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Les religions face aux théories et aux politiques de la "race" 4
/ Jean René BORELLY
/ 03-06-2016
/ Canal-u.fr
WILLEMS Marie-Claire, FARHAT Benjamin
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Racialisation et ethnicisation du religieux : Perspectives sociologiques et anthropologiques
Présidence :
Simona Tersigni (Université Paris-Ouest Nanterre/Sophiapol)
Intervenants :
- Marie-Claire Willems (Université Paris-Ouest Nanterre/Sophiapol)
« Socio-sémantique historique des usages du terme « musulman » : processus d’ethnicisation, de racialisation et de confessionnalisation en tension »
Mes recherches interrogent le sens donné au terme « musulman » d’un point de vue socio-sémantique historique et contemporain en considérant l’hétéro-catégorisation et l’auto-catégorisation en tant que musulman-e-s. Tout en s’inscrivant dans le champ de la sociologie, elles mobilisent une approche sémantique et historique avec pour objectif d’appréhender le passé et le présent des processus de catégorisation. Dans cette communication, je présenterai donc l’influence des différents cadres d’énonciation socio-historiques sur les représentations de la catégorie « musulman » principalement en ce qui concerne quatre moments essentiels en France : les premiers ancrages du terme « musulman » en langue française, le cadre de l’Algérie coloniale, les guerres mondiales et décolonisations et le tournant des années 1980. Selon les différentes conjonctures sociales et historiques, les usages du terme « musulman » et les processus de catégorisation qu’ils sous-tendent se construisent en tension entre processus d’ethnicisation, de racialisation et de confessionnalisation. Cette présentation permettra donc de proposer des clefs d’analyse pour penser la situation actuelle car, d’un point de vue sociétal, la catégorie « musulman » ne peut être aujourd’hui considérée comme une unique appartenance religieuse. J’interrogerai ainsi le passage d’une catégorie religieuse à une catégorie ethnico-raciale - et vice versa - avec une vision diachronique et synchronique.
– Benjamin Farhat (Université Paris VIII/LEGS)
« Le fait scolaire ‘‘ramadan’’ : approcher les dimensions ethnoreligieuses de l’expérience scolaire »
Depuis la fin des années 1980, avec les premières « Affaires » du voile et l’émergence du thème de l’ « inculture religieuse », les manifestations de l’ethnicité et du religieux à l’école sont au centre d’un important débat dans la société française, dans les champs politiques, médiatiques et scientifiques. Si les analyses diffèrent sensiblement d’un champ à l’autre, elles proposent une même lecture des réalités scolaires : elles construisent l’ethnicité et le religieux à l’école comme des objets autonomes et distincts, pouvant être pensés séparément, et appréhendent l’un et l’autre comme un « problème » (social, scolaire et culturel), qui serait à la fois la cause et la conséquence des maux qui affectent l’école et la société : la précarité, l’exclusion, la discrimination, le communautarisme,
l’échec scolaire, la violence... Les dimensions ethniques et religieuses de l’expérience scolaire sont ainsi enfermées dans les registres de la violence, de la transgression et de la désorganisation. Au travers d’une étude empirique de l’organisation de la fête du ramadan dans l’école (au sein d’un établissement ethniquement ségrégué, concentrant des publics d’élèves musulmans) je me propose de rendre compte des complémentarités et des liens d’interdépendance des processus ethnicisés et religieux, de leur intervention dans la négociation locale de l’ordre scolaire et dans la construction des expériences scolaires des différents acteurs (enseignants, surveillants, chef d’établissement, CPE, élèves). Cette communication, qui repose sur l’étude de la prise en charge institutionnelle (la « contractualisation ») de la pratique religieuse et de son organisation collective par les élèves, me donnera l’occasion d’envisager les dimensions structurantes de l’ethnicité et du religieux dans la détermination de l’ordre. Mot(s) clés libre(s) : religion et politique, religion et Etat, RELIGION ET RACE
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Biljana la femme-guérisseuse, Budisava, Serbie
/ 19-02-2000
/ Canal-u.fr
VIVOD Maria
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Biljana la femme-guérisseuse, Budisava, Serbieun film de Maria Vivodfilm et montage : Maria Vivodassistance technique : SCAVtraduction francaise Vladimir Fisera et Maria Vivod
musique choeur des moines de Chevetogne, Chants de la liturgie slavonne
son Maria Vivod Ambre Muller & Astrid Marchioli
SCAV, Université Marc Bloch de Strasbourg1ère partie tournage en 2000interview avec commentaire et traduction en français sur les activités de cette guérisseuse
thérapie sur une vieille femme - feu - oreillethérapie plomb
thérapie jeunes femmes par la mère de Biljana - courge calebasse massage graisse Le film a été enregistré en hiver 2000, en Serbie Monténégro actuelle, c’est à dire, ce qui reste de l’ancienne fédération yougoslave. Plus précisément, il s’agit de la province au nord de ce pays, dans la région de la Voïvodine, à 150 km au sud de la frontière hongroise.
