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Session 1 — Historiciser la ville néolibérale -
The Color of War: Race, Neoliberalism and Punishment in late Twentieth Century Los Angeles
/ Delphine RIVES
/ 26-06-2015
/ Canal-u.fr
MURCH Donna
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Donna Murch — Rutgers University
The Color of War: Race, Neoliberalism and Punishment in Late Twentieth Century Los Angeles
[La couleur de la guerre : la question raciale, le néolibéralisme et les sanctions pénales
à Los Angeles à la fin du xxe siècle] Mot(s) clés libre(s) : question raciale, néolibéralisme, politique participative
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Session 2 — Question raciale et participation politique -
Race and Participatory Technologies in the Neoliberal City
[La question raciale et les technologies participatives dans
la ville néolibérale]
/ Delphine RIVES
/ 26-06-2015
/ Canal-u.fr
MC QUARRIE Michael
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Michael McQuarrie — London School of Economics
Race and Participatory Technologies in the Neoliberal City[La question raciale et les technologies participatives dansla ville néolibérale] Mot(s) clés libre(s) : question raciale, néolibéralisme, politique participative
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La géographie des conflits / Yves Lacoste
/ Jean JIMENEZ, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 30-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LACOSTE Yves
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La géographie des conflits / Yves Lacoste. Conférence organisée par les Cafés géographiques et le Conseil Scientifique de l'Université Toulouse II-Le Mirail dans le cadre des Mercredis de la connaissance. Université Toulouse II-Le Mirail, 30 mars 2011. [Thème au programme des concours externes CAPES et Agrégation 2011-2012]. Yves Lacoste : « Il faut distinguer différents types de conflits à la surface du globe, en fonction de leur ampleur, de leur contexte politique, des caractéristiques des adversaires : ainsi après le gigantesque conflit que fut la Seconde Guerre mondiale, les luttes pour l’indépendance de la 2° moitié du XX° siècle, et les confrontations entre « monde libre » et « monde communiste » elles aussi de la 2° moitié du XX°, n’existent plus aujourd’hui. Les conflits qui viennent d’éclater au sein de différents pays arabes ne sont pas au premier chef géopolitiques (leurs enjeux sont surtout sociaux, et non pas territoriaux), mais leurs contre - coups seront sans doute géopolitiques. Il est utile de prendre un cas précis pour montrer le grand intérêt du raisonnement géographique dans l’analyse des conflits. Le problème israélo-palestinien (appelé d’abord israélo-arabe) est assurément le conflit le plus ancien (il date de 1948, mais remonte en fait aux années trente) qui apparaît aujourd’hui, comme pouvant devenir encore plus dangereux au plan international, bien qu’il porte seulement sur 35.000 Km2 (au sens large, Israël 26.000 Km2) soit l’équivalent de la surface de la Bretagne. Une donnée éco-géographique première est presque toujours ignorée de toutes les analyses des origines de ce conflit : le fait que l’étroite plaine littorale (200 km x 25-40) qui correspond à la partie aujourd’hui la plus peuplée du territoire israélien, était extrêmement peu peuplée (sauf le cordon littoral) au milieu du XIX° siècle, à cause de la présence de nombreux marais et de ce fait du paludisme. Sans cela, les immigrants sionistes n’auraient pas pu y acheter des terres à des notables arabes et commencer à s’implanter en Palestine, avec l’accord de l’empire ottoman ». [source : Cafés géographiques]. Mot(s) clés libre(s) : conflit israélo-arabe, conflits internationaux, géographie historique, géographie politique, géopolitique, Guerre des Six Jours (1967), questions territoriales
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/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 06-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
FRIEDRICHS Jürgen
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Mot(s) clés libre(s) : logement social et urbanisme, mixité sociale, politique du logement (Australie), poltique du logement (Europe), questions urbaines, sociologie de l'habitat
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Planning social mix. A critical review of programs [VF] / Jürgen Friedrichs
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 06-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
