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Le migrant connecté (Dana Diminescu)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Conseil de Développement du Grand Lyon, ENS-LSH
/ 18-12-2008
/ Canal-u.fr
DIMINESCU Dana, WORMSER Gérard
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Partons de l'univers-maison d'une famille philippine de Paris : l'écran d'ordinateur donne accès à leur maison de Manille. D'où un paradoxe : au cœur du « déracinement », on trouve des attaches et des liens préservés. Le programme « TIC et migrations » montre que migrer n'est plus incompatible avec la conservation de liens et de contacts ! Nouvel enfermement communautaire ? Possible, mais s'accompagnant alors d'une manière nouvelle de vivre ensemble. Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, migration, réseaux, risques, ville, migrant, responsabilitsés
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Le smartphone, votre 6e sens ? (série Unithé ou café)
/ Elena Carvajal, INRIA (Institut national de recherche en informatique et automatique)
/ 04-10-2013
/ Canal-u.fr
Carneiro Viana Aline
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Comme tous les matins, vous vous connectez au site du Monde depuis votre smartphone en attendant le RER. Mais ces derniers temps, cela va beaucoup plus vite. En effet en compilant les « traces » qui ont été collectées auprès de milliers d’utilisateurs et géolocalisées sur différents sujets, il a été possible de déterminer votre routine et celles de vos voisins de wagons, et d’anticiper le pré-chargement d’un contenu spécifique sur la borne wifi la plus proche. Nous verrons que chaque trace peut être une mine d’informations utiles, pour pouvoir ainsi prévoir les comportements, déployer des spots wifi de façon plus efficace dans une ville, envoyer des messages d’alertes adaptés, ou vous conseiller un détour en fonction de la concentration de véhicules sur votre chemin. Mot(s) clés libre(s) : informatique, télécommunication, téléphone portable, prédiction, réseaux de télécommunication, Routine, Traces de mobilité
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Le temps des neurones
/ Jean-François TERNAY, C.N.R.S Images
/ 03-01-1998
/ Canal-U - OAI Archive
POUCHELET Marcel, ROSTENE William, TERNAY Jean-François
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Quinze minutes de plongée dans le monde étrange et fascinant de nos cellules nerveuses. Grâce aux techniques de la microcinématographie, les phénomènes les plus complexes qui se déroulent dans le cerveau sont enfin montrés. Nous voyons naître les cellules nerveuses, nous les voyons grandir, travailler, mourir. Ces images mettent en évidence deux acteurs principaux : les cellules gliales, responsables de l'architecture et du nettoyage du cerveau, et les neurones qui ont pour fonction de communiquer en produisant des signaux. Un voyage dans le moi le plus intime.GénériqueAuteurs : Marcel Pouchelet, William Rostène et Jean-François Ternay Réalisateur : Jean-François Ternay Producteur : CNRS Audiovisuel Diffuseur : CNRS Diffusion Mot(s) clés libre(s) : biologie cellulaire, cellule gliale, cellule nerveuse, cerveau, microcinéma, microglie, mort cellulaire, neurone, réseau neuronal
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Le TwittMOOC, un MOOC artisanal pour apprivoiser Twitter / Stéphanie de Vanssay
/ Franck DELPECH, SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 30-06-2015
/ Canal-u.fr
DE VANSSAY Stéphanie
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Le TwittMOOC, un MOOC artisanal pour apprivoiser Twitter / Stéphanie de Vanssay, in "PédagoTICE 2015", colloque organisé par la Direction des Technologies de l’Information et Communication pour l’Enseignement (DTICE) et le laboratoire Cognition, Langues, Langage, Ergonomie, axe "Travail et Cognition" (CLLE-LTC) de l’Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, l'École Supérieure du professorat et de l'éducation Midi-Pyrénées (ESPE) et le Service interUniversitaire de Pédagogie (SiUP) de l’Université Fédérale de Toulouse. Toulouse, 29-30 juin 2015.
Session : Pratiques collaboratives et participatives.