Le village où j’ai filmé s’appelle Budisava, à 15km de la capitale de la Voïvodine, Novi Sad. Le tournage s’est fait en février, soit presque un an après le commencement des bombardements de l’OTAN. Uniquement sur la ville de Novi Sad une quantité extraordinaire de 60 000 tonnes du matériel explosif sont tombés. C’est juste pour dessiner un croquis rapide de l’état d’esprit des gens qui étaient filmés pendant ces deux semaines…
Le sujet de mon film est Biljana, une femme serbe qui a quitté son poste de secrétaire de l’école primaire de son village pour se consacrer, comme elle le dit, à son métier de « guérisseuse populaire ». Elle devient très connue dans la région : les gens en cherchant une aide à leurs problèmes et à leurs maladies viennent la voir de loin.
Biljana n’est pas l’unique guérisseuse : depuis le début des années 90, quand les guerres civiles ont éclatées l’une après l’autre, les guérisseurs, les herboristes, les rebouteux et les voyants ont ressurgi après 40 ans de joug communiste qui interdisait et réprimait toute pratique de médecine dite « alternative ». La publicité par la télévision ou la radio est un moyen que ces guérisseurs utilisent pour se faire connaître. Dans la société serbe contemporaine il est devenu acceptable, voir « normal » de s’adresser aux médecins populaires, plus souvent appelés « traditionnels ».
Biljana est rebouteuse et pratique des massages. Elle prêche également le retour à la foi orthodoxe serbe. Mais sa réputation vient surtout d’un procédé qu’on appelle en langue serbe « salivanje strave », « olomöntés » en hongrois, soit dans une traduction libre (littérale ?) « faire fondre la peur ».
Dans les Balkans, et une partie de l’Europe Centrale, la fonte du plomb, presque toujours pratiquée par des femmes, est célèbre.
Elle permet notamment de guérir certains désordres psychiques et particulièrement la « maladie de la peur » : le « fras » en serbe ou « fràsz » en hongrois, une entité nosographique populaire qui se manifeste – le plus souvent chez les enfants en bas âge, mais aussi chez les adultes –, par un état d’anxiété aiguë et de nervosité, accompagné de cauchemars .
Mais les femmes qui fondent le plomb utilisent aussi cette technique pour établir un diagnostic et prédire l’état de santé des personnes venues consulter.
Biljana par exemple fait fondre le plomb pour presque chaque patient dans un but diagnostique. La forme du plomb fondu lui permet ainsi de voir ce dont souffre le consultant, ses maladies chroniques ou encore celles du passé. Par exemple, des petites cavités régulières évoquent des kystes ovariens chez les femmes, une forme du cœur – des maladies cardiovasculaires- etc.
Mais en répétant ce procédé (trois) plusieurs fois, elle peut non seulement traiter la maladie diagnostiquée mais aussi prévoir l’état de santé futur de la personne . Le succès du traitement est attesté lorsqu’elle obtient l’éclatement du plomb brûlant plongé dans l’eau, qui s’exprime par un bruit caractéristique et par la forme explosée qu’acquiert le métal fondu lors de sa solidification brutale.
Mais c’est principalement de la fonction divinatoire de cette méthode qu’il sera question dans le film présenté aujourd’hui, bien que cette dimension ne soit pas essentielle dans la pratique courante de Biljana. Elle affirme en effet qu’elle évite de dire aux patients ce qu’elle voit dans le plomb concernant l’avenir. Néanmoins, quelquefois, elle fait des exceptions et la forme du plomb permet alors de dévoiler des évènements futurs, les points faibles de l’individu, le développement probable de maladies, le délai dans lequel ces manifestations sont susceptibles de survenir. Mais pour parfaire ses prévisions, Biljana cherche à connaître le comportement religieux du consultant, en particulier le respect des principes et des règles prescrits et valorisés par l’église orthodoxe : le jeûne, les dimanches ou encore la façon dont la personne célèbre sa « slava », la fête du saint protecteur.
L’énoncé divinatoire est alors toujours acompagnée de recommandations relatives à la foi et la pratique religieuse : un zèle de la foi à laquelle il appartient (uniquement pour les personnes chrétiennes !), le respect des tabous (ne pas laver ses cheveux et son linge les dimanches, fréquenter l’église, se confesser régulièrement). Sous réserve que ces prescriptions soient respectées, la probabilité de survenue des maladies prédites devient minime.
