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1. La biodiversité estuarienne
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 30-10-2014
/ Canal-u.fr
LOBRY Jérémy
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Dans cette présentation, Jérémy Lobry définit les caractéristiques écologiques des milieux estuariens, zones de transition entre l'océan et le milieu continental. Il met en lumière d'une part la biodiversité relativement faible qu'on y trouve et d'autre part, la productivité secondaire extrêmement importante de ces milieux. Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, productivité, Estuaire
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3. Complexité de l'habitat et productivité des récifs coralliens
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 28-11-2014
/ Canal-u.fr
MOUILLOT David
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David Mouillot propose une analyse des récifs coralliens en matière de biodiversité et de productivité. Il cherche à préciser l'importance des habitats coralliens pour le développement de larges réseaux trophiques, pouvant être utilisés de manière durable par les populations humaines des littoraux concernés. Mot(s) clés libre(s) : pêche, productivité, récifs coralliens
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3. Photovoltaïque : performance du système
/ Université Perpignan Via Domitia, UVED
/ 04-02-2015
/ Canal-u.fr
MAYER Didier
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Dans cette vidéo, Didier Mayer évoque la performance des systèmes photovoltaïques. Il la met en relation avec des facteurs comme l'ensoleillement et la température, et introduit plusieurs caractéristiques essentielles comme le facteur de charge, le coefficient de performance ou encore la productivité des systèmes. Mot(s) clés libre(s) : productivité, énergie solaire, performance, rendements, cellules photovoltaïques, facteur de charge
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4. Les lagunes littorales : importance pour la productivité côtière des océans
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 05-12-2014
/ Canal-u.fr
Darnaude Audrey
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Audrey Darnaude nous amène à découvrir le rôle et l'importance des lagunes pour le fonctionnement de la biodiversité. Elle montre notamment à l'aide d'exemples dans le Golfe du Lion que la productivité côtière est étroitement liée à ces écosystèmes. Mot(s) clés libre(s) : matière organique, productivité, poissons, Lagunes
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5. Surpêche et effets sur la biodiversité et le fonctionnement des écosystèmes
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 27-11-2014
/ Canal-u.fr
Cury Philippe
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Philippe Cury explique comment la surpêche atteint les réseaux trophiques marins, et met en évidence certaines conséquences écologiques de cette pratique, comme la prolifération des méduses ou la disparition d'espèces prédatrices des espèces convoitées. Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, productivité, stocks, Surpêche, Méduses
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ENS Lyon - La ville portuaire : modèle de productivité dans la mondialisation (Thierry Baudouin)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Conseil de Développement du Grand Lyon, ENS-LSH
/ 13-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
BAUDOUIN Thierry, WORMSER Gérard
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Les villes mondialisées ont besoin d'interfaces de plus en plus complexes : un port maritime, fluvial, aérien, routier, numérique... Disposer de beaucoup de ces ports dépend bien plus des stratégies des villes que de leur taille. La mondialisation est une opportunité à saisir et à construire par chaque acteur. Mais nos villes sont en général mal placées pour organiser les branchements sur les flux de la mondialisation. Le système fordien, jacobin et industriel ne favorise nullement la réussite des villes, parce que jouer la compétition classique entre territoires relativement à un centre permanent n'est pas pertinent dans la concurrence mondiale. Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, port, productivité, réseaux, responsabilités, risques, ville, ville portuaire
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Forum Nîmois - Charles GIDE - Patrick ARTUS - 8 Octobre 2015
/ 08-10-2015
/ Canal-u.fr
ARTUS Patrick
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 8 octobre 2015, au lycée Daudet de Nimes Patrick Artus.
Te voici de nouveau parmi nous. Ce soir, le Forum Charles
Gide t’accueille dans le plus ancien Lycée de la Ville, celui sur les bancs
duquel se sont assis ,entre autres,
quatre Gaston célèbres : Gaston
Doumergue, Président de la république de 1924 à 1931, , Gaston Deferre, Gaston
Darboux mathématicien, secrétaire
perpétuel de l'Académie des Sciences, Gaston Boissier écrivain, professeur d'éloquence latine
au Collège de France, et Secrétaire perpétuel de l'Académie Française en 1895 et quelques autres dont Jean-Pierre Serre,
Médaille Fields à l'âge de 28 ans, Professeur au Collège de France...
Nous t’accueillons ici à
la demande de Madame Barbé, le proviseur, et d’enseignants d’économie qui ont
préparé l’écoute de ton intervention
avec quelques élèves.