Le TwittMOOC
est un MOOC qui propose à tout débutant sur Twitter d’apprendre à tweeter en
tweetant. Ce MOOC est immersif, participatif et collaboratif. Au-delà des
aspects techniques assez faciles à maîtriser, il s’attache à permettre à chacun
de découvrir les usages possibles de Twitter et
de développer ceux qui conviennent à ses envies et ses besoins, personnels
et/ou professionnels. Créé de façon artisanale, sans appui sur une institution,
ce MOOC s’est construit au fil de l’eau dans le cadre du MOOC eLearn2 et avec
les apports successifs de ses participants. Mot(s) clés libre(s) : internet en éducation, usages du numérique dans l’enseignement supérieur, réseaux sociaux (internet), MOOC (cours en ligne ouverts et massifs)
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Les addictions à l'ordinateur et aux jeu vidéos - Elizabeth Rossé
/ Elizabeth Rossé
/ 23-01-2012
/ Canal-U - OAI Archive
Rossé Elizabeth
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLes addictions à l'ordinateur et aux jeu vidéos par Elizabeth RosséLycée Henri Senez (62 Henin Beaumont) Mot(s) clés libre(s) : internet, réseaux sociaux
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Les animats
/ UTLS - la suite
/ 02-11-2002
/ Canal-U - OAI Archive
MEYER Jean-Arcady
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Contrairement aux ambitions affichées aux origines de la discipline, en 1956, les recherches en intelligence artificielle ont à ce jour largement échoué à reproduire l'intelligence de l'homme, même si un programme d'ordinateur a réussi à battre le champion du monde aux échecs. Quant aux robots modernes, ils ne brillent pas non plus par leur intelligence, même si certaines machines caniformes ou humanoïdes sont de véritables merveilles de technologie. De nombreux chercheurs estiment qu'il est largement prématuré d'espérer reproduire directement l'intelligence de l'homme tant qu'on n'aura pas compris comment elle s'est mise en place au cours de l'évolution. Aussi, dans le but de rechercher en quoi l'intelligence humaine s'explique à partir des processus adaptatifs les plus simples hérités des animaux - et plutôt que de viser directement à comprendre et à reproduire les performances les plus élaborées dont est capable le cerveau - ces chercheurs visent d'abord à synthétiser des animats, c'est-à-dire des animaux artificiels ou des robots réels dont les lois de fonctionnement sont aussi inspirées de la biologie que possible. L'objectif est d'attribuer à ces animats certaines des capacités d'autonomie et d'adaptation basiques qui caractérisent les animaux réels, de façon à leur permettre de "survivre" ou d'assurer leur mission dans des environnements plus ou moins imprévisibles et dangereux. Cette conférence évoquera quelques automates célèbres - du pigeon d'Archytas de Tarente au canard de Vaucanson, en passant par l'androïde de Léonard de Vinci - pour rappeler que la conception de machines inspirées du vivant a été de tout temps une préoccupation humaine. La structure générale d'un animat et son mode de fonctionnement seront ensuite décrits. Ils se caractérisent par le fait que l'animat acquiert des comportements efficaces par interaction étroite avec son environnement, grâce à son architecture de contrôle - équivalent du système nerveux d'un animal - reliant ses capteurs - équivalents des récepteurs sensoriels- à ses actionneurs - équivalents des organes moteurs. Puis divers exemples illustreront la façon dont les animats peuvent eux-mêmes améliorer ou se constituer une architecture de contrôle ou une morphologie adaptées, par des processus inspirés de la biologie comme le développement, l'apprentissage ou l'évolution des espèces. Enfin, à partir notamment de l'évocation des "biobots" - robots hybrides constitués à la fois d'éléments artificiels et d'éléments vivants - les avantages et les risques liés à ces recherches seront discutés. Mot(s) clés libre(s) : animal artificiel, apprentissage des robots, biobot, ethologie, intelligence artificielle, processus biomimétique, réseaux de neurones, robotique, sciences cognitives
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Les égouts et l'évacuation des déchets
/ UTLS - la suite
/ 01-11-2003
/ Canal-U - OAI Archive
MOUCHEL Jean-Marie