Biljana peut également pratiquer la technique du plomb fondu en l’absence de la personne concernée. Elle utilise dans ce cas , comme nous allons le voir dans le film, un substitut nommé « zamena » - « échange » dans la langue serbe : un morceau de vêtement ou la photo de la personne absente. (M.V.)2ème partie tournage en 2005Consultation d’une femme par une femme guérisseuse dans son cabinet de consultation. Thérapie par incantation - Conjuration.
L’attention est portée à l’acte de l’incantation que Biljana appelle ‘prière’
Le plomb fondu est à la fois un objet divinatoire et thérapeutique Mot(s) clés libre(s) : feu, incantation, graisse, pain, fille, thérapie, mère, interaction enfant, ventouse, bocal, bougie, mal, Vostrog, icône religieuse, Budisava, Voïvodine, saint, sel, christianisme, peur, maladie, guerre, religion, femme, vidéo, massage, Serbie, orthodoxie, film ethnographique, divination, guérisseur, guérissage, Balkans, Europe
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Qu'est ce qu'une religion - Odon Vallet
/ UTLS au lycée
/ 24-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
VALLET Odon
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Une conférence de l'UTLS au LycéeQu'est ce qu'une religion par Odon ValletLycée René Cassin (77 Noisiel) Mot(s) clés libre(s) : catholicisme, islam, judaisme, religion
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Les religions : coexistence pacifique ou affrontement ? - Odon Vallet
/ UTLS - la suite
/ 24-11-2006
/ Canal-U - OAI Archive
VALLET Odon
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Une conférence de l'UTLS au lycéeAvec Odon Vallet (docteur en sciences des religions) Mot(s) clés libre(s) : communautarisme, guerres de religions, histoire, religion
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Les religions - Odon Vallet
/ UTLS - la suite
/ 09-02-2007
/ Canal-U - OAI Archive
VALLET Odon
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Un conférence de L'UTLS au lycéeavec Odon ValletLes religions Lycée André Malraux (77130 Montereau-Fault-Yonne) Mot(s) clés libre(s) : communautarisme, guerre de religion, histoire, religion
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L'Islam - Odon Vallet
/ UTLS au lycée
/ 06-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
VALLET Odon
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Une conférence de l'UTLS au LycéeL'Islam par Odon ValletLycée du Parc de Loges (91 Evry) Mot(s) clés libre(s) : histoire des religions, islam, religion
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État islamique et religions islamiques
/ Mission 2000 en France
/ 26-10-2000
/ Canal-U - OAI Archive
TOZY Mohammed
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État islamique et Religions Islamiques par Mohamed Tozy Le titre de cette communication est un parti pris délibéré qui fait violence à la catéchèse qui a permis ma socialisation dans la religion musulmane ainsi qu'aux principes reçus dans le cadre de ma formation académique. Il renvoie à une prise de position assumée en faveur de l'historicité et une mise en perspective d'un imaginaire unitariste qui a forgé notre représentation de l'Islam : pour les uns en tant qu'altérité radicale et pour les autres en tant que stigmate " indélébile " qui rend possible l'existence de soi dans le monde. Il s'agit d'inverser la proposition d'un Islam unique entretenant des relations plus ou moins suivies avec des variations sous des formes historiques différentes fruit des croisements de la géographie et de la culture, allant de la principauté aux États islamiques en passant par les empires. Une analyse historique et philosophique de l'Islam aussi bien dans le passé qu'actuellement nous met en présence d'une religion plurielle aussi bien à travers ses producteurs d'orthodoxie (les oulémas) que dans ses modes d'appropriation par les croyants à travers le monde. De plus, la thèse d'un Islam unique signifierait l'acceptation d'une vision mythologique des acteurs en incorporant sans discussion aucune le discours idéologique sur le panislamisme. Un concept crée à la fin du XIXe siècle à la faveur du mouvement de reflux de l'Islam et dans une perspective de " réforme " initiée par l'empire ottoman et prise en charge par les élites arabes dans le cadre de ce qu'on a appelé la Salafiya. On verra plus loin les vicissitudes historiques de ce concept et l'incapacité de ces élites à défier les logiques des états nations qui vont utiliser l'Islam comme un référentiel second qui va venir très loin derrière le nationalisme et le socialisme. Mot(s) clés libre(s) : Coran, fanatique, idéologie, islam, islamisme, religion, terrorisme
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Salafismes au 20ème siècle - Dominique Thomas
/ 06-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
THOMAS Dominique
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Notre approche dans cette communication consiste dans un premier temps à déterminer les nouveaux labels et référents idéologiques de ce qu’il convient de nommer aujourd’hui le courant salafiste et sa branche djihadiste, dans le but d’appréhender les évolutions politiques et doctrinales de l’idéologie de l’islam politique de ces dernières décennies.
