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Chronique des Pygmées Bakoya 2006 : Mbélé, la chasse aux oiseaux
/ 11-04-2006
/ Canal-u.fr
SOENGAS Beatriz
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Mbélé, la chasse aux oiseaux, Bakoya, Imbong, Gabon, 2006
"Mbélé" est le nom donné au latex extrait d'une liane. Les enfants le font chauffer et le mélangent avec de la cendre. La colle ainsi obtenue est mise sur des tiges qui seront fichées dans les rivières à faible débit, proche des endroits repérés comme étant ceux utilisés par les oiseaux pour se laver. Ces derniers, se posent sur les tiges et se retrouvent englués et pris au piège. Cette « chasse aux oiseaux » est uniquement pratiquée par les garçons.
En brousse, une fois l’emplacement choisi, ils installent un feu auprès duquel ils se réchauffent en attendant la fin de l’après-midi, moment où ils iront parcourir la rivière pour planter les bâtonnets de colle. Ils en profitent pour réchauffer le mbélé, raconter des histoires et chanter : « Damasambe apulimapúba » ce qui signifie : « Damasambe ne connaît pas trop se laver à l’eau, ou plonger dans l’eau ». Damasambe est le nom donné au martin-pêcheur (Alcedo leucogaster).
Ce jour là ils n’ont rien attrapé… Mot(s) clés libre(s) : afrique, Imbong, chasse, brousse, rivière, latex, liane, piège, colle, eau, pygmée, Bakoya, ethnobotanique, plante, feu, forêt, alimentation, vidéo, Gabon, cendre, oiseau, film ethnographique, Mbélé
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Lois physiques. Transport solide par charriage (5)
/ 20-11-2014
/ Canal-u.fr
SOARES-FRAZÃO Sandra
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Cette séquence aborde le calcul du transport solide proprement dit, en commençant par découvrir comment Meyer-Peter et Müller ont établit leur loi de transport bien connue. Les expériences de Meyer-Peter et Müller ont été menées dans un canal comme celui qui est schématisé ici, dont les parois sont suffisamment lisses pour pouvoir négliger leur rugosité, et muni d’une trappe qui récolte les sédiments transportés par l’écoulement. Différentes conditions d’écoulement uniforme ont été étudiées, correspondant chacune à des débits liquides et solides différents, et avec des grains de diamètres différents. Pour chaque cas, Meyer-Peter et Müller ont d’une part mesuré la profondeur d’eau h et pente de fond S0, dont ils ont pu déduire par la formule de Manning, par exemple, le coefficient de frottement du lit nb, et d’autre part mesuré le transport solide par unité de largeur du canal via le poids déjaugé des grains qui se retrouvaient dans la trappe. Mot(s) clés libre(s) : inondation, géomorphologie, barrage, hydrologie, hydraulique, érosion, bassin versant, rivière, charriage
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Lois physiques. Transport solide par charriage (4)
/ 20-11-2014
/ Canal-u.fr
SOARES-FRAZÃO Sandra
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Dans cette séquence, nous allons découvrir comment calculer le débit solide charrié. Le débit solide charrié, ce sont les sédiments qui sont transportés par charriage le long du lit des cours d’eau. Cela concerne essentiellement les sédiments plutôt grossiers comme les sables ou les graviers, comme ceux que l’on peut voir sur cette photo qui montre le Rhône tel qu’il coule en Suisse. Pour cela, avant de nous attaquer directement à la définition du charriage, nous allons commencer par voir quelles sont les formes de fond que l’on peut observer dans le lit des cours d’eau. En effet, celles-ci peuvent avoir une influence considérable sur l’écoulement. Ensuite, nous découvrirons à partir de l’exemple de Meyer-Peter et Müller comment on peut établir une loi de transport solide. Et enfin, nous terminerons cette leçon par quelques questions relatives aux conditions d’application de toutes ces lois. Mot(s) clés libre(s) : inondation, géomorphologie, barrage, hydrologie, hydraulique, érosion, bassin versant, rivière, charriage
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Lois physiques. Transport solide par charriage (3)
/ 20-11-2014
/ Canal-u.fr
SOARES-FRAZÃO Sandra
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Nous voici donc dans la dernière ligne droite de cette leçon, au cours de laquelle nous allons découvrir les conditions de mise en mouvement des grains sur le lit sédimentaire. Pour cela, il va nous falloir donner quelques définitions. Il existe en sédimentologie une série de variables adimensionnelles caractéristiques qui permettent de définir le seuil de transport. Pour obtenir ces variables il faut procéder à une analyse dimensionnelle. Nous n’allons pas ici faire de démonstration détaillée, mais simplement vous expliquer ce que chacune de ces variables représentent. Je vais donc vous présenter le résultat de cette analyse dimensionnelle. Vous verrez d’ailleurs que plusieurs de ces variables font appel la vitesse u* que nous avons vue précédemment. Mot(s) clés libre(s) : inondation, géomorphologie, barrage, hydrologie, hydraulique, érosion, bassin versant, rivière, charriage
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Lois physiques. Transport solide par charriage (2)
/ 20-11-2014
/ Canal-u.fr
SOARES-FRAZÃO Sandra
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Plus le débit augmente, plus l’entraînement des grains va être important. Nous allons maintenant caractériser le profil de vitesses type dans un écoulement à surface libre.Voici une photo d’un écoulement sur lit granulaire prise en laboratoire. On observe que le profil de vitesses qui s’établit dans l’écoulement n’est pas uniforme sur la profondeur. Cela est dû au frottement sur le fond. En effet, l’écoulement exerce une force sur le lit, appelée la force tractrice, qui va tendre à arracher les grains du lit. Mais en retour, le lit exerce une force sur l’écoulement, tendant à le freiner, ce qui provoque le ralentissement de l’écoulement près du lit. Ces forces s’exerçant sur tout le périmètre mouillé de la section, on les représente via une contrainte de cisaillement « tau 0 ». Nous avons donc la contrainte « tau 0 » exercée par le lit sur l’écoulement représentée par une flèche dirigée vers l’amont, puisqu’elle va s’opposer à l’écoulement, et d’autre part, la contrainte « tau 0 » exercée de manière symétrique par l’écoulement sur le lit, etre présentée par une flèche dirigée vers l’aval (...) Mot(s) clés libre(s) : inondation, géomorphologie, barrage, hydrologie, hydraulique, érosion, bassin versant, rivière, charriage