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Après de nombreux siècles où l'alimentation en eau de Paris, et par voie de conséquence, son réseau d'égout sont restés fort limités, un essor considérable a été donné au réseau au milieu du 19e siècle, et il s'est poursuivi jusqu'à aujourd'hui. Parmi les projets initiaux, certains prévoyaient la création d'une ville souterraine, où seraient réalisées nombreuses des basses besognes nécessaires au fonctionnement et au prestige de la partie visible (et "hygiénisée") de la ville. Les réseaux souterrains devaient ainsi assurer le transport de l'eau mais aussi de nombreuses marchandises ou déchets. Dans le même temps, l'alimentation en eau potable généralisée, et l'élimination des eaux souillées hors de la ville, devenait un objectif prioritaire pour des raisons sanitaires. Les épidémies de choléra du milieu du siècle furent un des facteurs déclenchant le développement des projets de Belgrand à l'époque ou Haussmann rénovait la partie visible de Paris. Une particularité des égouts de Paris est la taille des canalisations, qui les rend en tout point visitables, ce qui leur confère un cachet tout particulier. Ils ont d'ailleurs toujours été visités, par les égoutiers chargés de leur entretien en premier lieu, mais aussi par de nombreux visiteurs qui accèdent aujourd'hui au musée des égouts situé dans le réseau. Dans la dernière partie du 19e siècle fut instauré le principe du tout-à-l'égout, mais sa mise en oeuvre complète, visant à l'élimination de toutes les fosses chez les particuliers, dura plusieurs décennies et se poursuivit au début du 20ième siècle. Le réseau devint unitaire, évacuant à la fois les eaux usées et les eaux de chaussées (eaux du lavage de rues, eaux de ruissellement pluvial etc.). Pour des raisons techniques, et pour éviter des déversements en Seine à l'intérieur de Paris, Belgrand a basé l'architecture du réseau sur un collecteur central qui rejoignait directement la Seine à Clichy. Le développement de la ville, et la mise en oeuvre du tout-à-l'égout ont considérablement augmenté la quantité de pollution déversée. A la fin du 19ième siècle, une solution basée sur l'épuration par le sol fut développée pour traiter les eaux avant leur arrivée en Seine. Des champs d'épandage furent installés dans la presqu'île de Gennevilliers puis plus à l'aval (Achères, Triel
), la ville de Paris devint propriétaire fermier et favorisait une intense activité de maraîchage. Au moment de l'exposition universelle à la toute fin du siècle, presque toutes les eaux collectées étaient envoyées vers les champs d'épandage. Cependant, la course en avant devait continuer, de plus en plus d'eau étant utilisée et devant être évacuée puis traitée dans une ville en constante expansion, alors que la pression foncière réduisait la superficie des champs d'épandage. Dès le début du 20ième, les rejets d'eaux usées en Seine reprirent de plus belle. Après de nombreux essais menés sur les pilotes par la ville de Paris, la première station d'épuration moderne à boues activées fut construite à Achères en 1938 (aujourd'hui "Seine-Aval"), et ne fut réellement alimentée que plusieurs années après la guerre. Dans les filières de traitement d'une telle station, comme dans le sol, des micro-organismes se développent en digérant les matières organiques et les transforment en gaz carbonique et en sels. Les matières solides transportées dans l'eau des égouts et les micro-organismes produits au cours du traitement sont rassemblés pour constituer les boues d'épuration. D'autres filières sont chargées du traitement des boues qui sont épaissies, pressées, éventuellement digérées avant d'être épandues sur des terres agricoles, mises en décharge ou encore incinérées. Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, le processus de construction de nouveaux réseaux et de nouvelles stations de traitement des eaux n'a cessé de se développer. A partir des années 70, on cessa de créer des réseaux unitaires pour passer au système séparatif. Dans un réseau séparatif, les eaux pluviales sont collectées dans un réseau séparé des eaux usées domestiques ou industrielles. Les eaux pluviales sont évacuées directement vers le milieu récepteur, alors que les eaux usées sont envoyées vers les stations d'épuration. Un avantage très significatif de ce type de collecte est que les flots reçus par les stations de traitement sont beaucoup plus réguliers, et qu'il n'y a pas de risques de surcharge du système en temps de pluie. Par contre, ce système nécessite une surveillance accrue des "mauvais branchements" d'eaux usées sur le réseau pluvial, et ne permet pas de traiter les eaux de ruissellement qui peuvent être fortement contaminées. Les stations de traitement sont devenues plus efficaces et plus flexibles dans leur gestion, ce qui permet notamment de traiter une fraction toujours croissante des eaux de temps de pluie dans les réseaux anciens unitaires, et de résoudre en grande partie graves problèmes dues aux déversements de temps de pluie dans le réseau unitaire. De nouvelles stations ont été construites en différents points de l'agglomération