FRIEDRICHS Jürgen
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Planning social mix. A critical review of programs [version française] / Jürgen Friedrichs. In "Mixité : an urban and housing issue? Mixing people, housing and activities as urban challenge of the future", 23ème colloque international de l'European Network for Housing Research (ENHR), organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) à l'Université Toulouse II-Le Mirail, 5-8 juillet 2011.Plénière 1: Mixité, diversity: pertinent notions?, 6 juillet 2011.Social mix has been a goal of urban planning since long time, from the the Cadbury (Bournville) estate at the end of the 19th century up to programs in the early 21st century. These programs aim at improving or establishing neighbourhood opportunity structures by modifying the social composition of residents. In order to achieve this goal, the structure is supposed to change from state A to a desired state A’ by implementing specific measures. In terms of social science methodology, this measure is an application of an empirical law. The measure ”If more homes to buy are offered, this will attract upper middle class households to the neighbourhood” rest upon the empirical evidence of a high propensity of middle class households to become homeowners. More generally speaking, programs aim at planning social behavior. Based upon this methodological reasoning, the paper assesses social mix programs in several countries, among them Australia, The Netherlands, and the United Kingdom. The analyses pertain to a) the type of social mix to be achieved, b) the measure suggested to achieve this goal, c) the empirical evidence for the implicit propositions. The major conclusions derived from the inspection of social mix programs are: social mix is not specified precisely (dimensions? share of which groups?), and many propositions on household behaviour rest upon shaky empirical evidence. Thus, the feasibility of planning social mix is overestimated.> La traduction en français est assurée par Mme Solange Hibbs (directrice du Département Centre de Traduction, d'Interprétation et de Médiation linguistique (CETIM) de l'université Toulouse II-Le Mirail, membre de l'Association Internationale des Interprètes de Conférence-AIIC). Mot(s) clés libre(s) : mixité sociale, politique du logement (Australie), poltique du logement (Europe), questions urbaines, sociologie de l'habitat
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La France de 2012 a-t-elle encore une identité géographique ? / Armand Frémont
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 25-01-2012
/ Canal-U - OAI Archive
FRÉMONT Armand
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Texte de présentation de la conférenceL’identité de la France est un objet obscur. Le territoire national avait trouvé son aboutissement à la frontière physique. Aujourd’hui la solidarité, la socialité et l’être ensemble ne se définissent plus uniquement par référence à une étendue spatiale continue sur laquelle s’exerce la souveraineté de l’État-national. Les frontières qui se dessinent à travers les réseaux sociaux ou la conscience partagée d’enjeux devenus planétaires sont à géométrie variable.De façon assez paradoxale, Paul Vidal de la Blache, le fondateur de l’École française de Géographie, voyait dans la carte de la répartition, sur le territoire français, des masses minérales qui constituaient la diversité des identités régionales, « une grande figure d’harmonie, une individualité maîtresse, mais dans laquelle s’inscrivent des individualités secondaires, des régions étendues de physionomies diverses […] une heureuse combinaison qui a facilité chez nous la fusion des races, qui a présidé à l’unité de notre histoire ». Le ou les territoires de cette « heureuse combinaison » sont aujourd’hui à réinventer.Certes, l’identité géographique de la France est solidement fixée au moins depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, en fait depuis la Troisième République : le territoire de l’hexagone national est reconstitué (cas de l’Alsace et de la Lorraine réglé), la centralisation en tous domaines intégrée, la parcellisation communale intangible, les paysages constitutifs d’une image géographique unifiée assimilés, par l’école notamment.Ces figures expriment une certaine permanence des champs de référence du débat sur la république nationale. De façon très