Tu es l’un de nos grands économistes, l’un de meilleurs
d’entre nous oserais-je dire. Tu es ancien élève de l’Ecole Polytechnique et de
l’Ecole nationale de la statistique et des études économiques, professeur à
Paris I Panthéon Sorbonne. Tes mérites ont été largement reconnus, puisque tu
es membre de trois viviers des plus grands esprits de l’économie en
France : Le Conseil d’analyse économique, près du Premier ministre, de la
Commission économique de la nation, et, last but not least, du Cercle des
économistes, dont j’essaye de ne manquer aucune manifestation, notamment les
célèbres rencontres d’Aix en Provence.
Ce soir tu viens, avec un livre à l’appui : Croissance zéro. Comment éviter le
chaos, », publié chez Fayard, succédant, il faut le savoir, à un
autre, qui, en quelque sorte l’anticipait, « Les apprentis sorciers. Quarante ans d’échecs de la politique
économique française », nous parler de la croissance. Ou plus précisément du manque de
croissance dont tu crains qu’il ne soit durable. Soyons clair, faudra-t-il que
nous nous contentions définitivement, dois-je dire au mieux, d’une croissance
de 1,5% à 2%, telle que celle que nous espérons encore pour 2016 en
France ? Pourquoi ? Quelles sont ou seraient les causes de cette
anémie pernicieuse, de cette
« languitude économique» en osant ce néologisme.
Et, si c’est le cas, comment doit-on organiser la société,
quelles actions l’Etat doit-il mener pour qu’elle ne se traduise pas, à moyen
terme, par un chaos social.
Sur la première partie du sujet, la croissance languissante,
à titre purement introductif, je voudrais brosser un tableau élémentaire de départ des connaissances sur le sujet. On
apprend à nos étudiants que la croissance a deux facteurs : les hommes,
c’est-à-dire la population active disponible et le capital. En fait, dans cette
optique, elle en a trois, car il faut ajouter le facteur « mystère »,
ou plutôt le « bouche trou », que dans la fonction de production la
plus simpliste, celle a deux facteurs seulement on mesure par la marge
d’erreur, l’écart type de l’ajustement aux deux premiers.
Ce « bouche trou » on l’appelle PGF, productivité
globale des facteurs a, c’est-à-dire la croissance du PIB résultant d’une
augmentation unitaire des deux facteurs de base, travail et capital. Une
question tout de même, qui semble
aujourd’hui « ringarde », le capital peut-il avoir une
productivité ? Une machine, une liasse de billets pour l’acheter, sont-elles
capables de produire sans les hommes ? A cette question les économistes
d’aujourd’hui répondent avec cette productivité globale des facteurs, qui
élimine la question en considérant que les deux facteurs ne font qu’un. En un
sens, c’est tant mieux, car cela évite de délicates questions de doctrine.
C’est sur cette productivité qu’aujourd’hui les questions se
posent. Cette productivité, elle est évidemment liée au progrès technique
incorporé dans le capital, mais aussi à celui qui est dans la tête des
travailleurs. D’ailleurs divers collègues ont écrit, à la suite de Cobb et
Douglas, des fonctions de production incorporant le progrès technique, ou la
quantité d’information technologique présente dans les machines et les têtes.
Devant la difficulté de « mathématifier » des
fonctions de production de plus en plus complexes, nombre de nos collègues ont
d’ailleurs fini par ignorer , en quelque sorte, les deux facteurs, et revenant
au célèbre Joseph Schumpeter, mettre le progrès technique devant, à long terme
au moins, au-delà de la conjoncture, comme seul facteur de croissance donc de
production. Schumpeter, ses grappes d’innovations cycliques, et sa
destruction-créatrice : destruction des vielles entreprises et de leurs
vieilles machines pour les remplacer par des neuves !
Je te laisse le soin de développer ou contredire, mais tu
n’échapperas pas s’agissant de la période actuelle, au paradoxe de Robert Solow,
prix Nobel 1987, qui, la même année, s’étonnait, je cite « que
l’introduction massive des ordinateurs dans l’économie, contrairement aux
attentes ne se traduisait pas par une augmentation statistique de la
productivité » .