parisienne pour des raisons techniques, parce qu'il devenait techniquement difficile d'acheminer les eaux sur de très longues distances vers un point de traitement unique à l'aval, mais aussi pour des raisons éthiques et politiques pour que soit mieux partagées les nuisances dues au traitement. Le devenir des boues est toujours un problème aujourd'hui car elles peuvent contenir des contaminants persistants en quantité excessive. Alors que les matières organiques contenues dans les boues constituent des amendements utiles aux cultures, les contaminations doivent être évitées. Des efforts très importants ont été faits dans l'agglomération parisienne pour limiter le rejets de contaminants dans le réseau. Cette politique de réduction à la source a porté ses fruits puisque les teneurs en certains métaux dans les boues de la station "Seine-Aval" ont diminué de plus qu'un facteur 10 en 20 ans. L'évolution actuelle va vers des réseaux et des méthodes de traitement plus diversifiées. Le développement de stations de traitement va se poursuivre en différents points de l'agglomération parisienne, alors que l'interconnexion du réseau unitaire devient une réalité, qui permet une meilleure gestion des eaux en temps de pluie. Dans le même temps les eaux pluviales sont de plus en plus souvent retenues ou traitées à l'amont des bassins versants pour limiter le ruissellement excessif. Il aura donc fallu plus d'un siècle pour que la grande ligne directrice "tout vers l'aval" qui avait été instaurée par Belgrand soit remise en cause. Il aura fallu un siècle également pour que l'objectif "zéro rejets par temps", atteint au début du siècle lors de l'exposition universelle, soit de nouveau atteint. Le réseau d'assainissement fait donc bien partie de ces patrimoines techniques urbains fondamentaux qu'il faut gérer aujourd'hui en pensant aux générations futures.Références utilisées dans cette conférence : "Atlas du Paris Souterrain", par Gilles Thomas et Alain Clément, Ed. Parigramme, 2001. "Paris Sewers and Sewermen, realities and representations", par D. Reid, Harvard University Press, 1991. "Les égouts de Paris, une ville sous la ville", plaquette de présentation des égouts, Mairie de Paris "Rendre l'eau à la vie, 1970/1995, 25ième anniversaire du SIAAP", par M.F. Pointeau, Ed. CEP Euro Editions. "La Seine en son Bassin", M. Maybeck, G. de Marsily et E. Fustec (editeurs), publié par Elsevier en 1998. Mot(s) clés libre(s) : boues d'épuration, collecteur, déchet, eaux usées, égoutiers, égouts de Paris, génie urbain, réseau d'assainissement, station d'épuration, système séparatif, tout-à-l'égout, traitement des eaux
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Les enjeux de sécurité de l’information et les réseaux sociaux
/ AUNEGE, CERIMES
/ 26-09-2013
/ Canal-u.fr
DEVILLE DE PERIERE Dominique
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Dans le cadre du problème de la sécurité des entreprises, il est important de traiter la question des réseaux sociaux, qui sont devenus la cible privilégiée des pirates et représentent aujourd'hui le premier vecteur de fuites de données au sein des entreprises... Mot(s) clés libre(s) : réseaux sociaux, intelligence économique, logiciel malveillant, ANSSI, DISIC, sécurité de l'entreprise
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Les livraisons dangereuses
/ Inria / Interstices
/ 26-01-2021
/
Rakotonirina Itsaka
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Bientôt des échanges 100% sécurisés ? Découvrez la réponse dans cette histoire épistolaire de cryptographie et de gourmandise... Mot(s) clés libre(s) : cryptographie, protocole cryptographique, chiffrement, primitive cryptographique, sécurité réseau
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Les réseaux bayésiens
/ Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique / Interstices
/ 04-10-2018
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Gonzales Christophe
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Dans la vie de tous les jours, vous devez souvent prendre des décisions sous incertitudes. Par exemple, avez-vous intérêt à remplir le réservoir d’essence de votre voiture ou bien à acheter un billet de train ou d’avion tout de suite ou serait-il plus judicieux d’attendre un peu que les prix baissent ? Faut-il investir en bourse maintenant ou non ? Afin de prendre les bonnes décisions dans ce type de situation, il est impératif de bien en mesurer les risques, ce qui revient à bien estimer les incertitudes sur toutes les conséquences possibles de ces décisions. Mot(s) clés libre(s) : réseaux bayésiens, incertitude, prise de décision, inférence
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