogenèse, mammifère, hérédité, cytogénétique, chromosome, mutation, génétique, translocation
|
Accéder à la ressource
|
|
L'émergence de notre espèce, la rencontre avec Neandertal
/ 24-01-2013
/ Canal-u.fr
HEYER Evelyne
Voir le résumé
Voir le résumé
Les avancées récentes de la génétique ont permis
d’éclairer nos connaissances sur l'origine et l'évolution de notre espèce.
Ainsi, ces nouveaux outils ont permis de préciser les ressemblances et
différences que nous avons avec nos proches cousins, les chimpanzés ; de
proposer des scénarios sur la rencontre des Homos Sapiens avec Néandertal lors
de la sortie d'Afrique ; et finalement, de démontrer l'existence d'une
nouvelle espèce, un proche cousin de Néandertal: l'Homme de Denisova.
Premier volet du cycle de conférences "Evolution et diversité de l'Homme".
Pour voir les conférences suivantes :
2. Le peuplement de la planète et la diversité génétique de notre planète.
3. Comment la culture influence notre évolution biologique Mot(s) clés libre(s) : mutation, phylogénie, diversité génétique, néanderthal, ADN mitochondrial
|
Accéder à la ressource
|
|
Végétaux : diversité, hybridation
/ UTLS - la suite
/ 15-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
MUGNIER Jacques
Voir le résumé
Voir le résumé
En 1998, le Groupe sur la Phylogénie des Angiospermes (APG) publie une étude phylogénétique des plantes à fleurs en comparant des séquences de l'ADN chloroplastique. Ces taxonomistes moléculaires ne retiennent que les groupes strictement monophylétiques (c'est-à-dire descendant tous d'un ancêtre commun). Autant que possible, ils ont tenu à conserver les noms des ordres et des familles bien connus. Des études portant sur des gènes avec des fonctions différentes, la petite sous-unité de l'ARN ribosomique, le 18S, et les espaceurs internes transcrits, les ITS, ont abouti aux mêmes conclusions. Plus important encore, la classification moléculaire est basée sur des séquences consultables sur Internet (GenBank), accessibles à tous les chercheurs. L'ancêtre vivant des plantes à fleurs (the abominable mystery' de Darwin) est un arbuste de Nouvelle-Calédonie, Amborella. Les Welwitchia et Gnetum sont proches des Conifères et pas des Angiospermes. Les Monocots ont dérivé de plantes de type Magnolia. Les Dicots vraies comprennent les plantes dont les grains de pollen comportent trois pores. Les Dicots regroupent deux vastes ensembles naturels, les rosidées et des astéridées, et à leur base on trouve les Saxifragales et les Ranunculales. Quelquefois, les phénomènes de convergence et de simplification par retour vers un caractère primitif confèrent, à des espèces apparentées, une multiplicité d'apparences, totalement déroutante. Les études moléculaires ne sont pas une fin en soi, mais la première étape pour comprendre les processus de diversification des espèces végétales. Des phénomènes d'hybridation - on parle aussi d'introgression - peuvent survenir et avoir des implications évolutives très significatives. Les études de ces dix dernières années ont montré que l'hybridation et l'introgression, plus répandues dans le monde végétal que ce que l'on imaginait, peuvent conduire à la diversification rapide des espèces. La connaissance des relations phylogénétiques entre les espèces permettra de surveiller les risques de dissémination des transgènes. Mot(s) clés libre(s) : botanique, classification phylogénétique, coévolution, diversité végétale, évolution, gène, hybridation, phylogénie, plante à fleur, taxonomie moléculaire, transgène
|
Accéder à la ressource
|
|
Ue lv102 diversité du vivant
/ Catherine Reeb
/ 21-04-2005
/ Unisciel
Reeb Catherine
Voir le résumé
Voir le résumé
UE de première année, présentant la diversité du vivant avec une optique systématique (phylogénétique) Mot(s) clés libre(s) : systèmatique, phylogénie, biologie des organismes, Biologie des organismes
|
Accéder à la ressource
|
|
Génomique et informatique
/ UTLS - la suite
/ 24-07-2001
/ Canal-U - OAI Archive
RISLER Jean Loup
Voir le résumé
Voir le résumé