Dans une seconde partie, nous présenterons les grandes évolutions de la mouvance, ses aspects particuliers sur les différents territoires dans lesquels elle a pu prendre souche. L’objectif est de voir comment la doctrine salafiste, qui vise à redonner une lecture dite puriste des textes, se décline sur différents territoires et parvient à cohabiter avec d’autres courants du champ religieux. A côté d’un salafisme traditionnelle, à la fois piétiste et revivaliste, est apparu une autre forme de salafisme, plus politique et qui s’est inscrit dans un esprit de rupture voire de confrontation violente. Quel est le particularisme de ce courant hybride. Depuis le11 septembre 2001, la majorité des actions armées perpétrées au nom de l’islamisme radical ont été commises par des activistes se réclamant de ce corpus idéologique et utilisant des labels politiques et organisationnels nouveaux dans le champ du djihad, tels que ceux de « tawhîd » ou de « takfîr ». L’apparition de ces référents idéologiques, notamment de l’action armée, remonte à peu près à la fin de la guerre en Afghanistan en 1989. Si, à l’instar des mouvements islamistes radicaux antérieurs, le salafisme djihadiste appelle à un retour à la communauté originelle de l’islam et à l’instauration du califat, il ne vise plus seulement à renverser les régimes en place dans le monde arabe, mais proclame la rupture avec l’Etat-nation et toutes les institutions qui le structurent. Mot(s) clés libre(s) : islam, religion
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Les religions face aux théories et aux politiques de la "race" 3
/ Jean René BORELLY
/ 03-06-2016
/ Canal-u.fr
TERSIGNI Simona
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Racialisation et ethnicisation du religieux : perspectives sociologiques et anthropologiques
Présidence :
- Simona Tersigni (Université Paris-Ouest Nanterre/Sophiapol)
intervenant :
– Alexis Artaud de la Ferrière (EPHE/GSRL)
« Les communautés africaines catholiques en France. Une fenêtre sur la notion troublée de ‘‘race’’ au sein de l’Eglise »
La diversité est une problématique qui soulève des tensions dans les positions et les pratiques de l’Eglise catholique. Selon la doctrine sociale de l’Eglise, les différences d’ethnicité ou de nationalité doivent être subordonnées à l’universalité de la dignité humaine. Pour certains, cette universalité impose l’idée que la condition d’exil est enracinée dans la nature humaine ; le chrétien ne peut s’identifier à aucun lieu, aucune terre, aucun enracinement de type biologique (race), ethnique, national, culturel. Pourtant, d’autres textes insistent sur la richesse humaine que constitue la diversité des peuples et postulent que tout peuple détient des « droits culturels ». Au sein de l’Eglise catholique en France, la problématique de la diversité est abordée par le biais de l’appartenance culturelle ou nationale. Ainsi, les communautés africaines en France sont regroupées dans une aumônerie partagée, ce qui pose question. Cette tension interne est le fruit
d’ambigüités dans l’approche à la diversité ; ambiguïtés partagées par l’Eglise et par la société française. L’objet de cette étude est de mieux comprendre le rôle que joue le concept de race dans les pratiques religieuses des communautés africaines catholiques en France, et d’analyser comment la différence raciale est devenue un facteur d’organisation et de différenciation ambiguë dans l’Eglise catholique en France. Il apparaît notamment qu’il existe un écart notable entre les Africains catholiques en France et des responsables ecclésiaux français sur la signification et l’importance de la notion de race. Mot(s) clés libre(s) : religion et politique, religion et Etat, RELIGION ET RACE
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Michel Tardieu (Collège de France), Le pluralisme religieux
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, COLLEGE DE FRANCE
/ 13-06-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Tardieu Michel
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CHAIRE DE PHYSIOLOGIE DE LA PERCEPTION ET DE L'ACTIONM. Alain BERTHOZ, ProfesseurSéminaire 2007-2008 sous forme de colloque internationalLA PLURALITÉ INTERPRÉTATIVEFONDEMENTS HISTORIQUES ET COGNITIFS DE LA NOTION DE POINT DE VUE.Organisé avec les Professeurs Brian Stock et Carlo Ossola12 et 13 Juin 2008Amphithéâtre Marguerite de Navarre9h30 Michel Tardieu (Collège de France), Le pluralisme religieuxVoir la liste des vidéos Mot(s) clés libre(s) : interprétation, pluralisme, pluralité, point de vue, religion, représentation
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