Taux de croissance
annuels de la productivité globale des facteurs
1985-90
1990-95
1995-200
2000-07
2007-11
France
1,7
1,1
1,3
0,9
-0,3
Allemagne
1,4
1,1
1,1
0,1
Roy-Uni
0,4
1,6
1,4
1,5
-2,4
Etats-Unis
0,7
0,7
1,5
1,4
0,8
Japon
0,7
0,7
0,7
1,1
0,3
Source : OCDE et autres
Je ne sais pas si tu valides ce tableau de chiffre de la
productivité globale des facteurs. Elle laisse entrevoir un net ralentissement
pour la France, l’Allemagne, et le Japon, moins net pour les Etats-Unis et une
évolution chaotique pour cette Angleterre dont on fait un modèle. Or, effectivement, ces années sont celles de
l’explosion de l’informatisation, celle du passage à la production 2.0 puis
même aujourd’hui à la société 2.0. Comment
se fait-il que cette explosion ne se traduise pas dans les chiffres.
J’avance une explication : sur 2000-2011, il y a eu le
creux de 2008-2009. Or on mesure cette productivité avec une fraction dont,
sous une forme ou une autre, le numérateur est la production. Si elle baisse ou
ralentit, si le numérateur diminue, comme en 2008-2009, la fraction diminue
mécaniquement
Et il y a , je crois , une autre raison, que tu as d’ailleurs
expliquée un jour dans un article du Monde, et que sans doute tu vas
reprendre : l’informatique, c’est non seulement une augmentation de la productivité du travail- j’ai organisé
la dématérialisation des titres dans une banque , des chèques, des retraits
d’espèces et j’ai pu l’observer de près, mais c’est aussi une offre
surabondante de nouvelles informations, dont se servent les entreprises, mais
,qu’elles ne comptent pas dans leur production, et qui est pourtant produite quelque
part. C’est aussi, ces derniers temps, l’horizontalisation des échanges
sociaux, de transports, d’appartements, de repas …qui ne sont pas non plus, en
tous cas pas encore, relevés comme production, puisqu’ils ne sont d’ailleurs
pas encore taxés.
Je crois donc qu’il n’est pas tout à fait exact de dire que
la productivité baisse. Qu’en penses-tu ? Le progrès technique se ralentit-il ?
Avons-nous connu une période exceptionnelle dans l’après-guerre, certains
disent même depuis 250 ans, et rentrons nous dans la grande stagnation. Que
faire ? Mot(s) clés libre(s) : croissance économique, productivité, PIB
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IPM 2007. Une chaîne éditoriale en médecine : pourquoi et comment ?
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 30-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MAJADA Manuel
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Manuel Majada, de l'UTC de Compiègne, revient sur les principes des chaînes éditoriales : un principe de rationnalisation et un principe d'instrumentation technologique et explique leur intérêt et leur fonctionnement. Ils ne sont pas simples à mettre en oeuvre. L'objectif de cet outil est d'entrer dans le document pour améliorer la productivité. Il faut améliorer les usages. La pérennisation du document est primordiale aussi. Une expérience remarquable a été faite à Beyrouth ainsi que l'Université de Sfax.
SCD médecine Nancy 1 mpa Mot(s) clés libre(s) : chaîne éditoriale, étudiants, IPM 2007, pédagogie médicale, pérennisation, productivité, rationnalisation, usages
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La ville portuaire : modèle de productivité dans la mondialisation (Thierry Baudouin)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Conseil de Développement du Grand Lyon, ENS-LSH
/ 13-11-2008
/ Canal-u.fr
BAUDOUIN Thierry, WORMSER Gérard
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Les villes mondialisées ont besoin d'interfaces de plus en plus complexes : un port maritime, fluvial, aérien, routier, numérique... Disposer de beaucoup de ces ports dépend bien plus des stratégies des villes que de leur taille. La mondialisation est une opportunité à saisir et à construire par chaque acteur. Mais nos villes sont en général mal placées pour organiser les branchements sur les flux de la mondialisation. Le système fordien, jacobin et industriel ne favorise nullement la réussite des villes, parce que jouer la compétition classique entre territoires relativement à un centre permanent n'est pas pertinent dans la concurrence mondiale. Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, productivité, réseaux, responsabilités, risques, ville, port, ville portuaire
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Le roman à thèse. Idéologie et histoire au cœur de la fiction
/ Christian Bailly, ENS de Lyon, IFÉ - Institut Français de l'Éducation, Martine Watrelot
/ 29-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
Gugelot Frédéric
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Texte prétexte, le roman à thèse sature tout l’espace d’interprétation offert aux lecteurs, il atteint ainsi son but idéologique mais il se condamne à dépendre pour sa postérité des aléas historiques. La logique d’interprétation de l’ouvrage doit alors faire appel aux enjeux du moment de sa réception pour en saisir toutes les logiques de production. Mot(s) clés libre(s) : attente sociale, Église, Gilbert Cesbron, Henri Perrin, Michel de Saint-Pierre, productivité symbolique, public catholique, réception
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