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Lois physiques. Transport solide par charriage (1)
/ 20-11-2014
/ Canal-u.fr
SOARES-FRAZÃO Sandra
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L’objectif de cette séquence est de vous faire découvrir le transport de sédiments par charriage et de déterminer les conditions de mise en mouvement des grains sur le lit sédimentaire sous l’action de l’écoulement.A cet effet, nous allons commencer par définir les hypothèses de notre problème et définir les sédiments que nous allons considérer. Ensuite, je vous présenterai les deux principaux modes de transport des sédiments, afin de bien situer ce que représente le charriage. A partir de là, nous pourrons caractériser l’écoulement, notamment en définissant le profil de vitesses type qu’on retrouve dans un écoulement uniforme. Sur cette base, nous allons pouvoir mettre en évidence une série de variables adimensionnelles très utiles en sédimentologie pour caractériser le transport solide. Nous aurons alors à notre disposition tous les outils nécessaires pour, à partir du diagramme de Shields – Van Rijn, déterminer les conditions nécessaires de mise en mouvement des grains sur le lit. Enfin, nous terminerons tout cela par un exemple concret qui vous permettra de mettre en application ces nouvelles connaissances. Mot(s) clés libre(s) : inondation, géomorphologie, barrage, hydrologie, hydraulique, érosion, bassin versant, rivière, charriage
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Morphologie, habitats et biocénoses : physique et écologie fluviale
/ 20-11-2014
/ Canal-u.fr
PIÉGAY Hervé
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Cette séquence va être consacrée aux liens entre la physique (la géomorphologie) et l'écologie. On va aborder successivement différentes notions afin de comprendre :comment s’expriment ces lienscomment une modification de la physique influence la qualité écologiquecomment et pourquoi réparer certains dommages physiques enregistrés par le cours d’eau à la suite de différentes pressions humaines Mot(s) clés libre(s) : inondation, géomorphologie, barrage, hydrologie, hydraulique, érosion, bassin versant, rivière, charriage
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Les ajustements fluviaux. Effets morphologiques des activités humaines
/ 20-11-2014
/ Canal-u.fr
PIÉGAY Hervé
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L'objectif de cette séquence est de décrire les ajustements fluviaux et de les illustrer à travers plusieurs exemples. Nous aborderons d’abord les formes d’ajustement, nous les illustrerons par quelques exemples, puis nous analyserons les facteurs qui les contrôlent ; enfin nous introduirons les notions de sensibilité du cours d’eau et le temps nécessaire à l’ajustement. Nous allons tout d’abord voir quelles sont les évolutions qu'un cours d'eau peut enregistrer. Il peut s'inciser c'est-à-dire, creuser son lit. Inversement, il peut s'exhausser si, par exemple, tout d'un coup il dispose d'une charge plus abondante, comme dans le cas de cette rivière néo-zélandaise où l’exhaussement est tel, qu’il a enseveli un pont (je pense que la photo est très expressive). Il peut aussi se rétrécir ou au contraire s'élargir. Le lit peut se fixer ou au contraire, devenir de plus en plus mobile latéralement. La taille des sédiments de son lit peut aussi évoluer. Ceux-ci peuvent devenir plus grossiers ou aucontraire, ils peuvent devenir plus fins (...) Mot(s) clés libre(s) : inondation, géomorphologie, barrage, hydrologie, hydraulique, érosion, bassin versant, rivière, charriage
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Le diagnostic géomorphologique : mesurer les changements de géométrie et les interpréter
/ 20-11-2014
/ Canal-u.fr
PIÉGAY Hervé
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Dans cette séquence, nous allons voir comment établir un diagnostic géomorphologique en centrant le propos sur l’étude des formes fluviales. La question ici est de savoir comment identifier les changements enregistrés par le cours d’eau. Pour établir un tel diagnostic, le géomorphologue ne s'appuie pas seulement sur des informations granulométriques ou sédimentologiques prises sur le terrain. Il va utiliser également des données planimétriques et topographiques. Au cours de cette séquence, je présenterai ces données et les informations que l’on peut en tirer, notamment pour établir un budget sédimentaire. Enfin, nous verrons comment l’ensemble de ces informations conduit à un diagnostic géomorphologique. Mot(s) clés libre(s) : inondation, géomorphologie, barrage, hydrologie, hydraulique, érosion, bassin versant, rivière, charriage
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Eutrophisation des barrages réservoirs : restauration du lac Léman
/ 20-11-2014
/ Canal-u.fr
NEMERY Julien
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Pour illustrer la restauration d'un lac eutrophisé, voici un graphique qui montre une chronique long terme de l’évolution de la concentration en phosphore dans le lac Léman. Ce lac est situé à la frontière franco-suisse. L’histoire de ce lac est typique de la mise en place du processus d’eutrophisation, de sa prise de conscience et de son contrôle. Mot(s) clés libre(s) : inondation, géomorphologie, barrage, hydrologie, hydraulique, érosion, bassin versant, rivière, charriage
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