La presse généraliste, et bien entendu la presse spécialisée, se font régulièrement l'écho du séquençage complet d'un nouveau génome. Il est cependant impossible pour le grand public de se rendre compte à quel point les choses vont vite: sont disponibles actuellement les séquences complètes des génomes de 51 bactéries et de 4 organismes multicellulaires, cependant que sont en cours les séquençages de 210 (!) génomes bactériens et de nombreux organismes supérieurs (rat, souris, chimpanzé et plusieurs plantes en particulier). Pour le non spécialiste, il n'est pas non plus facile d'imaginer le rôle crucial de l'informatique dans le processus conduisant à la connaissance de la séquence complète d'un génome. En fait, l'ordinateur joue un rôle central à toutes les étapes, depuis la gestion des données brutes dans les centres de séquençage jusqu'à l'assemblage final de la séquence complète, la recherche des gènes et la mise à disposition des résultats dans des banques spécialisées. Si l'on définit la génomique comme étant "le séquençage des génomes puis tout ce que l'on peut en tirer", alors à coup sûr il n'y aurait pas de génomique sans informatique. Certes, et l'on ne peut que s'en féliciter, le dernier mot revient toujours au biologiste. Mais il n'est pas faux d'affirmer que grâce -entre autre- à l'informatique, notre vision des génomes et de leur évolution a été bouleversée. Plus les séquences s'accumulent et plus la fameuse image de F. Jacob concernant "le bricolage de l'évolution" s'avère pertinente. Pour le biologiste que je suis, et sans doute pour la majorité des gens, l'apport principal de la génomique est de nous donner des pistes pour répondre aux questions classiques et lancinantes "qui suis-je, d'où viens-je, où vais-je?" grâce à la comparaison des séquences de différents génomes. Ces comparaisons ont le mérite de remettre les choses à leur place et de nous rappeler le devoir d'humilité: que notre génome ne comporte guère que deux fois plus de gènes que celui d'un ver microscopique ne flatte sans doute pas notre ego et nous montre bien l'étendue de notre ignorance. D'un point de vue plus pratique, c'est la connaissance de la batterie complète des gènes d'un organisme qui permet de réaliser des "puces à ADN" grâce auxquelles des kits de diagnostic simples et efficaces peuvent être mis au point -après toute une série d'analyses informatiques non triviales. C'est certainement une bonne nouvelle pour le thérapeuthe. A nous cependant de veiller à ce que leur usage ne soit pas indûment détourné à des fins de "sélection" inadmissibles. A nous également de faire le tri entre le possible et les promesses prématurées de thérapie génique triomphante. Il est clair que "la génomique" est source de progrès incontestables dans la connaissance pure et dans ses applications. Il n'en reste pas moins, et la chose est banale, qu'elle soulève de nombreuses questions morales ou éthiques: elles ne sont pas près d'être résolues tant l'ampleur des aspects financiers qui en découlent faussent le débat, qui n'est d'ailleurs pas simple .... Mot(s) clés libre(s) : bio-informatique, biologie moléculaire, chromosome, génomique, phénotype, phylogénie moléculaire, puce à ADN, séquençage d'un génome
|
Accéder à la ressource
|
|
Génétique et populations
/ UTLS - la suite
/ 14-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
SANCHEZ-MANZAS Alicia
Voir le résumé
Voir le résumé
Le peuplement du monde par les premiers humains modernes (Homo sapiens sapiens) est sans doute le phénomène global le plus ancien qu'ait connu notre espèce, conduisant cette dernière jusqu'aux derniers recoins inhabités de la planète, en dépit d'environnements parfois hostiles. De nombreux chercheurs étudient aujourd'hui cette globalisation, depuis son origine la plus reculée, il y a quelques 100'000 ans, jusqu'aux dernières conquêtes s'achevant dans le courant de notre ère : paléontologues, archéologues, linguistes et généticiens des populations sont à l'oeuvre pour reconstituer notre passé. Quelques échelons essentiels quasi-unanimement reconnus - ont ainsi été franchis sur l'échelle de nos connaissances scientifiques: l'origine d'Homo sapiens sapiens est unique et très récente par rapport à celle du genre Homo dans son ensemble; nos traits morphologiques et pigmentaires sont le résultat de nos adaptations aux environnements diversifiés que nous avons rencontrés au cours de nos migrations; la diversité de nos caractères génétiques, remodelée au cours de nos différenciations préhistoriques, reflète, au contraire, davantage nos liens de parenté. D'autres questions restent, en revanche, très controversées: quelle est l'origine géographique précise de l'espèce humaine actuelle? Nous sommes-nous mélangés avec d'autres « types humains », comme l'Homme de Neanderthal? Jusqu'à quelle profondeur de temps les données génétiques nous permettent-elles de remonter? Autant de sujets que le généticien essaie d'explorer par l'étude des populations actuelles. Ainsi, tout en poursuivant sa conquête du territoire, aujourd'hui tournée vers d'autres planètes, l'Homme moderne n'a pas encore résolu toutes les énigmes de son passé sur la terre. Mot(s) clés libre(s) : adaptation, anthropologie biologique, diversité, espèce humaine, évolution, génétique, génétique des populations, Homo sapiens, migration, mutation, phylogénie, population
|
Accéder à la ressource
|
|