incertaine, la République s’est imaginée et imposée, dans un esprit à la fois moderniste et nationaliste, à partir en particulier de trois lobbies : agricole, colonial et laïc. L’identité nationale a été travaillée en profondeur par ce qui, dans la violence souvent, a pris le statut de mythes, au sens anthropologique du terme. Il n’est donc pas étonnant de les retrouver -tels quels ou leurs avatars- réactivés dans le débat actuel sur l’identité de la France, au moment où la nation doutant à nouveau d’elle-même a du mal à se projeter dans une vision cohérente de son devenir.On peut s’interroger sur la pérennité des formes de cette identité : l’Europe, la mondialisation, la mobilité de la population, internet…mais aussi les mouvements régionaux, la régionalisation, l’outre-mer, l’émigration et le passé colonial, l’école elle-même, modifient la donne initiale. Vers une autre France, plus ouverte sur le monde, ou bien vers un repli identitaire ? Le grand débat en cours comprend incontestablement une forte composante géographique.La France de 2012 a-t-elle encore une identité géographique ? / Armand Frémont. Conférence-débat organisée dans le cadre des Mercredis de la connaissance et les Cafés géographiques à Toulouse, présentée par Bernard Charlery de la Masselière et animée par Robert Marconis, Université Toulouse- II-Le Mirail, 27 avril 2012. Mot(s) clés libre(s) : écologie humaine, géographie humaine, géographie politique (France), identité collective (France), questions territoriales (France), territorialité humaine (France)
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Amiens 2005 : Journées Ethique et douleur. Discussion de la première session
/ 16-09-2005
/ Canal-U - OAI Archive
FARDELLONE Patrice, BERTIN Philippe, LAUDE Maurice, SERRA Eric
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Discussion de la première session : Aspect épidémiologique. Aspect sémiologique. Avancées récentes dans le domaine du traitement des douleurs.
Origine
Ethique et douleur : 5e Journées pédagogiques d'Ethique médicale d'Amiens, Amiens, septembre 2005
Générique
Indexation : SCD Médecine Nancy I Mot(s) clés libre(s) : amiens, discussion, douleur, éthique médicale, questions-réponses
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AQIS 2008 - Séance de questions
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 28-01-2008
/ Canal-U - OAI Archive
BOYER C., SILBER Denise, RENAHY Emilie, LAVERSIN Sabine, NABARETTE Hervé
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Questions sur le fonctionnement de la fondation, la santé en général, la certification. Une partie d'un site seulement peut être certifiée. La HON passe trois à quatre heures pour étudier un site. La fondation recrute elle même ses certificateurs de langue française.
SCD médecine nancy 1 mpa Mot(s) clés libre(s) : AQIS 2008, certification, évaluation, fondation, HON, information, questions, site
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/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Économie et Humanisme, ENS-LSH, Conseil de Développement du Grand Lyon
/ 19-04-2007
/ Canal-U - OAI Archive
BODY-GENDROT Sophie, WORMSER Gérard
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Mot(s) clés libre(s) : ENS Lyon, Gérard Wormser, gouvernance des peuples, insécurité, instrumentalisation politique, Les conférences du Grand Lyon 2006-2007, peur, questions société, séparatisme social, Sophie Body-Gendrot, tensions sociales, ville
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La peur détruira-t-elle la ville? (Sophie Body-Gendrot)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Économie et Humanisme, ENS-LSH, Conseil de Développement du Grand Lyon
/ 19-04-2007
/ Canal-u.fr
BODY-GENDROT Sophie, WORMSER Gérard
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La peur facilite la gouvernance des peuples, mobilise les citoyens, légitime un séparatisme social spontané. Son instrumentalisation politique et médiatique est ciblée sur la ville, car celle-ci est la métaphore des tensions sociales. L'«insécurité» cache un refoulé de questions majeures pour les sociétés et pour les habitants des villes, en particulier. Mot(s) clés libre(s) : peur, Sophie Body-Gendrot, séparatisme social, questions société, instrumentalisation politique, gouvernance des peuples, Les conférences du Grand Lyon 2006-2007, Gérard Wormser, ENS Lyon, ville, insécurité, tensions sociales
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